Mon jeune voisin très libéré
Récit érotique écrit par Caramel35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mon jeune voisin très libéré
Tous les amateurs d'homos passifs comprendront. Mon jeune voisin, cette petite salope s'offre sans complexe à tous ces mâles en rut qui viennent chez lui. …
Il a un corps magnifique, un tombé de cul, un galbe Brésilien à faire bander un régiment. J'imagine les bites; larges, longues, normales, dressées, les nœuds gorgés qui déchargent en lui, qui vomissent leur trop-plein. Tous ces cylindres qui coulissent en lui, qui lui remplissent le cul ou la gorge… Tout ça m'excite… et perturbe mon attention au travail!
Avec le Covid, mon employeur a eu la bonne idée de me faire travailler à la maison. J'avais plus ou moins remarqué du mouvement en face de chez moi mais je n'imaginais pas à ce point là. Je précise que l'histoire est réelle et que mon jeune voisin est très sympa…
Voilà; Celui dont je vous parle, c'est mon jeune voisin, un beau petit brun, juste en face de chez moi. Il vit en couple avec son compagnon rouquin; un mec de son âge. Pourtant très discret, j'ai remarqué qu'il dépense beaucoup d'énergie les jours où il se retrouve seul à la maison.
Sitôt son ami parti au travail, le jeunot part en scooter. C'est lorsqu'il revient dans la demi-heure que j'en conclus qu'il donne quelques rendez-vous non loin de là, à des amants qui pourraient s'égarer dans le lotissement plein d'impasses où nous habitons.
En effet, le voilà qui revient, suivi d'un homme en voiture.
L'homme est bien sapé et inspire confiance. On ne penserait pas qu'il vient ici tirer un coup. Il faut se méfier de ces mecs passe-partout. Ce sont quelquefois de redoutables baiseurs. Ils sont maintenant dans la chambre, à l'étage, car le rideau bouge soudain par les courants d'air de la porte mal fermée. Vous voyez, je suis très observateur.
Après un peu de blabla, en bon commercial, il va activer tout son potentiel dans le cul chaud comme la braise du jeune. A moins qu'une bonne pipe ne vienne à bout de toute la pression accumulée dans son entrejambes. Loin de chez lui et en perpétuel déplacement, il a trouvé cette solution pour se soulager. Rencontrer ce petit mec qui ne lui demande rien et qui lui rend service, c'est génial.
Il est tombé à la bonne adresse. En face de chez moi, je vous le dis, c'est open sexe.
Il ne s'attarde pas et la belle voiture d'entreprise repart; il a sûrement un rendez vous à honorer chez un client mais il a noté son 06. C'était super, en Bretagne, ils savent recevoir…
Un petit moment se passe…
Ah, un camion de livraison… On les voit tellement partout qu'on n'y fait plus attention.
Le livreur, un beau magrébin au teint hâlé, descend et s'empare d'un paquet qu'il va livrer. Tiens, mais c'est justement en face qu'il se dirige.
Je pense plutôt qu'il va livrer autre chose car il est reçu comme le messie. La porte s'est largement ouverte pour prouver au livreur qu'il est attendu. Je rigole; maintenant, ils préviennent presque avec exactitude de l'heure de leur passage.
J'ai juste eu le temps de voir un mec bien bâti, avec son jogging super déformé sur le devant tellement la vue de son hôte le ravie. Il a une énergie hors du commun et une souplesse de fauve en chasse. C'est sûr, le petit va devoir déployer tout son savoir-faire de pédé pour satisfaire ce mâle avide de copuler.
D'abord, pour commencer, une turlutte délicieuse avec quelques fonds de gorge, avec un passage de langue sur les couilles rasées… puis, parce ce qu'un petit cul de pute comme le sien, lisse et juvénile, ça se défonce… un enculage maison de la part du livreur.
Une bite de beur ou d'arabe, je ne sais comment il faut dire, il doit kiffer, il doit mouiller du cul et fantasmer de se prendre un beau sexe circoncis. Je suis sûr qu'il va se laisser baiser sans capote tellement il en bave pour ce mec.
Je voudrais bien l'entendre couiner sous les coups de bite et je bande rien que d'imaginer dans quelle position il doit se faire niquer…
La livraison s'éternise; cela doit être un bon coup pour que ce livreur le dézingue à ce point. Les autres livraisons attendrons...
Il finit par repartir, avec son paquet qui faisait illusion. Le petit n'est même pas là à l'accompagner tant le ramonage lui a gratté le conduit. C'est sûr, il est engrossé.
Je reste baba d'envie devant cette liberté sexuelle et j'imagine tout ce qui doit se passer lorsque je ne suis pas là.
Ce mouvement, ces rotations chez le voisin d'en face m'ont excité et je suis là, à me demander comment il fait pour rencontrer ces hommes. J'ai déjà recherché la semaine dernière sur les sites de rencontres, sans succès pour l'instant. Je ne vais quand même pas aller lui demander.
Son copain est revenu déjeuner et, s'il a envie de le tirer, le passage doit être dégagé. Pas besoin d'être sorcier pour deviner qu'il est forcément actif et qu'il doit remplir son devoir conjugal sans difficulté.
Voilà le copain qui repart au travail. Que fait il comme travail, je l'ignore. Il revient généralement vers 18h. Notre "cul chaud" a largement le temps de se faire emmancher dans l'après-midi. S'il va au sauna de temps en temps, il doit satisfaire nombre de mâles…Les RTT ont quand même du bon. La semaine prochaine, c'est promis, moi aussi, je vais le baiser.
J'avais raison. A 14h pétante, deux mecs arrivent avec un utilitaire, apparemment des plombiers. Ceux là rentrent directement par le garage. Peut être y a-t-il un dégât des eaux, une panne au chauffe eau?
