Auto stop 2

- Par l'auteur HDS Caramel35 -
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Auto stop 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Auto stop 2
L'artisan qui m'avait pris en stop et m'avait baisé avait déclenché en moi une envie folle de recommencer. Sucer une grosse bite et l'avoir dans le cul ensuite, c'est le rêve pour un tout jeune pédé débutant comme moi.
Son âge n'était pas un problème. Je ne recherchais pas les jeunes de mon âge, moins discrets.

La semaine suivante, certains jours, je n'avais pas cours en fin de journée. J'aurais pu rentrer en bus mais j'avais l'espoir d'être pris en stop par un pervers.

Hélas pour moi, à chaque fois, j'ai été pris en stop par des personnes attentionnées, serviables, des curieux, des bavards… des gens normaux, quoi. L'artisan qui m'avait sérieusement sodomisé n'est hélas pas repassé par là au moment où je levais le pouce.
Certains m'ont conseillé d'être prudent, m'ont averti du danger de tomber sur des personnes "mal intentionnées".
J'ai joué le jeu du petit jeune naïf, non informé des affaires sexuelles, des pulsions du corps humain qui débordent.

Ah, si je leur avait raconté qu'à mon âge de jeunot, j'avais déjà un bon nombre de bites qui m'avaient craché dans le cul et que sucer une queue était pour moi une gourmandise… ils m'auraient éjecté de leur voiture, c'est sûr.

La chance m'a enfin sourit. C'est trop drôle d'écrire ça ainsi. Il faut bien que j'écrive aux lecteurs sur ce site quelques affaires croustillantes.

Un camion s'arrête. Pas le gros poids-lourd mais le camion de livraison, si vous voyez ce que je veux dire. J'ai hésité à aller vers lui, je croyais qu'il s'arrêtait pour je ne sais quoi.
Il m'a fait un signe et j'ai compris que c'était pour moi.

J'ai bandé aussitôt… Le fantasme du chauffeur routier, du camion…

Arrivé en haut, à sa droite dans la cabine, à son regard, je sais tout de suite que ce mec a une idée derrière la tête. Sa main chaude et ferme pour me saluer confirme mon impression. Il l'a maintient plus que le temps normal pour se saluer, frotte légèrement son majeur dans ma main, pour me donner un signe érotique, sonder ma réaction. Son regard hypnotisant est bloqué sur moi. Je sais pourquoi il m'a pris en stop.
Je ne cherche pas à retirer ma main, lui sourit, essaie de lui confirmer que je suis acquis à sa demande, dirige mes yeux vers sa braguette. Il porte un short de foot; voir ses cuisses me rend dingue. Il sourit: Il sait qu'il va se faire plaisir avec moi.

Trente ans environ, vêtu d'un marcel qui met en valeur ses tatouages, sa peau hâlée, sa musculature puissante, il me fait un effet sensationnel. Le regard prédateur, le geste assuré, c'est le genre de mâle à sauter sur la moindre occase de sexe. Ses cuisses recouvertes de poils très noirs agissent sur moi comme un aimant. Il capte mon regard, sait qu'il a visé juste en s'arrêtant pour me prendre en stop, se tâte la bite. Très à l'aise, très libéré, il en a vu de toutes sortes, sait reconnaître un jeune pédé en chasse comme moi.
Les cheveux rasés sur le côté, un mini chignon, une barbe de plusieurs jours, il a du style et me plaît énormément.

" Salut.
" Salut
" Mets toi à l'aise." … (Lui, il l'est déjà, jusqu'au ton de sa voix.)
" Oui
Ses yeux se rincent sur mon corps lisse, sur mes fesses galbées. Machinalement, il remet en place sa bite sans pudeur aucune. Ma présence l'excite, c'est évident. Pour le reste, ce n'est qu'une question de temps, d'un moindre motif pour déraper…
Il s'informe de ma destination et repart.

" Tu fais souvent du stop?
" Non, pas souvent. Enfin, de temps en temps.
" Tu dois tomber sur de drôles de loustic, quelquefois.
" Oui, ça arrive.
" C'est intéressant ça, racontes moi"

Je suis trop en manque par tous ces jours à suivre sans bite. J'ai faim de sexe. Je décide de le chauffer, direct. Ce mec semble ouvert une aventure.

