Meilleurs souvenirs

Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Gérard vient de me baiser et me raconte ses premières relations homos, dans les années 70/80
Lorsque je suis entré dans ce cinéma, à Paris, je ne savais pas que j'allais vivre un de mes meilleurs moments.
J'avais 22 ans. J'étais dépucelé depuis 1 mois et j'avais sucé juste un seul mec qui n'avait même pas jouis. Autant dire que, venu de Rennes pour la journée, j'étais bourré d'envies.
Je n'étais pas venu là par hasard mais suite à une petite publicité sur une revue homo. J'étais curieux de découvrir.
Il y avait plein de monde, pas trop de luminosité et une musique qui masquait l'ambiance. Il ne m'a pas fallu longtemps pour cerner l'endroit. Le film n'était en réalité qu'un prétexte. A l'écran, il me semble, un black enculait une nana. Tout se passait dans la salle.
Des couples baisaient sans le moindre tabou soit dans les allées ou sur les sièges.
Pas besoin de vous décrire les bruits de fond de ce genre de réunion. Je ne pensais pas que ce serait aussi chaud. Scié, je me suis assis en bout de rangée. Un vieux, assis à côté, a immédiatement sorti son sexe, pour m'inviter à le sucer.
Entre les rangées de sièges, des hommes se faisaient royalement pomper sans que ce ne soit un problème.
Je me suis relevé, des mains ont palpé mes fesses. Tout cela était trop rapide pour moi, j'ai préféré faire le tour de la salle pour découvrir tout ce qui s'y passait.
Des cabines étaient installées sur les côtés, toutes occupées bien sûr et des mecs attendaient qu'une cabine se libère…
On entendait, dans certaines, des râles de jouissance ou des cris d'enculés généreusement servis.
En bas, j'ai découvert les toilettes…enfin, l'endroit où pisser, en théorie. On pouvait pisser, bien sûr, et se faire enculer en même temps. Il fallait surveiller ses arrières. Bien que cet endroit soit mieux éclairé, aucune gêne parmi l'assistance. Et, là aussi, il fallait attendre son tour pour uriner… Il y avait 5 ou 6 mecs alignés, à faire semblant de pisser pour certains, les fesses dégagées pour une introduction rapide…
Vous comprenez que j'étais dans un état de chaleur incroyable en découvrant l'ambiance.
J'ai maté ici une fellation gourmande. Voir en pleine lumière un mec en téter un autre, sans se soucier de l'entourage, c'est extrêmement bandant et décomplexant. A un moment, j'ai vu le calibre et j'ai halluciné tellement le mec était bien monté. Je ne me voyais pas avaler un tel morceau!
Dans la salle, au premier rang, un homme se faisait sucer. Il m'a fait un signe, m'invitant à venir le pomper. Il avait peut être 50 ans, le petit père vicelard qui se fait tailler une pipe en toute discrétion.
Il a fait dégager un homme de son âge qui le suçait et je me suis accroupi. J'ai adoré prendre sa queue et je l'ai pompé comme une salope. Ici, à Paris, loin de chez moi, personne ne pouvait me connaître.
Cela m'a fait un bien fou de sucer, je ne pouvais plus tenir, trop excité.
J'ai pris plaisir à le sucer et sa main dans mes cheveux me disait qu'il appréciait. Lorsque l''homme a commencé à se tortiller, instinctivement, j'ai deviné qu'il allait jouir. C'est bête mais j'ai paniqué, j'ai reculé, au grand dam du sucé. Un mec s'est précipité sur la queue trop raide et s'est ventousé la bouche dessus… L'homme a essayé de se retenir mais il était trop tard… trop excité, il a gueulé, braillé sa jouissance.
Le mec s'est ensuite tourné vers moi et, pour me narguer, a ouvert la bouche: Mon Dieu la quantité de sperme! et il a tout avalé, absolument ravi.
J'ai regretté, j'étais idiot de ne pas l'avoir laissé jouir dans ma bouche.
Un mec a commencé à me tripoter mais il ne me plaisait pas du tout. J'ai repoussé sa main.
J'étais dans un état second et j'ai réussi à rentrer dans une cabine, histoire de me calmer. Voir du sexe partout, en réel, à l'écran, entendre des gémissements, des râles érotiques… ça rend fou…
La cabine était étroite mais suffisante pour niquer. Un trou, au bon endroit, permettait de voir ce qui se passait dans la cabine d'à côté ou de se faire tailler une pipe.
Un jeune est entré, suivi d'un homme plus âgé. Le jeune s'est baissé immédiatement et a pompé l'homme goulûment, en lui dévorant la bite. J'ai bavé d'envie de faire pareil. Ce n'est pas avec pareille vision que j'allais débander....
Le jeune s'est tourné et a présenté ses fesses. L'homme l'a enculé immédiatement, sans capote. J'ai failli jouir tellement ça m'a plu; j'étais à 50cm à mater l'enculage.
L'accouplement a été tonique, viril. Le jeunot, pleinement satisfait, tendait son cul pour lui montrer son plaisir. Il a brusquement coincé l'homme dans la porte, l'empêchant de se retirer alors qu'il allait éjaculer.
La saillie a été validée et la semence envoyée dans le cul du jeune, qui n'attendait que ça.
Le jeune, fécondé, satisfait, a remis son slip sans autre formalité. Ils ont disparu de la cabine aussi vite que lorsqu'ils sont rentrés. Les suivants étaient mal tournés, je ne pouvais rien voir.
Autant dire que j'étais chaud bouillant quand je suis ressorti seul de ma cabine, qui a été reprise aussitôt. Une envie de sexe me submergeait.
L'ambiance torride de la salle n'avait pas changé. J'ai remonté vers le haut de la salle comme j'ai pu pour arriver dans un coin. Un mec, dans l'obscurité, m'a collé. Sa main a directement palpé mon entrejambe, il a constaté que je bandais. Il a saisi ma main pour me la poser sur sa braguette.
Mon Dieu la barre du mec! un morceau très dur sous le tissu!
Il a saisit ma tête m'a roulé une pelle et j'ai adoré qu'il m'impose sa langue. Il sentait le sexe et le mâle à plein nez. Je n'ai pas pu résister tellement il embrassait virilement. J'ai touché son ventre, il était déjà débraillé… et poilu. Ah, les poils… Alors là, j'ai vrillé.
Le mec a compris, il a ouvert sa chemise pour que je caresse sa poitrine velue puis, pour m'allumer encore plus, il a mis ma main dans son slip pour que je palpe la bête.
Bien sûr, jamais un mec ne m'avait fait ça.
Putain le morceau raide! Le bambou était au plein de ma main. Et les couilles chaudes, bien remplies…
On n'a échangé aucune parole. J'ai supposé qu'il avait la trentaine mais, en réalité, l'âge n'avait aucune importance pour moi. Quelle virilité ce mec!
Tout a dérapé ensuite… Enfin, avec le recul, cela devait arriver
Lorsqu'il a appuyé sur mon épaule pour me faire comprendre de le sucer, j'étais dans un rêve. Dans la pénombre, je me suis accroupi et j'ai pris sa queue en bouche. Epaisse, très dure, au plein de ma bouche, j'ai donné le maximum de mon savoir faire de jeune suceur. Sa main dans mes cheveux a guidé le mouvement.
Je peux dire que je l'ai tété comme un petit veau, enfiévré par le plaisir de sucer sa belle bite d'homme. Vu toutes les scènes de sexe que je venais de voir, cela a été une délivrance pour moi de passer au concret, d'essayer d'égaler les supers suceurs de cette salle de cinéma.
Sans prévenir, son sperme a giclé dans ma bouche et, vu la pression très forte, son plaisir, il voulait que j'avale… une obligation pour lui… et j'étais prêt.
A genoux, dans la pénombre, j'ai avalé ma première éjaculation d'homme, ravi, émerveillé de mon exploit.
