Un bel été 6

- Par l'auteur HDS Caramel35 -
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Un bel été 6 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un bel été 6
Un bel été 6
Mises en bouche en début de week-end.

Je suis heureux de terminer ma semaine de travail d'été. Je vais rentrer chez moi, dans le petit logement que le patron m'a trouvé. Il n'est pas bien grand mais ça me convient. J'ai l'impression d'habiter dans une caravane ou un camping-car, vu la surface.
Les toilettes et la salle de bains sont en commun avec deux autres studios. Malgré tout, tout se passe bien car je me lève tôt. Je n'ai pas eu à attendre mon tour.
Pour moi, cet endroit est parfait, loin de mes parents. Il me permet de disposer de ma liberté, de mes 18 ans et de profiter de découvertes sexuelles, surtout homos.

Je finis donc ma journée et m'apprête à partir en vélo vers mon petit logement.

Sur le parking, David est là. Mon beau David, viril, absolument mâle, puissant, musclé, bronzé, tatoué. Il est là pour moi, il m'attend, près de sa voiture. Son magnifique chien est à côté de lui.
S'il n'a pas hésité à faire entre 30 et 40 minutes de route pour venir me chercher, c'est qu'il tient à moi. A Paris, ce temps n'est rien, ici, c'est énorme.
Maintenant que je le connais, que nous avons baisé ensemble, ou plutôt qu'il m'a superbement baisé pour être plus exact, que nous avons passé plusieurs nuits à faire l'amour, je n'hésite pas à le rejoindre. Sous son allure de mec de la campagne, un peu bourrin, un regard de légionnaire, se cache un homme absolument tendre, attentionné, d'une douceur absolue avec moi. Peut être parce qu'il sait qu'il va se purger dans mon cul, parce qu'il sait que je le désire, qu'il m'a plu dès le premier regard….je ne veux pas savoir.

En public, devant mes collègues de travail, il me sourit, me tend la main, me salue fermement. Le contact de sa main large et calleuse me fait l'effet d'un électrochoc. Mon sexe déjà raidit en le voyant se tend encore plus et mon cul palpite.
Je lui dit bonjour comme à un ami de mes parents qui viendrait me chercher pour le week end.
Son regard est chaud, amoureux mais il se retient de m'embrasser.

Mes yeux trahissent mon bonheur. David me fait si bien l'amour. La fougue, l'ardeur, la passion qu'y met dépasse tout. Savoir qu'il me désire si fort, quel bonheur.

" J'étais crevé il y a quelques minutes, plus maintenant. Je me demande bien pourquoi.

David rit, lui d'habitude si fermé envers les gens, un peu ours. Il est transformé, ses yeux me caressent, pétillent. Il a confiance en moi, il sait que je l'aime, que je le désire, le tout dans la discrétion, à l'extérieur. La première fois que je l'ai vu, chez Roland, nous avons compris tous les deux qu'une flamme venait de s'allumer.

" David, tu peux me ramener à mon petit appart? J'ai des affaires à récupérer.
" Pas de problème, Laurent. On y va.
Je pourrais partir directement chez lui. Il ne me demande rien, même pas de participer aux frais. Je n'ai pas encore eu mon premier salaire, j'aimerais bien faire un petit geste.

Le vélo mit dans le coffre de sa voiture, nous partons. Il me frôle la main en attendant de faire mieux.
Je sais que mes deux voisins arriverons plus tard, ils sont partis au bar refaire le monde ou parler gonzesses. David rentre avec moi.
La porte de mon petit appart fermée, nos lèvres se rejoignent pour un baiser passionné, attendu, d'une incroyable saveur, d'un goût exquis. J'ai envie de boire, de sucer toute sa salive, les sucs de celui qui me rend bien ma passion.
Ses bras puissants me serrent, ses mains larges caressent ma nuque, mes reins. Nos sexes tendus dans nos bermudas se frottent, se saluent, cherchant à se libérer de ce tissu qui les compriment. Ce volcan qui est entre nos jambes va bientôt exploser, faire jaillir cette lave blanche qui est en nos couilles, libérant en nous un bonheur extrême.
Il est bien plus fort que moi mais ses étreintes sont douces, aimantes. Son odeur, son parfum si agréable m'envahissent. Malgré mon odeur de transpiration dû à ma journée de travail, il me hume, me respire sans problème.

