Auto stop
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Auto stop
Voilà mon bus qui part sous mon nez. Le prochain sera dans une heure. Pourquoi l'idée me prend de faire du stop, je ne sais pas.
L'attente n'est pas trop longue. Un petit utilitaire s'arrête. L'homme va dans la même direction que moi, tout va bien.
Un gros bordel règne au niveau du siège passager mais, sans chichi, il fait de la place pour que je m'assoie. Je suppose que c'est un artisan ou un ouvrier qui travaille sur un chantier.
L'homme, parlons-en; la cinquantaine, chauve, un solide gaillard avec une barbe de plusieurs jours. Ses bras puissants velus affichent une force, une virilité incontestable. Des poils noirs débordent de son teeshirt délavé. Pendant plusieurs secondes, mes yeux restent bloqués sur lui, il me rend dingue.
Sa grosse poigne retient ma main le temps de me saluer et je sens qu'il me déshabille du regard, qu'il a capté mes penchants homo. D'instinct je sais déjà qu'il va se passer quelque chose entre nous. Un frétillement dans mon slip a été immédiat.
J'ai envie de lui tailler une pipe, de faire n'importe quoi avec lui. Il dégage une puissance de mâle dominant irrésistible et il a comprit son attrait sur moi.
Inconsciemment, un désir commun s'est installé entre nous deux….
Nous repartons.
Il me met à l'aise tout de suite, parle du conducteur précédent "d'enculé" car il ne roule pas assez vite. Je ris, et lui aussi. Opportuniste, tactile, sa main atterrit sur ma cuisse pendant qu'on rit, en signe de camaraderie. Ce geste agit sur moi tel un électrochoc, je bande comme un cerf. J'ai envie d'aller lui bouffer le nœud. Pour me tester, il frotte ma cuisse de façon provocante, ne me laissant aucun doute sur ce qu'il attend. Je suis ravi.
Enhardi par mon attitude passive et disponible, il se tâte peu discrètement l'entrejambe, sûr que mon regard va suive son geste.
" Ca doit te chatouiller, toi aussi, à ton âge? Moi, à ton âge, j'ai tout essayé. Et toi?
" Quand ça se présente, je ne dis pas non. Il faut bien découvrir.
Il poursuit de suite, emballé par mon ouverture…
" Tu as raison. Moi, c'est avec les mecs que j'ai le plus de succès. Putain, qu'est ce que je peux en satisfaire des mecs. Ah, putain, rien que d'en parler… Tu sais que tu me fait bander.
Il saisit ma main gauche et la dépose sur sa braguette. L'homme est sans complexe et étale sa virilité pour tirer profit de la situation.
Ma main recouvre un gros paquet, très dur, et le bâton que je tâte me fait halluciner. Je bande, j'ai chaud, quelle chance d'être tombé sur pareil vicieux, plein d'initiatives.
Il me fait penser à un copain de mon père que j'ai sucé le mois dernier. J'ai adoré, surtout lorsqu'il m'a jouit en fond de bouche.
Ce mec là est chaud et semble bien monté, j'ai trop envie d'y goûter.
En confiance, transis de désir, je le masse, pour mon plaisir, pour confirmer mon acceptation. Le salaud, il est trop raide. Putain le matos dans le slip.
" Ouais, t'aimes ça, toi. Je m'en doutais.
Nous sortons à ce moment là de la ville, une averse débute. Il se gare sur le premier endroit tranquille. Vu la météo, personne ne traîne.
En un instant, sa bite est sortie. Il n'attend qu'une chose: que je le suce.
Sa queue, super épaisse, dressée comme un tuteur, m'impressionne. D'un geste viril, il finit de décalotter son magnifique champignon, prêt à gicler. Putain, le mâle, il a un de ces gourdin!
" Vas-y, suce moi. J'ai les couilles pleines, ça fait une semaine que j'ai pas jouis. Tu vas te régaler.
De son bras puissant, d'autorité, il m'attire et sa main appuie sur ma nuque. Il n'a pas de temps à perdre. Inutile de réfléchir.
" Ah Putain, c'est bon! " … sont les mots qui lui viennent lorsque ma bouche se referme sur son solide mandrin.
Son calibre est impressionnant. J'en ai pas encore sucé une comme ça. Quelle chance de sucer une queue pareille! L'odeur de mâle qu'il dégage me fait tourner la tête, me rend fou. Ma tête entre ses jambes, je me régale.
Il recule son siège de son véhicule utilitaire car la position n'est pas des plus confortable mais le plaisir est au rendez vous. Un camion passe en klaxonnant, signe que du haut de sa cabine le routier nous a vus, qu'il m'a vu tailler une pipe et sait comment tout ça va finir. Nullement impressionné par la situation, il appuie plus fort sur ma nuque pour ne rien perdre de ce moment de plaisir.
" Oh, Nom de Dieu, tu suces trop bien! "…Putain! Ouais! Vas-y, régale toi, mon chéri.
et il soulève son bassin pour me faire profiter de sa queue en totalité et dégager un peu ses grosses couilles poilues. Putain que sa queue est large! J'en ai sucé une hier soir mais pas si épaisse. Ma mâchoire a fait un exploit. Heureusement, elle est courte.