" La dernière fois je suis tombé sur un artisan qui m'a demandé de lui tailler une pipe.
" Et tu l'as fait?
" Oui. Je l'ai fait juter. Après, il s'est encore arrêté, pour mes fesses…
" Putain le mec, un bon queutard!
" Oui, il avait la forme.

Ces quelques mots lui donnent un électrochoc, attendu. Inutile de tourner en rond…

" Suce moi la bite. J'ai envie, moi aussi.

Il joint le geste à la parole, fait glisser son short de foot jusqu'à ses genoux. Je regarde l'environnement: en hauteur, les conducteurs des voitures ne peuvent pas voir.
Sa bite, qui était compressée, se libère. Le gland luisant de mouille glisse avec bonheur hors de son prépuce. Mes yeux sont bloqués sur sa bite, que j'ai super envie de sucer; un beau tuteur, un beau calibre comme il faut.

" Vas y, j'ai déjà fait ça avec un mec que j'avais pris en stop. C'est trop le kif en roulant.

Je suis stupéfait de sa proposition. J'ai déjà vu ça dans des vidéos mais le mec était sur un parking. Je défais ma ceinture. En quelques instant, ma tête penche entre ses cuisses…

"Ouais, vas y, taille moi une pipe!

Il prend une casquette, ça doit être un signe pour lui… chacun ses grigris
Il sent le sexe, un peu la sueur, il sent l'homme. Ma bouche se referme sur son nœud qui continue de se déployer comme une fleur s'épanouit le matin. Ma langue aspire les sucs, tout le liquide séminal qui s'est échappé, suçote, râpe, titille le méat qui suinte…

" Ouais, vas y! Gobe moi l'nœud! Oh Putain, tu sais y faire!

D'une main libre, sans parole, il m'appuie sur la nuque… Sans attendre, mes lèvres glissent, se resserrent sur son manche, font des allers-retours …

" PUTAIN………..OUAIS……….

Son bassin se soulève par moment pour amplifier le mouvement pendant qu'il me distribue des Putain et des Ouais à volonté.
C'est assez grisant comme situation; sucer un mec occupé à conduire. De son côté, j'imagine que le plaisir doit être aussi incroyable. Des lecteurs me raconteront peut-être.

Le camion roule soudain au ralenti, s'arrête. J'ai oublié qu'on traverse une zone avec des travaux, des feux.

" Continues, c'est trop bon. T'occupes pas du reste. Putain tu suces trop bien.

Un autre camion nous croise. L'autre chauffeur routier, heureux de voir pareille scène, ne se gêne pas. Il s'est arrêté, klaxonne, mate la fellation, sans s'occuper qu'il bloque la circulation de son côté.
La vitre baissée, ses paroles sont salaces. Je ne lève pas les yeux. Mon chauffeur lui répond par d'autres réflexions tout aussi grasses tout en appuyant fortement sur ma nuque pour être sûr que je n'arrête pas. Il est en position de chef de meute et entend bien le montrer.
L'autre enrage de ne pouvoir profiter de ma bouche. Il bave, il éructe; je ne suis qu'une salope, qu'une tarlouze, une lopette, un suceur de bite… Dans ce milieu là, on est macho.

Le camion redémarre, c'est notre tour de passer. J'augmente mes sussions, donne le meilleur de moi-même.

" OUAIS…. Continue comme ça!

" Oh Putain"… Il se tortille pour profiter… " Ouais".... Vas y, pompes moi le nœud, bouffes moi les couilles"… Ouais…. Putain, c'est bon!
" Putain… Haaaaaaaaaaaa… … Putaiiiiiiiiiin! …T'arrête pas

Sa bite se raidit encore plus, une saccade, une giclée tiède se répand sur ma langue. Le goût fort de son sperme envahie mes papilles… Plusieurs giclées suivent, merveilleuses, fantastiques. Il jouit, explose, se libère de sa semence fertile, déguste son bonheur… puis me félicite par un " Salope" très amical, me caresse les cheveux.

" Oh Putain….. C'est trop bon. Tu sais y faire, toi!

Je ne recule pas, j'adore ce moment. Ses cuisses vibrent comme pour un essorage, son bassin se soulève encore, comme s'il voulait être sûr de tout donner. Il est ravi, je pompe, j'avale. Il me laisse déguster. Pour une fois que je tombe sur un mec qui se laisse sucer après avoir juté.

Je me retire, son sexe a ramolli et son nœud a déposé le bilan.
J'ai avalé tout son foutre, très iodé et la tige est propre. J'ai adoré sucer ce mec.