Il m'a relevé et m'a retourné prestement. Il a lui-même défait mon pantalon et baissé mon slip. J'ai laissé faire. Il a salivé mon trou et enfoncé son doigt dans mon cul: j'ai miaulé comme un jeune puceau.
Il venait de jouir et cela ne m'a pas du tout traversé l'esprit qu'il allait m'enculer.
Son gland posé sur ma pastille, je ne me suis nullement inquiété lorsque j'ai senti la pression pour me pénétrer, me tortillant même pour lui montrer mon plaisir. De toute façon, j'étais chaud bouillant, totalement offert. Je me suis accroché à un dossier de siège et penché en avant, c'est dire ma position pour me faire baiser.
J'ai couiné lorsqu'il a donné un coup de reins Le nœud s'est logé dans mon œillet et son mandrin a foré mon trou de façon virile. Tout le monde a entendu mon couinement et compris, vu mon âge et mon physique de jeunot, que je me prenais une bite dans le cul.
Le mec, très gaillard, entendait bien m'enculer. J'ai voulu me soustraire à cette saillie bestiale mais un homme, très macho, m'en a empêché en me bloquant.
Un attroupement de mateurs s'est formé pour assister à la scène.
Ma rondelle a cédé et j'ai geint comme un dépucelé.
Ce mec m'a fourré son phallus dans le cul, j'ai vraiment senti le mâle qui me pénètre. Sa queue a raclé les parois de mon anus et, incapable de me contrôler, j'ai miaulé, couiné. Vous imaginez le bonheur, le plaisir du mec et des mateurs près de moi.
Des commentaires sont sortis dont beaucoup élogieux pour le mec qui en a pris sûrement une certaine fierté.
Il m'a empoigné par les hanches et a soldé l'introduction. J'ai couiné de plus belle, j'ai ressenti sa queue glisser de toute sa longueur d'un coup. C'est surprenant mais le mec, poilu, me plaisait tellement que j'ai pris du plaisir tout de suite à m'être fait enculer. Sans capote, c'était la vraie baise. Je venais de le sucer, je savais ce que j'avais dans le cul.
C'est bizarre mais, dans ce cas là, on gémit et on tend son cul quand même. On découvre le plaisir d'être possédé. Le mec m'a traité de "Salope" et j'ai trouvé ça normal.
La copulation a été virile, sublime. Le mec avait de la force et m'a défoncé le cul. Plus je gémissais, plus les mateurs disaient " Ouais".
Je suis devenu, sans le vouloir, l'attraction du fond de la salle.
Le ton de mes gémissements a changé et, submergé par le bonheur d'être baisé par ce mec qui pouvait être un rugbyman vu son corps sculpté, tous le monde a compris qu'il me donnait du plaisir. Certains mateurs se branlaient, ravis de la saillie que je me prenais.
Le mec a accéléré, est devenu plus brutal, me traitant de "Pute" et de "salope", me faisant crier sous ses coups de reins…
J'ai voulu me dégager. Au comble de l'excitation, il m'a coincé, m'a rempli le cul, m'a fécondé bien profond en gueulant comme une bête pour pavaner devant les autres.
A 22 ans, je ne pensais pas prendre autant de plaisir avec un inconnu et j'ai aussi découvert que certains hommes ne débandent pas après avoir jouis.
J'ai imaginé qu'il m'en mettais autant dans le cul que ce qu'il m'avait mis dans la bouche… Humm. Le mental, les fantasmes…
Il s'est retiré, sans aucun égard pour moi, me laissant là, le trou dilaté, le cul graissé, les pantalons au niveau des genoux.
Je n'ai pas eu le temps de relever mon pantalon…
Une main a palpé mon cul pour constater ma fécondation. J'ai voulu l'enlever mais l'homme avait déjà rentré son doigt dans mon trou. Autant dire qu'il est rentré tout seul vu ma dilatation et le sperme gras du mec laissé là. J'ai miaulé mais putain que son doigt était bon!
Sans s'inquiéter de mon accord, il était déjà positionné derrière moi.
Vicieux, très pervers, il saisit ma main qui veut retirer son doigt et me fait tâter sa queue. Très arquée vers le ciel, elle m'a ébloui par sa longueur et son épaisseur.
Un déclic s'est produit en moi, j'ai eu envie de l'avoir dans le cul et je n'ai opposé aucune résistance. Impatient, il a poussé ma main et m'a fourré aussitôt.
Son manche a glissé sans problème et m'a procuré un plaisir inouï. Il a énormément apprécié mon gémissement de jeune pédé enculé qui lui confirmait que c'était trop bon. Le mec poilu m'avait bien dilaté et, avec son sperme qu'il avait largué, ça a aidé.
Il avait sûrement une grosse envie de me baiser pour m'enchâsser aussitôt. L'homme, puissant, a refermé ses bras musclés sur moi. Ses grosses paluches avec des chevalières m'ont excité, j'ai imaginé un manouche, un gros macho de 40 ou 50 ans, je ne sais pas.
Il m'a plu tout de suite tant il faisait mâle qui veut s'accoupler.
Je n'ai pu m'empêcher de passer ma main entre mes cuisses et constater que son gourdin était planté totalement dans mon cul et j'ai tâté ses grosses couilles charnues, humm.
A-t-il ressenti mon plaisir, c'est presque sûr. Lui aussi a dégusté sa réussite, avoir mis sa queue dans mon cul. Certains hommes mûrs ne veulent enculer que des jeunes. Son souffle chaud dans mon cou, il m'a léché l'oreille… comme pour me faire l'amour.
Il a soulevé une de mes cuisses pour mieux m'enculer. A mon mouvement de cambrure vers lui, il a bien compris qu'il était le bienvenu. Tu parles, vu le sexe assez long qu'il avait et d'un bon gabarit, on était tous les deux heureux… Maintenant, je dirais qu'il en avait une pas loin des 19/20 cm et qu'il savait que je n'aurais pas pu résister…
De plus, il avait vu que le mec, juste avant, m'avait enculé sans capote et jouis dans le cul. A cette époque, baiser un jeune sans capote était un privilège très recherché.
Il a coulissé son sexe en moi, en jouant sur la longueur de sa queue, en percevant les vibrations de mon cul qui réclamait son bel instrument et il s'appliquait à la rentrer totalement.
C'était encore meilleur avec ce mâle inconnu.
J'ai répondu en me tortillant de plaisir, en caressant ses avant-bras qui me retenaient, en lui distribuant des petits couinements.
Il a vraiment dégusté mon cul, heureux de baiser un jeunot et moi qui avait tâté vite fait sa queue, je savais que j'en avais une longue à me ramoner. Humm, le pied!
Il ne s'est pas occupé des mecs qui bavaient d'envie à côté de nous. Il a poussé des mecs qui voulaient me tripoter, leur signifiant que j'étais à lui, qu'ils devaient attendre leur tour.
Ses mains visitaient mon corps comme pour mieux se persuader de sa réussite.
Mon cul est devenu un étui pour son bel instrument et, c'est sans doute ce qu'il voulait… je me suis offert à lui, j'ai tendu mes fesses pour mieux me faire emboiter.
" Ouaissss" …
Le rythme a changé aussitôt et notre copulation est devenue plus torride, plus érotique. Mes couinements sont devenus très chauds, très bandants, beaucoup moins discrets, mon plaisir sonore plus débridé. Ses lourdes couilles faisaient du bruit en venant se coller contre mon cul poisseux. Il m'a emmené doucement vers le nirvana…Petit à petit, je me suis fait salope qui découvre le plaisir du sexe.
C'est surprenant mais j'avais trop envie qu'il m'ensemence.
Il m'a laissé toucher son sexe encore une fois: il était superbement pourvu, un bon long sexe rigide qui ramone le conduit à la perfection. Puis m'a pénétré d'un trait, me faisant crier…
Son comportement a changé. Il m'a alors baisé plus sauvagement et j'ai senti que j'étais devenu sa pute, un trou à jus pour lui, un minet qu'il fallait déniaiser.