Il est abondamment pourvu en poils et sent fort le mâle, le rêve!
Sa queue épaisse, taillée dans du roc tant elle est dure, a du faire souffrir plus d'un cul. Je prends comme un privilège de sucer si belle bite et me doute qu'il va bientôt cracher. J'ai trop envie qu'il gicle.
" Ouais, Ah, Putain!..." pendant qu'il me caresse les cheveux…
Il jure, me félicite, respire fort, écarte ses jambes…. mes lèvres coulissent sur le cylindre pour aller jusqu'à la base, dans sa toison, sa forêt de poils noirs.
Avec ma langue je titille le gland, chatouille le méat ouvert et distendu mais il m'appuie sur la tête; il la veut entière dans la chaleur humide de ma bouche. Il va m'étouffer avec son gourdin.
Mes lèvres glissent, astiquent, je vais le faire jouir ce vieux cochon!
A l'extérieur, l'averse continue. Il parle moins, geint, va exploser…sa grosse queue est comme de l'acier…
Il se tend, se raidi, enserre ma nuque de ses deux mains, comme un écrin pour son phallus de mature…Une décharge copieuse et salée surgit et se répand dans ma bouche.
" Avales tout, salope, j'ai pas envie d'être tâché!
Tu parles! il a un pantalon tout crade! Plusieurs décharges ont suivi, grasses et copieuses, pendant qu'il me maintient, sûr de sa force. Ca doit l'exciter de gaver les mecs de son sperme. Surtout qu'il doit savoir qu'il fait partie des gros juteurs.
" Avales mon jus, vides moi les couilles! Ah, Ouais…Putaiiiiiiin! La Salope!
Je bande comme un cerf tellement je suis satisfait. Le copain de mon père m'avait bien dosé mais celui là fait encore mieux. J'hallucine d'avoir la bouche si engluée. Quel mâle! En effet, il avait les couilles bien remplies.
Il relâche la pression, regarde si j'ai pas laissé couler son foutre sur ses grosses couilles. Il scrute ma réaction, se réjouit de m'avoir imposé tout son jus en bouche.
" Ne dégueulasse pas ma bagnole! Avales!
Le goût de son foutre est fort, la quantité abondante et il le sait. La puissance de son ordre, le son de sa voix est si viril, si mâle… J'ouvre légèrement la bouche pour lui montrer son dosage et, comme pour une belle huître laiteuse pleine d'iode, j'avale…
" Putain, t'es une sacrée suceuse, toi. J'ai bien fait de t'prendre en stop!
Le goût fort me reste en bouche. Je bande mais il s'en fout totalement. Je regarde sa bite épaisse pas encore ramollie et je le sucerais bien encore tellement j'ai aimé mais il remballe son beau piston.
Je le sens très satisfait, heureux de s'être vidé.
" Putain, ça fait du bien!" me dit il.
" T'avais envie, toi!
" Tu parles! je t'ai dit, j'avais les couilles pleines.
" Ta queue est trop belle
" Ouais, je sais. Je m'plains pas. T'as déjà dû sucer pas mal de mec, toi" me dit il.
" Oui, de temps en temps
" Tu te fais enculer, aussi?
" Oui, j'aime bien ça.
" Ah Putain, j'ai bien fait de t'prendre en stop!
Je sais déjà, vu le personnage, qu'il va tout faire pour me gicler dans le cul avant qu'on arrive à destination, qu'il en rêve.
Il redémarre, comme si on venait de faire un arrêt pour pisser au bord de la route. Il reprend la conversation, uniquement sur le sexe.
Il me raconte comment, dernièrement, il a baisé un pédé, comment il l'a emmanché avec son gros calibre et lui a giclé dans le cul. Il revient sur ma prestation, me redit que ma bouche est bonne, me parle d'un copain à lui, un queutard actif endurant qui aime farcir des culs de jeunes…
" Putain, tu m'as trop bien sucé! J'vais t'la mettre dans le cul. Tu vas voir, tu vas aimer.
En roulant, il se frotte la bite, passe la main sous son teeshirt pour se pincer un téton, découvrant son ventre bedonnant couvert de poils. Il n'a visiblement qu'une envie, profiter encore…
Sur une petite route qu'il semble connaître, il s'engage sur un chemin improbable, au niveau d'une friche agricole. Il se gare derrière des bâtiments d'élevages abandonnés, entourés de la végétation non entretenue.
Comme tout à l'heure, pas de temps à perdre. Il descend aussitôt en me disant:
" Fout toi à poil!
Hypnotisé par sa demande, je me déshabille. Sûr d'être accepté, ses grosses mains calleuses caressent déjà mes fesses. Il bave comme un gros porc du plaisir qu'il va prendre, sort des mots orduriers en glissant ses doigts dans ma raie…
Poussé contre le côté son utilitaire, penché sur le capot, je dois m'adapter à ses désirs. Je lui demande pour le sucer. Il n'est pas trop intéressé mais il accepte pour finir de se mettre en forme, pour profiter de mes lèvres.