Tordu comme je suis, j'imagine aussitôt une baise torride. Ils sont en tenue de travail et, bizarrement, n'ont pas sorti la caisse à outils. Un solide gaillard au crâne dégarni, sans doute par un excès de testostérone, impose le tempo. Sûr de lui et macho dans l'âme, il va se faire régler le gicleur et initier son collègue pour les dépannages rapides.
L'autre, plus jeune, la trentaine, ne montre aucune gêne lui non plus et, vu le regard qu'il a porté sur le cul du jeune voisin, c'est pas la clé de 12 qu'il va sortir...
Ces deux là vont l'emmancher et tenter de régler le thermostat de sa chaudière. Ils vont avoir fort à faire et une autre visite ne sera pas superflue…
Sont ils allés plus loin ou sont ils en train de le baiser dans le garage, c'est fort possible. Pris par les deux bouts, il doit kiffer de vidanger ces deux hommes dans la force de l'âge.
Inutile de s'embarrasser de préliminaires lorsque la bouche est ouverte et le cul offert, déjà fortement dilaté.
La porte du garage s'ouvre déjà…
Il a purgé leur gicleur comme un pro. Ils ressortent, ragaillardis par sa performance et sa disponibilité. Le plus âgé vérifie s'il a fermé sa braguette, ce qui confirme ce que je pensais. Tout était une question de main d'œuvre et d'entretien. Son collègue, dans l'euphorie du service, ne remarque pas qu'il repart avec son pantalon tâché. Son abondante semence a t'elle débordé du cul de la lope lorsqu'il l'a graissée profond en voyant son patron gaver la fiotte de son sperme gras?
Généralement, les mecs chauves sont de bons coups et, à deux, les mecs s'excitent et dépassent leurs limites.
Ils repartent enchantés et sans complexe. Je n'ai pas eu l'idée de relever le nom de l'entreprise de plomberie, c'est dommage. Leur service après-vente est pourtant au top.
Un moment passe et aucun mouvement. Les artisans l'auraient ils refroidi? Est-il sur un site de cul, à vérifier s'il a des propositions?
Après tant de dévouement et de don de soi, affamé de sexe, insatiable, il repart en scooter et je ne pense pas que ce soit pour aller faire ses courses au supermarché. Trente minutes plus tard, quand même, il revient, suivi d'un véhicule qui se gare à proximité.
L'homme est carré, imposant, sûr de lui, pas du tout le genre à marcher avec un suppositoire dans le cul. On voit tout de suite que c'est pas le mec à s'en laisser conter. Une barbe poivre et sel taillée frais, renforce son côté mâle alpha. Sans doute un ancien militaire, le cuir tanné et peu enclin au compromis. On sent le mec les couilles chargées et la bite prête à s'introduire. Ce jeunot lui a tapé dans l'œil sur un site de cul et il a su être persuasif en le contactant. Il se fait fort de le dresser, de lui apprendre la vie en l'enculant comme il se doit. Que lui a-t-il promis? Sans doute un bon enculage, avec le solide argument qu'il doit avoir entre les jambes.
Un jeune qui accepte un homme comme lui, c'est forcément un jeune en chaleur, qui veut une bonne bite dans le cul. Il n'a pas dû être dur à draguer.
Ravi d'être l'élu, il bande déjà d'avoir à satisfaire un si beau jeune homme. Avec sa masse corporelle et la force qu'il dégage, le jeune va déguster. Le temps que le jeunot ouvre sa porte, le militaire se frotte outrageusement le paquet, tente de calmer son mandrin durci et bave déjà de lui défoncer le fion.
La porte refermée, ce mâle en chasse va lui appuyer sur la nuque et lui faire renifler son entrejambe, la première chose qu'on impose à un passif docile disposé à la soumission. Le jeune va se précipiter pour ouvrir la braguette, défaire le ceinturon. Par provocation, il va lui imposer de téter ses tétons sensibles puis le diriger vers sa queue qu'il a raide et dressée.
Un braquemart solide et large est probable vu la puissance du bonhomme et ses larges mains. Mon Dieu qu'il va se régaler à fourrer la bouche pulpeuse et voir tout le plaisir, toute la passion que le bel éphèbe va mettre pour lui procurer les meilleures sensations.
Après cette dégustation goulue, il vont aller à l'étage se mettre à l'aise.
En effet, comme je l'ai prévu, comme ce matin, le rideau bouge par un souffle d'air… Fortement outillé comme il doit l'être, il a mis le jeune en transe. Le service amélioré se passe à l'étage. Il mouille déjà du cul en pensant à ce manche de pioche qui va lui ouvrir l'anus…
Le lit est large et leurs corps se rejoignent… En mode pacha, il se fait lécher et saliver son service trois pièces. Le légionnaire ou l'ancien para, va savoir, le retourne et va lui faire connaître les délices d'un enculage viril.
Il n'a pas été sans contrôler, du doigt, la souplesse de sa rondelle rodée pour le sport de chambre. Il ne s'inquiète pas de mettre une capote et introduit virilement son manche conséquent. Il adore ce moment et se régale du miaulement du jeune qui déguste. Au moins, lui, à son braillement, il est content d'être enculé par sa grosse bite. Ses couilles sont en butée, tu vas voir, mon petit, comment je vais actionner mon gros piston dans ton cul de salope.
Que c'est bon d'enculer ce jeune mec en demande! Lui, c'est pas un enculé et les salopes, il les démonte.
" Ta gueule! ……… Tu aimes, mon chéri?
Entre l'ordre qu'il reçoit, la confirmation qu'il n'est qu'un vide couille pour ce gros pervers, et l'obligation d'être gentil avec son tonton, le jeune passe à un miaulement érotique pour lui prouver tout le bien qu'il reçoit au fond de ses entrailles. Cela lui rappelle une rencontre qu'il a faite dans un bois avec un manouche, qui lui avait complètement démonté le cul.
