SHRINKAGE
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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SHRINKAGE
Shrinkage
Ça faisait un moment que je m'y attendais, depuis près d'un an je portais la même cage et il était temps de passer à la suite. Mon doudou me l'a rappelé.
– Tout est prévu ! Il m'a dit. Tout est prévu !
Une nouvelle cage était prévue, plus petite. L'anneau principal, le cockring était et resterait toujours de la même taille. Seule la cage était plus petite.
Au niveau de la longueur un bon centimètre de moins. Elle n'était déjà pas très longue, j'avais peur en la voyant. Il faut bien se dire que dans la main ou portée, une cage ne donne pas du tout la même impression. Dans la main, elle paraît facilement ridicule, est tellement minuscule qu'elle semble ne pas pouvoir être portée. C'est vrai que quelquefois, portée certaines cages ne semblent pas non plus pouvoir être portées alors …
En largeur elle faisait presque cinq millimètre de moins. C'est surtout là que je m'inquiétais. La largeur est plus sensible que la longueur, c'est connu.
Mon doudou me préparait avec douceur, le nouveau dispositif restait là sur la cheminée, bien en vue, histoire que je m'habitue à le voir avant de le porter.
Il me le rappelait à chaque fois qu'il passait devant. Ça ne me rassurait pas vraiment mais au moins, on ne risquait pas d'oublier.
– Au fait j'ai invité les voisins ! Me déclarait-il un jour .
J'ai sursauté puis …
– Non mais ça va pas, mais pourquoi t'a fait ça ?Tu es un grand malade ! Et pourquoi tu ne les invites pas à une de nos soirées avec les copines ?
– Pour les copines, si tu parles de Thomas et de Georges, je les ai invités aussi.
Là c'était trop, je tombais à la renverse. Il me regardait en rigolant.
– Mais enfin je parle du barbecue de samedi prochain pas du barbecul du week-end suivant. Il levait les yeux au ciel et pouffait de rire. Non mais tu pensais à quoi ? Et en plus tu as vu ta prochaine cage à bite a disparue, je l'ai cachée pour éviter des questions.
Il me taquinait, il aime bien me taquiner. Il y a des jours ou je ne sais pas ce que je lui ferait à mon doudou, tellement il me fait sursauter, je ne vivrai pas vieux moi à ce rythme, mon cœur ne tiendra pas, des fois j'aurais envie de le frapper !
Enfin bref, le barbecue se passait très bien, il y avait du monde et on a bien bouffé. Tout le monde rentrait satisfait et rassasié. Nos deux copines Thomas et Georges on dormi sur place, ils n'arrivaient pas à tenir debout alors tenir un volant … Il ne fallait même pas y penser !
Le lendemain c'était le jour J, on se levait tard, on avait la gueule de bois. On ne prenait même pas la peine de nous habiller. Je me levais pour boire un verre, j'avais la bouche sèche. À mon retour dans la chambre mon doudou me sautait dessus. Il s'était réveillé et finalement se retrouvait en forme.
C'est vrai qu'il a une grosse queue mon doudou, je portais déjà la cage quand on s'est rencontré. Ça l'avait éclaté de rire ce truc, surtout qu'il avait une grosse bite et qu'il aimait bien s'en servir.
– Au moins on connaît les rôles de chacun ! M'avait-il déclaré.
Après il m'avait enculé !
Ce matin là, c'était pareil. Il avait une grosse bite et ça se voyait. Je ne sais pas vous, mais avec lui c'est toujours le matin que ça se voit le plus. Pour moi c'est toujours le matin que ma cage est trop petite. C'est toujours le matin que je sens ma queue confinée, plus confinée que le reste de la journée. C'est une sensation agréable, elle pousse de toutes forces contres les barreaux de la cage, biens étudiés, ils sont plat et c'est à la fois doux et dur.
Il me saisissait, m'embrassait et me jetais sur le lit. Je faisais semblant de résister mais pas trop, juste assez pour justifier quelques cris puis des câlins, puis des caresses, puis des baisers.
– Tu te sens prêt pour le cérémonial ? Me demandait-il.
Je pouffais de rire, il tenait mes bras croisés sur ma poitrine, j'étais allongé sur le lit, il était allongé sur moi. Je l'embrassais.