Une bite pareille, si grosse et épaisse, j'ai trop aimé l'avoir en bouche et ce serait dommage de ne pas en reprendre un peu.
" Ah Putain, t'es une sacrée suceuse!
Juste le temps de saliver son manche, de me laisser voir ce que je vais prendre. Je me doigte le petit trou en même temps comme je peux. On n'est jamais trop prudent avec ce genre de mâle viril.
"Lèves toi, je vais te la foutre dans le cul.
Inutile de protester. Se faire emmancher par pareil engin, ça ne se refuse pas. J'ai trop envie qu'il me graisse, qu'il gicle en moi. J'imagine son gros gland qui dégueule son sperme…
" Penches ton cul! Une salope comme toi, ça va rentrer tout seul!
Il crache dans sa main, m'enduit l'œillet avec son gros doigt puis me le rentre brutalement dans le cul… J'en pousse un petit cri de plaisir qui le ravie.
" Putain, mon doigt glisse bien. Tu dois souvent te faire souvent enculer…
" Non, pas souvent.
" Ouais, j'te crois! Humm, tu vas voir, je vais te l'élargir, ta rondelle….
Il recrache, passe à deux doigts, excité par la suite à venir.
" Heeeeeiiiiinnnnn
" Ta gueule, tu aimes trop ça! Tu frétilles comme une pute!
" Heeeeeeeiiiiiiinnnnnnnnnn
" Putain, le cul de salope que tu as! T'es bien chaude, ma chérie
Je ne lui dit pas que je me suis fait graisser hier soir par un vigile. Il m'a tiré dans un sous sol d'un immeuble en construction. C'était un gros black, trop content de se faire un petit blanc en chaleur. J'ai pas regretté vu sa queue splendide et il me l'a mise en entier. Je me suis fait traiter de tous les noms mais c'était trop bon.
Je l'entend déboucler son ceinturon et baisser son pantalon. Ses paluches calleuses caressent mon dos, explorent mes fesses puis tout son corps se frotte à moi. Ce contact érotique lui plaît et il se dégage de son teeshirt.
L'homme est enrobé et aussi sacrément poilu. Ses pectoraux puissants, son ventre bombé, il impose. Le sexe épais qu'il a entre les jambes impressionne, prêt à entrer en action. Une énorme paire de couilles poilues complète l'ensemble, j'en reste admiratif.
Il a trop envie de me baiser, c'est évident.
D'un mouvement, son pieu épais vient se loger, se caler dans mon œillet, il force aussitôt...
" Haaaaaaaaaaaaaa
Je pousse un cri d'enculé qui la sent rentrer; Son gros nœud ouvre ma chatte de p'tit mec et prend place. Il gueule de me posséder, se félicite de mon cul souple qui aime la bite. Je me sens défoncé, mes jambes flageolent… il s'en fout de mon état. Pour lui, je suis un pédé qui aime avoir des bites dans le cul, tout simplement.
Le black hier soir était plus doux. C'est vrai que j'en avais super envie. Sa queue était moins épaisse mais nettement plus longue. Il a bien aimé me baiser surtout qu'il voulait sans capote. Quand j'ai senti ses couilles ballotter contre mon cul, j'ai jouis d'être si bien rempli de sa bite entière. Il ne s'est pas gêné pour m'ensemencer grassement, bien profond.
" Je savais que t'aimais ça quand je t'ai vu faire du stop.
" Heeeeiiiinnnn
" T'es une bonne salope, toi.
" Heeeeeiiiiinnnn
" Fermes là, ça rentre tout seul!
" Heeeeiiiinnnn
" Elle est bonne ma queue, hein?
" Heeeeiiiinnnn, elle est grosse, j'ai mal.
Il se retire, crache dans sa main, me tartine le croupion puis, sans prévenir, me rentre toute sa grosse bite dans le cul.
" Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
" T'en avais trop envie, salope! J'adore enculer des pédés. Tous ceux qui ont ma grosse bite dans l'cul adorent. Ils couinent comme des donzelles mais ils en veulent encore!
" Heeeeeeeeeiiiiiinnnnnn
" Il est trop bon ton cul!
Il me maintient fermement et se réjouit de m'avoir enculé à sa façon. J'ai mal au cul, je me sent défoncé, une satisfaction énorme m'envahit. J'ai autant de plaisir qu'avec la grosse bite du black hier soir. Enculé par cet homme adulte, sénior, avec sa queue si épaisse, j'ai tant rêvé de ça en regardant des films pornos.
Je ne veux rien rater de ce moment et me décontracte autant que possible malgré mon trou qui me chauffe.
Offert, penché sur l'aile avant de son utilitaire, les mains sur son capot, je me sens comme une pute en chaleur en train de se faire baiser.
" Tu la sens bien dans ton p'tit cul, ma grosse bite, hein?
" Oui…
" T'as vu, ta p'tite rondelle de pédé, je l'ai bien écartée?
" Oui
" J'adore ton p'tit cul de salope!
Il démarre un coulissement de son pieu et se régale de mes plaintes. Ses grosses mains me tripotent pendant qu'il active dans mon fondement.