Le costaud, endurant, le baise dans toutes les positions qu'il connaît. Le nœud prêt à exploser, il va lui gicler en fond de bouche puis va se finir dans la chatte qu'il a ravagé. Depuis combien de temps n'a-t-il pas baisé un si beau corps. Le mandrin ne débande pas et il s'enfonce, manœuvre avec entrain dans ce cul chaud et humide, ouvert pour sa grosse bite. Il n'a même pas été obligé de forcer cette salope à avaler.
Le jeune bande d'être ainsi possédé et d'avoir trouvé son maître. Il se cabre, s'abandonne à ce vieux bouc qui l'encule sans modération. De tout son poids sur la fiotte, l'actif dynamique le domine, active en lui. Son corps transpire et colle. Tel une bête, il nique et nique encore. Quelle chance il a.
Voilà le jeune brun sur le dos les jambes relevées et le mature bave en enquillant pareille chaudasse. Les insultes pleuvent, les coups de reins aussi. Le petit brun le couvre de baisers, ouvre sa bouche pour ventouser avec la bouche du militaire mais pas de ça chez nous. Pourtant leurs langues se mêlent et le vieux lui remplie la gueule de crachats bien gras et perd les pédales, il va lui faire un petit, c'est sûr.
Le jeune a succombé; ses bras sont refermés sur les reins, sur la nuque, sur les épaules du militaire qui lui distribue toutes les contractions de son corps. Une seconde fécondation est envoyée, voluptueuse, empreinte d'extase charnelle et elle est reçue bien profond, avec un enthousiasme non dissimulé.
Le temps que les couilles se vident, que les corps s'apaisent et il se retire, fier de sa performance. Le trou défoncé suinte la semence blanchâtre et coule, souillent les draps. Peut importe, le voilà obligé de sucer la grosse bite gluante qui dégueule encore une goutte ainsi que les couilles collantes de mouille. Il a repris ses esprits et s'impose, dominant.
Le sénior, les sacoches vidés, vicieux et sans complexe, réclame à boire. A poil, ils rejoignent la cuisine.
" Putain, t'aimes ça, toi!
" Oui"…répond t'il timidement, paralysé par ce balèze qui en impose. Il n'a pas beaucoup de conversation mais, question cul, il est doué.
Une bière bien fraîche est vite descendue pendant que le jeune, le cul démoli et tout gluant, se contente d'un verre de coca pour rincer sa bouche. Il sent une coulure de foutre glisser sur sa cuisse, se réjouit d'une telle saillie mais ne sait quelle attitude adopter, impressionné par ce mec qui pourrait être son père.
Lui aussi a jouit. Il le lui dirait bien mais le balèze en a rien à foutre, il est là pour le niquer, point barre. Voir ce mâle viril imposant à poil en face du lui, il n'arrive plus à réfléchir.
Face à cette force de la nature il ne fait pas le poids et il voit déjà le mandrin majestueux qui se raffermi et se redresse. Baiser ce jeune sans capote, le militaire adore, ça l'a rendu fou. Ca lui rappelle le temps où il déniaisait et dépucelait les bleus bites de l'armée.
" Putain, j'vais démonter le cul. Suce moi l'nœud!
Il n'ose pas lui dire de partir et accepte, trop content de la proposition ou plutôt de l'ordre reçu. La sève est revenue sur la grosse branche du para et ses prunes gorgées de jus, c'est trop tentant. De toute façon, il est incapable de refuser; il s'agenouille et obéit. Lorsqu'ils remontent vers la chambre, il sait que c'est pour s'en reprendre une autre tournée. A peine allongé sur le ventre, il se fait emmancher sans aucune délicatesse. Le militaire le défonce, lui bourre le cul pour le faire geindre. On entend les couilles pendantes plaquer contre le joli petit cul lisse du minet, sa tête enfoncée dans l'oreiller pour ne pas ameuter les voisins. Le jeune hallucine et gémit d'être autant enculé par ce mâle en rut, à la force démesurée. La queue épaisse lui dévaste le trou, il subit, en passif obéissant.
" Bouges ton cul, salope! lui ordonne t'il, sur un ton ferme d'un homme habitué aux manœuvres et peu enclin à ce qu'on lui résiste. Il veut un mec qui déguste avec énergie ses coups de bite, pas une planche à repasser.
Il prend peur et obéit. Plus vite il va le faire jouir, mieux cela sera.
Il chaloupe du cul, se tortille, se cabre et couine comme un puceau. L'enculage redouble d'intensité, envahi de mots crus, d'insultes de circonstances, de halètements virils et de gémissements justifiés. Une bonne poignée de minutes plus tard, le militaire, la bite dure comme de l'acier et tendue comme un arc, peu discret pour les voisins, gueule, râle comme une bête et l'ensemence de son sperme.
Le jeunot a jouit et craché son jus sur les draps, ce qui fait rire grassement le militaire, qui lui sort une vanne de caserne et le confirme dans ses capacités de mâle actif. Comme chez lui, il va vers la salle de bains et se lave. Il se félicite du moment qu'il a passé avec le jeune tout en savonnant ses bijoux de famille, son ventre bedonnant et ses pectoraux poilus.
Déjà prêt, il pisse bruyamment dans la cuvette des chiottes et, une main à se tenir la bite, demande au jeune:
" Tu reçois souvent des mecs?
" Non, c'est rare. ( bien sûr…il va pas lui dire que ça défile)
" J'adore baiser des mecs comme toi. C'est quand tu veux pour une prochaine fois.
" D'accord"… répond t'il timidement, voulant se montrer pudique, réservé, dépucelé depuis peu.
Vu le plaisir qu'il a pris à se faire niquer, il va vite fait être dispo pour lui.
J'ai vu repartir le costaud, frais et soulagé, sans doute après avoir réclamé et descendu une autre bière. Ca donne soif, tout ça. Le mec, il n'a pas bâclé le travail pour baiser ce bon passif consentant. On a maintenant une armée de professionnels, faut pas l'oublier.
