Black is black

- Par l'auteur HDS Caramel35 -
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Black is black Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Black is black
Ah, mon premier black, quelle histoire!
Quelques jours avant mon déplacement à Paris pour une formation, j'ai passé une annonce où j'explique ma recherche. Passer la nuit avec un mec, ressentir son corps, se faire posséder au gré de ses envies, n'importe quel jeune homo passif en rêve. Les baises rapides dans le sauna près de la gare où je vais me donnent satisfaction mais j'ai envie de plus, de câlins, de sensualité…
De nombreux messages arrivent pour un coup vite fait. Des hommes de tous âges qui veulent profiter de mon corps sans véritablement partager une longue nuit sensuelle…Des hommes mariés ainsi que des célibataires qui veulent tirer un jeune mais qui ne sont pas disponibles pour la nuit… A croire qu'ils n'ont pas lu mon annonce.
J'ai aussi deux propositions, très excitantes, pour rejoindre des couples en banlieue mais ça me fait trop de temps perdu dans les transports… Dommage.
Des hommes actifs, directifs, portés sur l'insulte, trop pervers pour moi… et aussi d'autres mails qui ne respirent pas mes attentes… seulement quatre mots, uniquement le téléphone, des demandeurs de photos, sans compter ceux qui ne se présentent pas…
Puis je clique sur un mail: un jeune black s'intéresse à moi. Je relis, les yeux ronds: oui, c'est bien vrai. Il se présente simplement, me donne envie en me disant vouloir faire l'amour avec moi. Il a joint une photo, certes un peu floue, mais c'est mieux que rien.
Je frétille de bonheur et, en même temps, j'ai peur de ne pas être à la hauteur de ses attentes, s'il est très chaud et endurant. J'ai déjà croisé des blacks au sauna, hélas sans contact; l'un secouait déjà un passif expérimenté. Un autre, je n'ai pas osé lui afficher toute mon envie.

Ce sera lui l'heureux élu… s'il ne me fait pas faux bond. Tout est toujours possible. Sinon, j'irai au sauna pour assouvir mes pulsions, faute de mieux.
La dernière fois, j'ai répondu à une annonce, le mec n'est pas venu au rendez-vous.

Recevoir un inconnu, qu'il reste dormir avec moi dans ma chambre d'hôtel me fait flipper mais j'ai trop envie de câlins, de douceurs et de sexe. Je n'évacue pas la possibilité d'une mauvaise rencontre, du vol de mes affaires ou de mes papiers mais je veux rester optimiste…
*Cette rencontre s'est passée lors de mon premier emploi. Loin de chez mes parents, je brûlais de désir pour les hommes, je libérais mes pulsions sans crainte de l'entourage.

L'échange qui suit, par mail, confirme mon bon ressenti. Pas de bla-bla inutile, des mots simples, des phrases normales. Il me propose de communiquer par téléphone, j'apprécie l'initiative.
Sa voix est celle d'un black, envoutante, ronde, profonde. Poli, calme, il parle avec douceur de faire l'amour avec moi, me demande ce que j'aime. Des vibrations érotiques me parcourent, je bande de désir. J'ai hâte de le rencontrer.
Le jour de ma formation, tôt le matin, il m'appelle. Il confirme qu'il sera là à l'heure, juste après sa journée de travail. Je suis heureux.
Quelques minutes avant la rencontre devant l'hôtel, il appelle pour me prévenir qu'il est avec son oncle. Il ne faut pas que je m'inquiète, il n'y a aucun problème. Il me rassure, sa voix est suave, chaleureuse… et je le vois qui arrive, effectivement, accompagné!!!
Très poli, souriant, il me serre la main. Malick, c'est son prénom, me présente, très naturellement son oncle, Daouda… Je ne sais pas comment réagir…
Cela doit être culturel pour les blacks; venir avec un autre pour une rencontre de cul ne lui pose aucun souci. Certains lecteurs m'expliqueront peut-être.
J'ai trop fantasmé sur cette rencontre, j'ai trop envie, je ne suis pas déçu… je suis incapable de me positionner sur la nouvelle situation. Je ne veux pas paraître fermé, être le jeune pédé coincé qui allume et qui n'assume pas.

Malick a le visage abimé par des marques de je ne sais quoi. Ses lèvres pulpeuses, ses cheveux crépus, coiffés en rastas, le rendent craquant. Son regard pénétrant et son sourire m'envoutent. La présence de son oncle ne lui occasionne aucune gêne. Je le sens chaleureux, plein d'envie de passer un moment avec moi. Tactile, envoutant, il me touche le bras, m'ensorcelle par son désir, sa voix au timbre profond qui ronronne dans ses poumons. Dans son jogging ample, je devine son corps sculpté, sa souplesse de félin. Vu la déformation évidente à son entrejambe, il meurt d'envie de me doser.
Son souffle embaume mes narines, me maraboute. Je ne sais pas comment je pourrais résister.