Le plaisir d'être démonté par ce mâle m'enveloppe, mon corps se fait plus souple.. Il le sent et accélère, se préoccupant plus de son plaisir que du mien.
" Salope! T'aime ça, hein….
Je ne réponds pas, trop occupé à couiner sous ses coups de reins. Il pose les questions et fait ses réponses tout seul… Je tends mon cul pour mieux le recevoir. Cette situation l'excite, il accélère la cadence, ravi de m'imposer son tempo. Il n'a pas mis de capote, me le dit et m'assure qu'il va me faire un petit, m'engrosser, qu'il va me larguer son jus de couilles dans le cul…que des salopes comme moi, il faut les baiser…
Mon plaisir est total tant il me ramone bien. Pendant plusieurs minutes, il prend son pied à m'enculer avec sa bite épaisse, à m'insulter. Il souffle comme un bœuf et soudain se crispe, augmente la pression de ses bras sur moi. Un grand râle de satisfaction sort de ses poumons pendant que moi aussi, je crie mon bonheur d'être rempli.
" Putain, il est trop bon ton cul. T'as jouis, toi!" me dit-il entre deux souffle courts
Mes contractions sur son redoutable piston ne sont pas passées inaperçues.
Il me maintient, le temps de décharger toute sa semence en moi et finit par deux coups de reins pour m'envoyer son jus le plus profond possible.
Sans délicatesse, il retire son mandrin et regarde mon trou encore ouvert qui suinte son foutre gluant.
" Ah, Putain, dommage que le copain n'est pas là, il t'en mettrais plein le cul!
Il rigole quand je passe ma main pour contrôler mon œillet démoli, tout gluant.
" T'as tout dégueulassé ma bagnole, ma salope!" dit-il, à la fois énervé et satisfait de sa performance.
Il regarde mon sperme qui s'est étalé, qui dégouline sur la carrosserie de sa voiture. Quand il a jouis en moi, mon plaisir a été si fort que je n'ai pu me retenir, que j'ai crié au même moment.
Sans formalité, il remonte son pantalon et boucle son ceinturon sur son ventre bedonnant. Il gueule, essuie mes trainées blanchâtres avec du papier-cul récupéré dans son utilitaire.
" Dis donc, t'as pris ton pied! Des salopes comme toi, faudrait que j'en croise plus souvent. J'voudrais bien t'voir te faire baiser par le copain. J'ai pas l'temps aujourd'hui, dommage.
Puis, maintenant qu'il m'a tiré …
" Bon, on n'a pas que ça à faire, on y va!
La suite du trajet se passe comme si l'essentiel a été fait. Satisfait, il me redit que j'ai une bonne bouche et que j'ai bien pris sa queue.
" J'aurais dû t'enculer d'abord. J'adore remplir des p'tits mecs comme toi mais j'avais trop envie. Tu m'as bien vidé les couilles.
" Qu'est ce que tu as une belle queue. On la sent bien!
" Oui, je sais. Les mecs adorent quand ils l'ont dans le cul!
Il me raconte que, quelquefois, il tombe sur des allumeurs qui veulent pas avaler ou des mecs avec des culs trop serrés…
Juste avant que je descende, il récupère dans tout son bazar un bout de papier et me note un numéro de téléphone. Je ne sais pas si c'est le sien. Peut-être celui de son copain, monté comme un étalon… Il m'en a encore fait la promo juste avant. Humm, ça donne envie.
" Merci de m'avoir pris en stop.
" Pas de quoi. Tu m'a payé en nature. On s'est rendu service.
On ne s'est pas embrassé. Sa grosse poigne pour me dire au revoir, j'ai senti qu'il était très satisfait. Je ne dirai pas non si je le recroise et il le sait.
J'ai mal au cul et j'ai peur que mon pantalon soit tâché à l'arrière. Qu'est ce que je vais raconter à mes parents pour ça…
Caramel35
Merci pour vos commentaires
L'attente n'est pas trop longue. Un petit utilitaire s'arrête. L'homme va dans la même direction que moi, tout va bien.
Un gros bordel règne au niveau du siège passager mais, sans chichi, il fait de la place pour que je m'assoie. Je suppose que c'est un artisan ou un ouvrier qui travaille sur un chantier.
L'homme, parlons-en; la cinquantaine, chauve, un solide gaillard avec une barbe de plusieurs jours. Ses bras puissants velus affichent une force, une virilité incontestable. Des poils noirs débordent de son teeshirt délavé. Pendant plusieurs secondes, mes yeux restent bloqués sur lui, il me rend dingue.
Sa grosse poigne retient ma main le temps de me saluer et je sens qu'il me déshabille du regard, qu'il a capté mes penchants homo. D'instinct je sais déjà qu'il va se passer quelque chose entre nous. Un frétillement dans mon slip a été immédiat.
J'ai envie de lui tailler une pipe, de faire n'importe quoi avec lui. Il dégage une puissance de mâle dominant irrésistible et il a comprit son attrait sur moi.
Inconsciemment, un désir commun s'est installé entre nous deux….
Nous repartons.
