Branlette au sport Ep07 L'équipe au complet
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Branlette au sport Ep07 L'équipe au complet
Branlette au sport Ep07
L'équipe au complet
Il mettait l'ambiance. Un silence de mort tombait sur le groupe. Chacun regardait chacun pour essayer de déterminer de qui il s'agissait, combien ils étaient s'il y en avait plusieurs ?
– Bon ! Si vous n'avez pas changé d'avis. Annonçait le coach. Vous pouvez approcher.
Roberto avançait.
– Ta femme est d'accord ? Demandait le coach.
– Elle est d'accord ! Répondait Roberto.
Le coach déposait un dispositif complet devant Roberto. Je n'avais pas remarqué qu'il s'était épilé les couilles celui-là.
Carlos s'avançait à sont tour, Hervé, Tony.
– Ta copine est d'accord Tony ? Le coach ne posait cette question qu'à ceux qui avaient une copine.
– Non mais je m'en fou ! Répondait Tony.
Puis c'est Noé qui s'approchait
– Et pour toi Noé, est-ce que Clara, Sophie, Laurette, Alexandra et je ne sais plus qui est … Pardon, sont d'accort ?
– Tu as oublié Barbara, coach !
– Ah j'ai oublié Barbara ! Rajoutait le coach sur un ton amusé.
Un fou rire parcourait la salle.
Tout le monde savait comment ça se passait, ce jour là ils étaient cinq, c'est sans attendre qu'ils baissaient leurs pantalons. Ils avait tous un dispositif complet devant eux.
Ils restaient très concentré et c'est face à leurs camarades qu'ils procédaient. Ils avaient tous un petit sourire coquin et complice. Ils étaient stoïques, aucun n'a présenté la moindre érection. Je ne comprenais pas comment ils arrivaient à un tel self-control, moi je n'aurais pas réussi à rester calmes à leurs places.
C'est rapidement que chacun passait ses couilles dans l'anneau, je les regardais faire avec attention. J'avais bien vu, j'avais repéré Roberto, Tony et Noé. Sous la douche j'avais remarqué qu'ils s'étaient épilé les couilles.
Les queues suivaient dans l'anneau, ils étaient toujours parfaitement détendus, il y avait là cinq belles grosses bites, cinq grosses molles qui pendaient lourdement, qui se balançaient avec maintenant un anneau à leurs bases.
Ils étaient un peu taquin, et en profitaient pour s'amuser, se tortillaient comme s'ils dansaient ou comme si … Oui comme si ils faisaient un spectacle érotique.
– Allons un peu de tenue ! Déclarait le coach.
Ils se calmaient et chacun glissait sa queue dans la cage, l'enclenchaient et se retournait vers le coach. Ils vérifiait si tout était en ordre puis donnait a chacun un cadenas sur sa clé.
C'était à chacun de verrouiller lui même son dispositif, chacun s'exécutait puis restituait la clé au coach.
– Maintenant on est au complet ! S'exclamait Kevin.
– Comment ça on est complet ? Demandait Jeff. On est douze à porter ce truc et il y dix huit membres dans l'équipe.
– Dix huit. Répondait Kevin. L'équipe a bien douze joueurs et six remplaçants. L'équipe est au complet !
– De plus. Rajoutait Fabien. Kevin et moi allons quitter l'équipe comme c'était prévu depuis un moment, il n'en reste plus que quatre à équiper. Pour les prochains on verra …
Je crois que c'est à ce moment que j'ai compris que j'étais aussi sur la liste. J'aurais du avoir peur mais je ne sais pas pourquoi, je n'éprouvais aucune inquiétude. Je bandais et je me disais même pas que c'était peut être l'une des dernière fois.
Une fois de plus les porteurs de ce dispositif ont décidé de passer la soirée à poil. Là le coach avait préparé du champagne. Nous étions donc plus que quatre à attendre le moment ou nous serions volontaires.
On a dansé toute la soirée, on a chanté, on a picolé, il y avait plus d'une bouteille chacun, et en plus c'était du bon. Il sait fêter les événements le coach.
Je savais pour l'avoir constaté sous la douche, Kevin était particulièrement bien monté. Il avait la plus grosse bite de toutes l'équipe. Il était grand et bien bâti. Il était vraiment très beau gosse. Je me disais que lui au moins ne porterait jamais la cage à bite. Ça me réconfortait un peu quelque part. J'avalais une flûte de champagne, et c'est ainsi que je commençait la soirée.
