Les apparences 01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Les apparences 01
Les apparences 01
Vous savez, il ne faut pas toujours se fier aux apparences. Quelquefois, le plus souvent même dans un couple il y en a un qui prend le dessus sur l'autre. Attention n'imaginez pas l'esclavagiste qui commande, l’autoritarisme en action, non … C'est plus subtil. L'un des deux arrive à ses fins par la ruse, le charme ou … Le sexe …
La légende du mâle dominant garde la peau dure mais faut-il vraiment s'y fier ?
Dans le genre mâle dominant, je me tiens bien avec mon mètre quatre vingt quinze, mes cheveux courts, ma barbe naissante et ma fourrure qui me faisait ressembler à un ours. Bon, plutôt un nounours …
Je ne vous cacherai pas que j'avais du succès avec les filles, enfin j'aurais eu du succès avec les filles mais c'est surtout les filles qui n'en avaient pas avec moi.
On peut oublier aussi l'image de l'homme gay maniérée et efféminé. Non j'ai toujours eu une allure virile et précisément c'est ce que je recherche chez un homme. Je vous jure je me rencontrerais dans la rue, tout de suite je craquerais sur moi. Mais bon là, il faut que je me calme sinon je vais me faire bander …
Je sortais régulièrement et les hommes que je rencontrais étaient dans mon style, pas de tafioles ! Des mecs, bien viriles !
Aussi quand je rencontrais Mattis, c'était pas son vrais nom mais il avait trouvé que le surnom Mathilde faisait trop, comment dire … Tafiole justement.
Il ne faisait pas vraiment masculin, pour commencer il était blond, il avait les cheveux mi long avec des bouclettes qui rebiquaient. Il avait les traits de son visage terriblement fins et pas un poil qui dépassait. C'était naturel et je me disais que ça témoignait se son équilibre hormonal. Il y avait du féminin en lui.
Il avait un beau visage mais j'aurais préféré y voir un peu plus de poils, une barbe naissante ou des sourcils plus épais par exemple. Il me regardais avec insistance.
Remarquez je ne lui en voulais pas, je suis très sexy.
Parmi mes amis il y en avait qui avait une copine, enfin je m'exprime mal, qui avaient un copain très féminin. Un peu comme cette fille, heu, ce garçon qui m'observait et qui devait imaginer que je ne l'avais pas remarqué.
Là je m'embrouille. Mais c'est vrai qu'il me faisait vraiment penser à une fille. Il n'avait aucune poitrine, et son corps était mince, il portait un pantalon moulant et une chemise qui descendait jusqu'au milieu de ses cuisses et faisait à moitié penser à une robe.
Elle se déplaçait rapidement d'une table à l'autre.
Décidément je ne m'y ferais pas … IL se déplaçait …
Bon maintenant que j'ai rectifié …
Je finissais moi aussi par le regarder, et nos regards se croisaient. Étienne, un ami un peu nounours remarquait notre jeux et décidait de faire les présentations. C'est ainsi que j'étais présenté à Mattis.
Un peu plus tard je demandais à Étienne.
–Ça fait longtemps que tu le connais.
–Non en fait je ne le connais pas vraiment, il traîne souvent dans ce bar branché tu sais près du parc. On a fini par discuter.
–Tu ne trouves pas qu'il est un peu … Demandais-je.
– Il est comme il est mais ce soir tu vas tirer ton coup mon bonhomme.
Il avait raison. Mais Mattis m'appelait.
– Charly tu veux encore un verre ?
En attendant de tirer un coup, c'était encore le moment de la picole.
Tout s'est passé comme prévu. Je ramenais Mattis à la maison. Vous savez avec ce genre de personnage, c'est surtout le côté féminin qu'on remarque mais quand il a retiré sa chemise tout changeait. Il avait le torse totalement imberbe, mince mais musclé. Mais surtout on pouvait alors voir son entre cuisse et là il y avait une grosse bosse, bien visible qui faisait bien moins féminin d'un coup.
Il me faisait un énorme câlin, je le prenais dans mes bras, je le caressais, il était doux, je n'avais pas souvent rencontré un homme avec la peau si douce, il n'avait pas de poil sur le corps. Je l'embrassais partout ou je pouvais, mes lèvres se promenaient sur tout son corps.