Dans sa voiture, il passe un petit moment au téléphone, peut être pour expliquer à un copain queutard comme lui comment il vient de niquer grave. La prochaine fois, à deux, ça devrait être sympa… Il a tout de suite vu le potentiel du beau petit brun…
Je sais, ils ont peut être baisé autrement mais je ne dois pas être loin de la vérité. Je bande, je fantasme, je bave de le niquer moi aussi… Le copain rouquin est il au courant? Je rigole: avec la paire de cornes qu'il a, va falloir qu'il fasse des travaux, que les portes soient plus hautes….
Un petit moment s'écoule. En silence, j'ai failli ne pas le voir celui là; un cycliste est arrivé. Vous savez, ceux que l'on croise sur les routes de campagne, musclés, bronzés, beaux comme tout. Il aurait pu croiser le militaire qui vient de partir. Attendre son tour pour baiser, c'est presque ça. Bon, après tout, au sauna, j'en ai vu se donner le tour pour enfiler un passif sur le sling…la situation ne me choque pas.
Le jeunot, il aime ça et il fait plaisir, en plus…
Le cycliste pose son vélo sur le côté de la maison et se dirige vers la porte. Profilé comme un sportif du tour de France, celui-ci a néanmoins quelques besoins puisqu'il est chez le jeune voisin. Je sais, c'est l'heure du goûter…lol
Putain, le voisin, quelle petite salope! En le voyant, on n'imaginerait pas qu'il se fait dézinguer à tout va.
Il sonne et attend quelques minutes. Tu m'étonnes, avec ce qu'il s'est pris en bouche et dans le cul par l'autre balèze de l'armée, il doit être occupé à se rafraichir l'arrière train.
Il ouvre et ne fait pas de difficulté pour le recevoir. Il est décoiffé mais cela ne va pas l'empêcher de réaliser une turlutte délicieuse au gars de la pédale, direct derrière la porte d'entrée. Il va masser ses couilles qui étaient coincées contre la selle du vélo et en extraire tout le jus.
Sa bouche experte va venir à bout de son sexe en demande et il ne lui dira pas qu'il a sucé avant lui un gros bambou succulent, qu'il en a extrait toute la moelle iodée, assez salée.
Ce cycliste là, qu'il a déjà reçu la semaine dernière, lui délivre un sperme sucré et abondant et il n'a jamais perdu une seule goutte de sa semence.
Il s'est quelquefois laissé à lui proposer son fondement et obtenu, après deux ou trois limages, un graissage immédiat. Aujourd'hui, son petit trou est un peu irrité par l'imposant braquemart du militaire qui l'a pourtant convenablement graissé.
Il turlutte et s'affaire sur la bite raide et bien tendue et ne résiste même pas lorsque, d'un coup de reins, la tige s'enfonce, va et viens vers sa luette… La livraison arrive sans tarder, onctueuse, abondante. Tel un yaourt Bulgare, elle se répand en bouche. La charge est importante. Le gars est éjaculateur précoce mais c'est un super coup niveau quantité. Vu les échalotes qu'il a sous sa queue, on ne penserait pas que c'est un gros fournisseur, un gros juteur. Seul le jeune le sait.
Il se redresse, fier d'avoir réalisé son exploit et, la bouche pleine de foutre chaud, avale devant son ami cycliste la semence fertile et abondante. Ce jeune est un expert.
Le cycliste repart sur son vélo, presque dans le quart d'heure, tout sourire, en le saluant d'un bras amical. Des pauses comme cela, ça vaut le coup.
Mon téléphone a sonné et, occupé, je ne sais pas vous dire s'il y a eu une autre visite, je ne pense pas. Son copain rouquin est arrivé comme d'habitude. Ils se sont affairé à tondre leur pelouse et entretenir l'extérieur.
Néanmoins, un peu plus tard, un homme est arrivé et, vu leurs salutations, ils ne se connaissaient pas auparavant. Et celui là, je l'ai déjà vu sur un site de drague homo ou il n'hésite pas à apparaître à poil, la bite très en forme. Il ne vient pas pour l'apéro…enfin, pourquoi pas, ils peuvent faire les deux.
Mes petits voisins vivent très libérés…je suis rassuré.
Et, ce qu'il y a d'intéressant, il y a au moins un site de drague maintenant que je connais ou ils ont pu se contacter.
La prochaine fois, je vous raconte la suite…
* Je connais ce jeune couple et nous avons eu plusieurs "réunions amicales" ensemble, surtout avec le beau brun, si vous voyez ce que je veux dire. Pour m'exciter, il me raconte sans tabou ses rencontres sexuelles. Et maintenant, vous en profitez.
Il va aussi de temps en temps au sauna. Quand il m'a dit le nombre de mecs qui, un jour, l'ont baisé, j'ai halluciné. Je vous le dit; il est chaud comme la braise.
* Merci pour vos commentaires. N'hésitez pas
Caramel35
Il a un corps magnifique, un tombé de cul, un galbe Brésilien à faire bander un régiment. J'imagine les bites; larges, longues, normales, dressées, les nœuds gorgés qui déchargent en lui, qui vomissent leur trop-plein. Tous ces cylindres qui coulissent en lui, qui lui remplissent le cul ou la gorge… Tout ça m'excite… et perturbe mon attention au travail!
Avec le Covid, mon employeur a eu la bonne idée de me faire travailler à la maison. J'avais plus ou moins remarqué du mouvement en face de chez moi mais je n'imaginais pas à ce point là. Je précise que l'histoire est réelle et que mon jeune voisin est très sympa…
Voilà; Celui dont je vous parle, c'est mon jeune voisin, un beau petit brun, juste en face de chez moi. Il vit en couple avec son compagnon rouquin; un mec de son âge. Pourtant très discret, j'ai remarqué qu'il dépense beaucoup d'énergie les jours où il se retrouve seul à la maison.
Sitôt son ami parti au travail, le jeunot part en scooter. C'est lorsqu'il revient dans la demi-heure que j'en conclus qu'il donne quelques rendez-vous non loin de là, à des amants qui pourraient s'égarer dans le lotissement plein d'impasses où nous habitons.