Arrivé à ce moment de l'histoire je me doute que certains d'entre vous doivent se dire que les sportifs de mon équipe passaient leur temps à picoler. Ne vous méprenez pas, c'était juste parce que l'équipe, toute l'équipe passait tout doucement à la cage de chasteté.
En temps normal on picole bien moins, et puis on n'était pas en fait en pleine saison des tournois, on était dans la saisons des entraînements.
Donc on picolait, on s'amusait à taquiner nos camarades qui étaient à poil. On les touchait, on les tripotait, on les caressait, on s'amusait avec leurs couilles. Ils se laissaient faire, ils participaient même à cette taquinerie en jouant les provocateurs, les allumeurs.
La fête était au plus fort quand je décidais de me rendre aux toilettes. Parce que j'étais un peu ivre, je me rendais dans les toilettes des sanitaires, pas celles du club house. Il y avait du monde, j'arrivais sans faire de bruit, perdu dans mes pensées, j'entendais des gémissements réguliers.
J'avançais alors sans faire de bruit, mais là c'était volontairement que je ne faisais plus de bruit, et je les ai vu.
Ils étaient deux, j'apercevais deux silhouettes, elles étaient enlacées appuyées contre le mur. C'était forcément deux de mes camarades, il n'y avait personne d'autre dans le bâtiment. Un des deux était appuyé contre le mur, l'autre remuait.
L'autre remuait et se frottait contre le premier, dans l'obscurité je ne pouvais pas tout voir mes mes yeux s'habituaient à la pénombre. L'un des deux deux était penché contre le mur, il me semblait qu'il était nu. L'autre le tenait ou s'accrochait à lui, il était nu également mais lui il bandait, je devinais mieux la scène.
Celui qui était derrière enculait avec enthousiasma le premier. Je ne parvenais pas encore à discerner qui était qui. Puis tout se précisait. C'était mon Djimmy qui était devant, j'y croyais pas.
C'est vrai qu'il aimait bien la bite Mon petit Djimmy, je l'avais remarqué.
L'image se précisait un peu plus et cette très gosse bite qui s'enfonçait et ressortait du cul de mon petit Djimmy, et bien, c'était celle de Kevin. Il était vraiment bien monté et Djimmy aimait vraiment bien la bite.
Il y avait une source de lumière très faible au fond du couloir mais je voyais désormais très bien dans cette obscurité et ils étaient de profil. L'énorme queue de Kevin se dessinait bien et je la voyais disparaître dans le cul de mon petit Djimmy, enfin de Djimmy quoi.
Le pauvre encaissait, je ne sais pas comment il faisait mais il encaissait. Kevin était bien mieux monté que moi et là j'aurais eu peur. Mais Djimmy lui semblait apprécier, il râlait de plaisir et en redemandait. Kevin s'activait, il se retirait complètement avant de revenir, et il le faisait de plus en plus vite.
Djimmy râlait plus fort et plus fort encore. Aucun des deux ne semblait s'inquiéter d'être découvert, ils s'abandonnaient à leur plaisir. Kevin ne ressortait plus et poussait son ventre contre les fesses de Djimmy, reculait un peu et revenait, il s'agitait maintenant, il s'agitait comme un fou et les gémissements de Djimmy se transformaient en véritables plaintes.
Par moment, Kevin saisissait Djimmy avec force, il le tirait contre lui et le pauvre Djimmy faisait comme il pouvait pour encaisser la queue de Kevin en se mettant sur la pointe des pieds. Kevin était plus grand, et sa grosse bite empalait le petit cul de son compagnon. Djimmy n'était plus dans l'axe, de profil je le voyais cambrer son corps, tenter de relever le cul mais sans grand résultat.
Kevin le retenait avec tellement de force qu'il le soulevait, je pouvais constater que les pieds de Djimmy ne touchaient plus le sol. Et là je ne vous dis pas comment il couinait.
Quand Kevin le reposait, le pauvre Djimmy le suppliait d'y aller plus doucement Kevin écoutait et répondait par un dernier coup violent de bassin contre les fesses du pauvre Djimmy. Puis ils se calmaient, ils ne se calmaient pas bien longtemps, juste le temps que Djimmy récupère, les coups de bassin devenaient plus lent mais toujours violent.
C'est qui ? Demandait Djimmy.