Il me met à l'aise tout de suite, parle du conducteur précédent "d'enculé" car il ne roule pas assez vite. Je ris, et lui aussi. Opportuniste, tactile, sa main atterrit sur ma cuisse pendant qu'on rit, en signe de camaraderie. Ce geste agit sur moi tel un électrochoc, je bande comme un cerf. J'ai envie d'aller lui bouffer le nœud. Pour me tester, il frotte ma cuisse de façon provocante, ne me laissant aucun doute sur ce qu'il attend. Je suis ravi.
Enhardi par mon attitude passive et disponible, il se tâte peu discrètement l'entrejambe, sûr que mon regard va suive son geste.
" Ca doit te chatouiller, toi aussi, à ton âge? Moi, à ton âge, j'ai tout essayé. Et toi?
" Quand ça se présente, je ne dis pas non. Il faut bien découvrir.
Il poursuit de suite, emballé par mon ouverture…
" Tu as raison. Moi, c'est avec les mecs que j'ai le plus de succès. Putain, qu'est ce que je peux en satisfaire des mecs. Ah, putain, rien que d'en parler… Tu sais que tu me fait bander.
Il saisit ma main gauche et la dépose sur sa braguette. L'homme est sans complexe et étale sa virilité pour tirer profit de la situation.
Ma main recouvre un gros paquet, très dur, et le bâton que je tâte me fait halluciner. Je bande, j'ai chaud, quelle chance d'être tombé sur pareil vicieux, plein d'initiatives.
Il me fait penser à un copain de mon père que j'ai sucé le mois dernier. J'ai adoré, surtout lorsqu'il m'a jouit en fond de bouche.
Ce mec là est chaud et semble bien monté, j'ai trop envie d'y goûter.
En confiance, transis de désir, je le masse, pour mon plaisir, pour confirmer mon acceptation. Le salaud, il est trop raide. Putain le matos dans le slip.
" Ouais, t'aimes ça, toi. Je m'en doutais.
Nous sortons à ce moment là de la ville, une averse débute. Il se gare sur le premier endroit tranquille. Vu la météo, personne ne traîne.
En un instant, sa bite est sortie. Il n'attend qu'une chose: que je le suce.
Sa queue, super épaisse, dressée comme un tuteur, m'impressionne. D'un geste viril, il finit de décalotter son magnifique champignon, prêt à gicler. Putain, le mâle, il a un de ces gourdin!
" Vas-y, suce moi. J'ai les couilles pleines, ça fait une semaine que j'ai pas jouis. Tu vas te régaler.
De son bras puissant, d'autorité, il m'attire et sa main appuie sur ma nuque. Il n'a pas de temps à perdre. Inutile de réfléchir.
" Ah Putain, c'est bon! " … sont les mots qui lui viennent lorsque ma bouche se referme sur son solide mandrin.
Son calibre est impressionnant. J'en ai pas encore sucé une comme ça. Quelle chance de sucer une queue pareille! L'odeur de mâle qu'il dégage me fait tourner la tête, me rend fou. Ma tête entre ses jambes, je me régale.
Il recule son siège de son véhicule utilitaire car la position n'est pas des plus confortable mais le plaisir est au rendez vous. Un camion passe en klaxonnant, signe que du haut de sa cabine le routier nous a vus, qu'il m'a vu tailler une pipe et sait comment tout ça va finir. Nullement impressionné par la situation, il appuie plus fort sur ma nuque pour ne rien perdre de ce moment de plaisir.
" Oh, Nom de Dieu, tu suces trop bien! "…Putain! Ouais! Vas-y, régale toi, mon chéri.
et il soulève son bassin pour me faire profiter de sa queue en totalité et dégager un peu ses grosses couilles poilues. Putain que sa queue est large! J'en ai sucé une hier soir mais pas si épaisse. Ma mâchoire a fait un exploit. Heureusement, elle est courte.
Il est abondamment pourvu en poils et sent fort le mâle, le rêve!
Sa queue épaisse, taillée dans du roc tant elle est dure, a du faire souffrir plus d'un cul. Je prends comme un privilège de sucer si belle bite et me doute qu'il va bientôt cracher. J'ai trop envie qu'il gicle.
" Ouais, Ah, Putain!..." pendant qu'il me caresse les cheveux…
Il jure, me félicite, respire fort, écarte ses jambes…. mes lèvres coulissent sur le cylindre pour aller jusqu'à la base, dans sa toison, sa forêt de poils noirs.
Avec ma langue je titille le gland, chatouille le méat ouvert et distendu mais il m'appuie sur la tête; il la veut entière dans la chaleur humide de ma bouche. Il va m'étouffer avec son gourdin.
Mes lèvres glissent, astiquent, je vais le faire jouir ce vieux cochon!
A l'extérieur, l'averse continue. Il parle moins, geint, va exploser…sa grosse queue est comme de l'acier…
Il se tend, se raidi, enserre ma nuque de ses deux mains, comme un écrin pour son phallus de mature…Une décharge copieuse et salée surgit et se répand dans ma bouche.
" Avales tout, salope, j'ai pas envie d'être tâché!
