Mon jeune voisin très libéré 2
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon jeune voisin très libéré 2
Comme je vous l'ai dit, en soirée, mes jeunes voisins ont reçu de la visite, un homme très libéré lui aussi.
Je ne vais pas vous donner le pseudo de ce visiteur mais je vous le présente un peu.
Assez grand et sec, il a 45 ans. Il est très poilu et doté d'un sexe disons… normal supérieur, un vrai décapsuleur de fion, d'une efficacité redoutable. Un outil qu'il a su mettre en valeur, par des poses très alléchantes sur le site de rencontres homo.
Bref, un gars qu'on rêve tous de rencontrer, enfin, pour ceux qui aiment les poils comme moi. Le gars est aussi un adepte du bronzage intégral. C'est du moins ce que j'ai constaté le jour ou je l'ai rencontré. Hé oui, moi aussi, j'ai une vie sexuelle! Pourquoi croyez vous que je suis ici sur ce site à vous raconter tout ça?
Une rapide présentation, puisque chacun sait pourquoi ils sont réunis et ils sont allés tous les trois à l'étage. Le rouquin adore voir son copain prendre du plaisir et offrir son cul à un bon mâle actif. Ah, il n'est pas jaloux, c'est le moins qu'on puisse dire. Il est correctement outillé et très porté sur le sexe, lui aussi…Comment imaginer ça autrement!
Le petit jeune, mon beau voisin brun, peu farouche, s'est vite dénudé et s'est agenouillé aussitôt pour sucer le grand du poilu. La bite s'est fièrement dressée et a montré tout son potentiel. Sur le site de rencontre, le petit en bavait d'envie, quelle satisfaction! .
Hummm, une merveilleuse pipe …comment ne pas faire plaisir à ce jeune gourmand. Il s'acharne à saliver, à glisser ses lèvres pulpeuses vers la base du pubis et il le fait avec tellement de passion. Il est vraiment doué et je comprend qu'il ait autant d'amants…
Le grand poilu adore embrasser alors la bouche du petit et la sienne se rejoignent et leurs langues se mêlent. Une passionnante étreinte les unit pendant que leurs corps se frottent et que la splendide queue frotte le ventre du jeune qui ouvre déjà ses cuisses lisses. Le petit bande comme un perdu, enfiévré par la situation.
Pourtant il a donné de sa personne toute la journée mais ce mâle lui plaît. Ses poils drus et touffus sur son corps ne sont pas un obstacle. Le quadra comprend sa disponibilité et sait qu'il n'aura aucun problème pour ramoner son cul en feu. Il a l'habitude de ce genre de rencontres et de l'attrait que sa queue suscite. A l'arrière de la plage nudiste, pas plus tard qu'hier, il a niqué un minet ébloui par son beau manche. Le jeune voulait seulement sucer sa grosse queue; il a succombé, a voulu essayer et s'est fait emmancher. Il a couiné et est reparti le cul barbouillé de sperme.
Les mamours sont à l'unisson, le petit ronronne de plaisir et se languit d'être possédé. Il sait embrasser et faire plaisir, se donner à fond. Sa bouche se prête à la manœuvre et il laisse la grosse langue râpeuse de l'invité baver en lui.
Son copain ne perd rien de ce bonheur et se frotte à ce duo formé. Il caresse l'heureux élu et l'encourage à abuser de son partenaire… il brûle d'envie de voir la suite…
Il se trémousse et frotte son cul galbé contre les cuisses velues comme une chatte en chaleur. Le sénior, expert en la matière, écarte ses jambes et présente sa tige rigide entre les fesses rebondies et positionne son gland sur la fleur humide transie de désir. Sans capote, lui qui adore jouir dans le cul des mecs, il kiffe et va l'engrosser sans problème.
Sans tarder, le gland ouvre l'œillet et distend l'anneau rodé à l'exercice de la dilatation. C'est fabuleux de l'enculer. La rondelle souple caresse toute la longueur de la hampe admirable qui trace sa route jusqu'aux couilles. Un merveilleux soupir de contentement envahie la chambre. Le rouquin branle son manche et, extrêmement diplomate, attend son moment, regarde son beau brun s'ébahir de plaisir par ce pieu qui vient de lui tarauder le boyau.
Le petit brun ne se vante pas que dans l'après midi, il s'est déjà fait baiser et qu'un militaire, monté comme un étalon, l'a super bien lubrifié. Sans oublier les autres, le livreur et les artisans plombiers, pour ne pas les citer tous…
D'un coup de reins, il finit de loger son estoc comme dans son étui. Le cri entendu est admirable et, pour un qui ne le connaît pas, on croirait entendre un puceau qui se fait tirer pour la première fois. Ben oui, quand c'est bien fait, tu aimes, même si t'es habitué… Le rouquin reste admiratif devant la dextérité du visiteur et s'enthousiasme de voir comment il harponne son dard dans le cul outrageusement offert. Un bras à retenir son corps d'ado et l'autre à lui écarter une jambe, il coulisse le brun avec joie et s'extasie d'entendre si belle complainte de sa part. Ici, pas de gêne ni de simagrées, on aime baiser et se faire baiser.
La température est élevée, la fusion se saurait tarder…
Le rouquin profite de cette extase prolongée et va gober la petite bite de son ami, qui disparaît dans sa bouche gourmande.
Peu adepte de se faire sucer, il tente de résister. Le rouquin en fait fi et continue malgré tout.
Le quadra poilu coulisse le jeune passif avec force et vigueur pour lui faire perdre la tête. Ses 17 ou 18 centimètres vont et viennent comme le fait un asiatique en rut. Il s'en prend plein le cul; il crie et vacille en libérant ses petites couilles. Le rouquin aspire et suce, se cramponne aux cuisses de son ami.
Son corps a explosé mais l'estocade n'est pas encore donnée. Le grand poilu se raidit, se bloque, braille et lui envoie son jus en le serrant dans ses bras pleins de force.
Le plus naturellement du monde, en se raclant la bouche, le rouquin se redresse et présente sa queue. Sans problème, comme un devoir envers son ami pour la vie, le jeune brun se penche et ouvre sa bouche pulpeuse. Le sexe rigide, roux, fort large, disparaît presque. Une légère adaptation du niveau et on devine les contractions de la hampe qui asperge le palais. Imperturbable, les giclées fusent dans sa bouche pendant, qu'au même moment, il reçoit une forte décharge dans son fondement.
Le rouquin expire son contentement et adresse un large sourire au grand poilu qui se déboîte lui aussi. C'est si bon de jouir. Maintenant, un petit passage vers la salle de bains…
Le petit se tâte le fion, il en aurait bien pris davantage. C'est bien gras, le quadra était chargé…
Un visiteur si performant, avec une bite si bonne à prendre pour son mignon, il ne faut pas le décevoir. Le rouquin propose à boire, pour le retenir, le temps que les batteries se rechargent. Pudique, va savoir pourquoi, il propose une serviette pour s'enrouler autour de la taille.
Ils descendent pour se rafraîchir le gosier et faire plus ample connaissance. Chez eux, tout est inversé: le cul d'abord et ensuite on taille la bavette …
Après pareils contacts, rien ne sert de jouer les timides. Ils parlent de cul comme on parle du dernier film qu'on a vu. Le grand poilu raconte comment, dernièrement, il a dilaté le cul d'un jeune homo, comment il lui a craché son sperme dans le cul.
Le jeune brun en bave de jalousie. Pourtant, il devrait se rappeler que, lui aussi, dès ses premiers émois, il s'est fait dégoupiller la rondelle un soir d'été par un mec, un saisonnier très bien pourvu qui lui a fait découvrir des plaisirs insoupçonnés. Il était très en avance sur le sujet pour son âge. Cet été là, il s'est fait remplir nombre de fois, par des mecs de tous âges…
Le rouquin raconte, très simplement, comment, lui et son compagnon, ils rencontrent des mecs et le plaisir qu'ils en retirent. Pas sûr qu'il connaisse la liste complète pour son copain le brun…
Chacun parle des lieux de drague homos qui "marchent" le mieux, des jours et des moments… comme d'autres s'informent des horaires de la marée.
Une serviette glisse soudain et, le grand poilu, plus expérimenté, déclenche la reprise de la réunion, ce pourquoi il est vraiment venu.
Aimanté par le jeune brun, il l'attire contre lui, lui fait goûter sa salive de sénior. Le rouquin en profite pour s'emparer de sa bite poilue et la ranime sans difficulté. Lui aussi a fait une fixation dessus. Une fois prise en bouche, il comprend tout le plaisir que son ami a pu avoir. Ce quadra a quand même une belle queue dressée vers le nombril, un peu arquée mais bien raide!
Je ne sais lequel décide de retourner à l'étage. Le jeune brun, transis de désir, se tortille sans complexe, se beurre le trou de gel va savoir pourquoi et s'étale sur le lit, invite à profiter de son corps. Le grand poilu, la bite encore luisante de salive, n'hésite pas et, d'un royal coup de reins, s'introduit dans le cul en feu.
Le jeune se cabre au même moment pour mieux se faire emmancher. Seul un cri de plaisir émerge de cette copulation synchronisée. En totale confiance, il s'affale sur la fiotte et finit de lui remplir le boyau avec son bambou taillé pour la baise.
Il lui lèche les oreilles et cherche la meilleure position pour lui enfoncer les derniers centimètres, les meilleurs, dans son trou de petite pute.
Le rouquin assiste à la sodomie sans broncher. Il va même toucher le cul poilu du mec et lui caresse les couilles. Elles sont fermes et pleines de promesse pour le passif. Il enculerait bien le quadra mais son copain le petit brun est d'une jalousie incroyable: hors de question qu'il baise un autre que lui.
Pour un qui se fait sauter à volonté, la situation a de quoi faire sourire!
Il regarde le membre raide aller et venir dans le cul de son ami et ne peut que constater combien ces mouvements le remplissent d'aise.
Il décide d'aller devant son mec allongé sur le ventre et de se faire sucer. Aucun problème de ce côté-là. Il n'y aura pas de friction dans le ménage.