Daouda, d'âge sénior, est bien différent. Puissant, costaud, il dégage une force physique de mec manuel. Ses yeux pétillants, pleins de sexe, me dénudent. Il me serre fermement la main avec sa grosse poigne, me parle de ma journée comme si on était amis depuis très longtemps. J'ai du mal à comprendre son langage fleuri, son fort accent; cela le fait sourire. Il garde ma main, me retient. Avoir en face de lui un petit blanc qui veut se faire niquer doit l'exciter. Il espère sûrement, lui aussi, me remplir de son sexe. Son envie de me baiser est trop visible; il brûle de désir. Il me parle en basses ondes, me drague. Il se tâte le paquet pour calmer la bête, inconscient de son geste.

Ses lèvres sont charnues, grosses, incroyablement imposantes, d'une beauté du diable… Ce black dispose d'un aimant à baisers langoureux à me rendre cinglé.
D'ailleurs, j'ai remarqué depuis que tous les blacks ont de belles lèvres.
Le crâne dégarni, une barbe épaisse poivre et sel qui frisotte, les avant-bras à l'air, il respire une santé, une énergie incroyable. Sa peau soyeuse brille d'un éclat lumineux et attire mon regard, m'hypnotise.
Je suis ailleurs, disjoncté. Ces deux blacks, diamétralement opposés, m'aimantent. Je sais que c'est trop mais comment refuser une opportunité pareille.

"On y va" me dit Malick, de sa voix profonde… et il emboite le pas vers l'entrée de l'hôtel.

Nous rentrons comme si nous avions une réunion importante, directement vers l'ascenseur. C'est la première fois que je fais venir quelqu'un dans ma chambre. J'ai trop peur que le réceptionniste me demande quelque chose.

Dès la porte de la chambre fermée Malick pose son sac à dos, s'approche de moi, me colle, pose ses lèvres sur les miennes, comme un amant habituel. Ses bras m'enveloppe … mes craintes s'évacuent, la magie opère.
Daouda assiste à nos étreintes sans intervenir.
Le bisou est divin, épicé, pimenté comme il faut, d'une sensualité extraordinaire. Il a un goût mêlé à des senteurs que je n'arrive pas à définir.
Je bande, je suis heureux, terriblement heureux de cette approche.

Daouda prend le relai. Puissant, massif, il s'impose, sûr de lui, me serre fort. Son baiser est différent; suave, plein de salive exotique, érotique, viril, imposant. Ses grosses lèvres aspirent les miennes et il me laisse étourdi par ce premier contact. Une décharge d'adrénaline traverse mon corps et raidit ma queue qui tressaille. Je ne pensais pas que ce serait si bon…Ses lèvres, chaudes, goulues, m'obsèdent. Il a compris que c'est bon pour lui.
Son odeur, puissante, musquée, a imprimé en moi la force du mâle confirmé.

" Toi, tu me plais bien."… me dit il en me libérant.

Ils ont sûrement l'habitude de niquer des petits blancs et savent comment leur faire tourner la cervelle. Est-ce vraiment son oncle, à vrai dire, je m'en fout.

Malick m'explique qu'il travaille à la ville de Paris et qu'il vient de finir sa journée de travail. Il ne veut pas me faire subir les effluves de sa journée et demande à prendre une douche, que j'accepte sans problème. J'en ai pris une juste avant leur arrivée.
Ils se dessapent sans manière et je fais de même. Le corps d'ébène de Malick, d'une beauté incroyable, son sexe de black, que je découvre, me fascinent. Bien que monté normal, son attribut de mâle est magnifique. Tout en lui me plaît.
Sous la douche, sans pudeur, tourné vers moi, il se savonne abondamment, insiste sur sa queue qu'il veut irréprochable.

Je bande d'excitation. Daouda scrute mes réactions d'émerveillement, tâte mes fesses, frotte mon dos, enchanté que je mate avec gourmandise l'objet de mes désirs:

" T'as un beau petit cul! " me dit il, en débouclant son ceinturon.
" Merci"…
Perdu au milieu de cette scène de rêve., je ne veux rien louper du moment et me tourne vers lui.

Son torse puissant m'explose les yeux. Il dégage une force de taureau. Sa peau d'un noir profond et satinée, exhale une odeur de parfum intense, puissant, qui n'enivre. Il sent le mâle à m'en faire perdre la raison. Il caresse son paquet dans son caleçon, me trouble, m'achève par sa provocation.

" On va te faire découvrir nos talents de blacks" … me dit-il … et ils rient ensemble.