" Laurent, j'ai envie de toi.
" Moi aussi, David, mais ici, je ne me sens pas à l'aise. J'ai peur que mes voisins arrivent.
" Y 'a pas de problème, Laurent.
Ses grosses mains me prennent la tête et, les yeux au fond des miens:" Je suis pas une bête, Laurent, je veux que tu ai autant de plaisir que moi. Je vais attendre.
Il me prend dans ses bras et me dépose un petit bisou tendre, humide puis me murmure à l'oreille:" Je vais te faire l'amour toute la nuit, mon bébé. Allons y maintenant, je vais pas tenir.

Il est allé au bout de son émotion, complètement chamboulé. Il se reprend vite et récupère un petit paquet que j'ai prévu pour lui en surprise et nous rejoignons la voiture.
Son chien nous a sagement attendu. Dans la voiture, il me lèche pour me saluer.
" Toi aussi, mon chien, tu aimes bien Laurent.
Il est comme cela, David. Il s'exprime peu mais ses mots sortent du cœur, tel qu'il ressent les choses.
Sur la route, à l'écart des gens, David à pris ma main, nous bandons tous les deux puis, à mi chemin, sans raison apparente, il s'arrête à l'endroit ou nous avions pissé le premier jour. Un endroit calme, boisé, un peu à l'écart de la route.
Il m'attire à lui et viens me rouler une pelle somptueuse avant de me dire:
" Laurent, suce moi, je tiens plus Sans attendre ma réponse, il a déjà sorti son superbe sexe, tendu, raide. Il sait qu'il ne va pas me choquer, que je vais le sucer comme un besoin naturel, parce que c'est lui.
Ma bouche se referme sur son pieu raide et tendu, de toute beauté, et son gland, complètement décalotté, ouvert, suintant une sève translucide. Il sait que je n'en prendrais que la moitié mais je ne lui refuserais pas ce bonheur. J'adore le faire. Tout en David me plait.
Ses mains sont maintenant sur mes cheveux, ma nuque et viennent caresser mon visage. Il tend son bassin pour mieux profiter de cette gâterie improvisée dans sa voiture avec son chien qui nous regarde.
Je salive, lui prodigue le meilleur de mes coups de langue, pendant qu'il ronronne de bonheur.
Le silence s'est installé, seul le bruit de mes sussions érotisent l'habitacle…
" Ohhhh, c'est trop bon…… Prends tout, mon chéri. Ohhhhhh, putain, je viens…
Pendant ces paroles, plusieurs jets iodés et tièdes envahissent ma bouche. Ses mains caressent mes joues, mes cheveux. Je referme mes lèvres pour ne rien perdre, attendant que sa semence finisse de jaillir. Le sperme de David est excellent, absolument délicieux, légèrement salé, crémeux. Evidemment, j'avale tout. Je me délecte de ce cadeau improvisé.
Je comprends le plaisir et l'acharnement des gays à sucer et avaler ce nectar.
Tout à mon plaisir je m'applique à lui nettoyer la tige, à aspirer la dernière goutte qui sort du gland.


David pousse un grand soupir de plénitude puis, le sourire radieux, il frotte son nez contre le mien, me bécote: le plaisir est partagé.
Il sort de la voiture, libéré, excité, joyeux, libère son chien qui court avec nous, tout aussi joyeux que son maitre.
Il décide de rentrer dans un champ de maïs tout à côté et m'invite à le suivre. Vu la hauteur du maïs, nous sommes comme dans un labyrinthe, cachés. Il court jusqu'à un poteau électrique ou un peu d'espace se dégage puis se met à poil, complètement nu, ne gardant que ses chaussures.

"Regarde la bête, me dit -il, hilare.

Adossé au poteau en ciment, il est beau, épais mais magnifique, absolument viril, le sexe mou mais sublime, le gland pour une fois emmailloté dans son prépuce, les cuisses musclées. Le soleil du soir vient illuminer sa peau et faire éclater la beauté de ses tatouages.
Pris dans un engrenage de folie, il écarte les bras, se met en croix, se laisse admirer. Il sait que ça me rend dingue.
" Tu es le plus beau des hommes. Tes tatouages sont magnifiques.
" Merci Laurent.
" Je peux les toucher?
David éclate de rire, vu le genre de relation que nous avons. Sans attendre sa réponse, je passe ma main sur chaque tatouage et il se prête au jeu, se tournant face au poteau pour que j'admire son magnifique tatouage qu'il a sur les épaules et le dos.
Il se retourne et me prend dans ses bras:" Toi aussi, Laurent, tu es magnifique.