Un homme balèze est arrivé devant moi, attiré par mon plaisir étalé. Difficile de le rater: grand, large, une armoire à glace… Je l'avais vu entre deux rangées de siège, en train de se faire pomper par des mecs mais je n'avais pas pu approcher. Il m'avait impressionné par son physique… Je m'étais dit: ce n'est pas pour moi, je suis amateur.
Je couine d'être ramoné, dominé. Le balèze sourit, est ravi de me voir emmanché par cet homme. Il pousse un mec et se positionne encore plus près de moi, se penche pour m'entendre gémir.
Pervers, il hume mon souffle, déguste mes couinements, imagine déjà tout ce qu'il va faire avec moi. Sa tête presque collée à la mienne, il fantasme, m'envoie dans les narines une odeur forte de cigares ou de cuir. Plusieurs mateurs de tous âges bavent d'envie que ce bestiaux s'intéresse à moi.
L'homme, grand, baraqué, puissant, plus d'un quintal, ne passe pas inaperçu. D'énormes bacchantes en forme de fer à cheval lui encadre la bouche. Sa chemise, ouverte, laisse deviner des pectoraux de gladiateur recouverts d'une moquette de poils ou plutôt de crins durs.
Il n'est pas beau mais très viril, absolument très mâle Alpha.
" HUMMM, c'est bon, hein, mon chéri? " me dit-il de sa voix caverneuse.
Je ne réponds pas, trop occupé à haleter, à recevoir dans mon cul le long mandrin arqué.
" T'aimes bien la queue, mon chéri.
" Ouiiiii " ………. (je lui réponds, je sens qu'il ne va pas me lâcher).
" Hummm, Tu m'fais bander, mon chéri!
" Heeeiiinnn Ahhhhh Heiiiiiinnnn
Le quinqua qui m'enfile ne semble pas s'émouvoir de la scène. Pour lui aussi, je ne suis qu'un cul et depuis que ce malabar s'est imposé devant moi, il est plus excité, plus viril, presque brutal à m'enquiller son manche entre les fesses.
" T'as des belles lèvres de suceuse, mon chéri!" … me dit le costaud.
Et, aussitôt, il ventouse ses lèvres sur les miennes.
Pervers, sa grosse langue fouille ma bouche. Notre bouche à bouche est entrecoupé par mes couinements sous les coups de reins que je reçois. Ses bacchantes énormes sont un délice niveau érotisme. Il bave, crache sa salive sur ma langue, lèche ma bouche. Il sait que je vais aimer, il l'a deviné.
C'est dégueu comme on dit maintenant, comme les babines des gros chiens qui bavent mais tellement érotique. Il sait que je ne peut pas me soustraire à son délire.
Il laisse l'homme me baiser, déguste mes gémissements, m'impose son plaisir. Voir un jeune de 22 ans se faire baiser par un homme mûr, il y a de quoi bander. Surtout que celui-ci me nique avec vigueur, sans égard, pour le plaisir de baiser un jeune passif qui découvre le sexe.
Le grand costaud appuie sur ma nuque, colle ma tête contre sa poitrine… Mon Dieu! tous ces poils, la puissance de ce mâle.
Je le suce, le tète, le vénère… Les mateurs sont aux anges et certains disent "Ouaissss"
" Oui, mon chéri!" et il me dirige sur l'autre téton.
La chance qu'il a, j'adore, je fantasme les hommes poilus. Me faire baiser et sucer ce titan, mon Dieu quel pied! Je comprends l'envie des mateurs. Et, en plus, ses tétons sont gros, c'est incroyable! Et il aime ça!
Il me récompense d'une pelle gluante. Le crâne rasé, une allure à faire peur, il n'est pas beau mais il embrasse trop bien. Lorsque j'offre ma bouche, il sait qu'il a gagné. Il sourit, me lèche, devient extrêmement câlin, sensuel en restant bourré de virilité.
Je m'accroche maintenant sur son ventre, sur ses flancs… Il jubile de la situation.
Le quinqua harponne, coulisse sans effort entre mes reins, c'est trop bon.
" Graisse lui le trou, il n'attend que ça. Tu vas m'le passer après." dit il à mon enculeur
Contre mon oreille, il bave de désir…
" Il te baise bien?
" Ouiiiii….Haaaaaaaaa
" Hummm, c'est bon dans ton p'tit cul, hein, sa grosse queue, hein?
" Ouiii…..Heeeiiiinnnn
" T'as bien fait de venir, hein?
" Heiiiinnnn Haaaaa
" Elle est bonne, t'en veux encore hein?
" …Heiiiinnnn… Ouiiii
" Moi aussi j'ai envie.
" Heiiiinnnn …haaaaaaaaannn
" J'aime bien les p'tits jeunes en chaleur, comme toi.
" Himmmmm….Ahhhhhhhhhhhhh
" Moi aussi, tu vas m'prêter ton p'tit cul, mon chéri!
" Hemmmmmmmm….
" J'ai une grosse bite, j'vais bien ouvrir ton p'tit cul, mon chéri!
" Haaaaa… heeeiiinnnnn
" Tu veux bien, mon chéri?
" Hhheeeeiiiiinnnnnnnnn …..Ouiiii…( j'avais pas envie de le contrarier)
" Touche ma queue, mon chéri, elle est pour toi." … Et il saisit ma main, me fait toucher son braquemart, impressionnant.
" Ta main est douce. Tu m'fais bander" . Et il me fait un bécot humide, vicieux, gluant…
" Heiiiiinnnn Ahhhhhhhh … Elle est trop grosse! Heeeeeiiiinnnn
" T'inquiètes, mon chéri, plein de mecs la veulent. Elle est pour toi!
" Heiiiinnnn! Ahhhhhhh
" Elle est belle, hein?
" Ouiiii…Heinnnnn…Elle est trop grosse! "
" Touche mes couilles, mon chéri. Elles sont bien pleines. J'vais remplir ton p'tit cul! …
Et il continue son délire pendant que mon enculeur prend son pied avec son manche entre mes fesses… Putain que c'est bon!
La queue du balèze est splendide: dure, si épaisse que mes doigts n'en font pas le tour, dotée d'un énorme gland baveux, un vrai manche de pioche. Je comprend pourquoi il avait tant de mecs a vouloir lui tailler une pipe. Il insiste pour que mes doigts saisissent son braquemart, oblige ma main à tâter ses grosses couilles poilues. Sa bouche bave sur la mienne.
" Tends bien ton cul de p'tite salope, il va vider ses couilles.
Mon enculeur est prêt à juter, (il l'a deviné), trop excité par la présence de ce gros mâle pervers qui n'a peur de rien. Il doit savoir que ce titan a un phallus de rêve. Savoir qu'il veut me baiser le fait disjoncter et il devient bestial, me nique sans délicatesse…
" HHHHHEEEEIIIINNNNN ... HHHHHAAAAAAaaaaaa
" OUAISSS…. Il te la met bien dans le cul, hein… Tu la sens bien!
" Heeeeeiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnn …. et mon enculeur se bloque brutalement
" HHHHAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHH
L'homme braille, ne recherche nullement à se retirer, me serre dans ses bras, comme pour me récompenser, me faire le plus beau des cadeaux parce que je l'ai laissé me baiser. Baiser un jeunot est pour lui un plaisir incroyable et il gueule sa réussite…
Haletant, il m'envoie tout son sperme bien profond. Des vibrations de sa queue qui gicle traversent mon corps. Jamais je n'avais encore ressenti cet effet.
" T'es une bonne petite salope, t'aimes bien t'en prendre plein le cul!" continue le balèze.
" Heeeiiiiiinnnnn
" Moi aussi, j'vais t'en donner" et il me roule une pelle gluante une fois de plus.
Il me retient, de peur que je lui échappe. Sa poigne est énorme. Son autre main me tripote aussitôt, sans tabou, sans hésitation…
" Putain, tu l'as bien baisé." dit-il à l'homme, tout en farfouillant mon trou avec son gros doigt.