En effet, le voilà qui revient, suivi d'un homme en voiture.
L'homme est bien sapé et inspire confiance. On ne penserait pas qu'il vient ici tirer un coup. Il faut se méfier de ces mecs passe-partout. Ce sont quelquefois de redoutables baiseurs. Ils sont maintenant dans la chambre, à l'étage, car le rideau bouge soudain par les courants d'air de la porte mal fermée. Vous voyez, je suis très observateur.
Après un peu de blabla, en bon commercial, il va activer tout son potentiel dans le cul chaud comme la braise du jeune. A moins qu'une bonne pipe ne vienne à bout de toute la pression accumulée dans son entrejambes. Loin de chez lui et en perpétuel déplacement, il a trouvé cette solution pour se soulager. Rencontrer ce petit mec qui ne lui demande rien et qui lui rend service, c'est génial.
Il est tombé à la bonne adresse. En face de chez moi, je vous le dis, c'est open sexe.
Il ne s'attarde pas et la belle voiture d'entreprise repart; il a sûrement un rendez vous à honorer chez un client mais il a noté son 06. C'était super, en Bretagne, ils savent recevoir…
Un petit moment se passe…
Ah, un camion de livraison… On les voit tellement partout qu'on n'y fait plus attention.
Le livreur, un beau magrébin au teint hâlé, descend et s'empare d'un paquet qu'il va livrer. Tiens, mais c'est justement en face qu'il se dirige.
Je pense plutôt qu'il va livrer autre chose car il est reçu comme le messie. La porte s'est largement ouverte pour prouver au livreur qu'il est attendu. Je rigole; maintenant, ils préviennent presque avec exactitude de l'heure de leur passage.
J'ai juste eu le temps de voir un mec bien bâti, avec son jogging super déformé sur le devant tellement la vue de son hôte le ravie. Il a une énergie hors du commun et une souplesse de fauve en chasse. C'est sûr, le petit va devoir déployer tout son savoir-faire de pédé pour satisfaire ce mâle avide de copuler.
D'abord, pour commencer, une turlutte délicieuse avec quelques fonds de gorge, avec un passage de langue sur les couilles rasées… puis, parce ce qu'un petit cul de pute comme le sien, lisse et juvénile, ça se défonce… un enculage maison de la part du livreur.
Une bite de beur ou d'arabe, je ne sais comment il faut dire, il doit kiffer, il doit mouiller du cul et fantasmer de se prendre un beau sexe circoncis. Je suis sûr qu'il va se laisser baiser sans capote tellement il en bave pour ce mec.
Je voudrais bien l'entendre couiner sous les coups de bite et je bande rien que d'imaginer dans quelle position il doit se faire niquer…
La livraison s'éternise; cela doit être un bon coup pour que ce livreur le dézingue à ce point. Les autres livraisons attendrons...
Il finit par repartir, avec son paquet qui faisait illusion. Le petit n'est même pas là à l'accompagner tant le ramonage lui a gratté le conduit. C'est sûr, il est engrossé.
Je reste baba d'envie devant cette liberté sexuelle et j'imagine tout ce qui doit se passer lorsque je ne suis pas là.
Ce mouvement, ces rotations chez le voisin d'en face m'ont excité et je suis là, à me demander comment il fait pour rencontrer ces hommes. J'ai déjà recherché la semaine dernière sur les sites de rencontres, sans succès pour l'instant. Je ne vais quand même pas aller lui demander.
Son copain est revenu déjeuner et, s'il a envie de le tirer, le passage doit être dégagé. Pas besoin d'être sorcier pour deviner qu'il est forcément actif et qu'il doit remplir son devoir conjugal sans difficulté.
Voilà le copain qui repart au travail. Que fait il comme travail, je l'ignore. Il revient généralement vers 18h. Notre "cul chaud" a largement le temps de se faire emmancher dans l'après-midi. S'il va au sauna de temps en temps, il doit satisfaire nombre de mâles…Les RTT ont quand même du bon. La semaine prochaine, c'est promis, moi aussi, je vais le baiser.
J'avais raison. A 14h pétante, deux mecs arrivent avec un utilitaire, apparemment des plombiers. Ceux là rentrent directement par le garage. Peut être y a-t-il un dégât des eaux, une panne au chauffe eau?
Tordu comme je suis, j'imagine aussitôt une baise torride. Ils sont en tenue de travail et, bizarrement, n'ont pas sorti la caisse à outils. Un solide gaillard au crâne dégarni, sans doute par un excès de testostérone, impose le tempo. Sûr de lui et macho dans l'âme, il va se faire régler le gicleur et initier son collègue pour les dépannages rapides.
L'autre, plus jeune, la trentaine, ne montre aucune gêne lui non plus et, vu le regard qu'il a porté sur le cul du jeune voisin, c'est pas la clé de 12 qu'il va sortir...
Ces deux là vont l'emmancher et tenter de régler le thermostat de sa chaudière. Ils vont avoir fort à faire et une autre visite ne sera pas superflue…
Sont ils allés plus loin ou sont ils en train de le baiser dans le garage, c'est fort possible. Pris par les deux bouts, il doit kiffer de vidanger ces deux hommes dans la force de l'âge.
Inutile de s'embarrasser de préliminaires lorsque la bouche est ouverte et le cul offert, déjà fortement dilaté.
La porte du garage s'ouvre déjà…
Il a purgé leur gicleur comme un pro. Ils ressortent, ragaillardis par sa performance et sa disponibilité. Le plus âgé vérifie s'il a fermé sa braguette, ce qui confirme ce que je pensais. Tout était une question de main d'œuvre et d'entretien. Son collègue, dans l'euphorie du service, ne remarque pas qu'il repart avec son pantalon tâché. Son abondante semence a t'elle débordé du cul de la lope lorsqu'il l'a graissée profond en voyant son patron gaver la fiotte de son sperme gras?