" Putain, j'ai bien fait de te prendre en stop, toi!
" T'avais envie.
" Ouais, t'as raison. Je devais baiser un mec hier soir mais il n'est pas venu, ce con.

Vivement que je sois autonome. J'aimerais bien passer une nuit avec un mec comme lui. Il est bel homme et très mâle. C'est arrivé qu'une fois que je passe la nuit avec un homme.

Je venais d'être dépucelé la semaine d'avant, c'est dire mon excitation et ma disponibilité. Mes parents étaient partis à un mariage. Ils dormaient sur place.
Tard le soir, je suis allé en vélo sur une zone de drague. Un mec des pays de l'Est m'a abordé, m'a fait toucher sa bite. J'avais trop envie et lui aussi mais les flics pouvaient passer. Il m'a fait comprendre de le suivre vers un hôtel presque à côté sans personne à l'accueil. Cette nuit là, j'ai dérouillé, j'ai craché plusieurs fois dans ses draps. Il ne débandait pas!

" Je t'aurais bien baisé mais je suis à la bourre. Putain, quelle merde.

Il sait que j'aurais été d'accord pour me faire inséminer. De toute façon, c'était compliqué. Il fallait trouver un coin tranquille et son camion ne passe pas inaperçu. Poli, il me remercie parce qu'il a bien aimé. Moi aussi, j'ai bien aimé sucer sa queue et le faire jouir.

Il me demande mon âge, après coup. Je lui mens, pour le rassurer. Il se doute bien, vu avec quelle facilité je lui ai taillé une pipe, que mon cul a eu de la visite. Hé oui, à mes premières chaleur je savais où ça me chauffait. C'est un Turc, un maçon bien sympa, qui m'a graissé sans hésiter. Il a aimé et moi aussi. Le lendemain, je suis repassé le voir sur le chantier …


C'est dommage qu'on n'a pas le temps. Il m'aurait raconté où et comment il rencontre des mecs. J'ai trop envie de me faire baiser.

Il me dépose presque à l'endroit prévu, pas loin du garage automobile, là où il peut se garer, me salue chaleureusement…

A l'entrée du bourg, justement, avec le garagiste, hummm. C'est un vieux célibataire, un copain de mon père et il adore m'enculer, me cracher tout son jus dans le cul. Bon, il n'est pas très beau mais il est superbement membré. Il m'a surpris en train de mater sa queue alors qu'il pissait… Après un clin d'œil, il m'a proposé de le rejoindre chez lui. Je lui ai dit que j'étais déjà dépucelé, il a voulu voir mon cul et me baiser. Putain le pied que j'ai pris lorsqu'il m'a fourré… et lui aussi. J'ai gueulé mais je la voulais trop dans mon cul, sa grosse queue.
" J'adore ta chatte" qu'il me dit. Il sent bien ma rondelle qui caresse son mandrin. Quant il se couche de tout son poids sur moi, et c'est un beau bestiau, je soulève ma croupe, il me défonce comme une bête.

*************

Parmi tous ces coups en auto-stop, j'ai retenu une autre fois très particulière.

Ce jour là, une belle voiture de marque Allemande s'arrête. Le gars roulait assez vite mais a eut le temps de m'apercevoir faire du stop.
Il faut dire que j'avais changé d'emplacement, les deux fois d'avant, j'ai dû finalement prendre le bus.

Il semble assez pressé. Je monte et, après accord sur la destination, le voilà reparti.

Ca sent le cuir et les bonnes odeurs. Mon chauffeur, habillé très classe, respire le propre et le gars entretenu, aisé. Néanmoins, dans son regard, je perçois le vicieux, le dominateur.
Dès le départ, je sens qu'il me méprise, qu'il m'a bien sondé et qu'il sait que je suis une bonne salope, un jeune pédé qui recherche du sexe.
C'est un commercial et, l'œil affuté, il a déjà tout perçu de moi.

" Tu montes souvent avec des mecs, comme cela?
" Oui, quand j'ai pas de bus.
" Et il y en a qui doivent te demander des choses, tu vois ce que je veut dire?
" Oui, c'est déjà arrivé. On s'arrête.

Le gars change subitement de sujet, fait mine de regarder le trajet et invente des travaux sur la route pour dévier, prendre une autre route.
Quelques kilomètres plus loin, il dit qu'il doit s'arrêter pour pisser. Son langage a changé. Ses yeux, sa façon de parler, c'est devenu un prédateur.