Le poilu actif, qui a sans doute compris la situation …il en a tant vu dans ses baiseries… se libère de ses pulsions et coulisse, coulisse avec vigueur le jeune passif. C'est si bon de baiser un petit jeune qui remue son cul, qui réclame de la bite, qui ne peut plus couiner parce qu'il a la bouche pleine par une autre queue.
Putain ce qu'il aime ça, quelle salope.
Se faire bourrer le cul et se faire remplir la gueule en même temps, c'est le top.
Pendant plusieurs minutes, on n'entend plus que des murmures de contentement, des bruits caractéristiques d'enculage.
Il en a baisé des mecs, des gros et des minces, de tous âges, des mecs mariés et des puceaux, mais celui là, ce petit brun, il le classe dans la catégorie des bons, des mecs chauds et ouverts.
Tomber sur un beau jeune homme qui se fait enculer sans capote, en plus, quel aubaine!
Sa bite large glisse sans problème. Elle est acceptée, désirée. Le petit ondule sous le bonheur. Le quadra ahane plus fort, ses reins se cabrent et il envoie sa dernière rafale de la journée. Le petit saisit sa petite bite, ferme les yeux pour mieux ressentir toutes les sensations du nirvana qui plane en lui…
Vraiment cette soirée lui plait. Se faire baiser comme ça, il adore.
Le baiseur est satisfait lui aussi. Faire cracher sa queue dans un cul, il adore.
Le grand poilu quadra ne s'attarde pas. Il a une réunion de copropriétaires avec tout le sérieux que cela comporte. Ils discutent un peu et prévoient de se revoir. C'est sûr, ce petit brun, il va le troncher dès qu'il va pouvoir…
* Ce jeune couple existe vraiment et je les ai rencontrés. Le grand poilu, très friand de raconter ses baises torrides, adore initier ou roder les jeunes culs. Il ne dédaigne pas de ramoner non plus des culs comme le mien. C'est un plaisir de le rencontrer.
En recoupant mes infos, il a bien niqué le petit brun tel que je le raconte.
La semaine suivante, sa journée de RTT a été pour mon jeune voisin très chargée, surtout très chargée de foutre.
Comme d'habitude, dès son copain rouquin parti au travail, une envie de se faire sodomiser est en lui.
C'est jour de marché et les bons clients arrivent tôt. Un retraité confirmé arrive avec un petit utilitaire aménagé pour mettre ses chiens à l'arrière. Avant de rejoindre des copains à la terrasse d'un bar, le voilà qui se pointe chez mon jeune voisin, pas pour un café bien serré mais plus sûrement pour se faire offrir une turlutte délicieuse.
L'homme est assez repérable. Un costaud, dense du ventre, avec des bras comme mes cuisses. Chauve comme beaucoup mais les yeux pleins de vice. Sous sa large ceinture on distingue la déformation du pantalon tellement il bande; pas un long sexe raidi mais une courte super épaisse.
J'ai déjà vu un homme comme lui au sauna, genre sumo, avec une bite à peine standard mais d'une épaisseur impressionnante.
Le jeune le reçoit sans poser de question, signe qu'il est déjà venu, et referme la porte aussitôt.
Je bave, je bande de savoir comment ces deux là vont s'emboîter. Le vieux pervers se réjouit de satisfaire un jeune qui pourrait être son petit-fils. Ils sont majeurs et consentants, bien sûr, et c'est pour un plaisir partagé.
Le petit brun, tout excité de faire bander ce vieux cochon, se régale de l'attrait qu'il provoque. Il sait que ce n'est pas une baguette de sourcier qu'il va se prendre mais un gros bâton veineux.
Le balèze défait son ceinturon et offre sa marchandise: une bite courte en effet mais que beaucoup n'arrivent pas rivaliser avec une épaisseur pareille, posée sur des couilles, que dire, des sacoches impressionnantes.
Il pose son cul sur le bras du canapé pendant que le jeunot, ébloui par son bazooka, ouvre grand la bouche pour gober son beau fruit encore emmailloté.
Ce gros gland qui baille méat ouvert est trop tentant. Il disparaît dans sa bouche distendue. Sa mâchoire lui fait mal mais il persévère et glisse ses lèvres autant qu'il peut sur l'énorme manche. Son menton posé sur le sac de couilles, il jubile de satisfaire pareil mâle.
Le costaud, devant tant de douceur de la part du beau jeune homme, se cabre pour offrir plus et lui caresse les cheveux. Avec son gros ventre il ne voit pas le clocher de son église mais la bouche humide sur son pieu, il la sent trop bien. Il respire fort, grommèle, félicite la jeune lope, lui dit qu'il suce mieux que les putes…
Pleinement décalotté, son énorme abricot explose de santé: Putain le morceau!
Le balèze enlève son teeshirt et découvre son ventre bedonnant et ses pectoraux de lutteur. Le jeune comprend qu'il est chaud bouillant, qu'il veut le baiser. C'est aussi bien, sa mâchoire commence à lui faire trop mal. La dernière fois, papy l'a enculé dans la cuisine. Il ne voulait pas s'essouffler dans l'escalier qui va à la chambre.
Le jeune se met à poil et graisse son cul devant l'autre qui caresse sa queue et bave d'envie. Ses yeux sont rivés sur ce gros manche court qui suinte son pré cum et va l'enculer.
Ils reprennent la bonne position qu'ils ont trouvé la dernière fois, à bonne hauteur pour ce gaillard peu sportif. Le jeune, dos sur la table, le costaud lui empoigne les cuisses, l'attire à lui. Notre beau brun voit le bestiau qui va le saillir, emboiter sa grosse bite en lui.
Le gland dur et gonflé trouve sa place facilement dans la corolle préparée pour lui. Il enfonce son pieu de force pour dilater, se chausser dans la rondelle. Le gros ventru sent sa bête qui rentre dans son gîte, il force encore et s'introduit, sans tenir compte du jeune qui s'agite, gémit, geint de la dilatation virile de son œillet. Il le maintient en place et force encore.
L'anneau se détend et va céder… la quille va s'encastrer, de gré ou de force… Un cul comme ça, quelle aubaine!
Il sait qu'il va la loger, sa grosse bite épaisse. Une fois le gros gland passé, le reste va rentrer, il va la mettre jusqu'à ses grosses couilles.
Le jeune, pourtant habitué aux enculages, peine et jubile à la fois de s'en prendre une si grosse… dommage qu'elle soit si courte. Ecrasé sous ce gros phoque, il geint sous cette saillie bestiale. Cela lui rappelle la fois où un Turc, monté comme un âne, l'a sodomisé sur des sacs d'enduits sur un chantier. Il était minet et déjà gourmand…Là, il avait dégusté; il avait fallu soulager plein d'immigrés aux couilles bien chargées…
De ses bras puissants, en plein plaisir charnel, le balourd saisit fermement les hanches du petit brun, l'emboîte complètement, lui arrachant un cri d'enculé, un magnifique petit cri de passif comblé, défoncé.
Il manœuvre aussitôt son gros dard dans ce cul si douillet. La fiotte n'est plus qu'un pantin le cul ouvert; complètement débordé par le renoncement de son corps… mais, va savoir pourquoi, papy préfère sa bouche, chaude et douce.
Il lui distribue une bonne douzaine de coups de bite et se retire. Le cul affreusement ouvert, le petit brun connaissant ses goûts, il se précipite, s'accroupit pour fermer ses lèvres sur l'énorme bambou luisant.
Le vieux, pervers jusqu'à la racine, lui tient fermement la tête, le coince, le plaque contre ses grosses couilles. Quel délice, cette petite pute!
Le balèze, son manche logé dans la bouche humide, gicle presque dans la foulée. La semence s'écoule par saccades, grasse, onctueuse. On croit la coulée de lave blanche tarie et une autre livraison est déchargée, presque aussi copieuse.
Le petit brun, au comble du plaisir, jouit d'un plaisir non dissimulé, rassasié de cette nourriture iodée, dominé par ce vieux pervers. Il éclabousse le carrelage, les godasses du costaud… il purge son petit gicleur, la pression du plaisir est trop forte.
Après ces quelques minutes, intenses et torrides, cet accouplement, cette fellation réussie, ils se déboitent. La bouche est vide, il adore.
Il regrette que ce moment n'ait pas été plus long. Il regarde, pour ne rien louper, le prépuce venir recouvrir l'énorme gland, après la mission accomplie. Putain la grosse bite qu'il a, ce vieux. Il adore quand il lui jouit dans la bouche, quand il le force à avaler.
Ils se sont rencontrés un jour de drague dans la forêt. Ah, ce jour là, trois vieux s'étaient succédés pour le remplir mais celui là, avec sa grosse bite, il le voulait encore…et, bonne nouvelle, il n'habite pas très loin.
Celui-ci repart, soulagé, surtout entre les jambes. Maintenant il va retourner jouer les machos avec ses copains et s'occuper de ses chiens. C'est sa vie.
Après pareille entrevue et un tel manche dans le cul, les autres vont le fourrer sans difficulté.
L'avantage avec ce vieux, c'est qu'il vient tôt le matin. Cela laisse du temps pour d'autres…
Occupé à bosser sur mon ordi, un bruit de moto me fait lever la tête.
C'est un jeune qui s'arrête, juste devant la maison du voisin et gare sa moto devant le garage.
Celui là, je le reconnais; Kévin habite à plusieurs kilomètres de là. Il est intérimaire dans la boite où j'ai travaillé un moment. Il parlait facilement de cul et se vantait de niquer autant qu'il voulait. Un jour, j'ai entendu une couguar, qui ne s'en cachait pas, une qu'il avait secouée sans doute, parler de lui et dire qu'il était super bien pourvu….
Ca m'avait excité d'entendre ça mais je ne voulais surtout pas d'histoire de cul au boulot.
La porte s'ouvre. Le beau brun a, lui aussi, entendu le bruit caractéristique de la Harley.
Kévin a su trouver la bonne adresse pour niquer. D'équipe d'après midi aujourd'hui, il a un peu de temps devant lui. Quel queutard, il faudra que j'y goûte un jour moi aussi.
Il a le droit d'aller dans la chambre à l'étage. Les rideaux bougent et, c'est trop drôle, le voisin baisse un peu les volets roulants…Tamisé, c'est plus romantique.