Généralement, les mecs chauves sont de bons coups et, à deux, les mecs s'excitent et dépassent leurs limites.
Ils repartent enchantés et sans complexe. Je n'ai pas eu l'idée de relever le nom de l'entreprise de plomberie, c'est dommage. Leur service après-vente est pourtant au top.
Un moment passe et aucun mouvement. Les artisans l'auraient ils refroidi? Est-il sur un site de cul, à vérifier s'il a des propositions?
Après tant de dévouement et de don de soi, affamé de sexe, insatiable, il repart en scooter et je ne pense pas que ce soit pour aller faire ses courses au supermarché. Trente minutes plus tard, quand même, il revient, suivi d'un véhicule qui se gare à proximité.
L'homme est carré, imposant, sûr de lui, pas du tout le genre à marcher avec un suppositoire dans le cul. On voit tout de suite que c'est pas le mec à s'en laisser conter. Une barbe poivre et sel taillée frais, renforce son côté mâle alpha. Sans doute un ancien militaire, le cuir tanné et peu enclin au compromis. On sent le mec les couilles chargées et la bite prête à s'introduire. Ce jeunot lui a tapé dans l'œil sur un site de cul et il a su être persuasif en le contactant. Il se fait fort de le dresser, de lui apprendre la vie en l'enculant comme il se doit. Que lui a-t-il promis? Sans doute un bon enculage, avec le solide argument qu'il doit avoir entre les jambes.
Un jeune qui accepte un homme comme lui, c'est forcément un jeune en chaleur, qui veut une bonne bite dans le cul. Il n'a pas dû être dur à draguer.
Ravi d'être l'élu, il bande déjà d'avoir à satisfaire un si beau jeune homme. Avec sa masse corporelle et la force qu'il dégage, le jeune va déguster. Le temps que le jeunot ouvre sa porte, le militaire se frotte outrageusement le paquet, tente de calmer son mandrin durci et bave déjà de lui défoncer le fion.
La porte refermée, ce mâle en chasse va lui appuyer sur la nuque et lui faire renifler son entrejambe, la première chose qu'on impose à un passif docile disposé à la soumission. Le jeune va se précipiter pour ouvrir la braguette, défaire le ceinturon. Par provocation, il va lui imposer de téter ses tétons sensibles puis le diriger vers sa queue qu'il a raide et dressée.
Un braquemart solide et large est probable vu la puissance du bonhomme et ses larges mains. Mon Dieu qu'il va se régaler à fourrer la bouche pulpeuse et voir tout le plaisir, toute la passion que le bel éphèbe va mettre pour lui procurer les meilleures sensations.
Après cette dégustation goulue, il vont aller à l'étage se mettre à l'aise.
En effet, comme je l'ai prévu, comme ce matin, le rideau bouge par un souffle d'air… Fortement outillé comme il doit l'être, il a mis le jeune en transe. Le service amélioré se passe à l'étage. Il mouille déjà du cul en pensant à ce manche de pioche qui va lui ouvrir l'anus…
Le lit est large et leurs corps se rejoignent… En mode pacha, il se fait lécher et saliver son service trois pièces. Le légionnaire ou l'ancien para, va savoir, le retourne et va lui faire connaître les délices d'un enculage viril.
Il n'a pas été sans contrôler, du doigt, la souplesse de sa rondelle rodée pour le sport de chambre. Il ne s'inquiète pas de mettre une capote et introduit virilement son manche conséquent. Il adore ce moment et se régale du miaulement du jeune qui déguste. Au moins, lui, à son braillement, il est content d'être enculé par sa grosse bite. Ses couilles sont en butée, tu vas voir, mon petit, comment je vais actionner mon gros piston dans ton cul de salope.
Que c'est bon d'enculer ce jeune mec en demande! Lui, c'est pas un enculé et les salopes, il les démonte.
" Ta gueule! ……… Tu aimes, mon chéri?
Entre l'ordre qu'il reçoit, la confirmation qu'il n'est qu'un vide couille pour ce gros pervers, et l'obligation d'être gentil avec son tonton, le jeune passe à un miaulement érotique pour lui prouver tout le bien qu'il reçoit au fond de ses entrailles. Cela lui rappelle une rencontre qu'il a faite dans un bois avec un manouche, qui lui avait complètement démonté le cul.
Le costaud, endurant, le baise dans toutes les positions qu'il connaît. Le nœud prêt à exploser, il va lui gicler en fond de bouche puis va se finir dans la chatte qu'il a ravagé. Depuis combien de temps n'a-t-il pas baisé un si beau corps. Le mandrin ne débande pas et il s'enfonce, manœuvre avec entrain dans ce cul chaud et humide, ouvert pour sa grosse bite. Il n'a même pas été obligé de forcer cette salope à avaler.
Le jeune bande d'être ainsi possédé et d'avoir trouvé son maître. Il se cabre, s'abandonne à ce vieux bouc qui l'encule sans modération. De tout son poids sur la fiotte, l'actif dynamique le domine, active en lui. Son corps transpire et colle. Tel une bête, il nique et nique encore. Quelle chance il a.
Voilà le jeune brun sur le dos les jambes relevées et le mature bave en enquillant pareille chaudasse. Les insultes pleuvent, les coups de reins aussi. Le petit brun le couvre de baisers, ouvre sa bouche pour ventouser avec la bouche du militaire mais pas de ça chez nous. Pourtant leurs langues se mêlent et le vieux lui remplie la gueule de crachats bien gras et perd les pédales, il va lui faire un petit, c'est sûr.
Le jeune a succombé; ses bras sont refermés sur les reins, sur la nuque, sur les épaules du militaire qui lui distribue toutes les contractions de son corps. Une seconde fécondation est envoyée, voluptueuse, empreinte d'extase charnelle et elle est reçue bien profond, avec un enthousiasme non dissimulé.