Malick, sorti de la douche, encore humide, s'approche, m'offre sa queue à sucer… Ma première queue de black. Rien que pour moi, sans crainte de me faire doubler par un passif plus entreprenant comme dans les saunas.
La consistance est divine, le goût sublime. Je suis raide, je bande à mort.
Je suis ravi, enchanté, émerveillé. J'ai tant rêvé, tant fantasmé de ce moment.
Il caresse mes cheveux pendant que je suce son sexe qui durci. Doux, aimant, attentif, il devance mes envies, me fait lécher ses couilles, douces, lisses, fermes… je suis au paradis…

Daouda, dès sa douche finie, approche son corps massif. J'hallucine en voyant comment il est monté. Son sexe, pas encore raide, épais, large, long, me donne envie de pleurer tellement il est superbe. Quelle beauté ces blacks!
Il pourrait me traiter en lope, m'imposer une fellation mais non, il me relève, se frotte à moi, me rend dingue, maitrise parfaitement le jeu du désir.
Ses lèvres somptueuses se collent à ma bouche, sa langue m'envahit, coulant en moi une salive abondante épicée. Son membre viril qui durcit caresse mon ventre puis se loge entre mes cuisses qui frémissent en sentant l'imposant mandrin. Son parfum puissant et envahissant revient à la charge et nous enveloppe.
Quelle extase, mon Dieu, quelle extase! … et Malick qui laisse faire, serein, décontracté…

Je le sens excité par mon corps blanc et juvénile. Je me suis parfumé et préparé, il me sent comme le cerf hume la biche réceptive. Sûr de lui, il palpe mes fesses, serre ma taille. Entre eux deux, je suis un jouet sexuel dans un déroulé parfaitement maîtrisé.
Dans un désir partagé, tout en rondeur, ils vont m'initier...

Malick tâte lui aussi mes fesses, glisse sa main dans ma raie et introduit un doigt dans mon œillet avant de mettre un peu de gel. Daouda se régale de mes petits gémissements lorsque les doigts dilatent mon anus et en profite pour me faire sucer ses tétons fort développés. Il est musclé, bien enrobé mon Daouda. Ses yeux me dévorent, scrutent mes réactions…

" Détends toi, ma p'tite chérie.
" Oui
" Tu t'es déjà fait visiter?
" Oui, mais jamais par des blacks.
" Tu vas voir, avec nous, les blacks, tu vas aimer. Suce Malick encore un peu.

Et je reprends en bouche le mandrin de Malick, raide, relevé, décalotté, absolument magnifique. Le goût de son pré-cum est délicieux. Ces deux là ont un parfum imprégné sur eux qui me rend dingue. Leur peau est douce, incroyablement douce.
Puis Malick chausse une capote avec adresse et dextérité et m'installe à genoux sur le lit, à sa guise. Ses mains caressent mon dos, appuient sur mes reins pour ajuster ma croupe…
Son gourdin couleur réglisse ouvre ma rondelle par à-coups, sans difficulté.

" Heeeeeiiiinnnn…
" Hummm, il est délicieux, ton p'tit cul, Laurent!
" Va doucement, Malick, ……. Heeeiiiinnnnn…
" Détends toi, Laurent. Ca y est, je t'ai pénétré…

Ma main constate l'incroyable. Je suis honoré pour la première fois par un black et je n'ai senti qu'une merveilleuse dilatation. Il m'a magnifiquement ouvert en trois petits mouvements. Un coup de chaud de bonheur, de détente me traverse. Dans le sauna où je vais habituellement, nombre de mecs m'ont fait mal en m'enculant comme des bourrins.

Il appuie sur mes reins, me demande si j'aime, si c'est bon, et solde le reste d'un coup de reins jusqu'à faire toucher ses couilles contre mon cul.

" Hummmmmmmmmmm
" C'est bon Laurent? Tu aimes?
" Ouiiiiiiiiii, c'est trop bon avec toi. Merci Malick" … et je me cambre pour lui montrer mon bonheur. Enculé comme ça, ça m'est déjà arrivé, par un Turc qui travaillait sur un chantier sur le trajet de mon école. Il m'avait largué tout son sperme dans le cul, j'avais adoré.

C'est peut-être ridicule à écrire mais, dans ma tête de jeune passif, se faire enculer par un black, c'est le top. Mon plaisir est démesuré.
Daouda est témoin de mon enculage et bizarrement, je ne ressent aucune gêne. Il mate la scène, scrute mes réactions, tient son manche à pleine main. Cela l'excite de me voir me faire embrocher. Il branle doucement sa queue, se pince un téton. Il va me baiser après, il en meurt d'envie.

Malick glisse, ondule en moi avec douceur, sensualité. Je vibre comme un instrument de musique bien accordé. Daouda choisit ce moment et présente son chibre.
Je suçote d'abord l'énorme gland puis mes lèvres humidifient l'épais mandrin. Quelle queue il a le tonton! Putain, le morceau! J'hallucine d'être dans mes limites d'ouverture de bouche!

