Les apparences 02 sont trompeuses

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Les apparences 02 sont trompeuses Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les apparences 02 sont trompeuses
Les apparences 02
sont trompeuses


J'étais retourné, j'étais séduit.

Je n'étais pas vraiment surpris par ma réaction, je me savais plus passif qu'actif. Et là, je venait de jouer un passif d'exception. J'en avais pris plein le cul et je n'avais plus qu'une seule envie … recommencer … Enfin pas tout de suite.

Nous nous sommes endormis, il s'était blotti dans mes bras. C'est vrai que ça semblait être moi le mâle dominant. Je faisais presque une tête de plus que lui, j'étais plus large, j'avais le corps couvert de poil et lui une peau douce et dépourvu de cette fourrure.

Au premier coup d’œil ça semblait logique. Mais pour y croire il fallait avoir loupé la scène précédente. J'avais été totalement passif, enfin quand je dis totalement passif, c'est une façon de parler, j'avais réagi, j'avais agi, j'avais participé mais c'est moi qui m'était fait enculé, et j'avais aimé.

Il cachait bien son jeu le petit gars, il avait l'air totalement inoffensif mais il ne fallait pas se fier aux apparences, il était armé ! Il avait une queue énorme et dans mon sommeil c'est ce que je revoyais. Sa queue était très bien proportionnée, longue, très longue, épaisse, très épaisse.

Je prenais un plaisir presque vicieux à la tripoter, elle ne grossissait presque pas quand il bandait, elle devenait plus dure, c'est tout. Ce qui était fantastique c'est qu'en surface elle restait toujours un peu molle mais elle était largement assez ferme pour forcer son passage, même dans un cul étroit. Ce n'était pas mon cas, je vous rassure. Je ne suis pas ce genre de mec !

Je me réveillais tôt, je me glissais hors du lit en prenant soin de ne pas le réveiller. Il se retournait sur le dos, d'un mouvement de la main, il repoussait le drap et se montrait entièrement nu sous mes yeux. Son corps totalement dépourvu de fourrure me désorientait, c'est vrai quoi, moi je suis carnivore, je suis un chasseur. Il avait l'air d'une proie.

Mais sa queue qui commençait à durcir, elle se redressait et s'étalait sur son ventre. Il était incroyablement beau avec une telle parure. On aurait pu penser que c'était une fausse queue, mais je savais que rien n'était faux chez mon petit trésor. C'est déjà comme ça que je le voyais. En taille il me dépassait largement, en taille de queue je veux dire. En fait ce n'était pas une proie, c'était un appât et moi j'avais été appâté, c'était moi la proie.

Je me penchais sur lui et passais ma langue sur son frein. Je bandais, enfin c'est à ce moment que j'ai réagi que je bandais. Je ne me souvenais pas l'avoir remarqué plus tôt.

Je lui caressais la queue avec la langue puis je prenais son gland dans la bouche, il était large et rentrait à peine. Il me caressait les cheveux, j'avais fini par le réveiller. Il poussait quelques gémissements de plaisir.

Ça c'est un réveil comme je les aime ! Me disait-il.

Ça m'encourageait à continuer, je ne pouvais pas prendre beaucoup plus que son gland mais je faisais au mieux. Ma langue passait et repassait sur le bout de sa queue, je le sentais, il s'étirait. Il bandait ferme maintenant et une main me caressait les couilles, elle glissait ensuite vers mes fesses. Il me glissait ses doigts entre mes fesses et sans rien me demander ils s'arrêtait juste sur la petite ouverture.

Il forçait et c'est sans trop d'effort que deux doigts glissaient à l'intérieur de mon cul. Là c'est moi qui gémissait et de bon cœur en plus. Il les agitait et c'est autant avec force qu'avec régularité qu'il me tambourinait la prostate. Rapidement je poussais des cris de plaisir.

Je me relevais, je me retrouvais sur les genoux, à côté de lui sur le lit. Ma queue elle aussi se relevait mais il ne s'en occupait pas et moi non plus je ne m'en occupait pas. Sa queue était bien plus grande que la mienne, bien plus large aussi.

Je le regardais, il se masturbait, enfin au début je croyais qu'il se masturbait, en fait il se lubrifiait sa queue, puis, il me lubrifiait le cul. Là j'ai compris ce qui allait se passer. Il se relevait, s'installait dans mon dos, je le laissais faire mais brusquement mon cœur battait fort, vraiment fort. Il prenait position, je ne bougeais pas.