– Cérémonial ! Mais enfin je vais juste mettre une cage plus petite.
– Tu es sûr.
– Oui et puis tu sais si ça ne marche pas, je remettrais l'autre, celle que je porte encore.
Brusquement il m'écartait les jambes, me les relevais, plaçait mes chevilles sur ses épaules, prenait un peu de recul. Sa queue se relevait, bien ferme, bien droite. Mon cœur battait fort, je sentais ma queue confinée, bien emprisonnée et douillettement réduite. Douillettement oui ! Il était temps de faire quelque chose. Si cette cage m'avait semblé presque trop grande un an plus tôt, là elle l'était.
Je le regardais dans les yeux, il se lubrifiait la queue, il baissait les yeux et me lubrifiait le cul. Mon cœur battait fort, j'avais envie de sa queue.
Il prenait alors position et sans prévenir, sans aucune hésitation me l'enfonçait bien à fond dans le cul. Les vingt centimètres glissaient en moi. En une seconde, deux peut être je me sentais rempli. Il me dilatait l'anus, sa queue n'était pas seulement longue, elle était également large. J'ai alors poussé une sorte de cri étouffé.
Il me regardait dans les yeux. Il aimait bien ces pénétration rapide, pour ne pas dire expéditive. Il m'avait habitué mais quelquefois ça peut faire mal. Il m'observait pour s'assurer que j'encaissais.
J'appuyais alors ma tête sur l'oreiller, je faisait un grimace informe. Il me souriait, il savait que j'appréciais. C'était violent, intense, un petit peu douloureux mais c'était surtout merveilleux, merveilleusement bon. C'était le pied, je tremblais, tout mon corps tremblait et ma respiration devenait intense.
Un plaisir incroyable rayonnait depuis mes entrailles, une certaine douleur persistait légèrement au niveau de mon anus. Mais ça c'était pas gênant. Et ma queue jutait dans un élan de plaisir. Je sentais un fluide couler à l'intérieur de mon urètre. En fait rien ne coulait, je restais sec, parfaitement sec pourtant je jouissais avec ma queue.
Il sait y faire mon doudou, il sait rester juste à la limite entre l'extase et l’horreur. C'était violent, vraiment violent mais c'était aussi l'extase. Et quand il commençait à me limer les entrailles j'ai gémi, j'ai râlé, j'ai tremblé, je ne pouvais plus retenir mes mouvements ou mes gestes. C'était l'extase, je prenais mon pied au premier mouvement de sa part.
Quelques aller retour plus tard, je braillait et il était peut être difficile de déterminer si c'était du plaisir ou pas. C'était plus que du plaisir. Il m'avait fait grimper jusqu'à l'orgasme. Un orgasme qui durait et qui durait encore.
Il me labourait le cul, sa queue entrait avec force puis se retirait et enfin recommençait. Il avait un air grave, concentré. Il ne semblait pas encore éprouver du plaisir.
Il se concentrait, il bandait ferme. Sa queue était légèrement plus épaisse en son milieu, et chaque fois qu'elle passait me dilatait l'anus avec une force particulière. C'était un massage de fou, le plaisir alors ne venait plus seulement de mon ventre. Le plaisir venait de partout à la fois.
Il lubrifiait encore un peu et reprenait, encore plus fort et plus vite. Il me défonçait le cul et j'aimais ça. Je criais, je hurlais de plaisir.
Il se penchait sur moi, je pliais les jambes, il me prenait dans ses bras, me serrait contre lui et continuait à jouer avec son bassin, il repliait son bassin et continuait à me limer le cul avec force ou avec sa grosse queue. Sa grosse queue, donc avec force.
Il écrasait son ventre contre mes fesses et les faisait claquer, un bruit régulier se faisait entendre mais ne parvenait pas à couvrir mes cris.
– C'est fini ce vacarme ! On peut plus se faire baiser dans le calme ici !
C'était la voix de Thomas dans la salle d'à côté. Pourtant d'habitude l'insonorisation n'est pas trop mauvaise.
C'est pas ça qui nous a calmé !