Ses yeux me fixent. Il jubile de m'imposer son énorme bambou, de me voir peiner sur son braquemart. Il progresse par moments entre mes lèvres, me laisse adapter ma respiration. Je me sens respecté aussi, lorsqu'il force un peu plus, je sais que c'est pour tester mon potentiel. Mais quelle bite! Heureusement il n'insiste pas et me propose aussi ses grosses couilles pendantes.
Au sauna, une fois, je suis tombé sur une brute bien montée, rien à voir…

Malick débute ses va-et-vient. Je couine de bonheur. Disons plutôt, je marmonne, je ronronne la bouche pleine. Tout n'est que volupté et érotisme. Je suis possédé, comblé par ces blacks qui me font découvrir le bonheur d'être passif avec des actifs respectueux.
Je n'avais pas imaginé un seul instant avoir une queue noire dans le cul et une autre, épaisse, dans la bouche. J'évite de toucher ma queue, j'ai trop peur de jouir trop vite, au moment où je déguste un plaisir inouï.

Tous les deux prennent leur pied à me baiser. Leurs mains palpent, parcourent mon corps comme pour profiter d'une gourmandise. Eux aussi se régalent comme moi je me régale de lécher les grosses couilles de Daouda, de frotter ses cuisses puissantes. Le sexe de Malick coulisse maintenant dans mon anus avec une aisance divine.
Au sauna, j'ai déjà fait une fois avec deux mecs en même temps mais ils me baisaient avec vice, juste pour leur satisfaction personnelle, en m'insultant.

Ils me félicitent, ronronnent, parlent entre eux, alternent entre douceur et virilité puis Malick se retire, enlève la capote et vient proposer son sexe, raide, veiné, succulent.
Il pourrait jouir dans ma bouche, je sais que je vais avaler.
Il me teste, m'impose d'office son sexe jusqu'au fond de la gorge. Je suis stupéfait de ma prouesse, de sentir son nœud si loin. Avec un autre, jamais je n'aurais été aussi détendu pour réaliser un tel exploit. Il s'extasie, me félicite, réitère en forçant vraiment. Il était temps qu'il relâche sa pression, j'allais manquer d'air et rendre mon quatre heures. Satisfait de son coup, il me tapote la joue et me passe à son "tonton".

Daouda, les yeux luisants de désir, sait que c'est son moment et me fait allonger sur le lit. Je suis détendu, absolument pas stressé de savoir qu'il a entre les jambes un manche superbe et épais. Il se couvre d'un préservatif, l'enduit d'un peu de gel et vient s'allonger sur moi. Je fais crevette à côté de ce black baraqué mais j'ai trop envie. Il sait que je suis ici dans cette chambre d'hôtel pour me faire baiser. Je m'offre, j'accepte qu'il me pénètre. Je suis chaud, Malick m'a si bien ouvert, lui aussi je le veux.
Si Malick était venu seul, j'aurais été totalement comblé. Je ne suis sans doute pas prêt de recroiser un black comme Daouda, si bien monté. L'envie me fait perdre tout raisonnement.

Positionné sur moi, il me bloque. Le contact de son corps, la chaleur qu'il dégage, m'ensorcellent. Telle une femelle en chaleur, je m'offre à lui, ajuste ma croupe pour ce vieux mâle en rut. Il frotte son énorme mandrin entre mes fesses… quel bonheur!, plonge un doigt dans ma petite chatte de mec, exprime sa satisfaction par un langage très fleuri…

L'énorme nœud se cale dans mon œillet déjà dilaté, force, m'élargit encore… je geins… Il s'allonge sur moi, me couvre complètement. Avec son poids conséquent je suis prisonnier. Une énorme pression force et déploie ma corolle, me fait couiner… sa main calleuse vient couvrir ma bouche… il me fore, m'ouvre, taraude ma fleur… mes yeux se mouillent dans mes plainte étouffées … sa bouche lèche mon cou, suce mon oreille. Sa respiration chaude, ses senteurs exotiques enveloppent notre corps à corps. Je sais qu'il a une énorme envie de m'enculer et j'ai aussi énormément envie qu'il soit en moi. On sera malheureux tous les deux si elle ne rentre pas.

Un sénior m'a baisé au sauna le mois dernier, il avait une grosse queue lui aussi… mais, dominateur et brutal, j'ai crié quand il m'a défoncé. Il a pris son pied mais pas moi.