Je cogite et m'excite seul. La venue de Kévin me dit que le jeunot d'en face va prendre cher. Tous les deux dévêtus, leurs corps vont se frotter et se chercher. Bien sûr, chacun sait lequel est l'actif et le passif dans ce duo réunit. Ils ont le même gabarit et le même âge. Putain, quelle merde de ne pouvoir assister à leurs ébats!
Ils vont peut être se sucer; rien n'est impossible. Les petits machos, une fois partis, se dévergondent. Kévin, assez énergique, ne va pas être long à capter que mon voisin passif est peu farouche, très ouvert. Sa bite longue a fait tourner la tête à de nombreux pédés et celui là ne va pas faire exception. Les homos adorent en sentir une longue qui leur rentre dans le cul.
Il est nouveau dans la boite et il a déjà niqué un autre intérimaire, un magnifique petit black au cul rebondi, mieux monté que lui.
Depuis, l'autre en est amoureux, ça va vite être le bordel. Pas de sexe au travail, je vous dis!
Kévin chausse une capote avant de niquer. Son cul est bien dilaté (forcément avec le gros bedonnant monté large passé avant) et il comprend qu'à part le train, tous le monde peut passer dessus… il n'a pas envie de choper une saloperie.
Il l'encule direct, comme un pro. La lope a soulevé son cul pour améliorer l'angle de pénétration et mieux se faire embrocher. Putain comme il a aimé sentir les 20cm lui rentrer dans le cul!
Bon, je me suis fait niquer par un gars monté long, je l'admets, c'est trop bon.
Il n'a pas couiné, il a simplement émis un miaulement de petit chat, et encore. Déterminé à niquer cette petite salope de pédé, Kévin va et vient en lui et lui ramone le fion. Il ne sent pas les parois caresser sa longue queue et a l'impression de baiser la chatte en feu de la couguar qui aime tant les jeunes mâles.
Kévin a baisé la semaine dernière un pédé qui s'ignorait et il braillait à chaque coup de bite. Putain ce qu'il lui a envoyé. Il était serré celui là.
Le beau brun sait y faire pour attiser l'ardeur de son enculeur. Il ne veut pas décevoir cet amant. Ils s'ébattent sans pudeur, la pression monte, inexorable.
Kévin se déboite soudain et enlève rapidement la capote. Voir ses giclées fuser sur le cul encore ouvert, sur les fesses lisses des mecs, il adore. Le sperme gicle sur la cible, s'écoule et glisse dans le trou béant. Dans un dernier spasme, il pose son gland sur l'œillet démoli et le tasse au jus….humm, c'est trop bon!
Le jeune voisin, qui veut rendre service parce qu'il a apprécié l'enculage, vient lui sucer la tige pour profiter encore. Il saisit la longue bite devenue demie molle et la nettoie avec soin. Il branle sa quéquette en même temps mais n'insiste pas. Le gros l'a fait jouir juste avant, il a trop kiffé avec celui là.
Souvent, après la baise, les mêmes questions reviennent, pour savoir s'il se fait niquer souvent. Curieusement, avec Kévin, c'est sûrement une question de génération, il se lâche et raconte ses baises et ses rencontres. Kévin raconte lui aussi sans complexe comment il nique plein d'autres mecs. Avec force détails, il étale ses capacités de jeune mâle Alpha. Comme la nature l'a favorisé, il n'a pas de mal.
C'est tout juste s'il ne donne pas le nom et les adresses. Comme ce ne sont que des passifs, le beau brun laisse couler. Lui, il aime bien les matures, surtout les actifs.
Allongés sur le lit à discuter, le jeune voisin profite du moment pour caresser ce beau sexe long qui le fascine. Après une petite branlette, sa bouche prend le relai. Le travail est appliqué et l'engin se redresse à la verticale.
Notre motard ferme les yeux et profite de cette fellation délicieuse, de plus en plus excitante. Le beau petit brun voit l'occase et vient, en un éclair, s'accroupir sur lui. L'action est rapide, le cul graissé de sperme glisse sur la tige fièrement dressée. Le voilà enculé sur ce pieu qui le fascine, avec une aisance incroyable.
Toute la longueur a disparu dans le fondement de la lope qui s'active comme pour réaliser un exploit. Sa fougue, son expérience d'enculé ont vite raison du contrôle raisonné de Kévin. Notre jeune motard le traite de "salope" puis le saisit, s'arque boute. Il va jouir et lui remplir le cul.
Il râle comme un pro et envoie sa semence dans ce cul posé sur lui puis, une fois ses quatre ou cinq salves envoyées, se détend dans un grand souffle de soulagement.
La lope a eu sa dose et sa petite bite a laissé échapper du foutre sur le ventre du motard, c'est dire comme il aime ça, se faire remplir.
Le motard sait qu'il ne vit pas seul et ne veut pas se retrouver là en même temps que le copain du brun qui va revenir déjeuner. De toute façon, il faut qu'il se prépare pour aller bosser.
Kévin se lave et promet de revenir. Il lui dit ça pour lui faire plaisir mais lui, son truc, c'est la nouveauté. Il papillonne d'un cul à l'autre. Un mec régulier, c'est pas du tout son kif.
Chose inhabituelle, mon voisin accompagne son nouveau copain et s'intéresse à la bécane. Ca ne coûte rien et ça fait plaisir. Peut être qu'après son scooter, il va passer à la moto…
Finalement, en regardant l'heure, ils ont pris leur temps, ces deux là. Forcément, deux enculages et taper la discute, faut bien ça.
Il doit maintenant courir dans tous les sens pour remettre de l'ordre dans la chambre et tout le reste; midi arrive. Un coup de micro-ondes et il sera prêt.
S'il raconte dans le détail à son compagnon son occupation de la matinée…pas besoin de télé.
L'après midi semble calme. Je remarque que mon jeune voisin est allé faire quelques courses et qu'il est revenu avec un pack de bières et quelques bricoles.
En milieu d'après midi, je comprends mieux la situation. Le militaire de la semaine dernière revient et, aujourd'hui, il est accompagné.
Je bande direct et suis prêt à me branler tellement la sève me monte à la branche. Ce petit con va se faire niquer par ces deux mecs. Il n'a pas pu résister à l'envie de se faire encore engrosser par ce militaire qui l'a pourtant rabaissé au rang de vide couilles. Encore mieux, ils vont être deux à profiter de son corps.
Le gars qui l'accompagne est plus jeune, environ 35 ans. C'est évident que c'est un militaire…enfin, il en a tout le style. Ratiboisé au dessus des oreilles, les manches de la chemise retroussées, l'œil vif et le corps sculpté, il dégage une énergie de félin. La complicité entre ces deux là est évidente et ils se réjouissent déjà de rejoindre mon beau petit voisin.
Il va sans problème et sans rechigner contrôler leur appareil reproducteur et en tester le fonctionnement.
Ses épaules de sportif, ses pectoraux bien développés, je rêve moi aussi de me faire baiser par un mec pareil, de lui sucer la queue, d'être soumis à ses désirs.
Le retraité de l'armée, toujours aussi puissant et solide sur ses jambes, se dirige directement vers la maison, sûr de lui. Affirmatif dans sa démarche, il dégage une prestance de chef de harde impressionnante, et s'en va de ce pas saillir ce petit pédé disponible. Il n'a pas besoin de sonner, la porte s'ouvre et il rentre sans hésitation suivi de l'autre actif qu'il ne présente même pas. Par internet, il a imposé sa présence et promis le meilleur à son passif obéissant.
Le jeune brun, toujours aussi impressionné par ce maître qui l'a si bien servi la semaine dernière, ferme la porte et tourne la clé. Hors de question d'être dérangé pendant cette réunion qui l'a tant fait savourer d'envie.
Pas question de perdre de temps. Le vieux connaît ses points faibles et d'office, lui ordonne de sucer sa queue, pour aussi impressionner son collègue.
Il est déjà agenouillé à sniffer l'entrejambe de l'étalon expérimenté. Celui-ci défait son ceinturon pour libérer le matériel. Personnellement, j'ai toujours adoré ce genre de moment; ce moment où le mâle sent le besoin de sortir son sexe, de le libérer pour le faire se déployer. C'est comme s'il sortait la grande voile pour prendre le vent, la gonfler et aller de l'avant.
Le bambou est aussitôt embouché et les deux lascars de l'armée se regardent; l'un incitant l'autre à profiter lui aussi, ce qu'il a déjà compris. Le jeune étalon a sorti son instrument et quel instrument! un beau spécimen de sexe très droit chapeauté par un gland gonflé, qui n'attend qu'une bouche pour gonfler encore.
Ce n'est pas le plus gros, le plus long, non, c'est celui qui se prend bien en bouche et qui te démoli un cul sans crier gare. Il ne peut rivaliser avec celui du militaire retraité qui, lui, est taillé pour exploser un cul de part son épaisseur. Mis à part bien sûr le mec de la matinée.
Pas de chichi chez nous, le jeunot salive à son tour le deuxième sexe proposé. Celui là lui distend moins les lèvres et il aimerait bien faire exploser ce gland gorgé comme un fruit mûr.
Le vieux saisit une bouteille d'eau posée sur la table et commande d'aller à l'étage. Il a hâte de passer aux choses sérieuses et de voir son copain forniquer dans la lope. A eux deux, ils vont le refroidir; ils en ont discuté dans la voiture et se sont excité mutuellement pour savoir lequel des deux baiserait le plus longtemps.
Les vêtements sont vite enlevés, plus vite que la semaine dernière où il ne voulait pas l'apeurer. Son corps massif est devant la lope, la queue imposante dressée. Elle invite au sexe immédiat.
Le corps frêle du jeune voisin, lisse et provoquant, excite ces deux mâles experts en enculages et, comme si c'était convenu d'avance, chacun trouve sa place. Les bites sont sucées à tour de rôle et plus rien ne peut arrêter son envie de satisfaire ses amants.
Ils s'encouragent à presque étouffer leur bienfaiteur, surtout le retraité, mieux pourvu. L'autre n'est pas en reste et se réjouit d'amener les lèvres au maximum, de voir la bave de la lope couler sur ses couilles rasées.