Le temps que les couilles se vident, que les corps s'apaisent et il se retire, fier de sa performance. Le trou défoncé suinte la semence blanchâtre et coule, souillent les draps. Peut importe, le voilà obligé de sucer la grosse bite gluante qui dégueule encore une goutte ainsi que les couilles collantes de mouille. Il a repris ses esprits et s'impose, dominant.
Le sénior, les sacoches vidés, vicieux et sans complexe, réclame à boire. A poil, ils rejoignent la cuisine.
" Putain, t'aimes ça, toi!
" Oui"…répond t'il timidement, paralysé par ce balèze qui en impose. Il n'a pas beaucoup de conversation mais, question cul, il est doué.
Une bière bien fraîche est vite descendue pendant que le jeune, le cul démoli et tout gluant, se contente d'un verre de coca pour rincer sa bouche. Il sent une coulure de foutre glisser sur sa cuisse, se réjouit d'une telle saillie mais ne sait quelle attitude adopter, impressionné par ce mec qui pourrait être son père.
Lui aussi a jouit. Il le lui dirait bien mais le balèze en a rien à foutre, il est là pour le niquer, point barre. Voir ce mâle viril imposant à poil en face du lui, il n'arrive plus à réfléchir.
Face à cette force de la nature il ne fait pas le poids et il voit déjà le mandrin majestueux qui se raffermi et se redresse. Baiser ce jeune sans capote, le militaire adore, ça l'a rendu fou. Ca lui rappelle le temps où il déniaisait et dépucelait les bleus bites de l'armée.
" Putain, j'vais démonter le cul. Suce moi l'nœud!
Il n'ose pas lui dire de partir et accepte, trop content de la proposition ou plutôt de l'ordre reçu. La sève est revenue sur la grosse branche du para et ses prunes gorgées de jus, c'est trop tentant. De toute façon, il est incapable de refuser; il s'agenouille et obéit. Lorsqu'ils remontent vers la chambre, il sait que c'est pour s'en reprendre une autre tournée. A peine allongé sur le ventre, il se fait emmancher sans aucune délicatesse. Le militaire le défonce, lui bourre le cul pour le faire geindre. On entend les couilles pendantes plaquer contre le joli petit cul lisse du minet, sa tête enfoncée dans l'oreiller pour ne pas ameuter les voisins. Le jeune hallucine et gémit d'être autant enculé par ce mâle en rut, à la force démesurée. La queue épaisse lui dévaste le trou, il subit, en passif obéissant.
" Bouges ton cul, salope! lui ordonne t'il, sur un ton ferme d'un homme habitué aux manœuvres et peu enclin à ce qu'on lui résiste. Il veut un mec qui déguste avec énergie ses coups de bite, pas une planche à repasser.
Il prend peur et obéit. Plus vite il va le faire jouir, mieux cela sera.
Il chaloupe du cul, se tortille, se cabre et couine comme un puceau. L'enculage redouble d'intensité, envahi de mots crus, d'insultes de circonstances, de halètements virils et de gémissements justifiés. Une bonne poignée de minutes plus tard, le militaire, la bite dure comme de l'acier et tendue comme un arc, peu discret pour les voisins, gueule, râle comme une bête et l'ensemence de son sperme.
Le jeunot a jouit et craché son jus sur les draps, ce qui fait rire grassement le militaire, qui lui sort une vanne de caserne et le confirme dans ses capacités de mâle actif. Comme chez lui, il va vers la salle de bains et se lave. Il se félicite du moment qu'il a passé avec le jeune tout en savonnant ses bijoux de famille, son ventre bedonnant et ses pectoraux poilus.
Déjà prêt, il pisse bruyamment dans la cuvette des chiottes et, une main à se tenir la bite, demande au jeune:
" Tu reçois souvent des mecs?
" Non, c'est rare. ( bien sûr…il va pas lui dire que ça défile)
" J'adore baiser des mecs comme toi. C'est quand tu veux pour une prochaine fois.
" D'accord"… répond t'il timidement, voulant se montrer pudique, réservé, dépucelé depuis peu.
Vu le plaisir qu'il a pris à se faire niquer, il va vite fait être dispo pour lui.
J'ai vu repartir le costaud, frais et soulagé, sans doute après avoir réclamé et descendu une autre bière. Ca donne soif, tout ça. Le mec, il n'a pas bâclé le travail pour baiser ce bon passif consentant. On a maintenant une armée de professionnels, faut pas l'oublier.
Dans sa voiture, il passe un petit moment au téléphone, peut être pour expliquer à un copain queutard comme lui comment il vient de niquer grave. La prochaine fois, à deux, ça devrait être sympa… Il a tout de suite vu le potentiel du beau petit brun…
Je sais, ils ont peut être baisé autrement mais je ne dois pas être loin de la vérité. Je bande, je fantasme, je bave de le niquer moi aussi… Le copain rouquin est il au courant? Je rigole: avec la paire de cornes qu'il a, va falloir qu'il fasse des travaux, que les portes soient plus hautes….
Un petit moment s'écoule. En silence, j'ai failli ne pas le voir celui là; un cycliste est arrivé. Vous savez, ceux que l'on croise sur les routes de campagne, musclés, bronzés, beaux comme tout. Il aurait pu croiser le militaire qui vient de partir. Attendre son tour pour baiser, c'est presque ça. Bon, après tout, au sauna, j'en ai vu se donner le tour pour enfiler un passif sur le sling…la situation ne me choque pas.
Le jeunot, il aime ça et il fait plaisir, en plus…
Le cycliste pose son vélo sur le côté de la maison et se dirige vers la porte. Profilé comme un sportif du tour de France, celui-ci a néanmoins quelques besoins puisqu'il est chez le jeune voisin. Je sais, c'est l'heure du goûter…lol
Putain, le voisin, quelle petite salope! En le voyant, on n'imaginerait pas qu'il se fait dézinguer à tout va.
Il sonne et attend quelques minutes. Tu m'étonnes, avec ce qu'il s'est pris en bouche et dans le cul par l'autre balèze de l'armée, il doit être occupé à se rafraichir l'arrière train.