C'est Charly ! Répondait Kevin.
Ça fait longtemps qu'il est là ?
Je ne sais pas.
Puis Kevin recommençait, de nouveau il se retirait et revenait avec force dans un mouvement rapide et … violent ! Djimmy poussait un cri. Je m'approchais, je ne m'en rendais même pas compte, je m'approchais.
Je ne devais pas être à plus de deux mètres et je voyais Kevin se lâcher, il s'agitait comme un fou, il limait avec force et violence le cul de Djimmy les derniers coups étaient forts, je devinais que Kevin jouissait, il éjaculait dans le cul de notre camarade.
Ils gloussaient, maintenant il gloussaient tous les deux. L'un du plaisir de l'orgasme et l'autre du plaisir de sentir son camarade se retirer.
Kevin était du genre câlin, il venait de jouir mais il restait câlin et attentionné envers son camarade, il l'embrassait dans le cou. Il continuait à le caresser avec maintenant beaucoup de douceur.
Djimmy se retournait, il regardait Kevin avec là encore une certaine passion. Je le savais, Djimmy avait toujours ce regard amoureux après s'être fait enculer. J'aimais bien ce regard un peu bête, il me donnait toujours envie de recommencer.
Ceci-dit, j'étais en forme et j'étais prêt à le faire, je bandais comme un fou, pour ce qui est de pisser là je ne pourrais pas faire comme je voulais. Et je n'avais pas l'impression que ça allait passer avant un long moment ou avant que je me vide les couilles.
Un instant j'avais compris qu'ils m'avaient repéré mais là il m'avait sans doute oublié.
Djimmy se rapprochait de Kevin qui le prenait dans ses bras et ils s'embrassaient tendrement.
C'est sûr, ils m'avaient oublié, ils s'embrassaient, se caressaient, se câlinaient, aucun des deux ne couinaient plus, ils murmuraient.
Je ne savais plus quoi faire, nous étions trois dans un couloir, deux étaient entièrement nus et moi qui bandait comme un fou, je me demandais ce que je faisais là.
Kevin se retournait alors vers moi et me lançait.
Je te laisse la place si tu veux, moi je vais prendre une douche …
C'est vrai que je bandais donc je vous laisse imaginer la suite.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
L'équipe au complet
Il mettait l'ambiance. Un silence de mort tombait sur le groupe. Chacun regardait chacun pour essayer de déterminer de qui il s'agissait, combien ils étaient s'il y en avait plusieurs ?
– Bon ! Si vous n'avez pas changé d'avis. Annonçait le coach. Vous pouvez approcher.
Roberto avançait.
– Ta femme est d'accord ? Demandait le coach.
– Elle est d'accord ! Répondait Roberto.
Le coach déposait un dispositif complet devant Roberto. Je n'avais pas remarqué qu'il s'était épilé les couilles celui-là.
Carlos s'avançait à sont tour, Hervé, Tony.
– Ta copine est d'accord Tony ? Le coach ne posait cette question qu'à ceux qui avaient une copine.
– Non mais je m'en fou ! Répondait Tony.
Puis c'est Noé qui s'approchait
– Et pour toi Noé, est-ce que Clara, Sophie, Laurette, Alexandra et je ne sais plus qui est … Pardon, sont d'accort ?
– Tu as oublié Barbara, coach !
– Ah j'ai oublié Barbara ! Rajoutait le coach sur un ton amusé.
Un fou rire parcourait la salle.
Tout le monde savait comment ça se passait, ce jour là ils étaient cinq, c'est sans attendre qu'ils baissaient leurs pantalons. Ils avait tous un dispositif complet devant eux.
Ils restaient très concentré et c'est face à leurs camarades qu'ils procédaient. Ils avaient tous un petit sourire coquin et complice. Ils étaient stoïques, aucun n'a présenté la moindre érection. Je ne comprenais pas comment ils arrivaient à un tel self-control, moi je n'aurais pas réussi à rester calmes à leurs places.
C'est rapidement que chacun passait ses couilles dans l'anneau, je les regardais faire avec attention. J'avais bien vu, j'avais repéré Roberto, Tony et Noé. Sous la douche j'avais remarqué qu'ils s'étaient épilé les couilles.
Les queues suivaient dans l'anneau, ils étaient toujours parfaitement détendus, il y avait là cinq belles grosses bites, cinq grosses molles qui pendaient lourdement, qui se balançaient avec maintenant un anneau à leurs bases.