Ils ne vont pas se contenter de ça et, sans contestation aucune, ils décident d'emmancher la lope par les deux bouts. Le vieux, plus excité, va s'occuper de son cul; il a pris trop de plaisir la semaine dernière et sait qu'il va lui la mettre direct. Il a bien couiné lorsqu'il lui l'avait mise mais il avait compris qu'il faisait du cinéma.
Le petit jeune s'apprête comme une chatte en chaleur qui n'a pas vu le matou depuis un an et les deux militaires l'ont "bien en main" presque aussitôt. Des professionnels, je vous dis!
Le mandrin, fort large, lui remplit le croupion sans problème tandis que son collègue, curieux sur les bords, a regardé l'admirable enculage accompagné d'un couinement comme il se doit. Emerveillé de tant d'érotisme débridé, il loge sans hésitation son tuteur dans la bouche demandeuse.
Nulle violence dans cette réunion mais l'accomplissement d'un désir fiévreux de copuler à plusieurs.
Ils prennent l'initiative de changer de place pour varier les plaisirs. Le jeunot n'y voit pas d'inconvénient, bien au contraire. Va savoir pourquoi, le militaire d'active chausse une capote et vient tringler notre passif le cul déjà fort élargi.
Pris d'une subite envie de domination, il martyrise presque notre jeune volontaire et l'encule comme un mort de faim, niveau sexe. Le balèze, à côté, regarde son collègue niquer et boit à grande gorgées, de l'eau qu'il a apporté à l'étage.
Une main à se tenir la bite, il jubile du tableau qu'il voit. On ne sait pas si c'est de voir son collègue enfiler brutalement cette petite salope où si c'est de voir cette petite salope commencer à demander grâce sous les coups de boutoir qu'il reçoit dans le fion.
Pour ajouter à son inconfort, tout est relatif quand on parle de sexe, il lui bourre la gueule avec sa bite épaisse. Ben oui, ce ne sera qu'un bon souvenir pour la fiotte.
Dans cet engrenage, les mots crus, ceux qui font plaisir et qui restent sous la ceinture, sont de sortie. La pression s'accentue et l'étreinte de l'enculeur sur le passif augmente. Le petit, émerveillé de sucer pareil braquemart, ne peut répondre aux questions salaces et chacun s'invente le lieu et le moment ou le feu d'artifice sera envoyé.
On croit le moment arrivé et pourtant les coups de queues persistent. Chacun veut prolonger cette chaude partouze et se retient de jouir trop vite. Le beau petit brun rend les armes le premier en émettant des plaintes caractéristiques, en se libérant de spasmes qui tendaient son corps de rêve, en cherchant à toucher sa petite bite qui crache sous lui.
Perdu dans ses contractions, il reçoit une livraison onctueuse en bouche. Le jeune militaire, qui attendait ce moment, kiffe de voir un pédé avaler du foutre. Il regarde tout ce tapioca qui se déverse dans la bouche de l'enculé. Putain le retraité, il envoie…et cette petite salope, il ne recrache pas, il prend son pied à avaler ce nectar de couilles d'homme. Il branle son jouet qui n'a pourtant plus rien à cracher.
Il est mûr, prêt à envoyer le jus. La grosse bite baveuse qui sort de la bouche du jeune finit de l'achever. Il se déboîte vite fait du cul offert et, d'un tour de main qui ne saurait attendre, enlève sa capote.
Dans un temps chrono, ne lui laissant pas le choix, il vient présenter sa bite en feu.
Deux mouvements sur le manche et un ajustement, les jets giclent dans la bouche pulpeuse.
Il ne perd rien du moindre détail de la scène tellement ça lui plait. Pour parfaire les finitions, il enfonce sa queue encore raide dans la bouche et va noyer son gland dans cet amas de sperme présent dans cette bouche demandeuse.
C'est gluant et chaud. Le petit aurait préféré avoir ça dans le cul mais il ne rechigne pas à la tâche et, à part un filet qui sort de sa bouche, il se nourrit de ce jus plein de protéines.
Il est éreinté, lessivé mais heureux. Il sourit et fait voir sa bouche vide, pour prouver aux militaires qu'il aime ça. Cela lui rappelle une fameuse journée au Cap d'Agde où il avait vidangé nombre de "touristes"…il m'a dit un nombre et j'ai trouvé ça incroyable. Bon, un mec au sauna m'a dit un jour s'être fait baiser par 18 mecs… tout est possible.
Il regarde les draps souillés par son sperme et se demande ce qu'il va raconter à son compagnon rouquin, ce qui ne traumatise aucunement les deux actifs. Ils sont déjà dans la salle de bains et savonnent leurs engins de tirs.
Pour leur faire plaisir, le jeunot leur propose de descendre boire une bière. Il est allé en acheter spécialement pour eux et il espère bien se faire tirer une seconde fois après cette pause. Des mecs avec des bites si actives, c'est trop tentant. Lui d'habitude à chercher ses mots, il prend sur lui pour parler, pour les retenir et leur donner envie de le niquer à nouveau.
Le vieux, le retraité de l'armée, rodé aux baises et soucieux de ne rien louper de toutes les opportunités qui passent, incite son copain à profiter sans complexe.
Pendant qu'il boit un coup, le copain, déjà raide, penche le petit brun de voisin sur le canapé et lui enfourne son dard jusqu'à la garde. Aucune hésitation, aucune résistance, aucun tabou; la tige va et vient et l'ogive, qui sort parfois, va se loger dans les profondeurs du cul distendu.
Il lui saisit les cuisses et augmente la cadence, augmente la pression. Le petit gémit comme une jeune fille pendant que le retraité se réjouit du porno qui se passe sous ses yeux. Celui-ci laisse faire et donne le champs libre à son collègue.
La capacité du jeune tondu à enculer est certaine et il n'est pas difficile de savoir qu'il va remplir la fiotte de son foutre. Les capotes sont restées à l'étage, il avait envie de niquer tout de suite: Cette fois ci, il ne s'est pas donné la peine de mettre un préservatif, la fiotte est consentante.
Les couinements du petit déchaîne le militaire d'active qui s'arque boute de plus en plus. Un brusque changement de cadence accompagné d'un cri bestial et le jeune voisin se fait féconder. Il kiffe le moment, ne bouge pas, laisse la semence lui remplir le boyau: il adore quand les mecs jutent dans sa bouche ou dans son cul.
Un grand souffle de vainqueur et il se retire déjà. Du sperme s'échappe du cul resté entrebâillé et dégouline sur les petites couilles, ce qui fait rire les compères et certifie l'insémination.
Le costaud, déjà là avec sa bite épaisse, excité comme tout, enquille le jeune sans délicatesse.
Le canapé bouge sous la poussée et le jeune passif émet un cri d'enculé sans pouvoir se débattre. Le braquemart, il l'a senti passer. Epais et très raide, il n'est pas fait pour les mauviettes du sexe. Le retraité ricane du couinement entendu et braille à son collègue comment, lui, il encule les jeunes salopes. Son collègue est admiratif. La baise devient virile, débridée, animale.
Le vieux adore baiser des jeunots. Il en a tant niqué dans sa vie, il sait comment faire. Dès les premiers jours d'incorporation, il savait reconnaître des homos passifs qui s'ignoraient. D'autres, des jeunes déjà initiés aux affaires du sexe entre hommes, il leur démontait le cul à la première occasion. Pour avoir une perm, certains savaient y faire…et il en a profité.
Il empoigne le jeune avec son bras puissant et l'encule par d'amples coups de reins. Sa force est phénoménale et c'est lui qui va décider à quel moment il va le graisser. Sa queue glisse si bien dans ce cul lubrifié de foutre…
Le petit brun miaule sous ce gros mâle, le cul démoli, vaincu. Il a jouit et barbouillé le canapé. Un filet de sperme pend de sa petite bite, qui est maintenant beaucoup moins irriguée.
Le retraité, satisfait d'avoir éreinté cette petite salope, simule une éjaculation et se retire. Pas besoin de lui jouir dans le cul,
Ce soir, il va tirer un mec marié; il garde quelques forces et du jus pour le doser.
Ils rejoignent la salle de bains sans demander quoi que ce soit au jeune voisin et se servent en serviettes propres. Le jeunot a bien conscience qu'il n'est qu'un cul pour eux et que leur relation n'ira pas au-delà du sexe.
Ils n'ont pas échangé un seul baiser et les caresses charnelles lui manquent un peu. Il n'ose pas leur demander s'ils prévoient de revenir. Ces mecs l'impressionnent, ils baisent comme il aime mais il sait qu'ils trouvent des passifs plus chauds que lui. Ils ne s'en cachent pas.
Ah, le retraité… Quel queutard! il en pince depuis quelques jours pour un petit jeune qu'il vient de dépuceler et qu'il invite même chez lui pour roucouler avec.
Son jeune collègue militaire part la semaine prochaine pour une mission en Afrique. Il fallait absolument qu'il se vide les couilles avant. Là bas, c'est un autre monde qui l'attend.
Ainsi va la vie sexuelle de mon jeune voisin. Moi aussi, depuis peu, je le nique. Quelquefois lorsqu'il est seul mais la plupart du temps je le baise devant son copain rouquin. Je trouve ça excitant.
Oui, je vous l'ai dit dans la première partie de l'histoire ( Mon jeune voisin très libéré 1 ): c'est lui qui m'a raconté ses rencontres très chaudes. En effet, une fois parti, il raconte ses ébats comme d'autres racontent leurs exploits sportifs ou autres…
*La vie d'un jeune couple homo très libre. Histoire tirée du vécu de mes jeunes voisins
* Merci pour vos commentaires. Cela fait plaisir
Je ne vais pas vous donner le pseudo de ce visiteur mais je vous le présente un peu.
Assez grand et sec, il a 45 ans. Il est très poilu et doté d'un sexe disons… normal supérieur, un vrai décapsuleur de fion, d'une efficacité redoutable. Un outil qu'il a su mettre en valeur, par des poses très alléchantes sur le site de rencontres homo.
Bref, un gars qu'on rêve tous de rencontrer, enfin, pour ceux qui aiment les poils comme moi. Le gars est aussi un adepte du bronzage intégral. C'est du moins ce que j'ai constaté le jour ou je l'ai rencontré. Hé oui, moi aussi, j'ai une vie sexuelle! Pourquoi croyez vous que je suis ici sur ce site à vous raconter tout ça?