A peine arrêté sur l'entrée tranquille d'un chemin rural isolé, il m'attire à lui et me dit;

" Tailles moi une pipe, p'tite salope!

Son geste, son ton autoritaire, il n'attend pas de refus.
En un instant, son sexe est sorti par la braguette et il me penche sur son appareil reproducteur. Il sent le parfum propre d'un gars entretenu et sa queue, de taille normale, ne demande qu'à être sollicitée.
Ignorant totalement son regard méprisant, je saisis sa queue demie molle et l'embouche sans réfléchir plus. Je voulais une bite, j'en ai une.
Il farfouille dans son vide poche et allume une cigarette, se laisse enfin porter par sa réussite et sa domination sur moi.

Il expulse bruyamment la fumée de sa cigarette, son plaisir monte à mesure qu'il consume sa clope, la queue prend de la consistance, du volume. La queue raidit de plus en plus, le gland semble gorgé de sève au fond de ma bouche…

" Arrête, je veux pas jouir! …. Arrête, Connard!

J'adore quand ça gicle. C'est la première fois qu'on me demande un arrêt brutal. Ma frénésie l'emporte et, une dernière fois, sans doute pour me prouver de mes capacités à faire jouir…
J'enserre très fort avec mes doigts sa tige raide et salive, active chaudement mes lèvres sur la queue dressée, lui fait une gorge profonde de malade. Trop au bord de la jouissance, la mèche est allumée…
Il tente de se soustraire à mes lèvres pulpeuses en même temps qu'il ne maitrise plus son orgasme qui se déclenche, irréversible.

" Connard, pédé de merde…

Il gueule son dépit, enrage…
Sa bite enchâssée dans ma bouche, il jouit, gicle son premier jet. Avec sa hargne et sa tentative de résister à ses pulsions, il me dégage. Dans la confusion, son foutre dégouline de ma bouche sur sa braguette. Sa queue expulse avec vigueur deux autres giclées qui vont éclabousser l'environnement le plus proche, son beau pantalon en toile de lin.

Il gueule, me traite d'abruti, de connard bien sûr, de salope, de pute, de tarlouze, de tous les mots qu'il connaît dans son répertoire du parfait dominant, me repousse sans égard.
Habitué à donner des ordres, quelle humiliation.

En effet, maintenant, il est moins présentable; son pantalon est tout salopé pour rentrer.. Ce vendredi soir, il ne va pas pouvoir honorer sa petite bourgeoise; ses couilles seront vides.
Pendant qu'il cherche une solution pour son problème de tâche, j'ouvre ma portière et je recrache son jus. C'est la première fois que je recrache du sperme. Avec ce type, j'ai pas envie d'avaler.

Il ne décolère pas, continue de m'insulter, me traite de bon à rien…
Je descend de la voiture, claque la portière en lui faisant un doigt d'honneur. Ce con n'avait qu'à me prévenir avant qu'il ne voulait pas jouir et ouvrir correctement son pantalon. Il repart sur les chapeaux de roues, me laisse là. Quel moment!

Pour les insultes, je m'en tape complètement. Avec le copain de mon père, le garagiste, il m'encule en m'insultant lui aussi. C'est son kif et, lorsqu'il a vidé ses grosses couilles en moi, il redevient normal, agréable. Il adore mon cul et j'adore sa grosse bite.
Il me parle des mecs qu'il baise. Pour un vieux célibataire, je trouve qu'il nique beaucoup. Avec le braquemart qu'il a, je comprend. Mon petit cul galbé et chaud adore. Ma bouche, moins, vu le matos...

Me voilà en rade pour le retour. Justement, je repense à mon garagiste. Je l'ai appelé. Il ne pouvait pas venir me chercher mais il a trouvé une solution. Il m'envoie un mécano à lui qui doit essayer le véhicule d'un client. De plus, ce n'est pas très loin. Je ne voulais pas appeler mes parents, ils auraient posé des questions.