Ils étaient un peu taquin, et en profitaient pour s'amuser, se tortillaient comme s'ils dansaient ou comme si … Oui comme si ils faisaient un spectacle érotique.
– Allons un peu de tenue ! Déclarait le coach.
Ils se calmaient et chacun glissait sa queue dans la cage, l'enclenchaient et se retournait vers le coach. Ils vérifiait si tout était en ordre puis donnait a chacun un cadenas sur sa clé.
C'était à chacun de verrouiller lui même son dispositif, chacun s'exécutait puis restituait la clé au coach.
– Maintenant on est au complet ! S'exclamait Kevin.
– Comment ça on est complet ? Demandait Jeff. On est douze à porter ce truc et il y dix huit membres dans l'équipe.
– Dix huit. Répondait Kevin. L'équipe a bien douze joueurs et six remplaçants. L'équipe est au complet !
– De plus. Rajoutait Fabien. Kevin et moi allons quitter l'équipe comme c'était prévu depuis un moment, il n'en reste plus que quatre à équiper. Pour les prochains on verra …
Je crois que c'est à ce moment que j'ai compris que j'étais aussi sur la liste. J'aurais du avoir peur mais je ne sais pas pourquoi, je n'éprouvais aucune inquiétude. Je bandais et je me disais même pas que c'était peut être l'une des dernière fois.
Une fois de plus les porteurs de ce dispositif ont décidé de passer la soirée à poil. Là le coach avait préparé du champagne. Nous étions donc plus que quatre à attendre le moment ou nous serions volontaires.
On a dansé toute la soirée, on a chanté, on a picolé, il y avait plus d'une bouteille chacun, et en plus c'était du bon. Il sait fêter les événements le coach.
Je savais pour l'avoir constaté sous la douche, Kevin était particulièrement bien monté. Il avait la plus grosse bite de toutes l'équipe. Il était grand et bien bâti. Il était vraiment très beau gosse. Je me disais que lui au moins ne porterait jamais la cage à bite. Ça me réconfortait un peu quelque part. J'avalais une flûte de champagne, et c'est ainsi que je commençait la soirée.
Arrivé à ce moment de l'histoire je me doute que certains d'entre vous doivent se dire que les sportifs de mon équipe passaient leur temps à picoler. Ne vous méprenez pas, c'était juste parce que l'équipe, toute l'équipe passait tout doucement à la cage de chasteté.
En temps normal on picole bien moins, et puis on n'était pas en fait en pleine saison des tournois, on était dans la saisons des entraînements.
Donc on picolait, on s'amusait à taquiner nos camarades qui étaient à poil. On les touchait, on les tripotait, on les caressait, on s'amusait avec leurs couilles. Ils se laissaient faire, ils participaient même à cette taquinerie en jouant les provocateurs, les allumeurs.
La fête était au plus fort quand je décidais de me rendre aux toilettes. Parce que j'étais un peu ivre, je me rendais dans les toilettes des sanitaires, pas celles du club house. Il y avait du monde, j'arrivais sans faire de bruit, perdu dans mes pensées, j'entendais des gémissements réguliers.
J'avançais alors sans faire de bruit, mais là c'était volontairement que je ne faisais plus de bruit, et je les ai vu.
Ils étaient deux, j'apercevais deux silhouettes, elles étaient enlacées appuyées contre le mur. C'était forcément deux de mes camarades, il n'y avait personne d'autre dans le bâtiment. Un des deux était appuyé contre le mur, l'autre remuait.
L'autre remuait et se frottait contre le premier, dans l'obscurité je ne pouvais pas tout voir mes mes yeux s'habituaient à la pénombre. L'un des deux deux était penché contre le mur, il me semblait qu'il était nu. L'autre le tenait ou s'accrochait à lui, il était nu également mais lui il bandait, je devinais mieux la scène.
Celui qui était derrière enculait avec enthousiasma le premier. Je ne parvenais pas encore à discerner qui était qui. Puis tout se précisait. C'était mon Djimmy qui était devant, j'y croyais pas.
C'est vrai qu'il aimait bien la bite Mon petit Djimmy, je l'avais remarqué.
L'image se précisait un peu plus et cette très gosse bite qui s'enfonçait et ressortait du cul de mon petit Djimmy, et bien, c'était celle de Kevin. Il était vraiment bien monté et Djimmy aimait vraiment bien la bite.