Mon doudou s'est alors retirer. Je l'admirais il était en sueur, il respirait fort et moi j'étais pris de convulsion. Je sentait un autre plaisir monter en moi et en quelques instant je ne pouvais rien retenir, je jouissais, j'éjaculais et c'était bon, c'était intense et terriblement bon.
Il me retournais alors sur le ventre, je convulsais encore. Il se laissait tomber sur moi, mettait sa queue en position contre mon cul et poussait. J'ai hurlé de plaisir autant que de surprise, il m'avait pénétré de nouveau bien à fond.
Puis il recommençait à me limer le cul. Il s'enfonçait en se laissant tomber de tous son poids, s'écrasait sur moi, et moi sur le matelas. C'était trop, j'en redemandais. Il se retirait, je rebondissais, amorphe, presque mort. Presque seulement, je vous rassure. Le lit se faisait entendre à son tour, les ressors couinaient. Nous avions fini par casser quelque chose.
On entendait alors frapper contre le mur. Nous n'avons pas de voisins, que pouvions donc en conclure ? Non ce n'était pas des esprits frappeur, c'était toujours nos deux lascars, Thomas et de Georges.
– C'est comme ça tous les matins ou uniquement quand on est là ? Demandait un d'entre eux en criant.
Mon doudou semblait fatiguer, il semblait convulser à son tour et poussait des cris au moment ou il jouissait en moi.
Le calme retombait, d'un coup, comme ça, sans prévenir … J'avais mal au cul.
Ma queue s'était ratatinée au fond de sa cage, ce serait plus simple pour la suite.
On est resté là, à retrouver notre souffle et un rythme cardiaque plus calme.
On s'est levé pour passer sous la douche. Un peu plus tard encore on a retrouvé nos copines. Ils s'étaient installés sur la terrasse.
– Ça va ? Demandait Thomas .
– Pourquoi ça n'irait pas ? Lui répondait mon doudou.
– Pour rien, il m'a semblé que vous vous êtes un peu énervé tout à l'heure !
– C'est rien tout ça, il y a plus grave. Je crois qu'on a cassé un ressort dans le lit.
On s'installait avec eux, nous étions tous les quatre entièrement à poil. Moi j'étais là, couilles pendantes, bite ratatinée au fond de la cage …
– Tu es prêt pour la cérémonie ! Faisait remarquer Georges.
– Mais qu'est ce que vous avez tous avec ce mot ' cérémonie ' ? Il s'agit juste de changer de cage !
– Pour en prendre une plus petite ! Rajoutait Thomas.
La clé de mon dispositif était apparu comme par magie, elle était sur la table. Avant elle n'y était pas mais à ce moment elle y était.
– Tu retires ta cage ! M'ordonnait mon doudou.
D'habitude il ne me donne pas d'ordre mais là il faisait son autoritaire ! Même pas peur mais il fallait en passer par là. Je retirais mon dispositif, cockring compris.
Mes trois copines se sont alors amusé à me tripoter la bite, ils sont joueurs tout de même. J'ai alors eu un début d'érection, ça les a calmé. Quand je regardait de nouveau sur la table il y avait mon nouveau dispositif. Il était plus petit en effet.
Sans me presser j'ai passé l'anneau, le cock ring, il s'ajustait parfaitement. Ensuite je glissais ma petite queue dans la petite cage. Finalement ça s'ajustait bien. Ma queue remplissait bien la cage, mais le dispositif restait confortable. Il était joli, brillant, il avait l'air tout neuf, c'est vrai qu'il l'était.
Ils m'admiraient tous, les mains se tendaient pour s'assurer que tout allait bien, mon doudou surtout ne s'en privait pas, il me tripotait les couilles, elles pendaient toujours.
– On voit bien la différence ! Faisait remarquer Georges.
– Et toi tu réduis quand ? Demandait mon doudou à Thomas.
– Pas tout de suite, je ne me sens pas encore prêt.
Je ne vous avais pas dit que Thomas en portait une lui aussi.
Voilà il n'y avait vraiment pas à faire toute une histoire, ça n'avait rien de cérémonial. C'était fait en quelques minutes, tout simplement. Il fallait attendre quelques jours pour savoir si le dispositif était ajusté comme il fallait et parfaitement supporté ou pas.