Il semblait apprécier, lui il aimait bien les nounours, finalement on allait bien ensemble malgré ses allures de tafioles.
–Tu es actif ? Me demandait-il.
– Oui aussi … Et toi tu es passif ?
– Oui aussi … !
Je me disais, dans ma tête … '' Ça devrait marcher cette affaire !''. Je commençais à bander. Au niveau longueur ma queue est dans la moyenne, sans plus mais au niveau largeur je suis largement au dessus. Je suis trapu de la bite quoi !
J'ai déjà fait couiné plus d'un mec, c'est pas bien compliqué, il suffit d'être un peu violent. D'y aller un peu fort, on sait tout de suite à qui on à faire. Si le mec râle un peut trop je me retire et je recommence.
Il ne traînait pas et avant d'avoir retiré ma chemise il avait déjà baissé mon pantalon et me suçait la bite. Il s'y prenait bien, je doit dire que là j'ai apprécié. Il savait y faire et faisait disparaître ma queue dans sa bouche.
Il relevait la tête …
– P'tit bite mais bien quand même.
Là j'étais un peu vexé.
– Comment ça ' P'tit bite ' pas si petite que ça, j'en ai fait couiné plus d'un et elle est large.
Il se relevait et tranquillement baissait son pantalon.
Là c'est une queue énorme qui en sortait, la bosse que j'avais trouvé prometteuse était plus que ça. En fait sa queue était sous pression dans un pantalon moulant et quand il retirait son pantalon c'est une grosse, une très grosse molle qui apparaissait.
J'y croyais pas, la petite tafiole que j'avais ramenée était un bitozaure, un monstre. Il n'y avait pas de poil autour de son sexe. Il était entièrement nu devant moi. À part les cheveux il n'avait pas de poil sur le corps. C'était naturel à par autour de son sexe et sous ses bras.
Je ne résistais pas ben longtemps au plaisir de lui tripoter la bite et les couilles. Elle se relevait avec force, il bandait ferme, et la grosse molle se transformait rapidement en énorme dure.
On se câlinait, on se caressait, on se suçait la queue chacun son tour. Il avait raison finalement, j'avais une petite bite, une toute petite même si on comparait avec la sienne. Mais bon il ne doit pas y avoir beaucoup de mecs avec une grosse queue si on fait la comparaison avec lui.
Il m'a d'abord proposé de m'enculer.
Bein oui je lui avais dit que je me faisais aussi enculer. En fait même je suis plus passif qu'actif et avec ce petit bonhomme il y avait de quoi faire.
Il se préparait tout de suite, il se lubrifiait longuement la queue, il bandait ferme et moi j'étais impressionné par un truc qui dépassait largement les vingt centimètres. Sa queue était ferme, mais restait un peu moelleuse, quand on la prenait fermement dans la main on la sentait très légèrement molle, mais elle restait ferme tout de même.
Je vous dit pas mais j'avais les boules quand il appuyait sur mon cul avec cette matraque. J'en menais pas large, il poussait, je sentais sa queue qui m'écrasait les fesses. J'avais l'impression que ça ne rentrerait pas, mon cœur battait fort et je paniquais.
J'ai cru m'évanouir, la pression contre mon cul était folle, ça devait lâcher, çà allait lâcher, ça … ça à lâché. C'était de la folie, mon cul se dilatait sans douleur, je sentais un truc que je savais énorme et que je sentais énorme me dilater l'anus. Ça glissait en moi. Il poussait doucement, je restais là, la bouche ouverte incapable d’émettre un son sauf peut être un long souffle.
Il glissait lentement et j'avais envie de hurler. Il se penchait sur mon dos et me prenait dans ses bras. Ce n'était pas du plaisir que je ressentais, c'était autre chose, c'était peut être plus terrible ou meilleur. C'était surtout difficile à dire.
J'ai bien un gode gros comme sa bite mais je ne me le suis enfilé que rarement. Je le trouve trop gros. Mais là il y avait le bonhomme au bout, il y avait tout et ce n'était pas moi qui pilotait.
