OLIVIER 07 ON FAIT RELACHE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : OLIVIER 07 ON FAIT RELACHE Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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OLIVIER 07 ON FAIT RELACHE
OLIVIER 07ON FAIT RELACHE

Tous les jours j'avais un courrier d'Olivier. Il me racontait ses journées et surtout ce qu'il ressentait dans son corps. S'il ne se moquait pas de moi, je me disais rapidement qu'il devrait parvenir à tenir son engagement.

Ses sensations, je les connaissais bien. Cette gêne qui est si proche de la douleur au moment du réveil. Ces érections régulières dans la journée, au début la panique et rapidement la sérénité de savoir que rien ne pourrait se voir.

Avec ce truc il était impossible de voir si le porteur avait une érection ou pas même sous des vêtements légers ou moulant, même au travers d'un maillot de bain. Au pire on pouvait deviner un truc sans trop savoir de quoi il s'agissait, au mieux on pouvait se dire que le monsieur devait être bien doté.

Évidemment ce que je dis n'est valable que si on ne porte pas de vêtements transparents. Il y a des sous vêtements comme ça. Remarquez moi j'aime bien et si j'en portais je pense que je choisirais ces modèles.

Le dispositif était adapté, parfaitement adapté. En dehors de ces moments de grandes tensions Olivier me disait qu'il le supportait parfaitement et que même quelquefois il l'oubliait totalement. Oh ça ne durait pas longtemps mais régulièrement dans la journée il l'oubliait et la semaine n'était pas encore terminée.

Le vendredi arrivait.

Je n'avais même pas le temps de sonner qu'Olivier m'ouvrait. J'entrais, il me prenait dans ses bras et me faisait un gros câlin pour m'accueillir.

Olivier : Maintenant on peut ?

Je l'embrassais tendrement. Le contact de ce corps fort et chaud était agréable. On ne voulait plus se lâcher.

On n'avait prévu qu'il ne me parlerait pas du dispositif, en tout cas pas pour me demander si on l'ouvrait, quand … La encore il respectait ses promesses mais je devinais dans ses yeux comme une panique. Je lui avais laissé entendre que si il le supportait bien on pourrait peut être jouer les prolongations. Et je devinais ses pensées au moment ou il m'embrassait.

Je déposais mes affaires dans un coin.

Moi : Ça va toi ? Ça s'est bien passé ?
Olivier : Super !
Moi : Alors tu as bien supporté le dispositif et l'abstinence ?
Olivier : … Oui ça va j'ai bien supporté.

Il avait marqué une hésitation. Allais-je lui ordonner de garder ce truc encore une semaine ou plus ? Allais-je jouer les prolongations. Je m'amusais du léger trouble qu'il ne parvenait pas à cacher.

Moi : Tu serais prêt à continuer l'expérience, en moins sévère ?
Olivier : C'est toi qui décide, moi je te suis !
Moi : Nous verrons !

On descendait à la pizzeria. C'est déjà devenu une habitude quand je viens voir Olivier. Dans un coin tranquille tout en mangeant il me racontait.

Olivier : C'est un truc de fou. J'ai une envie de baiser ou de me faire baiser tu ne peux pas imaginer …Moi : Mais si, mais si, mai si !
Olivier : L'autre jour au boulot un de mes collègue a relevé ses manches et j'ai vu son avant bras, il avait un léger duvet de poil très fin. J'avais une violente envie de le lui caresser.
Moi : C'était au début de la semaine ?
Olivier : Je ne me souviens plus. Un autre jour mon regard est tombé sur l'entre jambe d'un autre de mes collègues. Il avait une jolie bosse qui me semblait très prometteuse. Je bavais d'envie d'y toucher. Je l'aurais bien sucé celui-là. Maintenant à chaque fois que je le vois je jette un œil, je te jure ça donne envie.
Moi : Bien monté ?
Olivier : Oui il est sûrement bien monté. Un autre jour c'est un autre collègue qui à réajusté sa cravate, il avait ouvert les premiers boutons, j'ai vu son cou et le haut de son torse, il n'avait aucun poil. Sa peau devait être douce, j'avais envie de le prendre dans mes bras et de l'embrasser partout.

Je l'écoutais et j'ouvrais deux boutons de plus à ma chemise. Bon moi je ne suis pas imberbe mais je voyais ses yeux se fixer sur ma fourrure.

Moi : Tu aimes bien la fourrure aussi ?
Olivier : Y'aussi !