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Ça faisait un moment que je m'y attendais, depuis près d'un an je portais la même cage et il était temps de passer à la suite. Mon doudou me l'a rappelé.
– Tout est prévu ! Il m'a dit. Tout est prévu !
Une nouvelle cage était prévue, plus petite. L'anneau principal, le cockring était et resterait toujours de la même taille. Seule la cage était plus petite.
Au niveau de la longueur un bon centimètre de moins. Elle n'était déjà pas très longue, j'avais peur en la voyant. Il faut bien se dire que dans la main ou portée, une cage ne donne pas du tout la même impression. Dans la main, elle paraît facilement ridicule, est tellement minuscule qu'elle semble ne pas pouvoir être portée. C'est vrai que quelquefois, portée certaines cages ne semblent pas non plus pouvoir être portées alors …
En largeur elle faisait presque cinq millimètre de moins. C'est surtout là que je m'inquiétais. La largeur est plus sensible que la longueur, c'est connu.
Mon doudou me préparait avec douceur, le nouveau dispositif restait là sur la cheminée, bien en vue, histoire que je m'habitue à le voir avant de le porter.
Il me le rappelait à chaque fois qu'il passait devant. Ça ne me rassurait pas vraiment mais au moins, on ne risquait pas d'oublier.
– Au fait j'ai invité les voisins ! Me déclarait-il un jour .
J'ai sursauté puis …
– Non mais ça va pas, mais pourquoi t'a fait ça ?Tu es un grand malade ! Et pourquoi tu ne les invites pas à une de nos soirées avec les copines ?
– Pour les copines, si tu parles de Thomas et de Georges, je les ai invités aussi.
Là c'était trop, je tombais à la renverse. Il me regardait en rigolant.
– Mais enfin je parle du barbecue de samedi prochain pas du barbecul du week-end suivant. Il levait les yeux au ciel et pouffait de rire. Non mais tu pensais à quoi ? Et en plus tu as vu ta prochaine cage à bite a disparue, je l'ai cachée pour éviter des questions.
Il me taquinait, il aime bien me taquiner. Il y a des jours ou je ne sais pas ce que je lui ferait à mon doudou, tellement il me fait sursauter, je ne vivrai pas vieux moi à ce rythme, mon cœur ne tiendra pas, des fois j'aurais envie de le frapper !
Enfin bref, le barbecue se passait très bien, il y avait du monde et on a bien bouffé. Tout le monde rentrait satisfait et rassasié. Nos deux copines Thomas et Georges on dormi sur place, ils n'arrivaient pas à tenir debout alors tenir un volant … Il ne fallait même pas y penser !
Le lendemain c'était le jour J, on se levait tard, on avait la gueule de bois. On ne prenait même pas la peine de nous habiller. Je me levais pour boire un verre, j'avais la bouche sèche. À mon retour dans la chambre mon doudou me sautait dessus. Il s'était réveillé et finalement se retrouvait en forme.
C'est vrai qu'il a une grosse queue mon doudou, je portais déjà la cage quand on s'est rencontré. Ça l'avait éclaté de rire ce truc, surtout qu'il avait une grosse bite et qu'il aimait bien s'en servir.
– Au moins on connaît les rôles de chacun ! M'avait-il déclaré.
Après il m'avait enculé !
Ce matin là, c'était pareil. Il avait une grosse bite et ça se voyait. Je ne sais pas vous, mais avec lui c'est toujours le matin que ça se voit le plus. Pour moi c'est toujours le matin que ma cage est trop petite. C'est toujours le matin que je sens ma queue confinée, plus confinée que le reste de la journée. C'est une sensation agréable, elle pousse de toutes forces contres les barreaux de la cage, biens étudiés, ils sont plat et c'est à la fois doux et dur.
Il me saisissait, m'embrassait et me jetais sur le lit. Je faisais semblant de résister mais pas trop, juste assez pour justifier quelques cris puis des câlins, puis des caresses, puis des baisers.
– Tu te sens prêt pour le cérémonial ? Me demandait-il.
Je pouffais de rire, il tenait mes bras croisés sur ma poitrine, j'étais allongé sur le lit, il était allongé sur moi. Je l'embrassais.