Une rapide présentation, puisque chacun sait pourquoi ils sont réunis et ils sont allés tous les trois à l'étage. Le rouquin adore voir son copain prendre du plaisir et offrir son cul à un bon mâle actif. Ah, il n'est pas jaloux, c'est le moins qu'on puisse dire. Il est correctement outillé et très porté sur le sexe, lui aussi…Comment imaginer ça autrement!
Le petit jeune, mon beau voisin brun, peu farouche, s'est vite dénudé et s'est agenouillé aussitôt pour sucer le grand du poilu. La bite s'est fièrement dressée et a montré tout son potentiel. Sur le site de rencontre, le petit en bavait d'envie, quelle satisfaction! .
Hummm, une merveilleuse pipe …comment ne pas faire plaisir à ce jeune gourmand. Il s'acharne à saliver, à glisser ses lèvres pulpeuses vers la base du pubis et il le fait avec tellement de passion. Il est vraiment doué et je comprend qu'il ait autant d'amants…
Le grand poilu adore embrasser alors la bouche du petit et la sienne se rejoignent et leurs langues se mêlent. Une passionnante étreinte les unit pendant que leurs corps se frottent et que la splendide queue frotte le ventre du jeune qui ouvre déjà ses cuisses lisses. Le petit bande comme un perdu, enfiévré par la situation.
Pourtant il a donné de sa personne toute la journée mais ce mâle lui plaît. Ses poils drus et touffus sur son corps ne sont pas un obstacle. Le quadra comprend sa disponibilité et sait qu'il n'aura aucun problème pour ramoner son cul en feu. Il a l'habitude de ce genre de rencontres et de l'attrait que sa queue suscite. A l'arrière de la plage nudiste, pas plus tard qu'hier, il a niqué un minet ébloui par son beau manche. Le jeune voulait seulement sucer sa grosse queue; il a succombé, a voulu essayer et s'est fait emmancher. Il a couiné et est reparti le cul barbouillé de sperme.
Les mamours sont à l'unisson, le petit ronronne de plaisir et se languit d'être possédé. Il sait embrasser et faire plaisir, se donner à fond. Sa bouche se prête à la manœuvre et il laisse la grosse langue râpeuse de l'invité baver en lui.
Son copain ne perd rien de ce bonheur et se frotte à ce duo formé. Il caresse l'heureux élu et l'encourage à abuser de son partenaire… il brûle d'envie de voir la suite…
Il se trémousse et frotte son cul galbé contre les cuisses velues comme une chatte en chaleur. Le sénior, expert en la matière, écarte ses jambes et présente sa tige rigide entre les fesses rebondies et positionne son gland sur la fleur humide transie de désir. Sans capote, lui qui adore jouir dans le cul des mecs, il kiffe et va l'engrosser sans problème.
Sans tarder, le gland ouvre l'œillet et distend l'anneau rodé à l'exercice de la dilatation. C'est fabuleux de l'enculer. La rondelle souple caresse toute la longueur de la hampe admirable qui trace sa route jusqu'aux couilles. Un merveilleux soupir de contentement envahie la chambre. Le rouquin branle son manche et, extrêmement diplomate, attend son moment, regarde son beau brun s'ébahir de plaisir par ce pieu qui vient de lui tarauder le boyau.
Le petit brun ne se vante pas que dans l'après midi, il s'est déjà fait baiser et qu'un militaire, monté comme un étalon, l'a super bien lubrifié. Sans oublier les autres, le livreur et les artisans plombiers, pour ne pas les citer tous…
D'un coup de reins, il finit de loger son estoc comme dans son étui. Le cri entendu est admirable et, pour un qui ne le connaît pas, on croirait entendre un puceau qui se fait tirer pour la première fois. Ben oui, quand c'est bien fait, tu aimes, même si t'es habitué… Le rouquin reste admiratif devant la dextérité du visiteur et s'enthousiasme de voir comment il harponne son dard dans le cul outrageusement offert. Un bras à retenir son corps d'ado et l'autre à lui écarter une jambe, il coulisse le brun avec joie et s'extasie d'entendre si belle complainte de sa part. Ici, pas de gêne ni de simagrées, on aime baiser et se faire baiser.
La température est élevée, la fusion se saurait tarder…
Le rouquin profite de cette extase prolongée et va gober la petite bite de son ami, qui disparaît dans sa bouche gourmande.
Peu adepte de se faire sucer, il tente de résister. Le rouquin en fait fi et continue malgré tout.
Le quadra poilu coulisse le jeune passif avec force et vigueur pour lui faire perdre la tête. Ses 17 ou 18 centimètres vont et viennent comme le fait un asiatique en rut. Il s'en prend plein le cul; il crie et vacille en libérant ses petites couilles. Le rouquin aspire et suce, se cramponne aux cuisses de son ami.
Son corps a explosé mais l'estocade n'est pas encore donnée. Le grand poilu se raidit, se bloque, braille et lui envoie son jus en le serrant dans ses bras pleins de force.
Le plus naturellement du monde, en se raclant la bouche, le rouquin se redresse et présente sa queue. Sans problème, comme un devoir envers son ami pour la vie, le jeune brun se penche et ouvre sa bouche pulpeuse. Le sexe rigide, roux, fort large, disparaît presque. Une légère adaptation du niveau et on devine les contractions de la hampe qui asperge le palais. Imperturbable, les giclées fusent dans sa bouche pendant, qu'au même moment, il reçoit une forte décharge dans son fondement.
Le rouquin expire son contentement et adresse un large sourire au grand poilu qui se déboîte lui aussi. C'est si bon de jouir. Maintenant, un petit passage vers la salle de bains…
Le petit se tâte le fion, il en aurait bien pris davantage. C'est bien gras, le quadra était chargé…
Un visiteur si performant, avec une bite si bonne à prendre pour son mignon, il ne faut pas le décevoir. Le rouquin propose à boire, pour le retenir, le temps que les batteries se rechargent. Pudique, va savoir pourquoi, il propose une serviette pour s'enrouler autour de la taille.
Ils descendent pour se rafraîchir le gosier et faire plus ample connaissance. Chez eux, tout est inversé: le cul d'abord et ensuite on taille la bavette …
Après pareils contacts, rien ne sert de jouer les timides. Ils parlent de cul comme on parle du dernier film qu'on a vu. Le grand poilu raconte comment, dernièrement, il a dilaté le cul d'un jeune homo, comment il lui a craché son sperme dans le cul.
Le jeune brun en bave de jalousie. Pourtant, il devrait se rappeler que, lui aussi, dès ses premiers émois, il s'est fait dégoupiller la rondelle un soir d'été par un mec, un saisonnier très bien pourvu qui lui a fait découvrir des plaisirs insoupçonnés. Il était très en avance sur le sujet pour son âge. Cet été là, il s'est fait remplir nombre de fois, par des mecs de tous âges…
Le rouquin raconte, très simplement, comment, lui et son compagnon, ils rencontrent des mecs et le plaisir qu'ils en retirent. Pas sûr qu'il connaisse la liste complète pour son copain le brun…
Chacun parle des lieux de drague homos qui "marchent" le mieux, des jours et des moments… comme d'autres s'informent des horaires de la marée.
Une serviette glisse soudain et, le grand poilu, plus expérimenté, déclenche la reprise de la réunion, ce pourquoi il est vraiment venu.
Aimanté par le jeune brun, il l'attire contre lui, lui fait goûter sa salive de sénior. Le rouquin en profite pour s'emparer de sa bite poilue et la ranime sans difficulté. Lui aussi a fait une fixation dessus. Une fois prise en bouche, il comprend tout le plaisir que son ami a pu avoir. Ce quadra a quand même une belle queue dressée vers le nombril, un peu arquée mais bien raide!
Je ne sais lequel décide de retourner à l'étage. Le jeune brun, transis de désir, se tortille sans complexe, se beurre le trou de gel va savoir pourquoi et s'étale sur le lit, invite à profiter de son corps. Le grand poilu, la bite encore luisante de salive, n'hésite pas et, d'un royal coup de reins, s'introduit dans le cul en feu.
Le jeune se cabre au même moment pour mieux se faire emmancher. Seul un cri de plaisir émerge de cette copulation synchronisée. En totale confiance, il s'affale sur la fiotte et finit de lui remplir le boyau avec son bambou taillé pour la baise.
Il lui lèche les oreilles et cherche la meilleure position pour lui enfoncer les derniers centimètres, les meilleurs, dans son trou de petite pute.
Le rouquin assiste à la sodomie sans broncher. Il va même toucher le cul poilu du mec et lui caresse les couilles. Elles sont fermes et pleines de promesse pour le passif. Il enculerait bien le quadra mais son copain le petit brun est d'une jalousie incroyable: hors de question qu'il baise un autre que lui.
Pour un qui se fait sauter à volonté, la situation a de quoi faire sourire!
Il regarde le membre raide aller et venir dans le cul de son ami et ne peut que constater combien ces mouvements le remplissent d'aise.
Il décide d'aller devant son mec allongé sur le ventre et de se faire sucer. Aucun problème de ce côté-là. Il n'y aura pas de friction dans le ménage.
Le poilu actif, qui a sans doute compris la situation …il en a tant vu dans ses baiseries… se libère de ses pulsions et coulisse, coulisse avec vigueur le jeune passif. C'est si bon de baiser un petit jeune qui remue son cul, qui réclame de la bite, qui ne peut plus couiner parce qu'il a la bouche pleine par une autre queue.
Putain ce qu'il aime ça, quelle salope.
Se faire bourrer le cul et se faire remplir la gueule en même temps, c'est le top.
Pendant plusieurs minutes, on n'entend plus que des murmures de contentement, des bruits caractéristiques d'enculage.
Il en a baisé des mecs, des gros et des minces, de tous âges, des mecs mariés et des puceaux, mais celui là, ce petit brun, il le classe dans la catégorie des bons, des mecs chauds et ouverts.
Tomber sur un beau jeune homme qui se fait enculer sans capote, en plus, quel aubaine!