Il y avait une source de lumière très faible au fond du couloir mais je voyais désormais très bien dans cette obscurité et ils étaient de profil. L'énorme queue de Kevin se dessinait bien et je la voyais disparaître dans le cul de mon petit Djimmy, enfin de Djimmy quoi.
Le pauvre encaissait, je ne sais pas comment il faisait mais il encaissait. Kevin était bien mieux monté que moi et là j'aurais eu peur. Mais Djimmy lui semblait apprécier, il râlait de plaisir et en redemandait. Kevin s'activait, il se retirait complètement avant de revenir, et il le faisait de plus en plus vite.
Djimmy râlait plus fort et plus fort encore. Aucun des deux ne semblait s'inquiéter d'être découvert, ils s'abandonnaient à leur plaisir. Kevin ne ressortait plus et poussait son ventre contre les fesses de Djimmy, reculait un peu et revenait, il s'agitait maintenant, il s'agitait comme un fou et les gémissements de Djimmy se transformaient en véritables plaintes.
Par moment, Kevin saisissait Djimmy avec force, il le tirait contre lui et le pauvre Djimmy faisait comme il pouvait pour encaisser la queue de Kevin en se mettant sur la pointe des pieds. Kevin était plus grand, et sa grosse bite empalait le petit cul de son compagnon. Djimmy n'était plus dans l'axe, de profil je le voyais cambrer son corps, tenter de relever le cul mais sans grand résultat.
Kevin le retenait avec tellement de force qu'il le soulevait, je pouvais constater que les pieds de Djimmy ne touchaient plus le sol. Et là je ne vous dis pas comment il couinait.
Quand Kevin le reposait, le pauvre Djimmy le suppliait d'y aller plus doucement Kevin écoutait et répondait par un dernier coup violent de bassin contre les fesses du pauvre Djimmy. Puis ils se calmaient, ils ne se calmaient pas bien longtemps, juste le temps que Djimmy récupère, les coups de bassin devenaient plus lent mais toujours violent.
C'est qui ? Demandait Djimmy.
C'est Charly ! Répondait Kevin.
Ça fait longtemps qu'il est là ?
Je ne sais pas.
Puis Kevin recommençait, de nouveau il se retirait et revenait avec force dans un mouvement rapide et … violent ! Djimmy poussait un cri. Je m'approchais, je ne m'en rendais même pas compte, je m'approchais.
Je ne devais pas être à plus de deux mètres et je voyais Kevin se lâcher, il s'agitait comme un fou, il limait avec force et violence le cul de Djimmy les derniers coups étaient forts, je devinais que Kevin jouissait, il éjaculait dans le cul de notre camarade.
Ils gloussaient, maintenant il gloussaient tous les deux. L'un du plaisir de l'orgasme et l'autre du plaisir de sentir son camarade se retirer.
Kevin était du genre câlin, il venait de jouir mais il restait câlin et attentionné envers son camarade, il l'embrassait dans le cou. Il continuait à le caresser avec maintenant beaucoup de douceur.
Djimmy se retournait, il regardait Kevin avec là encore une certaine passion. Je le savais, Djimmy avait toujours ce regard amoureux après s'être fait enculer. J'aimais bien ce regard un peu bête, il me donnait toujours envie de recommencer.
Ceci-dit, j'étais en forme et j'étais prêt à le faire, je bandais comme un fou, pour ce qui est de pisser là je ne pourrais pas faire comme je voulais. Et je n'avais pas l'impression que ça allait passer avant un long moment ou avant que je me vide les couilles.
Un instant j'avais compris qu'ils m'avaient repéré mais là il m'avait sans doute oublié.
Djimmy se rapprochait de Kevin qui le prenait dans ses bras et ils s'embrassaient tendrement.
C'est sûr, ils m'avaient oublié, ils s'embrassaient, se caressaient, se câlinaient, aucun des deux ne couinaient plus, ils murmuraient.
Je ne savais plus quoi faire, nous étions trois dans un couloir, deux étaient entièrement nus et moi qui bandait comme un fou, je me demandais ce que je faisais là.
Kevin se retournait alors vers moi et me lançait.
Je te laisse la place si tu veux, moi je vais prendre une douche …
C'est vrai que je bandais donc je vous laisse imaginer la suite.
A suivre
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