Tu parles! il a un pantalon tout crade! Plusieurs décharges ont suivi, grasses et copieuses, pendant qu'il me maintient, sûr de sa force. Ca doit l'exciter de gaver les mecs de son sperme. Surtout qu'il doit savoir qu'il fait partie des gros juteurs.
" Avales mon jus, vides moi les couilles! Ah, Ouais…Putaiiiiiiin! La Salope!
Je bande comme un cerf tellement je suis satisfait. Le copain de mon père m'avait bien dosé mais celui là fait encore mieux. J'hallucine d'avoir la bouche si engluée. Quel mâle! En effet, il avait les couilles bien remplies.
Il relâche la pression, regarde si j'ai pas laissé couler son foutre sur ses grosses couilles. Il scrute ma réaction, se réjouit de m'avoir imposé tout son jus en bouche.
" Ne dégueulasse pas ma bagnole! Avales!
Le goût de son foutre est fort, la quantité abondante et il le sait. La puissance de son ordre, le son de sa voix est si viril, si mâle… J'ouvre légèrement la bouche pour lui montrer son dosage et, comme pour une belle huître laiteuse pleine d'iode, j'avale…
" Putain, t'es une sacrée suceuse, toi. J'ai bien fait de t'prendre en stop!
Le goût fort me reste en bouche. Je bande mais il s'en fout totalement. Je regarde sa bite épaisse pas encore ramollie et je le sucerais bien encore tellement j'ai aimé mais il remballe son beau piston.
Je le sens très satisfait, heureux de s'être vidé.
" Putain, ça fait du bien!" me dit il.
" T'avais envie, toi!
" Tu parles! je t'ai dit, j'avais les couilles pleines.
" Ta queue est trop belle
" Ouais, je sais. Je m'plains pas. T'as déjà dû sucer pas mal de mec, toi" me dit il.
" Oui, de temps en temps
" Tu te fais enculer, aussi?
" Oui, j'aime bien ça.
" Ah Putain, j'ai bien fait de t'prendre en stop!
Je sais déjà, vu le personnage, qu'il va tout faire pour me gicler dans le cul avant qu'on arrive à destination, qu'il en rêve.
Il redémarre, comme si on venait de faire un arrêt pour pisser au bord de la route. Il reprend la conversation, uniquement sur le sexe.
Il me raconte comment, dernièrement, il a baisé un pédé, comment il l'a emmanché avec son gros calibre et lui a giclé dans le cul. Il revient sur ma prestation, me redit que ma bouche est bonne, me parle d'un copain à lui, un queutard actif endurant qui aime farcir des culs de jeunes…
" Putain, tu m'as trop bien sucé! J'vais t'la mettre dans le cul. Tu vas voir, tu vas aimer.
En roulant, il se frotte la bite, passe la main sous son teeshirt pour se pincer un téton, découvrant son ventre bedonnant couvert de poils. Il n'a visiblement qu'une envie, profiter encore…
Sur une petite route qu'il semble connaître, il s'engage sur un chemin improbable, au niveau d'une friche agricole. Il se gare derrière des bâtiments d'élevages abandonnés, entourés de la végétation non entretenue.
Comme tout à l'heure, pas de temps à perdre. Il descend aussitôt en me disant:
" Fout toi à poil!
Hypnotisé par sa demande, je me déshabille. Sûr d'être accepté, ses grosses mains calleuses caressent déjà mes fesses. Il bave comme un gros porc du plaisir qu'il va prendre, sort des mots orduriers en glissant ses doigts dans ma raie…
Poussé contre le côté son utilitaire, penché sur le capot, je dois m'adapter à ses désirs. Je lui demande pour le sucer. Il n'est pas trop intéressé mais il accepte pour finir de se mettre en forme, pour profiter de mes lèvres.
Une bite pareille, si grosse et épaisse, j'ai trop aimé l'avoir en bouche et ce serait dommage de ne pas en reprendre un peu.
" Ah Putain, t'es une sacrée suceuse!
Juste le temps de saliver son manche, de me laisser voir ce que je vais prendre. Je me doigte le petit trou en même temps comme je peux. On n'est jamais trop prudent avec ce genre de mâle viril.
"Lèves toi, je vais te la foutre dans le cul.
Inutile de protester. Se faire emmancher par pareil engin, ça ne se refuse pas. J'ai trop envie qu'il me graisse, qu'il gicle en moi. J'imagine son gros gland qui dégueule son sperme…
" Penches ton cul! Une salope comme toi, ça va rentrer tout seul!
Il crache dans sa main, m'enduit l'œillet avec son gros doigt puis me le rentre brutalement dans le cul… J'en pousse un petit cri de plaisir qui le ravie.
" Putain, mon doigt glisse bien. Tu dois souvent te faire souvent enculer…
" Non, pas souvent.
" Ouais, j'te crois! Humm, tu vas voir, je vais te l'élargir, ta rondelle….
Il recrache, passe à deux doigts, excité par la suite à venir.
" Heeeeeiiiiinnnnn
" Ta gueule, tu aimes trop ça! Tu frétilles comme une pute!