Sa bite large glisse sans problème. Elle est acceptée, désirée. Le petit ondule sous le bonheur. Le quadra ahane plus fort, ses reins se cabrent et il envoie sa dernière rafale de la journée. Le petit saisit sa petite bite, ferme les yeux pour mieux ressentir toutes les sensations du nirvana qui plane en lui…
Vraiment cette soirée lui plait. Se faire baiser comme ça, il adore.
Le baiseur est satisfait lui aussi. Faire cracher sa queue dans un cul, il adore.
Le grand poilu quadra ne s'attarde pas. Il a une réunion de copropriétaires avec tout le sérieux que cela comporte. Ils discutent un peu et prévoient de se revoir. C'est sûr, ce petit brun, il va le troncher dès qu'il va pouvoir…
* Ce jeune couple existe vraiment et je les ai rencontrés. Le grand poilu, très friand de raconter ses baises torrides, adore initier ou roder les jeunes culs. Il ne dédaigne pas de ramoner non plus des culs comme le mien. C'est un plaisir de le rencontrer.
En recoupant mes infos, il a bien niqué le petit brun tel que je le raconte.
La semaine suivante, sa journée de RTT a été pour mon jeune voisin très chargée, surtout très chargée de foutre.
Comme d'habitude, dès son copain rouquin parti au travail, une envie de se faire sodomiser est en lui.
C'est jour de marché et les bons clients arrivent tôt. Un retraité confirmé arrive avec un petit utilitaire aménagé pour mettre ses chiens à l'arrière. Avant de rejoindre des copains à la terrasse d'un bar, le voilà qui se pointe chez mon jeune voisin, pas pour un café bien serré mais plus sûrement pour se faire offrir une turlutte délicieuse.
L'homme est assez repérable. Un costaud, dense du ventre, avec des bras comme mes cuisses. Chauve comme beaucoup mais les yeux pleins de vice. Sous sa large ceinture on distingue la déformation du pantalon tellement il bande; pas un long sexe raidi mais une courte super épaisse.
J'ai déjà vu un homme comme lui au sauna, genre sumo, avec une bite à peine standard mais d'une épaisseur impressionnante.
Le jeune le reçoit sans poser de question, signe qu'il est déjà venu, et referme la porte aussitôt.
Je bave, je bande de savoir comment ces deux là vont s'emboîter. Le vieux pervers se réjouit de satisfaire un jeune qui pourrait être son petit-fils. Ils sont majeurs et consentants, bien sûr, et c'est pour un plaisir partagé.
Le petit brun, tout excité de faire bander ce vieux cochon, se régale de l'attrait qu'il provoque. Il sait que ce n'est pas une baguette de sourcier qu'il va se prendre mais un gros bâton veineux.
Le balèze défait son ceinturon et offre sa marchandise: une bite courte en effet mais que beaucoup n'arrivent pas rivaliser avec une épaisseur pareille, posée sur des couilles, que dire, des sacoches impressionnantes.
Il pose son cul sur le bras du canapé pendant que le jeunot, ébloui par son bazooka, ouvre grand la bouche pour gober son beau fruit encore emmailloté.
Ce gros gland qui baille méat ouvert est trop tentant. Il disparaît dans sa bouche distendue. Sa mâchoire lui fait mal mais il persévère et glisse ses lèvres autant qu'il peut sur l'énorme manche. Son menton posé sur le sac de couilles, il jubile de satisfaire pareil mâle.
Le costaud, devant tant de douceur de la part du beau jeune homme, se cabre pour offrir plus et lui caresse les cheveux. Avec son gros ventre il ne voit pas le clocher de son église mais la bouche humide sur son pieu, il la sent trop bien. Il respire fort, grommèle, félicite la jeune lope, lui dit qu'il suce mieux que les putes…
Pleinement décalotté, son énorme abricot explose de santé: Putain le morceau!
Le balèze enlève son teeshirt et découvre son ventre bedonnant et ses pectoraux de lutteur. Le jeune comprend qu'il est chaud bouillant, qu'il veut le baiser. C'est aussi bien, sa mâchoire commence à lui faire trop mal. La dernière fois, papy l'a enculé dans la cuisine. Il ne voulait pas s'essouffler dans l'escalier qui va à la chambre.
Le jeune se met à poil et graisse son cul devant l'autre qui caresse sa queue et bave d'envie. Ses yeux sont rivés sur ce gros manche court qui suinte son pré cum et va l'enculer.
Ils reprennent la bonne position qu'ils ont trouvé la dernière fois, à bonne hauteur pour ce gaillard peu sportif. Le jeune, dos sur la table, le costaud lui empoigne les cuisses, l'attire à lui. Notre beau brun voit le bestiau qui va le saillir, emboiter sa grosse bite en lui.
Le gland dur et gonflé trouve sa place facilement dans la corolle préparée pour lui. Il enfonce son pieu de force pour dilater, se chausser dans la rondelle. Le gros ventru sent sa bête qui rentre dans son gîte, il force encore et s'introduit, sans tenir compte du jeune qui s'agite, gémit, geint de la dilatation virile de son œillet. Il le maintient en place et force encore.
L'anneau se détend et va céder… la quille va s'encastrer, de gré ou de force… Un cul comme ça, quelle aubaine!
Il sait qu'il va la loger, sa grosse bite épaisse. Une fois le gros gland passé, le reste va rentrer, il va la mettre jusqu'à ses grosses couilles.
Le jeune, pourtant habitué aux enculages, peine et jubile à la fois de s'en prendre une si grosse… dommage qu'elle soit si courte. Ecrasé sous ce gros phoque, il geint sous cette saillie bestiale. Cela lui rappelle la fois où un Turc, monté comme un âne, l'a sodomisé sur des sacs d'enduits sur un chantier. Il était minet et déjà gourmand…Là, il avait dégusté; il avait fallu soulager plein d'immigrés aux couilles bien chargées…
De ses bras puissants, en plein plaisir charnel, le balourd saisit fermement les hanches du petit brun, l'emboîte complètement, lui arrachant un cri d'enculé, un magnifique petit cri de passif comblé, défoncé.
Il manœuvre aussitôt son gros dard dans ce cul si douillet. La fiotte n'est plus qu'un pantin le cul ouvert; complètement débordé par le renoncement de son corps… mais, va savoir pourquoi, papy préfère sa bouche, chaude et douce.
Il lui distribue une bonne douzaine de coups de bite et se retire. Le cul affreusement ouvert, le petit brun connaissant ses goûts, il se précipite, s'accroupit pour fermer ses lèvres sur l'énorme bambou luisant.
Le vieux, pervers jusqu'à la racine, lui tient fermement la tête, le coince, le plaque contre ses grosses couilles. Quel délice, cette petite pute!
Le balèze, son manche logé dans la bouche humide, gicle presque dans la foulée. La semence s'écoule par saccades, grasse, onctueuse. On croit la coulée de lave blanche tarie et une autre livraison est déchargée, presque aussi copieuse.
Le petit brun, au comble du plaisir, jouit d'un plaisir non dissimulé, rassasié de cette nourriture iodée, dominé par ce vieux pervers. Il éclabousse le carrelage, les godasses du costaud… il purge son petit gicleur, la pression du plaisir est trop forte.
Après ces quelques minutes, intenses et torrides, cet accouplement, cette fellation réussie, ils se déboitent. La bouche est vide, il adore.
Il regrette que ce moment n'ait pas été plus long. Il regarde, pour ne rien louper, le prépuce venir recouvrir l'énorme gland, après la mission accomplie. Putain la grosse bite qu'il a, ce vieux. Il adore quand il lui jouit dans la bouche, quand il le force à avaler.
Ils se sont rencontrés un jour de drague dans la forêt. Ah, ce jour là, trois vieux s'étaient succédés pour le remplir mais celui là, avec sa grosse bite, il le voulait encore…et, bonne nouvelle, il n'habite pas très loin.
Celui-ci repart, soulagé, surtout entre les jambes. Maintenant il va retourner jouer les machos avec ses copains et s'occuper de ses chiens. C'est sa vie.
Après pareille entrevue et un tel manche dans le cul, les autres vont le fourrer sans difficulté.
L'avantage avec ce vieux, c'est qu'il vient tôt le matin. Cela laisse du temps pour d'autres…
Occupé à bosser sur mon ordi, un bruit de moto me fait lever la tête.
C'est un jeune qui s'arrête, juste devant la maison du voisin et gare sa moto devant le garage.
Celui là, je le reconnais; Kévin habite à plusieurs kilomètres de là. Il est intérimaire dans la boite où j'ai travaillé un moment. Il parlait facilement de cul et se vantait de niquer autant qu'il voulait. Un jour, j'ai entendu une couguar, qui ne s'en cachait pas, une qu'il avait secouée sans doute, parler de lui et dire qu'il était super bien pourvu….
Ca m'avait excité d'entendre ça mais je ne voulais surtout pas d'histoire de cul au boulot.
La porte s'ouvre. Le beau brun a, lui aussi, entendu le bruit caractéristique de la Harley.
Kévin a su trouver la bonne adresse pour niquer. D'équipe d'après midi aujourd'hui, il a un peu de temps devant lui. Quel queutard, il faudra que j'y goûte un jour moi aussi.
Il a le droit d'aller dans la chambre à l'étage. Les rideaux bougent et, c'est trop drôle, le voisin baisse un peu les volets roulants…Tamisé, c'est plus romantique.
Je cogite et m'excite seul. La venue de Kévin me dit que le jeunot d'en face va prendre cher. Tous les deux dévêtus, leurs corps vont se frotter et se chercher. Bien sûr, chacun sait lequel est l'actif et le passif dans ce duo réunit. Ils ont le même gabarit et le même âge. Putain, quelle merde de ne pouvoir assister à leurs ébats!
Ils vont peut être se sucer; rien n'est impossible. Les petits machos, une fois partis, se dévergondent. Kévin, assez énergique, ne va pas être long à capter que mon voisin passif est peu farouche, très ouvert. Sa bite longue a fait tourner la tête à de nombreux pédés et celui là ne va pas faire exception. Les homos adorent en sentir une longue qui leur rentre dans le cul.
Il est nouveau dans la boite et il a déjà niqué un autre intérimaire, un magnifique petit black au cul rebondi, mieux monté que lui.
Depuis, l'autre en est amoureux, ça va vite être le bordel. Pas de sexe au travail, je vous dis!