L'ouvrier, un quadra assez informé apparemment des turpitudes de son patron, a fait allusion à une petite faveur, si vous voyez ce que je veux dire. J'allais pas refuser. Les hommes mariés sont souvent très efficaces et veulent rester discrets. En plus, il est chauve, il paraît que c'est un signe de virilité…

Lui, il a bien ouvert sa combinaison de travail, pourtant déjà maculée. J'ai pas regretté; il a un beau manche, de belle taille. Il était raide rien que de la sortir, sa belle trique très dure avec un petit gland en ogive.
Je l'ai sucé un peu et lui ai proposé de me la mettre entre les fesses. Très excité par ma proposition, il ne s'est pas préoccupé de savoir s'il fallait mettre une capote. Pas expérimenté dans la façon de faire pour niquer un pédé, il m'a enculé comme un cerf, direct jusqu'aux couilles, ravi de m'entendre couiner. Il m'a limé aussitôt, ne pensant qu'à son seul plaisir. En quelques allers et retours très énergiques, il m'a largué tout son foutre dans le cul. Il a pris son pied… et moi aussi. J'ai jouis quand ses petites couilles ont touché mon cul.
On n'a pas dégueulassé la voiture du client, on étaient à l'extérieur.

Un grand sourire barrait son visage. Il m'a demandé si j'avais trouvé ça bon. Oui, il m'a sailli comme une bête mais avec tellement de bon cœur… Je lui ai dit que sa bite était trop bonne, il était aux anges.

Je me demande si son patron, le garagiste, ne s'est pas douté de quelque chose quand il l'a vu revenir…
S'il m'avait mis son doigt dans le cul, Gérard, le patron, aurait vu que j'étais bien graissé, vu tout ce qu'il m'a déchargé bien profond. Après coup, j'ai compris… Sa femme était absente depuis quelques jours… Je sens qu'il essaiera de me re baiser un jour, il a trouvé ça trop bon.


Caramel35
Au plaisir de lire vos commentaires

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
belle suite

Merci pour tous vos commentaires

Histoire Coquine
Super c'est chaud

Histoire Erotique
Souvent sur la route pour mon boulot j'en ai vu des mecs se faire démonter et plus que je ne l'imaginais. Un soir, sur une aire, j'étais le 5è à lui passer dessus. Le voir se faire enfiler par les autres, j'ai pas résisté

Histoire Erotique
Très Belle histoire , Moi aussi ancien routier et je prenais des jeunes et moins jeunes stoppeurs , mais tous n'étaient pas des salopes gays . Mais j'en ai gardé un une fois du sud de Paris jusqu a Narbonne et nous avons passé du bon temps ensemble dans la couchette à plusieurs reprises . Nous nous sommes baiser à tour de rôle au moins cinq fois . Nous avons même passer la nuit ensemble à poile dans la couchette dans les bras l'un de l'autre . Je lui ai proposer de m'accompagner en Espagne et le déposer au retour , mais il m'a refusé car ses parent l'attendaient .

Histoire Erotique
Il y a moins d'auto stoppeurs maintenant. Routier moi aussi je m'arrête souvent dans des endroits où on peut tirer un mec. C'est arrivé d'être à plusieurs à enculer un mec. Il y a quand même de bonnes salopes qui aiment ça et qui nous soulagent. J'aime bien voir d'autres mecs les enculer. Dommage que j'ai pas trop de temps

Histoire Erotique
J'ai adoré ton récit avec des histoires toutes excitantes, qui surgissent au gré d'une phrase et qui nous transportent jusque dans le caleçon.

Histoire Coquine
Chaud,réaliste puis trop drôle et chaud chaud pour finir, on a adoré

Histoire Erotique
Très chaud, très réaliste. Perso, en tant que routier, un mec m'a sucé en roulant. Une bonne salope, quoi. C'est pas les mecs qui manquent sur les aires de stationnement. Tu fais un signe et tu les tire. Pour les petits jeunes, une fois, j'en ai pris un en stop. J'ai vu qu'il reluquait mon paquet. Faut dire que j'ai ce qu'il faut. On s'est compris et il y a eut droit. Il couinait mais il la voulait trop. Je ne lui ai pas demandé son âge mais j'étais pas le premier. Continues à nous chauffer avec tes histoires. Salut
André

Histoire Erotique
J'ai bandé pendant toute la lecture. J'ai pris un jour un jeune auto stoppeur qui m'a fait des avances. Il était chaud. Je n'ai jamais eu autant de plaisir lorsque je lui ai jouis dans le cul. Je n'avais jamais baisé de pédé. Depuis...
Tes histoires sont si bien racontées...

Histoire Erotique
Très excitant !
Continue à nous faire partager tes souvenirs dont certains ressemblent aux miens (notamment avec des potes et des collègues de mon père !)

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Une petite salope en chaleur…miam.



Texte coquin : Auto stop 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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