Il s'est retiré lentement, et il a commencé à me limer. C'était intense comme jamais. C'était effrayant mais j'en voulais encore. Il revenait à la charge et là je parvenais enfin à crier, pas de douleur, il ne me faisait pas mal mais juste parce que j' ne pouvais pas faire autre chose et aussi parce qu'il fallait que j'exprime mon plaisir. Pourtant ce n'était pas du plaisir. Au bout de quelques mouvements c'était mieux que ça.
Puis je me suis mis à sangloter, il m'embrassait dans le dos, en haut de mon dos, presque dans le cou. Ses baisers se posaient sur mes épaule. Il me demandait doucement à l'oreille si tout allait bien. Je faisais oui de la tête.
Il se retirait puis d'une manière plus régulière il reprenait en s'enfonçant puis en ressortant. Je finissais par récupérer mon souffle et je gueulais maintenant.
Il finissait par jouir en moi et par se retirer.
J'ai pris un pied comme jamais, oui je sais je me répète, mais au moment ou il est ressorti de mon cul je me suis senti … un peu comme … vidé. Sans doute un peu comme une dinde qu'on aurait vidé. J'ai joui, et j'ai éjaculé, c'était un plaisir intense dans le cul et un plaisir intense dans ma queue. Je jutais, j'éjaculais. C'était à la limite d'une certaine douleur mais quelquefois l'orgasme n'est pas loin de la douleur.
Je m'effondrais sur moi même, il se laissait tomber sur moi.
Je sentais son corps terriblement doux. Je me retournais et je le caressais. Il aimait, il avait la peau douce, je n'arrivais pas à m'y faire tellement c'était agréable de le toucher. Ensuite c'est sa queue que je tripotais, il s'était vidé les couilles et elle redevenue toute molle. Elle n'avait pas repris sa taille au repos, enfin, c'est vrai que je ne savais pas vraiment quelle était sa taille au repos. Je ne savais pas si elle avait une taille au repos.
Elle n'avait peut être que deux positions, deux état, détendue et en érection. Énorme dure et grosse molle … Et là il revenait au repos, grosse molle.
Il se laissait faire.
J'avais débandé et je me sentais terriblement bien à ce moment. J'avais oublié son côté fille, après ça il ne me faisait plus du tout penser à une fille.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Vous savez, il ne faut pas toujours se fier aux apparences. Quelquefois, le plus souvent même dans un couple il y en a un qui prend le dessus sur l'autre. Attention n'imaginez pas l'esclavagiste qui commande, l’autoritarisme en action, non … C'est plus subtil. L'un des deux arrive à ses fins par la ruse, le charme ou … Le sexe …
La légende du mâle dominant garde la peau dure mais faut-il vraiment s'y fier ?
Dans le genre mâle dominant, je me tiens bien avec mon mètre quatre vingt quinze, mes cheveux courts, ma barbe naissante et ma fourrure qui me faisait ressembler à un ours. Bon, plutôt un nounours …
Je ne vous cacherai pas que j'avais du succès avec les filles, enfin j'aurais eu du succès avec les filles mais c'est surtout les filles qui n'en avaient pas avec moi.
On peut oublier aussi l'image de l'homme gay maniérée et efféminé. Non j'ai toujours eu une allure virile et précisément c'est ce que je recherche chez un homme. Je vous jure je me rencontrerais dans la rue, tout de suite je craquerais sur moi. Mais bon là, il faut que je me calme sinon je vais me faire bander …
Je sortais régulièrement et les hommes que je rencontrais étaient dans mon style, pas de tafioles ! Des mecs, bien viriles !
Aussi quand je rencontrais Mattis, c'était pas son vrais nom mais il avait trouvé que le surnom Mathilde faisait trop, comment dire … Tafiole justement.
Il ne faisait pas vraiment masculin, pour commencer il était blond, il avait les cheveux mi long avec des bouclettes qui rebiquaient. Il avait les traits de son visage terriblement fins et pas un poil qui dépassait. C'était naturel et je me disais que ça témoignait se son équilibre hormonal. Il y avait du féminin en lui.
Il avait un beau visage mais j'aurais préféré y voir un peu plus de poils, une barbe naissante ou des sourcils plus épais par exemple. Il me regardais avec insistance.
Remarquez je ne lui en voulais pas, je suis très sexy.