" Heeeeeeeiiiiiiinnnnnnnnnn
" Putain, le cul de salope que tu as! T'es bien chaude, ma chérie
Je ne lui dit pas que je me suis fait graisser hier soir par un vigile. Il m'a tiré dans un sous sol d'un immeuble en construction. C'était un gros black, trop content de se faire un petit blanc en chaleur. J'ai pas regretté vu sa queue splendide et il me l'a mise en entier. Je me suis fait traiter de tous les noms mais c'était trop bon.
Je l'entend déboucler son ceinturon et baisser son pantalon. Ses paluches calleuses caressent mon dos, explorent mes fesses puis tout son corps se frotte à moi. Ce contact érotique lui plaît et il se dégage de son teeshirt.
L'homme est enrobé et aussi sacrément poilu. Ses pectoraux puissants, son ventre bombé, il impose. Le sexe épais qu'il a entre les jambes impressionne, prêt à entrer en action. Une énorme paire de couilles poilues complète l'ensemble, j'en reste admiratif.
Il a trop envie de me baiser, c'est évident.
D'un mouvement, son pieu épais vient se loger, se caler dans mon œillet, il force aussitôt...
" Haaaaaaaaaaaaaa
Je pousse un cri d'enculé qui la sent rentrer; Son gros nœud ouvre ma chatte de p'tit mec et prend place. Il gueule de me posséder, se félicite de mon cul souple qui aime la bite. Je me sens défoncé, mes jambes flageolent… il s'en fout de mon état. Pour lui, je suis un pédé qui aime avoir des bites dans le cul, tout simplement.
Le black hier soir était plus doux. C'est vrai que j'en avais super envie. Sa queue était moins épaisse mais nettement plus longue. Il a bien aimé me baiser surtout qu'il voulait sans capote. Quand j'ai senti ses couilles ballotter contre mon cul, j'ai jouis d'être si bien rempli de sa bite entière. Il ne s'est pas gêné pour m'ensemencer grassement, bien profond.
" Je savais que t'aimais ça quand je t'ai vu faire du stop.
" Heeeeiiiinnnn
" T'es une bonne salope, toi.
" Heeeeeiiiiinnnn
" Fermes là, ça rentre tout seul!
" Heeeeiiiinnnn
" Elle est bonne ma queue, hein?
" Heeeeiiiinnnn, elle est grosse, j'ai mal.
Il se retire, crache dans sa main, me tartine le croupion puis, sans prévenir, me rentre toute sa grosse bite dans le cul.
" Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
" T'en avais trop envie, salope! J'adore enculer des pédés. Tous ceux qui ont ma grosse bite dans l'cul adorent. Ils couinent comme des donzelles mais ils en veulent encore!
" Heeeeeeeeeiiiiiinnnnnn
" Il est trop bon ton cul!
Il me maintient fermement et se réjouit de m'avoir enculé à sa façon. J'ai mal au cul, je me sent défoncé, une satisfaction énorme m'envahit. J'ai autant de plaisir qu'avec la grosse bite du black hier soir. Enculé par cet homme adulte, sénior, avec sa queue si épaisse, j'ai tant rêvé de ça en regardant des films pornos.
Je ne veux rien rater de ce moment et me décontracte autant que possible malgré mon trou qui me chauffe.
Offert, penché sur l'aile avant de son utilitaire, les mains sur son capot, je me sens comme une pute en chaleur en train de se faire baiser.
" Tu la sens bien dans ton p'tit cul, ma grosse bite, hein?
" Oui…
" T'as vu, ta p'tite rondelle de pédé, je l'ai bien écartée?
" Oui
" J'adore ton p'tit cul de salope!
Il démarre un coulissement de son pieu et se régale de mes plaintes. Ses grosses mains me tripotent pendant qu'il active dans mon fondement.
Le plaisir d'être démonté par ce mâle m'enveloppe, mon corps se fait plus souple.. Il le sent et accélère, se préoccupant plus de son plaisir que du mien.
" Salope! T'aime ça, hein….
Je ne réponds pas, trop occupé à couiner sous ses coups de reins. Il pose les questions et fait ses réponses tout seul… Je tends mon cul pour mieux le recevoir. Cette situation l'excite, il accélère la cadence, ravi de m'imposer son tempo. Il n'a pas mis de capote, me le dit et m'assure qu'il va me faire un petit, m'engrosser, qu'il va me larguer son jus de couilles dans le cul…que des salopes comme moi, il faut les baiser…
Mon plaisir est total tant il me ramone bien. Pendant plusieurs minutes, il prend son pied à m'enculer avec sa bite épaisse, à m'insulter. Il souffle comme un bœuf et soudain se crispe, augmente la pression de ses bras sur moi. Un grand râle de satisfaction sort de ses poumons pendant que moi aussi, je crie mon bonheur d'être rempli.
" Putain, il est trop bon ton cul. T'as jouis, toi!" me dit-il entre deux souffle courts
Mes contractions sur son redoutable piston ne sont pas passées inaperçues.
Il me maintient, le temps de décharger toute sa semence en moi et finit par deux coups de reins pour m'envoyer son jus le plus profond possible.
Sans délicatesse, il retire son mandrin et regarde mon trou encore ouvert qui suinte son foutre gluant.