Il ne pouvait plus détourner le regard. Je l'avais bien allumé là le gars. Je me disais que là il était à point !

Je me souvenais qu'il m'avait enfermé sans me prévenir, j'avais là ma vengeance. Il m'avait donné sa parole et si je lui demandais de garder le dispositif plus longtemps il le ferait sans même savoir pour combien de temps.

Mais voilà, j'avais moi aussi passé une semaine de totale abstinence et j'avais moi aussi envie de lui sauter dessus, de le baiser comme un fou, de me prendre sa queue dans le cul comme une chienne. Ma queue me faisait presque mal dans sa cage. Je bandais depuis que je l'avais pris dans mes bras à mon arrivée, et là ça commençait à faire un peu mal, comme les premier jours au réveil.

De retour à la maison je le taquinais.

Assis sur le canapé j'ouvrais ma chemise et me caressais le torse, l'air de rien, comme ça, tout en discutant. Je voyais sa frustration dans ses yeux, il avalais sa salive.

Olivier : On … a droit … aux … câlins maintenant … ?
Moi : Oui maintenant on y a droit !

Il baissait les yeux, contrôlait son souffle et sans prévenir me sautait dessus. Je savais le rattraper, on s'embrassait avec passion, le manque se faisait sentir à chacun de nos baisers. Il ne fallait que quelques secondes pour qu'on se retrouve torse nue, et là ce n'était plus que caresses et baiser.

Il avait promis de ne pas aborder le sujet de la cage de chasteté en premier et moi je faisais traîner. Il savait et il l'avait accepté, ce serait moi et moi seul qui déciderait quand.

Quelques minutes plus tard on se retrouvait à poil, sauf le petit truc bien sûr. Nos mains caressaient les couilles de l'autre, ses fesses, son dos, son torse … Enfin toutes les parties de son corps.

C'est moi et moi seul qui prendrait la décision mais il gardait le droit de refuser de me libérer si lui ne l'était pas ! J'avais concédé ce point sans difficulté, par expérience j'avais plus d'expérience que lui. Il y avait toutefois le risque d'être tombé sur un passif tellement passif qu'il adopterait le dispositif de chasteté dès la première tentative.

On avait décidé qu'il pourrait refuser d'être libéré et comme s'il n'était pas libéré il pouvait refuser de me libérer … Ces deux points n'avaient pas été négociés le même jour et c'est seulement à cet instant que j'en comprenais les risques.

Je sortais la clé de ma poche, il me souriait, me prenait par la main et m'entraînait dans la chambre. Il sortait la clé d'un tiroir, je le libérais, il en faisait de même. Je savais par expérience que ce dispositif ne me gênait pas pour assurer une bonne hygiène et je constatais que pour lui c'était pareil. Au début, avant de se lancer dans de longues périodes sous clé, il faut absolument vérifier ce détail.

Il me repoussait sur le lit et plongeait sur moi. Il visait ma queue, il la prenait dans la bouche, je ne bandais pas encore vraiment dur mais rapidement ma queue prenait tout son volume dans sa bouche. Il suce bien le mec, il passait et repassait sa langue autour de mon gland, me masturbait avec vigueur. Je le retenais quand il allait trop vite, je ne voulais pas conclure trop rapidement.

On échangeait les place et c'est lui qui se retrouvait allongé sur le dos, les bras en croix. Je lui caressais l'intérieur des cuisses, suçais sa queue en m'attardant sur son gland. Il ne cachait pas son plaisir, sans prévenir j'étirais ses couilles et les gobais toutes les deux en même temps. Je le sentais se contracter, il me laissait faire mais il lui fallait quelques instants pour se détendre complètement de nouveau.

On se retournait l'un sur l'autre et on se retournait encore. On se retrouvait finalement en position du tête à queue, chacun avait la queue de l'autre dans la bouche. Je faisais une pause.

Moi : Au fait Olivier, il y a une règle que j'aimerais rajouter.
Olivier : Je t'écoute !

Il continuait à me sucer.

Moi : Interdiction définitive de la masturbation. C'est une règle que je respecte déjà.

Il ne répondait pas et me suçait toujours, je gémissais de plaisir.

Moi : Je parle de la queue bien sûr. On peut se masturber le cul.

Il marquait une pause à son tour.
Olivier : Ça marche pour moi. Et si on n'a pas de partenaire pour se faire sucer comme on le fait là ?
Moi : On garde le dispositif.
Olivier : Wouah. Et quand on est comme en ce moment ?
Moi : On laisse faire l'autre. On ne se masturbe pas soi même.
Olivier : Pour moi c'est d'accord. Plus de p'tit branlette.