Parmi mes amis il y en avait qui avait une copine, enfin je m'exprime mal, qui avaient un copain très féminin. Un peu comme cette fille, heu, ce garçon qui m'observait et qui devait imaginer que je ne l'avais pas remarqué.
Là je m'embrouille. Mais c'est vrai qu'il me faisait vraiment penser à une fille. Il n'avait aucune poitrine, et son corps était mince, il portait un pantalon moulant et une chemise qui descendait jusqu'au milieu de ses cuisses et faisait à moitié penser à une robe.
Elle se déplaçait rapidement d'une table à l'autre.
Décidément je ne m'y ferais pas … IL se déplaçait …
Bon maintenant que j'ai rectifié …
Je finissais moi aussi par le regarder, et nos regards se croisaient. Étienne, un ami un peu nounours remarquait notre jeux et décidait de faire les présentations. C'est ainsi que j'étais présenté à Mattis.
Un peu plus tard je demandais à Étienne.
–Ça fait longtemps que tu le connais.
–Non en fait je ne le connais pas vraiment, il traîne souvent dans ce bar branché tu sais près du parc. On a fini par discuter.
–Tu ne trouves pas qu'il est un peu … Demandais-je.
– Il est comme il est mais ce soir tu vas tirer ton coup mon bonhomme.
Il avait raison. Mais Mattis m'appelait.
– Charly tu veux encore un verre ?
En attendant de tirer un coup, c'était encore le moment de la picole.
Tout s'est passé comme prévu. Je ramenais Mattis à la maison. Vous savez avec ce genre de personnage, c'est surtout le côté féminin qu'on remarque mais quand il a retiré sa chemise tout changeait. Il avait le torse totalement imberbe, mince mais musclé. Mais surtout on pouvait alors voir son entre cuisse et là il y avait une grosse bosse, bien visible qui faisait bien moins féminin d'un coup.
Il me faisait un énorme câlin, je le prenais dans mes bras, je le caressais, il était doux, je n'avais pas souvent rencontré un homme avec la peau si douce, il n'avait pas de poil sur le corps. Je l'embrassais partout ou je pouvais, mes lèvres se promenaient sur tout son corps.
Il semblait apprécier, lui il aimait bien les nounours, finalement on allait bien ensemble malgré ses allures de tafioles.
–Tu es actif ? Me demandait-il.
– Oui aussi … Et toi tu es passif ?
– Oui aussi … !
Je me disais, dans ma tête … '' Ça devrait marcher cette affaire !''. Je commençais à bander. Au niveau longueur ma queue est dans la moyenne, sans plus mais au niveau largeur je suis largement au dessus. Je suis trapu de la bite quoi !
J'ai déjà fait couiné plus d'un mec, c'est pas bien compliqué, il suffit d'être un peu violent. D'y aller un peu fort, on sait tout de suite à qui on à faire. Si le mec râle un peut trop je me retire et je recommence.
Il ne traînait pas et avant d'avoir retiré ma chemise il avait déjà baissé mon pantalon et me suçait la bite. Il s'y prenait bien, je doit dire que là j'ai apprécié. Il savait y faire et faisait disparaître ma queue dans sa bouche.
Il relevait la tête …
– P'tit bite mais bien quand même.
Là j'étais un peu vexé.
– Comment ça ' P'tit bite ' pas si petite que ça, j'en ai fait couiné plus d'un et elle est large.
Il se relevait et tranquillement baissait son pantalon.
Là c'est une queue énorme qui en sortait, la bosse que j'avais trouvé prometteuse était plus que ça. En fait sa queue était sous pression dans un pantalon moulant et quand il retirait son pantalon c'est une grosse, une très grosse molle qui apparaissait.
J'y croyais pas, la petite tafiole que j'avais ramenée était un bitozaure, un monstre. Il n'y avait pas de poil autour de son sexe. Il était entièrement nu devant moi. À part les cheveux il n'avait pas de poil sur le corps. C'était naturel à par autour de son sexe et sous ses bras.
Je ne résistais pas ben longtemps au plaisir de lui tripoter la bite et les couilles. Elle se relevait avec force, il bandait ferme, et la grosse molle se transformait rapidement en énorme dure.