" Ah, Putain, dommage que le copain n'est pas là, il t'en mettrais plein le cul!
Il rigole quand je passe ma main pour contrôler mon œillet démoli, tout gluant.
" T'as tout dégueulassé ma bagnole, ma salope!" dit-il, à la fois énervé et satisfait de sa performance.
Il regarde mon sperme qui s'est étalé, qui dégouline sur la carrosserie de sa voiture. Quand il a jouis en moi, mon plaisir a été si fort que je n'ai pu me retenir, que j'ai crié au même moment.
Sans formalité, il remonte son pantalon et boucle son ceinturon sur son ventre bedonnant. Il gueule, essuie mes trainées blanchâtres avec du papier-cul récupéré dans son utilitaire.
" Dis donc, t'as pris ton pied! Des salopes comme toi, faudrait que j'en croise plus souvent. J'voudrais bien t'voir te faire baiser par le copain. J'ai pas l'temps aujourd'hui, dommage.
Puis, maintenant qu'il m'a tiré …
" Bon, on n'a pas que ça à faire, on y va!
La suite du trajet se passe comme si l'essentiel a été fait. Satisfait, il me redit que j'ai une bonne bouche et que j'ai bien pris sa queue.
" J'aurais dû t'enculer d'abord. J'adore remplir des p'tits mecs comme toi mais j'avais trop envie. Tu m'as bien vidé les couilles.
" Qu'est ce que tu as une belle queue. On la sent bien!
" Oui, je sais. Les mecs adorent quand ils l'ont dans le cul!
Il me raconte que, quelquefois, il tombe sur des allumeurs qui veulent pas avaler ou des mecs avec des culs trop serrés…
Juste avant que je descende, il récupère dans tout son bazar un bout de papier et me note un numéro de téléphone. Je ne sais pas si c'est le sien. Peut-être celui de son copain, monté comme un étalon… Il m'en a encore fait la promo juste avant. Humm, ça donne envie.
" Merci de m'avoir pris en stop.
" Pas de quoi. Tu m'a payé en nature. On s'est rendu service.
On ne s'est pas embrassé. Sa grosse poigne pour me dire au revoir, j'ai senti qu'il était très satisfait. Je ne dirai pas non si je le recroise et il le sait.
J'ai mal au cul et j'ai peur que mon pantalon soit tâché à l'arrière. Qu'est ce que je vais raconter à mes parents pour ça…
Caramel35
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15 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
1976...une rencontre en stop.. Un commercial qui me propose une pose et... finalement ma première fellation..un très bon souvenir.. j'avais..dix sept Ans.
Merci pour cette histoire... vécu ???
Rudy
Merci pour cette histoire... vécu ???
Rudy
Je aussi une salope.. J'ai aimé
Je n'avais pas cours, j'ai voulu rentrer en stop. J'ai tout de suite compris que c'était un pervers, je suis rentré dans son jeu car j'avais une attirance pour les hommes. Il m'a dépucelé le cul, j'ai trouvé ça bon. J'étais content d'avoir franchi le pas. La semaine suivante, il m'a repris en stop et on a remis le couvert; c'était encore meilleur car souhaité des deux côtés. Après c'était les vacances...dommage. Bien belle histoire, crue et chaude. En bref, la réalité
Vivement une suite torride bravo
Tu as eu bien de la chance
Il y a quelques années, j'ai pris un auto stoppeur qui m'a carrément proposé une pipe. J'avoue avoir pris mon pied comme jamais. Superbe histoire qui m'a bien fait bander
Ma première expérience sexuelle était aussi en faisant du stop. Le mec m'a sucé. J'ai jouis sans me contrôler il a tout avalé. Il a voulu la même chose. Sa bite était plus grosse mais moins longue que la mienne. La première fois que je voyais une autre bite que la mienne en érection. Il ne m'a pas prévenu quand il a jouis. J'ai tout avalé, je ne savais pas où recracher. On était dans sa bagnole.
Je ne regrette pas du tout. Belle histoire très réaliste et bien écrite
Je ne regrette pas du tout. Belle histoire très réaliste et bien écrite
Super histoire, le récit de la fellation est parfait tant pour le suceur que pour le sucé. Tu m'as fait bander et mouiller.
Très excitant, je suis raide.
En tant que chauffeur, j'ai pris un jour un jeune en stop. C'est lui qui m'a chauffé. Il m'a sucé comme un Dieu. Depuis, j'adore satisfaire les mecs.
comme toujours, tu es excellent et j'adore tes histoires excitantes comme tout!!!!
J'ai adoré !!!!!!!!!
Le rêve comme genre de rencontre. Cela m'est arrivé lorsque j'étais jeune. J'ai tout de suite compris qu'il voulait s'offrir un petit cadeau en nature. J'étais tout excité de l'opportunité. Il s'est arrêté près d'un petit bois. Il m'a dépucelé, j'ai pris un plaisir inouï. Un magnifique moment. Merci Caramel
J'ai adoré l'histoire
Bravo Caramel. Le fantasme de beaucoup de passifs. La rencontre inopinée d’un routier sympa, actif et bien membré. J’en ai la main toute poisseuse…