En disant ça il me masturbait, moi je continuais à le sucer.

Olivier : Pourtant, une p'tit branlette c'est sur mesure, ça fait du bien.
Moi : Et puis ça dérange jamais les voisins.
Olivier : Retourne toi je vais t'enculer.

Je m'exécutais, à quatre patte, les jambes écartées, appuyé sur les coudes je le laissais faire. Il était rapide, il avait du gel à porté de la main et quelques instants plus tard je sentais son gland qui poussait contre mon anus. Je ne résistais pas il forçais et c'est son ventre qui frappait contre mes fesses. Je fermais les yeux et poussais un long soupir. C'était bon.

Sans plus attendre il se retirait totalement lubrifiait de nouveau et remettait ça avec plus de violence cette fois. Ça claquait fort. Je soupirais fort également. Je respirais de plus en plus fort, il se lâchait.

De plus en plus vite il se retirait complètement de mon cul et y revenait bien à fond sans aucun ménagement. Le plaisir montait dans mon ventre, je le ressentait jusqu'à mon sexe. A l'intérieur de mon sexe, au niveau de mon urètre, j'avais l'impression que j'allais éjaculer, mais rien ne venait, toujours rien. Je tremblais, je frémissais de plaisir mais rien ne venait.

Mes gestes devenaient fous, je ne les contrôlais plus, je me cramponnais au draps, j'agitais les bras, mes jambes voulaient courir mais Olivier me retenait avec force et en profitait pour me défoncer le cul avec encore plus de violence. Je jouissais.

Il me repoussait en avant, je m'allongeais sur le ventre. Olivier s'écroulait sur moi. J'étais bien, j'ai apprécié de sentir son corps, sa chaleur, sa douceur, sa masse. Il ne bougeait plus mais ne débandait pas pour autant.

Nous restions là je ne sais pas combien de temps, il me donnait des baiser dans le cou, je ne bougeais plus. Je me sentais bien. Il était toujours en moi.

Au bout d'un long moment, Olivier se retirait, je me sentais bien ce dernier mouvement était agréable. Il se retirait totalement et sans prévenir revenait en force, bien à fond, écrasait son ventre contre mes fesses et continuait à pousser. Je râlais de surprise, c'était le pied.

Il reprenait alors ses mouvement de va et vient sans ménagement, il ne pensais qu'à son plaisir, c'était évident. A cet instant je n'était plus qu'un jouet. J'ai aimé me sentir sex-toy. Il me limait le cul avec vigueur. Ma queue ne pressait plus contre sa cage pourtant elle prenait toute la place et la remplissait bien. Là je sentais bien la cage mais il n'y avait aucune gêne, je la sentais mais c'était avec une grande douceur.

Olivier n'est pas du genre à mollir rapidement quand il est en forme et là, il n'était pas seulement en forme il était surtout en manque, frustré et il avait comme du temps à rattraper. Il me limait, quand il s'enfonçait il se laissait tomber de tout son poids sur moi, je m'enfonçais dans le lit.

Quand il se retirait je rebondissais. Il s'en amusait, moi pour la seconde fois je jouissais, plus fort peut être même que la première fois. Il lui a fallu peut être une demie heure pour jouir de nouveau et éjaculer une seconde fois dans mon cul.

Il se laissait à nouveau retomber sur moi. Je me sentais tellement bien, je retournais la tête vers lui comme je pouvais, il en profitait pour m'embrasser sur la bouche. On partageait alors un instant de pure tendresse.

Sa queue commençait à reprendre une taille plus modeste, il se retirait, on était en sueur. On reprenait notre souffle et on passait sous la douche, j'avais oublié que je n'avais pas ma cage de chasteté et je comprenais mieux pourquoi je ne le sentais plus mon dispositif. C'est une grosse molle qui pendait lourdement entre mes jambes. Il s'amusait à la tripoter en la lavant. Il parvenait à me faire bander mais le désir n'y était plus, j'avais pris mon pied, j'avais joui et mon corps s'en satisfaisait.

On se couchait, et on s'endormait rapidement. Cette première soirée de relâche pour Olivier avait été riche de plaisirs, pour lui c'est sûr mais pour moi aussi. J'ai bien dormi moi !

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Texte coquin : OLIVIER 07 ON FAIT RELACHE
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