Il ouvre et ne fait pas de difficulté pour le recevoir. Il est décoiffé mais cela ne va pas l'empêcher de réaliser une turlutte délicieuse au gars de la pédale, direct derrière la porte d'entrée. Il va masser ses couilles qui étaient coincées contre la selle du vélo et en extraire tout le jus.
Sa bouche experte va venir à bout de son sexe en demande et il ne lui dira pas qu'il a sucé avant lui un gros bambou succulent, qu'il en a extrait toute la moelle iodée, assez salée.
Ce cycliste là, qu'il a déjà reçu la semaine dernière, lui délivre un sperme sucré et abondant et il n'a jamais perdu une seule goutte de sa semence.
Il s'est quelquefois laissé à lui proposer son fondement et obtenu, après deux ou trois limages, un graissage immédiat. Aujourd'hui, son petit trou est un peu irrité par l'imposant braquemart du militaire qui l'a pourtant convenablement graissé.
Il turlutte et s'affaire sur la bite raide et bien tendue et ne résiste même pas lorsque, d'un coup de reins, la tige s'enfonce, va et viens vers sa luette… La livraison arrive sans tarder, onctueuse, abondante. Tel un yaourt Bulgare, elle se répand en bouche. La charge est importante. Le gars est éjaculateur précoce mais c'est un super coup niveau quantité. Vu les échalotes qu'il a sous sa queue, on ne penserait pas que c'est un gros fournisseur, un gros juteur. Seul le jeune le sait.
Il se redresse, fier d'avoir réalisé son exploit et, la bouche pleine de foutre chaud, avale devant son ami cycliste la semence fertile et abondante. Ce jeune est un expert.
Le cycliste repart sur son vélo, presque dans le quart d'heure, tout sourire, en le saluant d'un bras amical. Des pauses comme cela, ça vaut le coup.
Mon téléphone a sonné et, occupé, je ne sais pas vous dire s'il y a eu une autre visite, je ne pense pas. Son copain rouquin est arrivé comme d'habitude. Ils se sont affairé à tondre leur pelouse et entretenir l'extérieur.
Néanmoins, un peu plus tard, un homme est arrivé et, vu leurs salutations, ils ne se connaissaient pas auparavant. Et celui là, je l'ai déjà vu sur un site de drague homo ou il n'hésite pas à apparaître à poil, la bite très en forme. Il ne vient pas pour l'apéro…enfin, pourquoi pas, ils peuvent faire les deux.
Mes petits voisins vivent très libérés…je suis rassuré.
Et, ce qu'il y a d'intéressant, il y a au moins un site de drague maintenant que je connais ou ils ont pu se contacter.
La prochaine fois, je vous raconte la suite…
* Je connais ce jeune couple et nous avons eu plusieurs "réunions amicales" ensemble, surtout avec le beau brun, si vous voyez ce que je veux dire. Pour m'exciter, il me raconte sans tabou ses rencontres sexuelles. Et maintenant, vous en profitez.
Il va aussi de temps en temps au sauna. Quand il m'a dit le nombre de mecs qui, un jour, l'ont baisé, j'ai halluciné. Je vous le dit; il est chaud comme la braise.
* Merci pour vos commentaires. N'hésitez pas
Caramel35
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La suite, j'ai hâte
j'ai des voisins homos ils ont eux aussi une vie assez agitée comme ton histoire chacun reçoit de son côté et je me doute qu'ils vont ailleurs la vie normale quoi
Perso je vais chez un mec quand j'ai envie; il est toujours d'accord il me suce et je l'encule aussi; plusieurs fois un autre mec est arrivé ou était là; pas de pb on le nique à 2 c'est encore plus excitant; les mecs que tu décris ça me surprend pas
y a pas de sauna près de chez moi alors quand t'as trouvé un bon passif qui aime ça, t'en profite; j'ai hâte de lire la suite
y a pas de sauna près de chez moi alors quand t'as trouvé un bon passif qui aime ça, t'en profite; j'ai hâte de lire la suite
Comme d'hab superbe histoire
Original et bel angle de vue pour cette histoire
Miam un voisin comme ça j'aimerais moi aussi je lui ferais la totale
c'est chaud j'adore
Tous les jeudis je vais baiser un beau gosse chez lui et je suppose que je ne suis pas le seul. Un jour, j'avais un peu d'avance et j'ai vu un mec sortir de chez lui. J'ai attendu pour éviter d'aborder le sujet. J'ai trop envie de le tirer
Merci pour le commentaire. En effet, nous n'avons pas tous des capacités identiques au niveau sexe. Pour un actif, s'il y a éjaculation, le corps a ses limites. Pour mon petit voisin, en tant que passif, rien d'exceptionnel. Dans les saunas... et ailleurs, certains passifs se font démonter à un niveau nettement supérieur. L'imagination, bien sûr, mais mon jeune voisin, en réalité très sympa, n'a aucune gêne à me raconter ses chaudes rencontres. Cela semble l'exciter que je mate les allers et venues chez lui. Le plus drôle c'est que, quelquefois, lorsqu'un de ses visiteurs part, il me fait un petit signe de la main lorsqu'il voit que je suis ce jour là en télé travail.
Merci encore pour le commentaire
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Eh ben, quelle endurance ! Je plafonne à deux fois sur la mm journée, avec un temps de repos, mais lui...
La construction est intéressante, le voyeur pourrait être écrivain, en fait, vu que l'essentiel de ce qu'il décrit, et qui se passe dans la cuisine, ou dans la chambre derrière un rideau un minimum opaque, laisse finalement pas mal à l'imagination.
La construction est intéressante, le voyeur pourrait être écrivain, en fait, vu que l'essentiel de ce qu'il décrit, et qui se passe dans la cuisine, ou dans la chambre derrière un rideau un minimum opaque, laisse finalement pas mal à l'imagination.