Je le sentais il posait son gland sur mon anus et commençait à pousser. La pression n'était pas très forte mon cul ne s'ouvrait pas encore, il me cramponnais alors les hanches, je sentais comme un mouvement de panique qui me parcourait mais je ne bronchais pas. Il commençait à pousser, je sentais la pression contre mon anus. Il poussait plus fort, je ne résistais pas et brusquement je sentais mon cul se dilater.

J'ai poussé un cri mais je n'ai pas essayer de me dégager. En quelques instant, mon anus se dilatait et il entrait. C'était un peu en force j'en conviens, il glissait lentement en moi, je le sentais me dilater les entrailles, je sentais chaque millimètres glisser contre mon cul, entre mes fesses. Je manquais d'air mais je laissais faire. Quelques instants plus tard, son ventre s'écrasait sur mes fesses et il me prenait dans ses bras.

C'était violent, ses mouvements étaient lents et calculés mais c'était violent. Je n'avais pas assez de force pour hurler, j'étais sonné, en quelques secondes il me faisait cet effet. C'était intense !

Il appuyait ensuite son bassin contre mes fesses, j'ai cru que j'allais déchirer mais c'était bon, vraiment bon. Il se retirait lentement, très lentement, le plaisir montait en moi. Puis il revenait, sans doutes plus rapidement, à peine mais un peu plus rapidement.

Quelques instants plus tard il me limait le cul avec force et régularité, il s'amusait à enfoncer sa queue bien à fond et à la retirer presque totalement. Le plaisir montait mais la panique ne disparaissait pas pour autant. Il me tirait vers lui avec force, me saisissait dans ses bras avec force aussi.

Par moment il me tripotait la bite et les couilles, je le laissais faire, je bandais mou. Mais je bandais, enfin je bandais un peu. Mais le plaisir qui envahissait tout mon corps ne venait pas de mon sexe, il se diffusait depuis mes entrailles et rayonnait dans tout mon corps. J'avais l'impression de trembler, j'avais l'impression de ne plus contrôler les mouvements de mes bras. J'étais à genoux, heureusement sinon je n'aurait certainement pas réussi à tenir debout.

Mes genoux tremblaient, ils restaient totalement immobiles mais ils tremblaient, je le sentais, je le sentais je tremblais de tout mon corps pendant qu'il me limait le cul.

Il me tirait contre lui et m'embrassait sur les épaules et dans le cou. Je retournais ma tête et je l'embrassais.

C'est à ce moment que j'ai senti son souffre, il jouissait en moi. Il me donnait un coup de bassin, violent, qui à ce moment échappait à son contrôle. Il éjaculait dans mon cul, il éjaculait juste au milieu de mon corps. Il se laissait alors tomber sur moi en me poussant en avant.

Je m'effondrais sur le lit, il s'effondrait sur moi, il était encore bien encré en moi. Il débandait, je ne parvenais pas à savoir si débandait beaucoup, je sentais toujours cette masse dans mon cul. Au repos comme en érection sa queue avait à peut près la même taille, simplement elle était moins dure et je finissais par le constater, elle glissait en dehors de moi et c'est à ce moment que j'ai vraiment joui, là j'ai éjaculé. Je ne bandais plus qu'à moitié mais j'ai joui comme un fou. Je n'ai pas vraiment éjaculé, j'ai juté. J'ai juté pendant un long moment, j'étais comblé de plaisir.

C'est vrai que j'ai toujours aimé me faire défoncer le cul. Comme on ne trouve pas toujours l'homme idéal pour vous faire ce plaisir je jouais aussi le côté actif. J'ai fait couiné plus d'un de mes partenaire, aujourd'hui pour la deuxième fois, c'est moi qui avait couiné de plaisir.

On est passé sous la douche et on pris notre petit déjeuner. Le reste de la journée on est sorti. J'avais oublié son côté tafiole mais rapidement, il revenait. Ce garçon avait du charme, il avait les traits fins mais il était maniéré.

Dans ma tête je revoyais son côté viril, sa queue dans mon cul, devant mes yeux c'était presque une fille qui gigotait. En fait je m'y suis rapidement habitué. J'en suis toujours le premier surpris mais rapidement ça ne me dérangeait plus. On se rapprochait l'un de l'autre.

Après ce week-end on s'est revu et pas seulement en fin de semaine. Moins d'un mois plus tard on se voyait au moins trois ou quatre fois par semaines. L'un venait attendre l'autre à la sortie du boulot, et j 'étais surpris de ne pas, même pas, me sentir gêné quand il me donnait un baiser sur bouche à la sortie de mon boulot.