J'essaie de voir celui qui vient de m'inséminer. Satisfait, il sourit en rentrant sa pine dans son caleçon. J'imagine que c'est un Turc venu vidanger ses couilles pleines. Mon premier étranger, putain le pied! Il a du m'en larguer une grosse quantité!
Un murmure se fait chez les mateurs. Le malabar défait son large ceinturon pour dégager son matos. Ils savent tous qu'il va m'enculer, que je suis l'heureux élu. Plein de mecs rêvent sans doute d'avoir son gros pieu dans le cul.
Comme une jeune femelle en chaleur qui aime ça, j'attends le mâle. Je fais jeune dépucelé à côté de ce costaud des Halles, la cinquantaine et plus d'un quintal. Je suis trop chaud, trop heureux de laisser aller mes pulsions, de faire des envieux. Revenu chez moi, jamais une occasion comme cela ne se représentera.
Et j'ai eu raison. Il me faudra bien longtemps avant de recroiser pareil mâle.
Collé derrière moi, il m'enveloppe dans ses bras. Il me surprend, me tord le cou en cherchant ma bouche et tous les deux on se contorsionne, nos bouches viennent se souder. Je me donne à lui en me cambrant…
Je sens son mandrin entre mes fesses venir sur ma pastille ouverte, pleine de foutre...
L'épaisse queue glisse dans ma fleur épanouie et s'enfonce dans mon cul.
Je me cambre, me cabre de tout mon corps, m'offre à ce vieux mâle. Je geins. Il respire fort lui aussi. Son plaisir semble inouï de me voir peiner, sentir son pieu qui me dilate la chatte, qui me défonce le conduit anal.
Son énorme nœud passe soudain ma rondelle, me faisant crier, gémir comme un dépucelé et me libérant en même temps. Son braquemart me faisait peur mais j'en ai tellement envie qu'il m'enquille presque facilement. J'en suis ébahi.
Il déguste l'introduction de sa grosse bite dans mon cul, la laisse glisser.
Je manque de m'évanouir tellement mon cul s'ouvre. Je me sens défoncé, comme partagé en deux. Je manque d'air, gémis rien que pour lui, pleure aussi. Je ne sens plus mon cul tellement il est en moi.
Je me surprend à couler des larmes mais à le désirer. Coincé contre le dossier du siège, je n'ai pas de mouvement possible. Jamais je n'aurais imaginé me faire baiser par un homme si puissant, si bien monté, à la vue de plein de mateurs.
Un cri d'enculé s'échappe de mes poumons lorsque son braquemart glisse brutalement et que la chaleur de ses grosses couilles entre en contact avec mon postérieur.
Il ne dit pas un mot, sourit avec vice de sa réussite. Sa respiration chaude, son haleine puissante sont trop érotiques. Sa douceur est un miracle et il apprécie que je me soumette. Il crache sa salive dans ma bouche pour me dominer encore. Pour me récompenser, il donne un coup de reins. Je crie encore, gémis mais il sait que c'est par bonheur.
A côté, les mateurs ont compris qu'il a réussi à m'enculer. Pour les narguer, sans pudeur, il s'écrie:
" J'l'ai bien défoncé, ton p'tit cul de salope, mon chéri!"
" Heeeeeeeeeeeeeiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnnn"
Instinctivement, je sais qu'il adore mes couinements. Cela lui fait plaisir que tous les envieux entendent, sachent qu'il vient de me mettre sa grosse bite dans le cul.
Un mec plus vicieux que les autres met la main et constate que l'énorme gourdin est logé. Il se fait engueuler immédiatement.
" J'pourrais peut-être le baiser tranquille! Il a ma bite dans le cul, vous êtes satisfaits! " et tous les mateurs se retiennent de nous tâter.
Je suis surpris que je sois dilaté à ce point pour m'être fait enculer par un homme avec une matraque pareille.
Pendant plusieurs minutes, il me roule une pelle et nos salives se mélangent. Lorsqu'il coulisse en moi, je geins mais ce n'est que bonheur et il le sait. Je couine pour lui, je miaule pour lui.
Son plaisir est énorme et ses vas et viens sont amples, virils. Il pavoise que je crie, que je prouve à tous que je prend mon pied, qu'il baise un jeune minet dans cette salle de cinéma.
Il y a plein de monde a assister à mon enculage. J'ai trop de plaisir, je suis incapable maintenant de me retenir.
Une effervescence s'empare de l'assistance.
Il a de l'endurance, je ne suis qu'un cul pour lui. Il me démonte, prend son plaisir sans penser à moi. Mon cul n'a plus de rondelle…
Les mateurs bavent d'envie et n'osent le contrarier.
Un homme réussit à monter sur le siège devant moi et me présente sa queue, pour que je la suce.
D'une poigne sur ma nuque, le malabar me fait comprendre de pomper le mec.
" Vas-y, taille lui une pipe, ils va te donner son jus! " me dit, comme un ordre, le balèze "
J'obéis, pour le plus grand bonheur de tous. Je suce sa queue, assez courte mais bien calibrée. Baveuse, nerveuse, odorante, elle me plait énormément.
En plus, l'homme est ultra poilu, peut-être un Portugais?
Son odeur forte m'enivre et il se réjouis de participer. Il ondule, me baise la bouche.
Je peine à respirer mais c'est trop bon.
Le balèze constate, prend plaisir à me voir la bouche pleine.
Sa queue semble durcir encore, semble grossir encore dans ma bouche…
Sans prévenir, parce qu'il est mûr, mon poilu râle, gueule sa libération, décharge son foutre.
" Heeeeemmmmmmmmmmmm…"
" OUUUUUAAAAAAIIIIIIsssss" s'exclame le balèze, ravi de mon repas rapide.
" Avales, mon chéri, c'est plein de vitamines!" poursuit-il.
A mon grognement de mec gavé, les mateurs les plus près de nous pavoisent, les amateurs de sperme sont dépités.
Ma bouche est pleine tant son sperme est abondant, le goût de sa semence est très iodé.
Par excitation, parce que cet homme me plait, j'avale avec plaisir.
" Ouais! t'es une bonne salope! " me dit le balèze en coulissant son pieu entre mes fesses.
Je crie, je geins, la bouche encore engluée. Une odeur de sexe règne dans la salle et tout le monde semble en rut.
Un vieux réussi à venir sucer ma queue. Je tente de le repousser, je vais jouir, je le sens, c'est trop pour moi.
Ses lèvres gourmandes se referment sur mon sexe, glissent jusqu'à mes couilles. Il m'aspire, me pompe… Je pousse un grand cri de jouissance, éjacule tout mon jus.. Le vieux jubile, me tète jusqu'à plus soif…
" OUAIS! Tu prends ton pied, ma salope! " … Le balèze, qui a laissé faire mon suceur, a senti mes contractions de jouissance, perçu mon bonheur.
Je n'ai plus aucune goutte de sperme à donner, je réussi à repousser le vieux, qui a tout avalé.
Le malabar me défonce avec son braquemart. La discrétion est morte, toute la salle a droit à ma saillie, ma fécondation va être validée.
" PPPPUUUUTTTAAAiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnn…. Bouge pas, Salope!
Il hurle, ameute la salle de sa jouissance, qu'il donne sa semence au minet du jour.
Le balèze se retire, indifférent à mon égard. Un mec tente de sucer sa bite majestueuse qui vient de sortir de mon cul. Il ne doit pas trop aimer, il le repousse et va plus loin…
Je réussi à remonter mon pantalon. J'ai les couilles vides, le cul bien rempli, le trou ravagé.
Jamais je n'aurais imaginé que ce soit si tonique pour moi. Je fais comme je peux pour essuyer mon cul, remettre mes vêtements en ordre pour être plus présentable avant de sortir.
Je ressors, il me reste seulement une heure de libre avant de prendre le chemin du retour. Je ne sens plus mon cul… Je panique à l'idée que l'on me demande ce que j'ai visité à Paris…
Je suis revenu dans cette salle de cinéma quelques mois plus tard… J'étais beaucoup plus libéré et de fût …très tonique, très érotique….