– Cérémonial ! Mais enfin je vais juste mettre une cage plus petite.
– Tu es sûr.
– Oui et puis tu sais si ça ne marche pas, je remettrais l'autre, celle que je porte encore.
Brusquement il m'écartait les jambes, me les relevais, plaçait mes chevilles sur ses épaules, prenait un peu de recul. Sa queue se relevait, bien ferme, bien droite. Mon cœur battait fort, je sentais ma queue confinée, bien emprisonnée et douillettement réduite. Douillettement oui ! Il était temps de faire quelque chose. Si cette cage m'avait semblé presque trop grande un an plus tôt, là elle l'était.
Je le regardais dans les yeux, il se lubrifiait la queue, il baissait les yeux et me lubrifiait le cul. Mon cœur battait fort, j'avais envie de sa queue.
Il prenait alors position et sans prévenir, sans aucune hésitation me l'enfonçait bien à fond dans le cul. Les vingt centimètres glissaient en moi. En une seconde, deux peut être je me sentais rempli. Il me dilatait l'anus, sa queue n'était pas seulement longue, elle était également large. J'ai alors poussé une sorte de cri étouffé.
Il me regardait dans les yeux. Il aimait bien ces pénétration rapide, pour ne pas dire expéditive. Il m'avait habitué mais quelquefois ça peut faire mal. Il m'observait pour s'assurer que j'encaissais.
J'appuyais alors ma tête sur l'oreiller, je faisait un grimace informe. Il me souriait, il savait que j'appréciais. C'était violent, intense, un petit peu douloureux mais c'était surtout merveilleux, merveilleusement bon. C'était le pied, je tremblais, tout mon corps tremblait et ma respiration devenait intense.
Un plaisir incroyable rayonnait depuis mes entrailles, une certaine douleur persistait légèrement au niveau de mon anus. Mais ça c'était pas gênant. Et ma queue jutait dans un élan de plaisir. Je sentais un fluide couler à l'intérieur de mon urètre. En fait rien ne coulait, je restais sec, parfaitement sec pourtant je jouissais avec ma queue.
Il sait y faire mon doudou, il sait rester juste à la limite entre l'extase et l’horreur. C'était violent, vraiment violent mais c'était aussi l'extase. Et quand il commençait à me limer les entrailles j'ai gémi, j'ai râlé, j'ai tremblé, je ne pouvais plus retenir mes mouvements ou mes gestes. C'était l'extase, je prenais mon pied au premier mouvement de sa part.
Quelques aller retour plus tard, je braillait et il était peut être difficile de déterminer si c'était du plaisir ou pas. C'était plus que du plaisir. Il m'avait fait grimper jusqu'à l'orgasme. Un orgasme qui durait et qui durait encore.
Il me labourait le cul, sa queue entrait avec force puis se retirait et enfin recommençait. Il avait un air grave, concentré. Il ne semblait pas encore éprouver du plaisir.
Il se concentrait, il bandait ferme. Sa queue était légèrement plus épaisse en son milieu, et chaque fois qu'elle passait me dilatait l'anus avec une force particulière. C'était un massage de fou, le plaisir alors ne venait plus seulement de mon ventre. Le plaisir venait de partout à la fois.
Il lubrifiait encore un peu et reprenait, encore plus fort et plus vite. Il me défonçait le cul et j'aimais ça. Je criais, je hurlais de plaisir.
Il se penchait sur moi, je pliais les jambes, il me prenait dans ses bras, me serrait contre lui et continuait à jouer avec son bassin, il repliait son bassin et continuait à me limer le cul avec force ou avec sa grosse queue. Sa grosse queue, donc avec force.
Il écrasait son ventre contre mes fesses et les faisait claquer, un bruit régulier se faisait entendre mais ne parvenait pas à couvrir mes cris.
– C'est fini ce vacarme ! On peut plus se faire baiser dans le calme ici !
C'était la voix de Thomas dans la salle d'à côté. Pourtant d'habitude l'insonorisation n'est pas trop mauvaise.
C'est pas ça qui nous a calmé !