Personne n'a réagi, c'est vrai que tout le monde était au courant et qu'il faisait vraiment féminin. Certains mon même demandé … '' Tu sors avec une fille toi maintenant ? '' . Bon c'était pas le plus futé de mon équipe de travail qui m'a posé la question, mais quand même …

En extérieur, devant les amis les rôles étaient bien définis. On me faisait souvent remarquer …

– Tu dois bien tirer ton coup toi !
– Mais Doudou, tu est aussi passif, là tu doit t'ennuyer, tu sais que je suis là moi.
– On voit au premier coup d’œil qui est l'homme, et qui est la femme dans ton couple.

Chacun de mes amis, me faisait sa remarque. Ce n'était pas méchant remarquez, c'était seulement plein de préjugé.

C'est vrai que par moment … Comme le jour ou Mattis était tombé en panne avec sa voiture. Il était catastrophé et semblait en plus efféminé que d'habitude, et là c'est pas peu dire. C'est avec une voix suraiguë qu'il m'appelait. À l'entendre, c'était grave. Je l'imaginais dans une situation catastrophique, il s'était réfugié dans un routier … Il ne fallait pas le laisser dans cette situation.

J'arrivais un demie heure plus tard, il était tranquillement installé à une table avec un thé et une part de gâteau devant lui. Il avait déjà sympathisé avec la moitié de la salle, c'était pas plein mais il y avait du monde quand même.

Il était calme, en me voyant il venait me faire la bise et revenait à sa table. Il prenait bien son temps de déguster sont thé et son gâteau.

– Mais qu'est-ce qui t'arrive ? Tu m'as fait venir pour prendre un thé ou quoi ?
– Ah non mon Doudou, je te jure, je suis réellement tombé en panne. La voiture est à cinq kilomètres de là, je suis venu à pied.
– Cinq kilomètres pour toi c'est pas grand chose, tu fais le marathon tous les ans ! Pourquoi tu n'as pas appelé une dépanneuse ?
– A ce n'est pas à ce point là quand même.

Il était calme, il terminait son thé, je prenais un café puis on retrouvait la voiture. Il avait crevé ! Il s'était garé sur un parking puis avait marché.

– Quand je me suis garé le pneu n'était pas totalement dégonflé, c'est plus le cas, il faut faire quelques chose.

Je levais les yeux au ciel, il m'avait appelé en catastrophe à cause d'un pneu crevé. Je prenais les opération en main, il s'asseyait en me regardant faire. Il ne me fallait pas bien longtemps pour redresser la situation et ranger la roue crevée dans le coffre. Il me sautait alors au cou.

– Je suis sauvé, je savais que c'était une situation à ta hauteur. TU ES MON HERO !

Il en faisait trop, mais il avait aussi des bons côté. Les bons côtés c'étaient le nuit entre nous, dans notre intimité. Et c'est justement entre nous dans notre intimité.

– Tu es passif ! Me disait-il un soir.
– Ben oui, aussi.
– Non, tu es vraiment passif. J'ai remarqué que tu ne te masturbe même pas, j'ai remarqué que tu arrives à jouir sans te toucher, sans te tripoter.
– Tu crois.

Je crois qu'on peu essayer ça. Il sortait alors un petit dispositif de chasteté. J'étais pétrifié, je regardais l'objet, je n'étais pas vraiment convaincu mais j'aime bien faire des expériences.

De plus il avait raison, je suis passif, enfin je l'étais déjà je veux dire. J'ai voulu essayer. J'ai enfilé le petit truc. Je n'étais pas vraiment convaincu mais quand il m'a enculé juste après, je me suis dit que ça valait la peine de prolonger l'expérience.

Je plaisir je le recevais, je ne pouvais plus me le donner. Je pouvais en donner et en recevoir. Ma situation de mâle dominant viril prenait une claque et pas une petite.

Puis j'ai aimé !

C'était pas prévu ça mais j'ai aimé. Je ne l'ai jamais retiré depuis, maintenant ça fait quelques années.

Alors quand vous voyez un bon gros et grand nounours musclé, même s'il à une jolie bosse au pantalon. Vous pensez mâle dominant bien sûr. Quand vous voyez une petite tafiole accroché à son bras, une petite tafiole dont il prend soin, il lui ouvre la porte, il approche sa chaise au restaurant et le tient dans ses bras avec une tendresse virile.

Ne préjugez plus trop rapidement de savoir qui est le dominant. Qui se fait enculer et qui a la plus grosse …


Fin



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