Kévin chausse une capote avant de niquer. Son cul est bien dilaté (forcément avec le gros bedonnant monté large passé avant) et il comprend qu'à part le train, tous le monde peut passer dessus… il n'a pas envie de choper une saloperie.
Il l'encule direct, comme un pro. La lope a soulevé son cul pour améliorer l'angle de pénétration et mieux se faire embrocher. Putain comme il a aimé sentir les 20cm lui rentrer dans le cul!
Bon, je me suis fait niquer par un gars monté long, je l'admets, c'est trop bon.
Il n'a pas couiné, il a simplement émis un miaulement de petit chat, et encore. Déterminé à niquer cette petite salope de pédé, Kévin va et vient en lui et lui ramone le fion. Il ne sent pas les parois caresser sa longue queue et a l'impression de baiser la chatte en feu de la couguar qui aime tant les jeunes mâles.
Kévin a baisé la semaine dernière un pédé qui s'ignorait et il braillait à chaque coup de bite. Putain ce qu'il lui a envoyé. Il était serré celui là.
Le beau brun sait y faire pour attiser l'ardeur de son enculeur. Il ne veut pas décevoir cet amant. Ils s'ébattent sans pudeur, la pression monte, inexorable.
Kévin se déboite soudain et enlève rapidement la capote. Voir ses giclées fuser sur le cul encore ouvert, sur les fesses lisses des mecs, il adore. Le sperme gicle sur la cible, s'écoule et glisse dans le trou béant. Dans un dernier spasme, il pose son gland sur l'œillet démoli et le tasse au jus….humm, c'est trop bon!
Le jeune voisin, qui veut rendre service parce qu'il a apprécié l'enculage, vient lui sucer la tige pour profiter encore. Il saisit la longue bite devenue demie molle et la nettoie avec soin. Il branle sa quéquette en même temps mais n'insiste pas. Le gros l'a fait jouir juste avant, il a trop kiffé avec celui là.
Souvent, après la baise, les mêmes questions reviennent, pour savoir s'il se fait niquer souvent. Curieusement, avec Kévin, c'est sûrement une question de génération, il se lâche et raconte ses baises et ses rencontres. Kévin raconte lui aussi sans complexe comment il nique plein d'autres mecs. Avec force détails, il étale ses capacités de jeune mâle Alpha. Comme la nature l'a favorisé, il n'a pas de mal.
C'est tout juste s'il ne donne pas le nom et les adresses. Comme ce ne sont que des passifs, le beau brun laisse couler. Lui, il aime bien les matures, surtout les actifs.
Allongés sur le lit à discuter, le jeune voisin profite du moment pour caresser ce beau sexe long qui le fascine. Après une petite branlette, sa bouche prend le relai. Le travail est appliqué et l'engin se redresse à la verticale.
Notre motard ferme les yeux et profite de cette fellation délicieuse, de plus en plus excitante. Le beau petit brun voit l'occase et vient, en un éclair, s'accroupir sur lui. L'action est rapide, le cul graissé de sperme glisse sur la tige fièrement dressée. Le voilà enculé sur ce pieu qui le fascine, avec une aisance incroyable.
Toute la longueur a disparu dans le fondement de la lope qui s'active comme pour réaliser un exploit. Sa fougue, son expérience d'enculé ont vite raison du contrôle raisonné de Kévin. Notre jeune motard le traite de "salope" puis le saisit, s'arque boute. Il va jouir et lui remplir le cul.
Il râle comme un pro et envoie sa semence dans ce cul posé sur lui puis, une fois ses quatre ou cinq salves envoyées, se détend dans un grand souffle de soulagement.
La lope a eu sa dose et sa petite bite a laissé échapper du foutre sur le ventre du motard, c'est dire comme il aime ça, se faire remplir.
Le motard sait qu'il ne vit pas seul et ne veut pas se retrouver là en même temps que le copain du brun qui va revenir déjeuner. De toute façon, il faut qu'il se prépare pour aller bosser.
Kévin se lave et promet de revenir. Il lui dit ça pour lui faire plaisir mais lui, son truc, c'est la nouveauté. Il papillonne d'un cul à l'autre. Un mec régulier, c'est pas du tout son kif.
Chose inhabituelle, mon voisin accompagne son nouveau copain et s'intéresse à la bécane. Ca ne coûte rien et ça fait plaisir. Peut être qu'après son scooter, il va passer à la moto…
Finalement, en regardant l'heure, ils ont pris leur temps, ces deux là. Forcément, deux enculages et taper la discute, faut bien ça.
Il doit maintenant courir dans tous les sens pour remettre de l'ordre dans la chambre et tout le reste; midi arrive. Un coup de micro-ondes et il sera prêt.
S'il raconte dans le détail à son compagnon son occupation de la matinée…pas besoin de télé.
L'après midi semble calme. Je remarque que mon jeune voisin est allé faire quelques courses et qu'il est revenu avec un pack de bières et quelques bricoles.
En milieu d'après midi, je comprends mieux la situation. Le militaire de la semaine dernière revient et, aujourd'hui, il est accompagné.
Je bande direct et suis prêt à me branler tellement la sève me monte à la branche. Ce petit con va se faire niquer par ces deux mecs. Il n'a pas pu résister à l'envie de se faire encore engrosser par ce militaire qui l'a pourtant rabaissé au rang de vide couilles. Encore mieux, ils vont être deux à profiter de son corps.
Le gars qui l'accompagne est plus jeune, environ 35 ans. C'est évident que c'est un militaire…enfin, il en a tout le style. Ratiboisé au dessus des oreilles, les manches de la chemise retroussées, l'œil vif et le corps sculpté, il dégage une énergie de félin. La complicité entre ces deux là est évidente et ils se réjouissent déjà de rejoindre mon beau petit voisin.
Il va sans problème et sans rechigner contrôler leur appareil reproducteur et en tester le fonctionnement.
Ses épaules de sportif, ses pectoraux bien développés, je rêve moi aussi de me faire baiser par un mec pareil, de lui sucer la queue, d'être soumis à ses désirs.
Le retraité de l'armée, toujours aussi puissant et solide sur ses jambes, se dirige directement vers la maison, sûr de lui. Affirmatif dans sa démarche, il dégage une prestance de chef de harde impressionnante, et s'en va de ce pas saillir ce petit pédé disponible. Il n'a pas besoin de sonner, la porte s'ouvre et il rentre sans hésitation suivi de l'autre actif qu'il ne présente même pas. Par internet, il a imposé sa présence et promis le meilleur à son passif obéissant.
Le jeune brun, toujours aussi impressionné par ce maître qui l'a si bien servi la semaine dernière, ferme la porte et tourne la clé. Hors de question d'être dérangé pendant cette réunion qui l'a tant fait savourer d'envie.
Pas question de perdre de temps. Le vieux connaît ses points faibles et d'office, lui ordonne de sucer sa queue, pour aussi impressionner son collègue.
Il est déjà agenouillé à sniffer l'entrejambe de l'étalon expérimenté. Celui-ci défait son ceinturon pour libérer le matériel. Personnellement, j'ai toujours adoré ce genre de moment; ce moment où le mâle sent le besoin de sortir son sexe, de le libérer pour le faire se déployer. C'est comme s'il sortait la grande voile pour prendre le vent, la gonfler et aller de l'avant.
Le bambou est aussitôt embouché et les deux lascars de l'armée se regardent; l'un incitant l'autre à profiter lui aussi, ce qu'il a déjà compris. Le jeune étalon a sorti son instrument et quel instrument! un beau spécimen de sexe très droit chapeauté par un gland gonflé, qui n'attend qu'une bouche pour gonfler encore.
Ce n'est pas le plus gros, le plus long, non, c'est celui qui se prend bien en bouche et qui te démoli un cul sans crier gare. Il ne peut rivaliser avec celui du militaire retraité qui, lui, est taillé pour exploser un cul de part son épaisseur. Mis à part bien sûr le mec de la matinée.
Pas de chichi chez nous, le jeunot salive à son tour le deuxième sexe proposé. Celui là lui distend moins les lèvres et il aimerait bien faire exploser ce gland gorgé comme un fruit mûr.
Le vieux saisit une bouteille d'eau posée sur la table et commande d'aller à l'étage. Il a hâte de passer aux choses sérieuses et de voir son copain forniquer dans la lope. A eux deux, ils vont le refroidir; ils en ont discuté dans la voiture et se sont excité mutuellement pour savoir lequel des deux baiserait le plus longtemps.
Les vêtements sont vite enlevés, plus vite que la semaine dernière où il ne voulait pas l'apeurer. Son corps massif est devant la lope, la queue imposante dressée. Elle invite au sexe immédiat.
Le corps frêle du jeune voisin, lisse et provoquant, excite ces deux mâles experts en enculages et, comme si c'était convenu d'avance, chacun trouve sa place. Les bites sont sucées à tour de rôle et plus rien ne peut arrêter son envie de satisfaire ses amants.
Ils s'encouragent à presque étouffer leur bienfaiteur, surtout le retraité, mieux pourvu. L'autre n'est pas en reste et se réjouit d'amener les lèvres au maximum, de voir la bave de la lope couler sur ses couilles rasées.
Ils ne vont pas se contenter de ça et, sans contestation aucune, ils décident d'emmancher la lope par les deux bouts. Le vieux, plus excité, va s'occuper de son cul; il a pris trop de plaisir la semaine dernière et sait qu'il va lui la mettre direct. Il a bien couiné lorsqu'il lui l'avait mise mais il avait compris qu'il faisait du cinéma.
Le petit jeune s'apprête comme une chatte en chaleur qui n'a pas vu le matou depuis un an et les deux militaires l'ont "bien en main" presque aussitôt. Des professionnels, je vous dis!
Le mandrin, fort large, lui remplit le croupion sans problème tandis que son collègue, curieux sur les bords, a regardé l'admirable enculage accompagné d'un couinement comme il se doit. Emerveillé de tant d'érotisme débridé, il loge sans hésitation son tuteur dans la bouche demandeuse.
Nulle violence dans cette réunion mais l'accomplissement d'un désir fiévreux de copuler à plusieurs.