On se câlinait, on se caressait, on se suçait la queue chacun son tour. Il avait raison finalement, j'avais une petite bite, une toute petite même si on comparait avec la sienne. Mais bon il ne doit pas y avoir beaucoup de mecs avec une grosse queue si on fait la comparaison avec lui.
Il m'a d'abord proposé de m'enculer.
Bein oui je lui avais dit que je me faisais aussi enculer. En fait même je suis plus passif qu'actif et avec ce petit bonhomme il y avait de quoi faire.
Il se préparait tout de suite, il se lubrifiait longuement la queue, il bandait ferme et moi j'étais impressionné par un truc qui dépassait largement les vingt centimètres. Sa queue était ferme, mais restait un peu moelleuse, quand on la prenait fermement dans la main on la sentait très légèrement molle, mais elle restait ferme tout de même.
Je vous dit pas mais j'avais les boules quand il appuyait sur mon cul avec cette matraque. J'en menais pas large, il poussait, je sentais sa queue qui m'écrasait les fesses. J'avais l'impression que ça ne rentrerait pas, mon cœur battait fort et je paniquais.
J'ai cru m'évanouir, la pression contre mon cul était folle, ça devait lâcher, çà allait lâcher, ça … ça à lâché. C'était de la folie, mon cul se dilatait sans douleur, je sentais un truc que je savais énorme et que je sentais énorme me dilater l'anus. Ça glissait en moi. Il poussait doucement, je restais là, la bouche ouverte incapable d’émettre un son sauf peut être un long souffle.
Il glissait lentement et j'avais envie de hurler. Il se penchait sur mon dos et me prenait dans ses bras. Ce n'était pas du plaisir que je ressentais, c'était autre chose, c'était peut être plus terrible ou meilleur. C'était surtout difficile à dire.
J'ai bien un gode gros comme sa bite mais je ne me le suis enfilé que rarement. Je le trouve trop gros. Mais là il y avait le bonhomme au bout, il y avait tout et ce n'était pas moi qui pilotait.
Il s'est retiré lentement, et il a commencé à me limer. C'était intense comme jamais. C'était effrayant mais j'en voulais encore. Il revenait à la charge et là je parvenais enfin à crier, pas de douleur, il ne me faisait pas mal mais juste parce que j' ne pouvais pas faire autre chose et aussi parce qu'il fallait que j'exprime mon plaisir. Pourtant ce n'était pas du plaisir. Au bout de quelques mouvements c'était mieux que ça.
Puis je me suis mis à sangloter, il m'embrassait dans le dos, en haut de mon dos, presque dans le cou. Ses baisers se posaient sur mes épaule. Il me demandait doucement à l'oreille si tout allait bien. Je faisais oui de la tête.
Il se retirait puis d'une manière plus régulière il reprenait en s'enfonçant puis en ressortant. Je finissais par récupérer mon souffle et je gueulais maintenant.
Il finissait par jouir en moi et par se retirer.
J'ai pris un pied comme jamais, oui je sais je me répète, mais au moment ou il est ressorti de mon cul je me suis senti … un peu comme … vidé. Sans doute un peu comme une dinde qu'on aurait vidé. J'ai joui, et j'ai éjaculé, c'était un plaisir intense dans le cul et un plaisir intense dans ma queue. Je jutais, j'éjaculais. C'était à la limite d'une certaine douleur mais quelquefois l'orgasme n'est pas loin de la douleur.
Je m'effondrais sur moi même, il se laissait tomber sur moi.
Je sentais son corps terriblement doux. Je me retournais et je le caressais. Il aimait, il avait la peau douce, je n'arrivais pas à m'y faire tellement c'était agréable de le toucher. Ensuite c'est sa queue que je tripotais, il s'était vidé les couilles et elle redevenue toute molle. Elle n'avait pas repris sa taille au repos, enfin, c'est vrai que je ne savais pas vraiment quelle était sa taille au repos. Je ne savais pas si elle avait une taille au repos.
Elle n'avait peut être que deux positions, deux état, détendue et en érection. Énorme dure et grosse molle … Et là il revenait au repos, grosse molle.
Il se laissait faire.
J'avais débandé et je me sentais terriblement bien à ce moment. J'avais oublié son côté fille, après ça il ne me faisait plus du tout penser à une fille.
A suivre
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