Mon doudou s'est alors retirer. Je l'admirais il était en sueur, il respirait fort et moi j'étais pris de convulsion. Je sentait un autre plaisir monter en moi et en quelques instant je ne pouvais rien retenir, je jouissais, j'éjaculais et c'était bon, c'était intense et terriblement bon.
Il me retournais alors sur le ventre, je convulsais encore. Il se laissait tomber sur moi, mettait sa queue en position contre mon cul et poussait. J'ai hurlé de plaisir autant que de surprise, il m'avait pénétré de nouveau bien à fond.
Puis il recommençait à me limer le cul. Il s'enfonçait en se laissant tomber de tous son poids, s'écrasait sur moi, et moi sur le matelas. C'était trop, j'en redemandais. Il se retirait, je rebondissais, amorphe, presque mort. Presque seulement, je vous rassure. Le lit se faisait entendre à son tour, les ressors couinaient. Nous avions fini par casser quelque chose.
On entendait alors frapper contre le mur. Nous n'avons pas de voisins, que pouvions donc en conclure ? Non ce n'était pas des esprits frappeur, c'était toujours nos deux lascars, Thomas et de Georges.
– C'est comme ça tous les matins ou uniquement quand on est là ? Demandait un d'entre eux en criant.
Mon doudou semblait fatiguer, il semblait convulser à son tour et poussait des cris au moment ou il jouissait en moi.
Le calme retombait, d'un coup, comme ça, sans prévenir … J'avais mal au cul.
Ma queue s'était ratatinée au fond de sa cage, ce serait plus simple pour la suite.
On est resté là, à retrouver notre souffle et un rythme cardiaque plus calme.
On s'est levé pour passer sous la douche. Un peu plus tard encore on a retrouvé nos copines. Ils s'étaient installés sur la terrasse.
– Ça va ? Demandait Thomas .
– Pourquoi ça n'irait pas ? Lui répondait mon doudou.
– Pour rien, il m'a semblé que vous vous êtes un peu énervé tout à l'heure !
– C'est rien tout ça, il y a plus grave. Je crois qu'on a cassé un ressort dans le lit.
On s'installait avec eux, nous étions tous les quatre entièrement à poil. Moi j'étais là, couilles pendantes, bite ratatinée au fond de la cage …
– Tu es prêt pour la cérémonie ! Faisait remarquer Georges.
– Mais qu'est ce que vous avez tous avec ce mot ' cérémonie ' ? Il s'agit juste de changer de cage !
– Pour en prendre une plus petite ! Rajoutait Thomas.
La clé de mon dispositif était apparu comme par magie, elle était sur la table. Avant elle n'y était pas mais à ce moment elle y était.
– Tu retires ta cage ! M'ordonnait mon doudou.
D'habitude il ne me donne pas d'ordre mais là il faisait son autoritaire ! Même pas peur mais il fallait en passer par là. Je retirais mon dispositif, cockring compris.
Mes trois copines se sont alors amusé à me tripoter la bite, ils sont joueurs tout de même. J'ai alors eu un début d'érection, ça les a calmé. Quand je regardait de nouveau sur la table il y avait mon nouveau dispositif. Il était plus petit en effet.
Sans me presser j'ai passé l'anneau, le cock ring, il s'ajustait parfaitement. Ensuite je glissais ma petite queue dans la petite cage. Finalement ça s'ajustait bien. Ma queue remplissait bien la cage, mais le dispositif restait confortable. Il était joli, brillant, il avait l'air tout neuf, c'est vrai qu'il l'était.
Ils m'admiraient tous, les mains se tendaient pour s'assurer que tout allait bien, mon doudou surtout ne s'en privait pas, il me tripotait les couilles, elles pendaient toujours.
– On voit bien la différence ! Faisait remarquer Georges.
– Et toi tu réduis quand ? Demandait mon doudou à Thomas.
– Pas tout de suite, je ne me sens pas encore prêt.
Je ne vous avais pas dit que Thomas en portait une lui aussi.
Voilà il n'y avait vraiment pas à faire toute une histoire, ça n'avait rien de cérémonial. C'était fait en quelques minutes, tout simplement. Il fallait attendre quelques jours pour savoir si le dispositif était ajusté comme il fallait et parfaitement supporté ou pas.
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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Bien et drôle.