Gérard vient de me baiser et me raconte ses premières relations homos, dans les années 70/80
Lorsque je suis entré dans ce cinéma, à Paris, je ne savais pas que j'allais vivre un de mes meilleurs moments.
J'avais 22 ans. J'étais dépucelé depuis 1 mois et j'avais sucé juste un seul mec qui n'avait même pas jouis. Autant dire que, venu de Rennes pour la journée, j'étais bourré d'envies.
Je n'étais pas venu là par hasard mais suite à une petite publicité sur une revue homo. J'étais curieux de découvrir.
Il y avait plein de monde, pas trop de luminosité et une musique qui masquait l'ambiance. Il ne m'a pas fallu longtemps pour cerner l'endroit. Le film n'était en réalité qu'un prétexte. A l'écran, il me semble, un black enculait une nana. Tout se passait dans la salle.
Des couples baisaient sans le moindre tabou soit dans les allées ou sur les sièges.
Pas besoin de vous décrire les bruits de fond de ce genre de réunion. Je ne pensais pas que ce serait aussi chaud. Scié, je me suis assis en bout de rangée. Un vieux, assis à côté, a immédiatement sorti son sexe, pour m'inviter à le sucer.
Entre les rangées de sièges, des hommes se faisaient royalement pomper sans que ce ne soit un problème.
Je me suis relevé, des mains ont palpé mes fesses. Tout cela était trop rapide pour moi, j'ai préféré faire le tour de la salle pour découvrir tout ce qui s'y passait.
Des cabines étaient installées sur les côtés, toutes occupées bien sûr et des mecs attendaient qu'une cabine se libère…
On entendait, dans certaines, des râles de jouissance ou des cris d'enculés généreusement servis.
En bas, j'ai découvert les toilettes…enfin, l'endroit où pisser, en théorie. On pouvait pisser, bien sûr, et se faire enculer en même temps. Il fallait surveiller ses arrières. Bien que cet endroit soit mieux éclairé, aucune gêne parmi l'assistance. Et, là aussi, il fallait attendre son tour pour uriner… Il y avait 5 ou 6 mecs alignés, à faire semblant de pisser pour certains, les fesses dégagées pour une introduction rapide…
Vous comprenez que j'étais dans un état de chaleur incroyable en découvrant l'ambiance.
J'ai maté ici une fellation gourmande. Voir en pleine lumière un mec en téter un autre, sans se soucier de l'entourage, c'est extrêmement bandant et décomplexant. A un moment, j'ai vu le calibre et j'ai halluciné tellement le mec était bien monté. Je ne me voyais pas avaler un tel morceau!
Dans la salle, au premier rang, un homme se faisait sucer. Il m'a fait un signe, m'invitant à venir le pomper. Il avait peut être 50 ans, le petit père vicelard qui se fait tailler une pipe en toute discrétion.
Il a fait dégager un homme de son âge qui le suçait et je me suis accroupi. J'ai adoré prendre sa queue et je l'ai pompé comme une salope. Ici, à Paris, loin de chez moi, personne ne pouvait me connaître.
Cela m'a fait un bien fou de sucer, je ne pouvais plus tenir, trop excité.
J'ai pris plaisir à le sucer et sa main dans mes cheveux me disait qu'il appréciait. Lorsque l''homme a commencé à se tortiller, instinctivement, j'ai deviné qu'il allait jouir. C'est bête mais j'ai paniqué, j'ai reculé, au grand dam du sucé. Un mec s'est précipité sur la queue trop raide et s'est ventousé la bouche dessus… L'homme a essayé de se retenir mais il était trop tard… trop excité, il a gueulé, braillé sa jouissance.
Le mec s'est ensuite tourné vers moi et, pour me narguer, a ouvert la bouche: Mon Dieu la quantité de sperme! et il a tout avalé, absolument ravi.
J'ai regretté, j'étais idiot de ne pas l'avoir laissé jouir dans ma bouche.
Un mec a commencé à me tripoter mais il ne me plaisait pas du tout. J'ai repoussé sa main.
J'étais dans un état second et j'ai réussi à rentrer dans une cabine, histoire de me calmer. Voir du sexe partout, en réel, à l'écran, entendre des gémissements, des râles érotiques… ça rend fou…
La cabine était étroite mais suffisante pour niquer. Un trou, au bon endroit, permettait de voir ce qui se passait dans la cabine d'à côté ou de se faire tailler une pipe.
Un jeune est entré, suivi d'un homme plus âgé. Le jeune s'est baissé immédiatement et a pompé l'homme goulûment, en lui dévorant la bite. J'ai bavé d'envie de faire pareil. Ce n'est pas avec pareille vision que j'allais débander....
Le jeune s'est tourné et a présenté ses fesses. L'homme l'a enculé immédiatement, sans capote. J'ai failli jouir tellement ça m'a plu; j'étais à 50cm à mater l'enculage.
L'accouplement a été tonique, viril. Le jeunot, pleinement satisfait, tendait son cul pour lui montrer son plaisir. Il a brusquement coincé l'homme dans la porte, l'empêchant de se retirer alors qu'il allait éjaculer.
La saillie a été validée et la semence envoyée dans le cul du jeune, qui n'attendait que ça.
Le jeune, fécondé, satisfait, a remis son slip sans autre formalité. Ils ont disparu de la cabine aussi vite que lorsqu'ils sont rentrés. Les suivants étaient mal tournés, je ne pouvais rien voir.
Autant dire que j'étais chaud bouillant quand je suis ressorti seul de ma cabine, qui a été reprise aussitôt. Une envie de sexe me submergeait.
L'ambiance torride de la salle n'avait pas changé. J'ai remonté vers le haut de la salle comme j'ai pu pour arriver dans un coin. Un mec, dans l'obscurité, m'a collé. Sa main a directement palpé mon entrejambe, il a constaté que je bandais. Il a saisi ma main pour me la poser sur sa braguette.
Mon Dieu la barre du mec! un morceau très dur sous le tissu!
Il a saisit ma tête m'a roulé une pelle et j'ai adoré qu'il m'impose sa langue. Il sentait le sexe et le mâle à plein nez. Je n'ai pas pu résister tellement il embrassait virilement. J'ai touché son ventre, il était déjà débraillé… et poilu. Ah, les poils… Alors là, j'ai vrillé.
Le mec a compris, il a ouvert sa chemise pour que je caresse sa poitrine velue puis, pour m'allumer encore plus, il a mis ma main dans son slip pour que je palpe la bête.
Bien sûr, jamais un mec ne m'avait fait ça.
Putain le morceau raide! Le bambou était au plein de ma main. Et les couilles chaudes, bien remplies…
On n'a échangé aucune parole. J'ai supposé qu'il avait la trentaine mais, en réalité, l'âge n'avait aucune importance pour moi. Quelle virilité ce mec!
Tout a dérapé ensuite… Enfin, avec le recul, cela devait arriver
Lorsqu'il a appuyé sur mon épaule pour me faire comprendre de le sucer, j'étais dans un rêve. Dans la pénombre, je me suis accroupi et j'ai pris sa queue en bouche. Epaisse, très dure, au plein de ma bouche, j'ai donné le maximum de mon savoir faire de jeune suceur. Sa main dans mes cheveux a guidé le mouvement.
Je peux dire que je l'ai tété comme un petit veau, enfiévré par le plaisir de sucer sa belle bite d'homme. Vu toutes les scènes de sexe que je venais de voir, cela a été une délivrance pour moi de passer au concret, d'essayer d'égaler les supers suceurs de cette salle de cinéma.
Sans prévenir, son sperme a giclé dans ma bouche et, vu la pression très forte, son plaisir, il voulait que j'avale… une obligation pour lui… et j'étais prêt.
A genoux, dans la pénombre, j'ai avalé ma première éjaculation d'homme, ravi, émerveillé de mon exploit.
Il m'a relevé et m'a retourné prestement. Il a lui-même défait mon pantalon et baissé mon slip. J'ai laissé faire. Il a salivé mon trou et enfoncé son doigt dans mon cul: j'ai miaulé comme un jeune puceau.