Il recule, me laisse un répit et revient à la charge, sûr de lui, en mâle dominant. Les petits blancs, il sait comment les niquer…
Avec persévérance, le gros gland ouvre la frontière. Ma rondelle, vaincue, dilatée à l'extrême, couronne et comprime l'énorme nœud sculpté qui s'impose. Il m'arrache des plaintes érotiques extraordinaires… il me la met dans le cul…
Mon cul me chauffe, me brûle, tiraillé par cette élasticité démesurée. D'instinct, je me tortille, tente de me dégager de cet inconfort. Il s'affale sur moi de tout son poids, me défonçant dans ce mouvement brusque. Un grand couinement sort de mes poumons, étouffé par sa large pogne. Cette fois ci, j'en suis absolument sûr, il est en moi. Un flash me traverse la tête, m'informe que mon cul est à lui. Son énorme nœud est rentré.

Sans bouger, Daouda me parle. Ses mots sont crus, chauds, érotiques. Il prend plaisir à m'ouvrir la chatte, à me parler de son gros boudin noir, de mes fesses de petit blanc…
Il me noie sous des paroles tellement réalistes des fantasmes que je réalise… Je ne comprends pas tout son vocabulaire imagé et mon corps n'a pas d'autre choix que de s'adapter, de se faire écrin pour sa bite majestueuse.

Il est rempli d'un érotisme viril, sûr de lui, frotte sa barbe crépue sur moi, prend son temps. Il recule un peu et fore encore… le puissant gourdin glisse dans mes entrailles de quelques centimètres à chaque fois… je geins tel un jeune enculé qu'on dépucèle vraiment… Il m'embrasse, bave sa salive sur moi, me lèche, m'appelle " ma chérie"…
Il se réjouis de sa position, de son emprise sur moi, de sa domination à niquer un jeune blanc, de mon envie de me faire baiser par des blacks.
Je suis emmanché… J'ai des larmes mais je suis heureux… il libère ma bouche pour mieux m'entendre couiner comme une petite chatte sous le gros matou, se régale de mes plaintes puis m'enfonce la tête dans l'oreille; il ne voudrait pas être dérangé en si bonne posture par les voisins des chambres à proximité.
Il continue de m'introduire, avec douceur et fermeté, par des petits va-et-vient…

Je me sens ouvert, écartelé, défoncé, complètement offert à ce black bien monté. Je voulais me faire baiser par un black... Dans ma tête, c'est fabuleux, irréel. Je veux déguster chaque seconde de ces sensations, de cette grosse bite noire en moi même si le moment est digne d'un maso, au-delà de tous mes rêves.
Au sauna, le sénior bien monté m'avait ouvert brutalement et je n'avais pas ressenti cette pulsion érotique complètement dingue que j'ai avec Daouda. Le désir absolu d'avoir son sexe noir en moi a fait la différence.

Ses grosses couilles lisses et chaudes qui me touchent enfin. Savoir qu'il m'a mis toute sa grosse bite dans le cul me rempli d'un bonheur inimaginable. Ses lèvres aspirent ma bouche; il bave en moi, ivre de sa réussite. Je caresse son bras, je suis immensément heureux. Tout mon corps l'accepte et se détend, il n'y a plus que du bonheur à prendre. Ca me chauffe encore mais je n'ai pas du tout envie qu'il se retire.

" Elle est bonne, la bite du gros black, hein, ma chérie?
" Ouiiiiiiiiii. Heeeeiiiiinnnnnnnnn
" OUUUAAAIIIIsss, c'est bon ma chérie…. il rit, jubile, me raconte que mon cul est bon, que je suis bien enculé… avec sa prononciation accentuée sur le "é"
Ah, ces blacks avec leur accent sur certains mots, quel régal!

Il manœuvre aussitôt, coulisse son gros piston en bois d'ébène. Mes gémissements deviennent des couinements de petite chatte défoncée par le gros matou mais il sait que je suis demandeur. Malick met le son de la télé plus fort, mate avec délice le fait de me voir enculé, que j'ouvre grand la bouche. Je geins sous les coups de reins que je reçois, m'agrippe aux oreillers faute de mieux. Jamais je n'ai pris mon pied autant qu'avec ce vieux black.
L'enculage devient viril, tel qu'un petit pédé blanc doit se faire aléser le trou…

D'après ce que j'ai compris, ils aiment beaucoup les jeunots en quête de découvertes.
J'ai regardé un film porno la semaine dernière où un black niquait un blanc. Là, je suis dans le réel, c'est fabuleux, c'est vraiment trop bon. Je suis bien servi. J'en espérais pas autant.

" T'es bien ouverte, ma p'tite chérie. T'es bien chaude. J'adore ton p'tit cul.