Ils prennent l'initiative de changer de place pour varier les plaisirs. Le jeunot n'y voit pas d'inconvénient, bien au contraire. Va savoir pourquoi, le militaire d'active chausse une capote et vient tringler notre passif le cul déjà fort élargi.
Pris d'une subite envie de domination, il martyrise presque notre jeune volontaire et l'encule comme un mort de faim, niveau sexe. Le balèze, à côté, regarde son collègue niquer et boit à grande gorgées, de l'eau qu'il a apporté à l'étage.
Une main à se tenir la bite, il jubile du tableau qu'il voit. On ne sait pas si c'est de voir son collègue enfiler brutalement cette petite salope où si c'est de voir cette petite salope commencer à demander grâce sous les coups de boutoir qu'il reçoit dans le fion.
Pour ajouter à son inconfort, tout est relatif quand on parle de sexe, il lui bourre la gueule avec sa bite épaisse. Ben oui, ce ne sera qu'un bon souvenir pour la fiotte.
Dans cet engrenage, les mots crus, ceux qui font plaisir et qui restent sous la ceinture, sont de sortie. La pression s'accentue et l'étreinte de l'enculeur sur le passif augmente. Le petit, émerveillé de sucer pareil braquemart, ne peut répondre aux questions salaces et chacun s'invente le lieu et le moment ou le feu d'artifice sera envoyé.
On croit le moment arrivé et pourtant les coups de queues persistent. Chacun veut prolonger cette chaude partouze et se retient de jouir trop vite. Le beau petit brun rend les armes le premier en émettant des plaintes caractéristiques, en se libérant de spasmes qui tendaient son corps de rêve, en cherchant à toucher sa petite bite qui crache sous lui.
Perdu dans ses contractions, il reçoit une livraison onctueuse en bouche. Le jeune militaire, qui attendait ce moment, kiffe de voir un pédé avaler du foutre. Il regarde tout ce tapioca qui se déverse dans la bouche de l'enculé. Putain le retraité, il envoie…et cette petite salope, il ne recrache pas, il prend son pied à avaler ce nectar de couilles d'homme. Il branle son jouet qui n'a pourtant plus rien à cracher.
Il est mûr, prêt à envoyer le jus. La grosse bite baveuse qui sort de la bouche du jeune finit de l'achever. Il se déboîte vite fait du cul offert et, d'un tour de main qui ne saurait attendre, enlève sa capote.
Dans un temps chrono, ne lui laissant pas le choix, il vient présenter sa bite en feu.
Deux mouvements sur le manche et un ajustement, les jets giclent dans la bouche pulpeuse.
Il ne perd rien du moindre détail de la scène tellement ça lui plait. Pour parfaire les finitions, il enfonce sa queue encore raide dans la bouche et va noyer son gland dans cet amas de sperme présent dans cette bouche demandeuse.
C'est gluant et chaud. Le petit aurait préféré avoir ça dans le cul mais il ne rechigne pas à la tâche et, à part un filet qui sort de sa bouche, il se nourrit de ce jus plein de protéines.
Il est éreinté, lessivé mais heureux. Il sourit et fait voir sa bouche vide, pour prouver aux militaires qu'il aime ça. Cela lui rappelle une fameuse journée au Cap d'Agde où il avait vidangé nombre de "touristes"…il m'a dit un nombre et j'ai trouvé ça incroyable. Bon, un mec au sauna m'a dit un jour s'être fait baiser par 18 mecs… tout est possible.
Il regarde les draps souillés par son sperme et se demande ce qu'il va raconter à son compagnon rouquin, ce qui ne traumatise aucunement les deux actifs. Ils sont déjà dans la salle de bains et savonnent leurs engins de tirs.
Pour leur faire plaisir, le jeunot leur propose de descendre boire une bière. Il est allé en acheter spécialement pour eux et il espère bien se faire tirer une seconde fois après cette pause. Des mecs avec des bites si actives, c'est trop tentant. Lui d'habitude à chercher ses mots, il prend sur lui pour parler, pour les retenir et leur donner envie de le niquer à nouveau.
Le vieux, le retraité de l'armée, rodé aux baises et soucieux de ne rien louper de toutes les opportunités qui passent, incite son copain à profiter sans complexe.
Pendant qu'il boit un coup, le copain, déjà raide, penche le petit brun de voisin sur le canapé et lui enfourne son dard jusqu'à la garde. Aucune hésitation, aucune résistance, aucun tabou; la tige va et vient et l'ogive, qui sort parfois, va se loger dans les profondeurs du cul distendu.
Il lui saisit les cuisses et augmente la cadence, augmente la pression. Le petit gémit comme une jeune fille pendant que le retraité se réjouit du porno qui se passe sous ses yeux. Celui-ci laisse faire et donne le champs libre à son collègue.
La capacité du jeune tondu à enculer est certaine et il n'est pas difficile de savoir qu'il va remplir la fiotte de son foutre. Les capotes sont restées à l'étage, il avait envie de niquer tout de suite: Cette fois ci, il ne s'est pas donné la peine de mettre un préservatif, la fiotte est consentante.
Les couinements du petit déchaîne le militaire d'active qui s'arque boute de plus en plus. Un brusque changement de cadence accompagné d'un cri bestial et le jeune voisin se fait féconder. Il kiffe le moment, ne bouge pas, laisse la semence lui remplir le boyau: il adore quand les mecs jutent dans sa bouche ou dans son cul.
Un grand souffle de vainqueur et il se retire déjà. Du sperme s'échappe du cul resté entrebâillé et dégouline sur les petites couilles, ce qui fait rire les compères et certifie l'insémination.
Le costaud, déjà là avec sa bite épaisse, excité comme tout, enquille le jeune sans délicatesse.
Le canapé bouge sous la poussée et le jeune passif émet un cri d'enculé sans pouvoir se débattre. Le braquemart, il l'a senti passer. Epais et très raide, il n'est pas fait pour les mauviettes du sexe. Le retraité ricane du couinement entendu et braille à son collègue comment, lui, il encule les jeunes salopes. Son collègue est admiratif. La baise devient virile, débridée, animale.
Le vieux adore baiser des jeunots. Il en a tant niqué dans sa vie, il sait comment faire. Dès les premiers jours d'incorporation, il savait reconnaître des homos passifs qui s'ignoraient. D'autres, des jeunes déjà initiés aux affaires du sexe entre hommes, il leur démontait le cul à la première occasion. Pour avoir une perm, certains savaient y faire…et il en a profité.
Il empoigne le jeune avec son bras puissant et l'encule par d'amples coups de reins. Sa force est phénoménale et c'est lui qui va décider à quel moment il va le graisser. Sa queue glisse si bien dans ce cul lubrifié de foutre…
Le petit brun miaule sous ce gros mâle, le cul démoli, vaincu. Il a jouit et barbouillé le canapé. Un filet de sperme pend de sa petite bite, qui est maintenant beaucoup moins irriguée.
Le retraité, satisfait d'avoir éreinté cette petite salope, simule une éjaculation et se retire. Pas besoin de lui jouir dans le cul,
Ce soir, il va tirer un mec marié; il garde quelques forces et du jus pour le doser.
Ils rejoignent la salle de bains sans demander quoi que ce soit au jeune voisin et se servent en serviettes propres. Le jeunot a bien conscience qu'il n'est qu'un cul pour eux et que leur relation n'ira pas au-delà du sexe.
Ils n'ont pas échangé un seul baiser et les caresses charnelles lui manquent un peu. Il n'ose pas leur demander s'ils prévoient de revenir. Ces mecs l'impressionnent, ils baisent comme il aime mais il sait qu'ils trouvent des passifs plus chauds que lui. Ils ne s'en cachent pas.
Ah, le retraité… Quel queutard! il en pince depuis quelques jours pour un petit jeune qu'il vient de dépuceler et qu'il invite même chez lui pour roucouler avec.
Son jeune collègue militaire part la semaine prochaine pour une mission en Afrique. Il fallait absolument qu'il se vide les couilles avant. Là bas, c'est un autre monde qui l'attend.
Ainsi va la vie sexuelle de mon jeune voisin. Moi aussi, depuis peu, je le nique. Quelquefois lorsqu'il est seul mais la plupart du temps je le baise devant son copain rouquin. Je trouve ça excitant.
Oui, je vous l'ai dit dans la première partie de l'histoire ( Mon jeune voisin très libéré 1 ): c'est lui qui m'a raconté ses rencontres très chaudes. En effet, une fois parti, il raconte ses ébats comme d'autres racontent leurs exploits sportifs ou autres…
*La vie d'un jeune couple homo très libre. Histoire tirée du vécu de mes jeunes voisins
* Merci pour vos commentaires. Cela fait plaisir
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12 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Plutôt longuet
7/10
Belle brochette.
Pas mal.
j'avoue que moi aussi pendant une période de chômage technique de mon boulot j'ai eu beaucoup de rencontres chez moi et hors de chez moi. Un jour j'ai commencé à 6h du mat un mec qui s'en allait de son taf de nuit et à 22h j'avalais encore du sperme avec un célibataire endurci. J'adorais ces jours de chômage
un jour j'ai croisé mon voisin au sauna et depuis il vient chez moi
A quelques détails je me retrouve dans cette histoire. J'ai 50 ans et je vais régulièrement satisfaire un jeune toujours en demande de sexe. Il m'arrive de me retrouver avec d'autres hommes pour lui faire sa fête. Je vis très bien le fait qu'il voit plein de mecs. Le voir se faire prendre par d'autres hommes n'est pas déplaisant. De l'autre côté, avoir un mateur ou un autre participant excite beaucoup
Bonne description dans l'histoire de plus bien écrite
Bonne description dans l'histoire de plus bien écrite
Original comme présentation j'aime . J'ai des horaires atypiques pour travailler et je préfère recevoir. De plus j'ai pas de voiture. Moi aussi certains jours j'ai de nombreuses visites. En effet, à plusieurs ils sont plus excités. J'ai pas de vis à vis avec des voisins c'est plus simple pour moi.
cru et chaud, un délice à lire
Très réaliste. Pendant que j'étais en déplacement à Paris mon (ex)copain se faisait niquer à volonté à notre domicile. Dans cette histoire il est visiblement au courant et d'accord
Croustillant comme on aime
J'adore cette suite