Il venait de jouir et cela ne m'a pas du tout traversé l'esprit qu'il allait m'enculer.
Son gland posé sur ma pastille, je ne me suis nullement inquiété lorsque j'ai senti la pression pour me pénétrer, me tortillant même pour lui montrer mon plaisir. De toute façon, j'étais chaud bouillant, totalement offert. Je me suis accroché à un dossier de siège et penché en avant, c'est dire ma position pour me faire baiser.
J'ai couiné lorsqu'il a donné un coup de reins Le nœud s'est logé dans mon œillet et son mandrin a foré mon trou de façon virile. Tout le monde a entendu mon couinement et compris, vu mon âge et mon physique de jeunot, que je me prenais une bite dans le cul.
Le mec, très gaillard, entendait bien m'enculer. J'ai voulu me soustraire à cette saillie bestiale mais un homme, très macho, m'en a empêché en me bloquant.
Un attroupement de mateurs s'est formé pour assister à la scène.
Ma rondelle a cédé et j'ai geint comme un dépucelé.
Ce mec m'a fourré son phallus dans le cul, j'ai vraiment senti le mâle qui me pénètre. Sa queue a raclé les parois de mon anus et, incapable de me contrôler, j'ai miaulé, couiné. Vous imaginez le bonheur, le plaisir du mec et des mateurs près de moi.
Des commentaires sont sortis dont beaucoup élogieux pour le mec qui en a pris sûrement une certaine fierté.
Il m'a empoigné par les hanches et a soldé l'introduction. J'ai couiné de plus belle, j'ai ressenti sa queue glisser de toute sa longueur d'un coup. C'est surprenant mais le mec, poilu, me plaisait tellement que j'ai pris du plaisir tout de suite à m'être fait enculer. Sans capote, c'était la vraie baise. Je venais de le sucer, je savais ce que j'avais dans le cul.
C'est bizarre mais, dans ce cas là, on gémit et on tend son cul quand même. On découvre le plaisir d'être possédé. Le mec m'a traité de "Salope" et j'ai trouvé ça normal.
La copulation a été virile, sublime. Le mec avait de la force et m'a défoncé le cul. Plus je gémissais, plus les mateurs disaient " Ouais".
Je suis devenu, sans le vouloir, l'attraction du fond de la salle.
Le ton de mes gémissements a changé et, submergé par le bonheur d'être baisé par ce mec qui pouvait être un rugbyman vu son corps sculpté, tous le monde a compris qu'il me donnait du plaisir. Certains mateurs se branlaient, ravis de la saillie que je me prenais.
Le mec a accéléré, est devenu plus brutal, me traitant de "Pute" et de "salope", me faisant crier sous ses coups de reins…
J'ai voulu me dégager. Au comble de l'excitation, il m'a coincé, m'a rempli le cul, m'a fécondé bien profond en gueulant comme une bête pour pavaner devant les autres.
A 22 ans, je ne pensais pas prendre autant de plaisir avec un inconnu et j'ai aussi découvert que certains hommes ne débandent pas après avoir jouis.
J'ai imaginé qu'il m'en mettais autant dans le cul que ce qu'il m'avait mis dans la bouche… Humm. Le mental, les fantasmes…
Il s'est retiré, sans aucun égard pour moi, me laissant là, le trou dilaté, le cul graissé, les pantalons au niveau des genoux.
Je n'ai pas eu le temps de relever mon pantalon…
Une main a palpé mon cul pour constater ma fécondation. J'ai voulu l'enlever mais l'homme avait déjà rentré son doigt dans mon trou. Autant dire qu'il est rentré tout seul vu ma dilatation et le sperme gras du mec laissé là. J'ai miaulé mais putain que son doigt était bon!
Sans s'inquiéter de mon accord, il était déjà positionné derrière moi.
Vicieux, très pervers, il saisit ma main qui veut retirer son doigt et me fait tâter sa queue. Très arquée vers le ciel, elle m'a ébloui par sa longueur et son épaisseur.
Un déclic s'est produit en moi, j'ai eu envie de l'avoir dans le cul et je n'ai opposé aucune résistance. Impatient, il a poussé ma main et m'a fourré aussitôt.
Son manche a glissé sans problème et m'a procuré un plaisir inouï. Il a énormément apprécié mon gémissement de jeune pédé enculé qui lui confirmait que c'était trop bon. Le mec poilu m'avait bien dilaté et, avec son sperme qu'il avait largué, ça a aidé.
Il avait sûrement une grosse envie de me baiser pour m'enchâsser aussitôt. L'homme, puissant, a refermé ses bras musclés sur moi. Ses grosses paluches avec des chevalières m'ont excité, j'ai imaginé un manouche, un gros macho de 40 ou 50 ans, je ne sais pas.
Il m'a plu tout de suite tant il faisait mâle qui veut s'accoupler.
Je n'ai pu m'empêcher de passer ma main entre mes cuisses et constater que son gourdin était planté totalement dans mon cul et j'ai tâté ses grosses couilles charnues, humm.
A-t-il ressenti mon plaisir, c'est presque sûr. Lui aussi a dégusté sa réussite, avoir mis sa queue dans mon cul. Certains hommes mûrs ne veulent enculer que des jeunes. Son souffle chaud dans mon cou, il m'a léché l'oreille… comme pour me faire l'amour.
Il a soulevé une de mes cuisses pour mieux m'enculer. A mon mouvement de cambrure vers lui, il a bien compris qu'il était le bienvenu. Tu parles, vu le sexe assez long qu'il avait et d'un bon gabarit, on était tous les deux heureux… Maintenant, je dirais qu'il en avait une pas loin des 19/20 cm et qu'il savait que je n'aurais pas pu résister…
De plus, il avait vu que le mec, juste avant, m'avait enculé sans capote et jouis dans le cul. A cette époque, baiser un jeune sans capote était un privilège très recherché.
Il a coulissé son sexe en moi, en jouant sur la longueur de sa queue, en percevant les vibrations de mon cul qui réclamait son bel instrument et il s'appliquait à la rentrer totalement.
C'était encore meilleur avec ce mâle inconnu.
J'ai répondu en me tortillant de plaisir, en caressant ses avant-bras qui me retenaient, en lui distribuant des petits couinements.
Il a vraiment dégusté mon cul, heureux de baiser un jeunot et moi qui avait tâté vite fait sa queue, je savais que j'en avais une longue à me ramoner. Humm, le pied!
Il ne s'est pas occupé des mecs qui bavaient d'envie à côté de nous. Il a poussé des mecs qui voulaient me tripoter, leur signifiant que j'étais à lui, qu'ils devaient attendre leur tour.
Ses mains visitaient mon corps comme pour mieux se persuader de sa réussite.
Mon cul est devenu un étui pour son bel instrument et, c'est sans doute ce qu'il voulait… je me suis offert à lui, j'ai tendu mes fesses pour mieux me faire emboiter.
" Ouaissss" …
Le rythme a changé aussitôt et notre copulation est devenue plus torride, plus érotique. Mes couinements sont devenus très chauds, très bandants, beaucoup moins discrets, mon plaisir sonore plus débridé. Ses lourdes couilles faisaient du bruit en venant se coller contre mon cul poisseux. Il m'a emmené doucement vers le nirvana…Petit à petit, je me suis fait salope qui découvre le plaisir du sexe.
C'est surprenant mais j'avais trop envie qu'il m'ensemence.
Il m'a laissé toucher son sexe encore une fois: il était superbement pourvu, un bon long sexe rigide qui ramone le conduit à la perfection. Puis m'a pénétré d'un trait, me faisant crier…
Son comportement a changé. Il m'a alors baisé plus sauvagement et j'ai senti que j'étais devenu sa pute, un trou à jus pour lui, un minet qu'il fallait déniaiser.