Les sensations sont extraordinaires, mon cul s'offre complètement, le contact de ses grosses couilles, son corps viril sur moi, son odeur pénétrante; tout me rend fou… Je bouge pour encore mieux ressentir le membre de ce gros mâle qui coulisse en moi…

" Ouais, c'est ça, ma p'tite chérie! C'est bon la bite d'un black, hein?
" Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, Heeeeeeiiiiiiinnnnnnnnnn

Et il ondule sur moi, varie les angles pour son plaisir, pour m'entendre gémir sous son limage avec son gros bambou. Il se délecte, prend son temps, savoure notre accouplement.
Pas gêné, très à l'aise, il parle avec son pote dans une langue va savoir d'où pendant qu'il m'astique. Ils s'excitent ensemble. Ils prennent leur pied sans se cacher.

Malick remet une capote et prend le relai, comme si j'étais en libre service. La chatte maintenant défoncée, il me pénètre sans peine. Ils continuent leurs échanges dans leur langue natale, sortent une phrase en français de temps en temps pour m'exprimer leur satisfaction.

Il me change de position, me met sur le dos, relève mes jambes.
Je l'accueille en moi, le serre, l'embrasse, lui démontre tout mon bonheur pendant qu'il me poinçonne de son ardeur. Il me regarde dans les yeux, ravi du plaisir qu'il lit en moi et de mes petits cris érotiques. Il me bécote, me distribue des petits bisous salés, exquis, d'une incroyable saveur épicée.
Il sort son sexe, caresse mon œillet démoli et replonge d'un trait, joue à me faire découvrir ses capacités, à offrir à ma chatte offerte les plaisirs exquis d'une relation entre hommes.

La température monte, la douceur fait place à la baise, aux corps qui s'apprêtent à se soulager sous la pression du plaisir qui les dévore. La sève gonfle mon sexe. Son bâton qui caresse ma prostate, qui me fait découvrir des plaisirs insoupçonnés, je suis mûr. L'envie d'être fécondé submerge mon corps.

Daouda brûle de m'offrir les même extases et revient m'honorer dans la même position. Dominé par ce gros mâle, il me rempli, m'écarte à nouveau les chairs, me fait geindre sous sa pénétration imposante et virile. Ecrasé sous son poids, sous la puissance de sa force, sous ses coups de reins très mâles, je me sens femelle en chaleur… mes sens vacillent… Il me sent planer dans le nirvana…il ventouse d'autorité ses lèvres pulpeuses sur les miennes, fouille mon palais de sa langue épaisse, m'impose sa salive. Satisfait de sa domination, les yeux injectés du plaisir du sexe, il offre ma bouche lubrifiée à son partenaire de jeu.

Malick présente sa queue, se branle quelques instants et gicle avec saccade son foutre tiède au milieu de ma langue… Je sens ma jouissance prête à exploser, je vais cracher, c'est irréversible… c'est trop de bonheur pour moi. Ma tête un peu sur le côté, il rentre son gland qui crache encore… je referme mes lèvres… le jus de ses couilles, de ses belle prunes noires me remplie la bouche…

" Avale tout, ma chérie! le bon jus de black! " s'exclame Daoula
" Ouais!" dit à son tour Malick, satisfait de me voir avaler sa semence, tel un nectar sacré.

Les yeux rivés sur moi, ils sont éblouis et se régalent de la situation. Ils commentent peu discrètement dans leur langue mon désir assouvi et leur réussite de cette rencontre.

Daouda semble pris par une surcharge de testostérones, de puissance virile et me démonte alors de toute sa vigueur de mâle dominant. Mes bras se referment sur son corps puissant en rut. Mes mains caressent son torse besogneux, comme pour mieux lui exprimer mon accord, ma totale soumission, mon osmose à cette saillie bestiale. Mon plaisir inouï déclenche l'étincelle, j'explose sans contrôle, je crie en me pâmant, en pleurant, en exultant telle une femelle comblée. Une onde de plaisir submerge mon corps, mon sperme gicle avec force, se répand entre nos deux corps presque soudés.
Avec hargne et bonheur…il m'écrase, me nique de deux derniers coups de reins profonds. Tel un fauve de la savane, il feule, se soulage de sa réussite dans un concert de râles érotiques du mâle qui rempli sa mission. Je suis honoré de ressentir son plaisir. Une sensation se propage en moi et les vibrations de son gourdin d'ébène qui fertilisent mon cul sont là.

Pendant les deux minutes qui suivent, le temps que nos corps s'apaisent, cette image de cette queue noire qui crache son sperme blanc se grave dans mon esprit.

Il se retire, se redresse et dégage aussitôt sa capote. Sa queue est monstrueuse. Je me demande comment il a pu me la mettre. Je ne sens plus mon cul, affreusement ouvert et je ressens comme un vide, de l'air frais qui me pénètre.
Je suis lessivé, vidé, le cul défoncé mais si heureux du moment.
Ils regardent ma chatte de mec encore ouverte et, satisfaits, me demandent si j'ai aimé…

" Ouuuuuuiiiiiiiii!
" C'est bon la bite des blacks! " dit Daouda en rigolant avec son compère.
" Oui, trop bon! Mallick, tu as bien fait de venir avec Daouda.