Pour lui faire plaisir, devant son compliment qui me touche, je me mets à poil, moi aussi, au milieu de ce champ de maïs. Il se rince l'œil. Je vois son sexe durcir.

" Ton chien, il ne va pas me la mordre, j'espère.
Nous éclatons de rire. Le chien, qui a compris qu'on parlait de lui, s'approche de nous et de son maître. Par précaution, chacun protège ses bijoux, ce qui augmente nos rires.

On entend soudain une voiture s'arrêter et se garer à proximité.
" Merde, il y a du monde.
Nous nous rhabillons vite fait et sortons des rangs de maïs. Un mec est là, à faire mine de pisser. Sans doute un mec qui espère en trouver un autre pour se faire sucer ou baiser. Il n'est sans doute pas dupe en nous voyant sortir du maïs. Il se frotte la braguette en se tournant vers moi. David, ayant repris son air macho et dur, de mec hétéro bien viril qui se fait sucer la bite à l'occasion, s'approche de lui sans hésiter:
" Tu suces?
Vu le physique de David assez impressionnant, le mec hésite un petit moment avant de répondre:" Oui, je veux bien.
" Désolé, il vient de me vider les couilles. Il a eu sa dose. Si tu veux, tu suces le petit jeune.

Visiblement, le mec a une envie de bite car il accepte. Nous allons un peu plus loin, dans les buissons et je lui présente ma queue.
Le mec, un ouvrier qui s'en va de sa journée de travail, n'hésite pas, se met à genoux et prend ma queue avec plaisir. Il suce super bien et sait ce qu'il veut. David se met derrière moi; je sens sa respiration sur mon cou puis ses mains qui me pincent les tétons. Cette bouche qui enserre mon dard ainsi que les bras puissants de David qui m'enlacent sont un ravissement. Je gémis sous la douleur des pincements de mes tétons et aussi sous la chaleur de cette bouche qui espère recevoir ma semence.

" Jutes lui dans la bouche, mon chéri. Il en a trop envie.

En effet, il suce admirablement bien. Ses lèvres pulpeuses glissent sur ma tige raide et viennent en butée contre mes couilles, m'arrachant des sensations douces et sensuelles.
Je suis pris en étau entre ces deux mecs qui ne veulent que mon bonheur. La pression monte en moi. Quel bonheur de baiser entre mecs.

L'ouvrier sent bien que je vais pas tenir longtemps et redouble d'ardeur à engloutir toute ma tige. Lorsque David me titille l'œillet et me fait mouiller du cul, je prends la tête du mec et lui envoie plusieurs giclées de foutre qu'il récupère avec voracité. David comprend que je me libère, que je dégorge et fait profiter cet ouvrier de ma sève nacrée.
Le mec se redresse enfin, ravi.

" Super, t'as bien craché, mon salaud. Merci, les mecs…..puis il retourne à sa voiture, sans autre formalité.

" C'était bon, Laurent?
" C'était excellent. Je lui en ai envoyé une bonne dose.

Nous voilà tous les trois, David, son chien et moi, repartis en voiture. Je suis heureux. J'aime David gai, amoureux, plein d'entrain et aussi protecteur, dominateur, accapareur, personnel.

" J'ai bien aimé ce petit arrêt. Et toi, Laurent?
Je lui caresse sa barbe et ses poils qui piquent, il me bécote la main au passage.

" Fait moi un petit bisou, mon chéri.
Je ne le prive pas de ce petit câlin, qui me plait autant à moi qu'à lui. Il est de plus en plus zen avec moi. Je suis surpris. Autant chez lui, dans son intimité, il me montre qu'il tient à moi, autant, à l'extérieur, il a toujours veillé à rester neutre, s'attachant même à rester bourrin.

" Je vais t'en faire plein chez toi, des petits câlins, mon David.
" Moi aussi, Laurent, et tu vas pas avoir que ça. Ton petit cul, il va prendre. Touche, c'est du dur. Je vais te la mettre bien profond….me dit il avec un sourire amoureux et presque vicieux.

Effectivement, David est en grande forme. Je pense qu'il va m'embrocher dès en arrivant. J'ai envie de David. Je sens que le week-end va être très chaud.



Caramel* Vous êtes de grands garçons….. Protégez vous.

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