Un homme balèze est arrivé devant moi, attiré par mon plaisir étalé. Difficile de le rater: grand, large, une armoire à glace… Je l'avais vu entre deux rangées de siège, en train de se faire pomper par des mecs mais je n'avais pas pu approcher. Il m'avait impressionné par son physique… Je m'étais dit: ce n'est pas pour moi, je suis amateur.
Je couine d'être ramoné, dominé. Le balèze sourit, est ravi de me voir emmanché par cet homme. Il pousse un mec et se positionne encore plus près de moi, se penche pour m'entendre gémir.
Pervers, il hume mon souffle, déguste mes couinements, imagine déjà tout ce qu'il va faire avec moi. Sa tête presque collée à la mienne, il fantasme, m'envoie dans les narines une odeur forte de cigares ou de cuir. Plusieurs mateurs de tous âges bavent d'envie que ce bestiaux s'intéresse à moi.
L'homme, grand, baraqué, puissant, plus d'un quintal, ne passe pas inaperçu. D'énormes bacchantes en forme de fer à cheval lui encadre la bouche. Sa chemise, ouverte, laisse deviner des pectoraux de gladiateur recouverts d'une moquette de poils ou plutôt de crins durs.
Il n'est pas beau mais très viril, absolument très mâle Alpha.
" HUMMM, c'est bon, hein, mon chéri? " me dit-il de sa voix caverneuse.
Je ne réponds pas, trop occupé à haleter, à recevoir dans mon cul le long mandrin arqué.
" T'aimes bien la queue, mon chéri.
" Ouiiiii " ………. (je lui réponds, je sens qu'il ne va pas me lâcher).
" Hummm, Tu m'fais bander, mon chéri!
" Heeeiiinnn Ahhhhh Heiiiiiinnnn
Le quinqua qui m'enfile ne semble pas s'émouvoir de la scène. Pour lui aussi, je ne suis qu'un cul et depuis que ce malabar s'est imposé devant moi, il est plus excité, plus viril, presque brutal à m'enquiller son manche entre les fesses.
" T'as des belles lèvres de suceuse, mon chéri!" … me dit le costaud.
Et, aussitôt, il ventouse ses lèvres sur les miennes.
Pervers, sa grosse langue fouille ma bouche. Notre bouche à bouche est entrecoupé par mes couinements sous les coups de reins que je reçois. Ses bacchantes énormes sont un délice niveau érotisme. Il bave, crache sa salive sur ma langue, lèche ma bouche. Il sait que je vais aimer, il l'a deviné.
C'est dégueu comme on dit maintenant, comme les babines des gros chiens qui bavent mais tellement érotique. Il sait que je ne peut pas me soustraire à son délire.
Il laisse l'homme me baiser, déguste mes gémissements, m'impose son plaisir. Voir un jeune de 22 ans se faire baiser par un homme mûr, il y a de quoi bander. Surtout que celui-ci me nique avec vigueur, sans égard, pour le plaisir de baiser un jeune passif qui découvre le sexe.
Le grand costaud appuie sur ma nuque, colle ma tête contre sa poitrine… Mon Dieu! tous ces poils, la puissance de ce mâle.
Je le suce, le tète, le vénère… Les mateurs sont aux anges et certains disent "Ouaissss"
" Oui, mon chéri!" et il me dirige sur l'autre téton.
La chance qu'il a, j'adore, je fantasme les hommes poilus. Me faire baiser et sucer ce titan, mon Dieu quel pied! Je comprends l'envie des mateurs. Et, en plus, ses tétons sont gros, c'est incroyable! Et il aime ça!
Il me récompense d'une pelle gluante. Le crâne rasé, une allure à faire peur, il n'est pas beau mais il embrasse trop bien. Lorsque j'offre ma bouche, il sait qu'il a gagné. Il sourit, me lèche, devient extrêmement câlin, sensuel en restant bourré de virilité.
Je m'accroche maintenant sur son ventre, sur ses flancs… Il jubile de la situation.
Le quinqua harponne, coulisse sans effort entre mes reins, c'est trop bon.
" Graisse lui le trou, il n'attend que ça. Tu vas m'le passer après." dit il à mon enculeur
Contre mon oreille, il bave de désir…
" Il te baise bien?
" Ouiiiii….Haaaaaaaaa
" Hummm, c'est bon dans ton p'tit cul, hein, sa grosse queue, hein?
" Ouiii…..Heeeiiiinnnn
" T'as bien fait de venir, hein?
" Heiiiinnnn Haaaaa
" Elle est bonne, t'en veux encore hein?
" …Heiiiinnnn… Ouiiii
" Moi aussi j'ai envie.
" Heiiiinnnn …haaaaaaaaannn
" J'aime bien les p'tits jeunes en chaleur, comme toi.
" Himmmmm….Ahhhhhhhhhhhhh
" Moi aussi, tu vas m'prêter ton p'tit cul, mon chéri!
" Hemmmmmmmm….
" J'ai une grosse bite, j'vais bien ouvrir ton p'tit cul, mon chéri!
" Haaaaa… heeeiiinnnnn
" Tu veux bien, mon chéri?
" Hhheeeeiiiiinnnnnnnnn …..Ouiiii…( j'avais pas envie de le contrarier)
" Touche ma queue, mon chéri, elle est pour toi." … Et il saisit ma main, me fait toucher son braquemart, impressionnant.
" Ta main est douce. Tu m'fais bander" . Et il me fait un bécot humide, vicieux, gluant…
" Heiiiiinnnn Ahhhhhhhh … Elle est trop grosse! Heeeeeiiiinnnn
" T'inquiètes, mon chéri, plein de mecs la veulent. Elle est pour toi!
" Heiiiinnnn! Ahhhhhhh
" Elle est belle, hein?
" Ouiiii…Heinnnnn…Elle est trop grosse! "
" Touche mes couilles, mon chéri. Elles sont bien pleines. J'vais remplir ton p'tit cul! …
Et il continue son délire pendant que mon enculeur prend son pied avec son manche entre mes fesses… Putain que c'est bon!
La queue du balèze est splendide: dure, si épaisse que mes doigts n'en font pas le tour, dotée d'un énorme gland baveux, un vrai manche de pioche. Je comprend pourquoi il avait tant de mecs a vouloir lui tailler une pipe. Il insiste pour que mes doigts saisissent son braquemart, oblige ma main à tâter ses grosses couilles poilues. Sa bouche bave sur la mienne.
" Tends bien ton cul de p'tite salope, il va vider ses couilles.
Mon enculeur est prêt à juter, (il l'a deviné), trop excité par la présence de ce gros mâle pervers qui n'a peur de rien. Il doit savoir que ce titan a un phallus de rêve. Savoir qu'il veut me baiser le fait disjoncter et il devient bestial, me nique sans délicatesse…
" HHHHHEEEEIIIINNNNN ... HHHHHAAAAAAaaaaaa
" OUAISSS…. Il te la met bien dans le cul, hein… Tu la sens bien!
" Heeeeeiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnn …. et mon enculeur se bloque brutalement
" HHHHAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHH
L'homme braille, ne recherche nullement à se retirer, me serre dans ses bras, comme pour me récompenser, me faire le plus beau des cadeaux parce que je l'ai laissé me baiser. Baiser un jeunot est pour lui un plaisir incroyable et il gueule sa réussite…
Haletant, il m'envoie tout son sperme bien profond. Des vibrations de sa queue qui gicle traversent mon corps. Jamais je n'avais encore ressenti cet effet.
" T'es une bonne petite salope, t'aimes bien t'en prendre plein le cul!" continue le balèze.
" Heeeiiiiiinnnnn
" Moi aussi, j'vais t'en donner" et il me roule une pelle gluante une fois de plus.
Il me retient, de peur que je lui échappe. Sa poigne est énorme. Son autre main me tripote aussitôt, sans tabou, sans hésitation…
" Putain, tu l'as bien baisé." dit-il à l'homme, tout en farfouillant mon trou avec son gros doigt.
J'essaie de voir celui qui vient de m'inséminer. Satisfait, il sourit en rentrant sa pine dans son caleçon. J'imagine que c'est un Turc venu vidanger ses couilles pleines. Mon premier étranger, putain le pied! Il a du m'en larguer une grosse quantité!