J'hallucine de ce qui m'est arrivé. Mes yeux brillent. Ils savent que j'ai aimé.

Malick se douche le premier, se savonne avec minutie, respectueux d'une hygiène irréprochable.
J'admire son corps d'ébène, d'une beauté rare.
Malick m'explique qu'il doit rentrer chez lui. Il est marié, il doit récupérer ses enfants, reprendre le métro pour rejoindre la banlieue. Je ne suis pas déçu, il m'a bien enculé. J'aurais pu tomber sur un mec moins sympa, un profiteur ou autre… Mon fantasme de la nuit s'évapore mais je ne lui en veut pas.
Très à l'aise, pas du tout gêné de m'avoir menti sur la nuit qu'il devait passer avec moi, il me demande encore si j'ai aimé (bien sûr, énormément) , salue Daouda et me quitte avec un bisou humide, très érotique.

Daouda sort de la salle de bains, revigoré, en se tripotant les bijoux de famille. Le salaud! il fait en sorte que je regarde son sexe… et j'ai envie de lui bouffer les couilles et le nœud.

" Moi, personne ne m'attends." me dit il avec un sourire énorme, qui découvre toutes ses dents. Ah, ces blacks, toujours le bon mot au bon moment!
Mon envie d'avoir un corps contre moi dans mon lit pour la nuit est trop fort.
Je serais fou de refuser. Sentir son corps puissant contre le mien cette nuit dans mon lit, me faire dominer par ce mâle, un black, en plus…. le pied total.

" Daouda, si tu veux rester, je veux bien, avec plaisir.
" On va passer une nuit très chaude, ma p'tite chérie" … ( avec un sourire ravageur)

Il est ravi, absolument ravi, et vient plaquer ses lèvres énormes, me roule une pelle encore plus gluante que les autres tout en tripotant mon cul défoncé.
C'est assez drôle de se faire appeler "ma p'tite chérie" par un mec. J'ai laissé faire. Il faut respecter les fantasmes qui font bander les partenaires.

J'aurais préféré que ce soit Malick qui reste. Oui, je sais, Daouda a une grosse queue épaisse mais j'ai adoré sentir Malick en moi, sentir la fougue de ses coups de reins, voir ses yeux briller de plaisir. Il embrasse moins bien mais sa salive a une saveur épicée sublime.

" Daouda, je me douche et après, on va manger. Je t'offre le resto et on revient ici après.
" Ouuuuuaaaais, ma p'tite chérie. Après, tu aura droit à une bonne bite de black" dit-il en rigolant, en branlant son pieu noir.

Il est absolument ravi, me saisit dans ses bras puissants et décide de s'occuper de moi sous la douche.
J'avoue que son initiative est fabuleuse. Il est nu, me tripote, savonne mon corps avec passion. Son plaisir est évident, il bande comme un âne, sans pudeur, sans aucune gêne.
Vu sa corpulence, nous sommes à l'étroit dans la douche. J'en profite pour toucher son corps, sa poitrine, son sexe et il adore. J'en bave de plaisir.
Mon cul est savonné avec minutie… nos bouches se ventousent dans une succion pleine de fougue. Puis, je m'accroupis et salive son nœud, ses grosses couilles…

" Ma p'tite chérie, tu aimes ça!
" Elle est trop belle ta queue, Daouda.
" Oui, je sais. Les blancs, ils aiment bien ma queue. Cette nuit, je vais cracher dans ton p'tit cul, t'es bien chaude. Je vais t'remplir.

Il a tout son temps, parle beaucoup, me dit plein d'expressions imagées, qu'il va me faire un petit, et tout et tout. L'excitation est en lui

Par chance, il y a un petit resto, pas loin de l'hôtel, qui nous convient. Daouda dévore avec appétit. Vu son gabarit, c'est normal, je suppose. Le serveur, sûrement homo, a compris la situation, que ce black costaud va m'enculer après le repas et bave de jalousie, de dépit.
Cela n'échappe pas à Daouda qui m'explique que c'est moi qu'il veut, que mon corps le fait bander, qu'il a adoré me pénétrer. Je lis dans ses yeux le bonheur, le désir, une farouche envie de me remplir les fesses.