Un murmure se fait chez les mateurs. Le malabar défait son large ceinturon pour dégager son matos. Ils savent tous qu'il va m'enculer, que je suis l'heureux élu. Plein de mecs rêvent sans doute d'avoir son gros pieu dans le cul.
Comme une jeune femelle en chaleur qui aime ça, j'attends le mâle. Je fais jeune dépucelé à côté de ce costaud des Halles, la cinquantaine et plus d'un quintal. Je suis trop chaud, trop heureux de laisser aller mes pulsions, de faire des envieux. Revenu chez moi, jamais une occasion comme cela ne se représentera.
Et j'ai eu raison. Il me faudra bien longtemps avant de recroiser pareil mâle.
Collé derrière moi, il m'enveloppe dans ses bras. Il me surprend, me tord le cou en cherchant ma bouche et tous les deux on se contorsionne, nos bouches viennent se souder. Je me donne à lui en me cambrant…
Je sens son mandrin entre mes fesses venir sur ma pastille ouverte, pleine de foutre...
L'épaisse queue glisse dans ma fleur épanouie et s'enfonce dans mon cul.
Je me cambre, me cabre de tout mon corps, m'offre à ce vieux mâle. Je geins. Il respire fort lui aussi. Son plaisir semble inouï de me voir peiner, sentir son pieu qui me dilate la chatte, qui me défonce le conduit anal.
Son énorme nœud passe soudain ma rondelle, me faisant crier, gémir comme un dépucelé et me libérant en même temps. Son braquemart me faisait peur mais j'en ai tellement envie qu'il m'enquille presque facilement. J'en suis ébahi.
Il déguste l'introduction de sa grosse bite dans mon cul, la laisse glisser.
Je manque de m'évanouir tellement mon cul s'ouvre. Je me sens défoncé, comme partagé en deux. Je manque d'air, gémis rien que pour lui, pleure aussi. Je ne sens plus mon cul tellement il est en moi.
Je me surprend à couler des larmes mais à le désirer. Coincé contre le dossier du siège, je n'ai pas de mouvement possible. Jamais je n'aurais imaginé me faire baiser par un homme si puissant, si bien monté, à la vue de plein de mateurs.
Un cri d'enculé s'échappe de mes poumons lorsque son braquemart glisse brutalement et que la chaleur de ses grosses couilles entre en contact avec mon postérieur.
Il ne dit pas un mot, sourit avec vice de sa réussite. Sa respiration chaude, son haleine puissante sont trop érotiques. Sa douceur est un miracle et il apprécie que je me soumette. Il crache sa salive dans ma bouche pour me dominer encore. Pour me récompenser, il donne un coup de reins. Je crie encore, gémis mais il sait que c'est par bonheur.
A côté, les mateurs ont compris qu'il a réussi à m'enculer. Pour les narguer, sans pudeur, il s'écrie:
" J'l'ai bien défoncé, ton p'tit cul de salope, mon chéri!"
" Heeeeeeeeeeeeeiiiiiiiinnnnnnnnnnnnnnn"
Instinctivement, je sais qu'il adore mes couinements. Cela lui fait plaisir que tous les envieux entendent, sachent qu'il vient de me mettre sa grosse bite dans le cul.
Un mec plus vicieux que les autres met la main et constate que l'énorme gourdin est logé. Il se fait engueuler immédiatement.
" J'pourrais peut-être le baiser tranquille! Il a ma bite dans le cul, vous êtes satisfaits! " et tous les mateurs se retiennent de nous tâter.
Je suis surpris que je sois dilaté à ce point pour m'être fait enculer par un homme avec une matraque pareille.
Pendant plusieurs minutes, il me roule une pelle et nos salives se mélangent. Lorsqu'il coulisse en moi, je geins mais ce n'est que bonheur et il le sait. Je couine pour lui, je miaule pour lui.
Son plaisir est énorme et ses vas et viens sont amples, virils. Il pavoise que je crie, que je prouve à tous que je prend mon pied, qu'il baise un jeune minet dans cette salle de cinéma.
Il y a plein de monde a assister à mon enculage. J'ai trop de plaisir, je suis incapable maintenant de me retenir.
Une effervescence s'empare de l'assistance.
Il a de l'endurance, je ne suis qu'un cul pour lui. Il me démonte, prend son plaisir sans penser à moi. Mon cul n'a plus de rondelle…
Les mateurs bavent d'envie et n'osent le contrarier.
Un homme réussit à monter sur le siège devant moi et me présente sa queue, pour que je la suce.
D'une poigne sur ma nuque, le malabar me fait comprendre de pomper le mec.
" Vas-y, taille lui une pipe, ils va te donner son jus! " me dit, comme un ordre, le balèze "
J'obéis, pour le plus grand bonheur de tous. Je suce sa queue, assez courte mais bien calibrée. Baveuse, nerveuse, odorante, elle me plait énormément.
En plus, l'homme est ultra poilu, peut-être un Portugais?
Son odeur forte m'enivre et il se réjouis de participer. Il ondule, me baise la bouche.
Je peine à respirer mais c'est trop bon.
Le balèze constate, prend plaisir à me voir la bouche pleine.
Sa queue semble durcir encore, semble grossir encore dans ma bouche…
Sans prévenir, parce qu'il est mûr, mon poilu râle, gueule sa libération, décharge son foutre.
" Heeeeemmmmmmmmmmmm…"
" OUUUUUAAAAAAIIIIIIsssss" s'exclame le balèze, ravi de mon repas rapide.
" Avales, mon chéri, c'est plein de vitamines!" poursuit-il.
A mon grognement de mec gavé, les mateurs les plus près de nous pavoisent, les amateurs de sperme sont dépités.
Ma bouche est pleine tant son sperme est abondant, le goût de sa semence est très iodé.
Par excitation, parce que cet homme me plait, j'avale avec plaisir.
" Ouais! t'es une bonne salope! " me dit le balèze en coulissant son pieu entre mes fesses.
Je crie, je geins, la bouche encore engluée. Une odeur de sexe règne dans la salle et tout le monde semble en rut.
Un vieux réussi à venir sucer ma queue. Je tente de le repousser, je vais jouir, je le sens, c'est trop pour moi.
Ses lèvres gourmandes se referment sur mon sexe, glissent jusqu'à mes couilles. Il m'aspire, me pompe… Je pousse un grand cri de jouissance, éjacule tout mon jus.. Le vieux jubile, me tète jusqu'à plus soif…
" OUAIS! Tu prends ton pied, ma salope! " … Le balèze, qui a laissé faire mon suceur, a senti mes contractions de jouissance, perçu mon bonheur.
Je n'ai plus aucune goutte de sperme à donner, je réussi à repousser le vieux, qui a tout avalé.
Le malabar me défonce avec son braquemart. La discrétion est morte, toute la salle a droit à ma saillie, ma fécondation va être validée.
" PPPPUUUUTTTAAAiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiinnnnnnnnnn…. Bouge pas, Salope!
Il hurle, ameute la salle de sa jouissance, qu'il donne sa semence au minet du jour.
Le balèze se retire, indifférent à mon égard. Un mec tente de sucer sa bite majestueuse qui vient de sortir de mon cul. Il ne doit pas trop aimer, il le repousse et va plus loin…
Je réussi à remonter mon pantalon. J'ai les couilles vides, le cul bien rempli, le trou ravagé.
Jamais je n'aurais imaginé que ce soit si tonique pour moi. Je fais comme je peux pour essuyer mon cul, remettre mes vêtements en ordre pour être plus présentable avant de sortir.
Je ressors, il me reste seulement une heure de libre avant de prendre le chemin du retour. Je ne sens plus mon cul… Je panique à l'idée que l'on me demande ce que j'ai visité à Paris…
Je suis revenu dans cette salle de cinéma quelques mois plus tard… J'étais beaucoup plus libéré et de fût …très tonique, très érotique….
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