De retour dans la chambre d'hôtel, sûr de mon acceptation, il est plus directif. Il a des capotes à sa taille mais ne s'en soucie plus.
Il force ma bouche, il me démonte, me bourre le cul. Je couine et prend un plaisir inouï à me faire baiser de la sorte. Il me remet à ma condition de jeune pédé consentant qui veut du black…

Il prend un plaisir presque bestial à me féconder de son sperme, à constater que je jouis de me faire saillir de la sorte, que je vide mes petites couilles avant lui.
Je l'admets, au retour du resto, j'étais complètement open sexe pour lui, en totale décontraction de me faire baiser. Je n'avais plus la crainte d'avoir mal mais plutôt un violent désir de m'en reprendre une bonne tournée de son pieu noir.
Complètement en roue libre, pour le remercier, je le suce, le salive, le lèche sur toutes les parties de son corps. Il me récompense en graissant ma bouche d'une copieuse dose de foutre blanc de ses grosses couilles noires. Mon plaisir est si fulgurant que je jouis sans pouvoir me contrôler, ébloui par l'apothéose d'une fellation réussie sur une bite que je ne croyais pas à ma portée.

Il me propose, si j'ai envie, de faire venir un copain à lui pour "me niquer les fesses", comme il dit. Mes pulsions les plus fortes sont assouvies. Ma réserve de sperme est tarie après avoir éjaculé autant en si peu de temps. Je subis une baisse de libido, une fatigue naissante aussi.
Un parfait inconnu qui vient dans ma chambre d'hôtel, j'ai peur que l'accueil me demande des explications, je préfère décliner la proposition. Il comprend mes craintes, n'insiste pas. Depuis, j'ai toujours regretté: le temps que son copain arrive je pense que j'aurais eu envie. On est con, quelquefois.

J'ai adoré dormir contre lui, sentir son sexe entre mes cuisses, respirer son corps. Bon, il a fallu que je le suce encore … cela n'a pas été une contrainte, pas du tout.

Tôt le matin, il m'a imposé un enculage de sa spécialité en m'enfonçant la tête dans l'oreiller pour atténuer mes plaintes sexuelles. Il ne lui a pas fallu longtemps pour s'enchâsser en moi.
Dans la chaleur de notre nid d'amour, il m'a baisé en prenant son temps tout en sachant qu'il allait m'inséminer bien profond juste à la fin. Je savais que certains actifs ont de la résistance et, sur ce côté-là, il a été performant.
J'ai senti son corps se tendre, se libérer de ses ardeurs et nous avons jouis ensemble dans un merveilleux accouplement. Il s'est retiré, j'avais le cul en compote.

Le lit n'était plus qu'un champs de bataille, tout souillé. Je m'excuse auprès du personnel qui constatent et nettoient ces ravages.

Les yeux cernés, les traits tirés mais heureux, terriblement heureux, j'ai regardé Daouda se doucher et savonner son trésor entre ses jambes.
Tellement satisfait de ma nuit avec lui, je lui ai proposé, il a pris son petit déjeuner avec moi.

Le matin, je n'avais plus l'angoisse de répondre à une éventuelle question à l'accueil de l'hôtel. Bizarrement, j'avais mûri et j'acceptais mieux le fait d'être homo.
Avec tout ce que je m'étais pris dans le cul depuis la veille, aucun doute…
Aucune question; j'en ai conclu que la vie privée des clients est préservée dans cet hôtel.

Aujourd'hui, en écrivant cette histoire… Quelle chance j'ai eu ce jour là de tomber sur eux. L'occasion de faire l'amour avec deux blacks en même temps ne s'est jamais représentée.
Je suis revenu de nombreuses fois à Paris mais… j'étais avec mon patron. Lorsque j'ai quitté la boîte, Malick avait déménagé… Daouda, je ne sais pas.

Puis j'ai rencontré mon merveilleux compagnon, je n'ai plus rien recherché.

Merci encore à vous deux.



Caramel35
* Les prénoms ont été changés. Malick, qui avait conservé mon adresse mail, m'a envoyé un message il y a peu de temps. Cela m'a fait plaisir: lui aussi se souvient de cette rencontre.
* L'hôtel existe toujours, non loin de la place d'Italie.

Les avis des lecteurs

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Le premier black que j'ai sucé c'était dans un parking en sous sol, pas très romantique mais super excitant surtout lorsqu'il m'a gavé de son jus

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Des détails, un récit fluide, une histoire crédible. Pas facile de décrire les sensations mais c'est réussi. Mon premier black fut aussi exceptionnel; dès qu'il fût en moi,un cri et une jouissance me livrèrent à lui, il comprit sans équivoque tout mon plaisir. Il me gratifia d'un hommage de son attribut jusqu'à ce que j'envoie une autre salve de bonheur. Un magnifique moment.

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Comme d'hab, torride et sensuel; Bravo

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Moi j'avais allumé un vigile black; il m'avait entrainé dans un local à lui. J'ai pleuré quand il m'a défoncé mais qu'est ce que c'était jouissif de se faire baiser par ce mec. Par contre, une fois qu'il a jouit en moi, il m'a traité comme un moins que rien. J'aurais préféré une belle rencontre comme toi

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