Sihame : Ma délicieuse femme qui s'amuse à me rendre jaloux … et cela m'excite 2/2
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Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2019 dans la catégorie Plus on est
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Sihame : Ma délicieuse femme qui s'amuse à me rendre jaloux … et cela m'excite 2/2
SihameJe me sentais bien chez Fab. Nos relations sexuelles étaient fréquentes et toujours intenses. Nous continuions à jouer et cela m'allait bien. Fab me laissait une grande liberté. Je pouvais sortir avec mes copines et mes copains sans avoir de reproche. Il pouvait être un peu jaloux, mais en même temps, je sentais que cela l'excitait. J'en profitais, et en plus cela alimentait nos jeux.
Quand je sortais, je m'habillais toujours très sexy. Fab était endiablé. C'était le jeu. Comme convenu, le lui envoyais des photos et celles-ci étaient toujours ambigües, souvent avec des hommes qui me serraient de près. Je ne pouvais pas m'en empêcher.
De retour à la maison, Fab me sautait dessus. Il me serrait dans ses bras et quelle que soit l'heure, il me faisait l'amour tout excité. Il essayait de me faire parler. Il voulait savoir jusqu'où j'avais été avec ces hommes.
Plus le temps passait et plus j'osais m'aventurer dans les bras des garçons ou des filles que je rencontrais.
Un soir, je pris beaucoup de plaisir à caresser un garçon qui avait une superbe queue et à le sucer pour le faire jouir. Il m'inonda de son sperme que j'avalais tant bien que mal. C'était ma première vraie infidélité, mais bon. Je me disais que cela faisait partie du jeu.
De retour à la maison, Fab sentit les odeurs de sperme que j'avais encore. Cette fois, je le sentis différent, un peu plus énervé, qu'excité. Je lui demandais de m'embrasser et de me lécher pour me nettoyer des traces de sperme de mon amant d'un soir. J'avais bien l'impression que je jouais gros, mais après un peu d'hésitation, Fab s'exécuta et me lécha entièrement. Il me prit sauvagement et me sodomisa. Nous nous endormîmes épuisés et heureux d'être ensemble.
Fab m'aimait. Je voyais bien que ses sentiments étaient ambivalents, mais il tenait trop à moi. Toute la semaine nous en reparlâmes. Il voulait savoir où et comment je l'avais sucé ? Comment était sa queue ? Si j'avais joui ? Tout cela m'excitait aussi ; de repenser aux moments de séduction et de désir que j'avais vécu avec cet homme…
Une autre fois, Fab m'interrogea car il avait reconnu les deux hommes qui m'entouraient lors de la soirée d'où je revenais. Il s'agissait des deux voyageurs qui étaient descendus du TGV quand il était venu me chercher à la gare. Il me demanda s'ils m'avaient baisée dans le train et aussi à cette soirée.
Je lui racontais que l'idée m'avait effleurée de faire l'amour avec les deux à la fois. Il m'arrivait de me masturber en pensant à cette idée. Fab me défonça tous mes orifices cette nuit-là, trop excité par cette idée.
Ce qui devait arriver arriva. Une fois, après le travail, je reçus un sms de mes amis du train qui me proposaient un verre. Comme ils n'habitaient pas très loin, je passais les voir. Nous passâmes un bon moment. Je fis quelques photos pour Fab, puis les choses dégénérèrent et je me retrouvais torse nu. J'eus juste le temps d'envoyer une dernière photo que les deux coquins voulurent que je les suce. J'en avais trop envie. Je les pris en bouche, l'un après l'autre, puis ensemble.
De fil en aiguille, je retrouvais toute nue avec leurs mains sur le corps qui m'endiablaient. J'ai un peu perdu pied ce soir-là. Ils m'ont prise en double. Je ne crois pas avoir déjà autant joui. Quels queutards.
Quand je suis rentrée, Fab m'attendait comme à son habitude. Il vint m'embrasser et passa sa main sous ma jupe pour me retirer ma culotte. Il la porta à son nez et la respira, la lécha tout excité.
Alors, je lui racontais ce qu'ils m'avaient fait, et comment ils m'avaient fait jouir.
Fab me bascula alors sur le canapé. Me releva les jambes et vint placer sa tête entre mes cuisses pour lécher le sperme qui suintait encore de mes orifices… Il m'embrassa à pleine bouche, sa langue sentait le mélange de cyprine et de sperme, puis il me baisa et m'encula. Il alternait ses va et vient dans mes deux orifices et je jouis à nouveau, emportée par une vague de plaisir intense.
Fab se retint. Il attendit que je termine ma jouissance pour venir lâcher sa semence dans ma bouche.
FabSihame jouait toujours avec moi. Un double jeu. Je me rappelle, une fois, après être rentré tard du boulot, je trouvais ma compagne sur le canapé. Elle était vraiment trop désirable. Je me mis à genoux près d'elle pour l'embrasser, mes mains sur ses cuisses. Elle sentait bon. J'avais envie de la lécher. Elle me repoussa, ce qui ne lui ressemblait pas. Elle adorait mes cunis.
Surpris, car cela ne lui ressemblait pas, j'ai un peu insisté et elle se laissa faire.
Elle m'ouvrit grand ses cuisses. Elle n'avait pas de culotte.
Sa chatte était trempée. À peine effleurée, je constatais qu'elle était ultra-sensible. Ma bouche aspira un peu de cyprine. J'imaginais bien que Sihame avait dû se faire du bien juste avant que j'arrive ou alors, elle avait baisé avec un autre pendant mon absence.
Je l'interrogeais du regard, elle ne me répondit pas, préférant fermer les yeux. Je la voyais prendre son plaisir, avec un petit sourire en coin. La garce, elle ne dira rien. Elle laisse planer le doute, et moi, cela me rend dingue et m'excite à la fois. Je l'ai léchée à fond, alternant les coups de langue sur son clito et dans sa vulve grande ouverte.
Je profitais de l'abondance de cyprine pour m'abreuver et pour mouiller mes doigts afin de jouer avec son anus.
Après quelques minutes de mon cuni endiablé, je sentis que le plaisir arrivait, lentement, mais sûrement. Ses gémissements étaient de plus en plus forts, puis se transformèrent en un cri puissant. Elle me prit la tête pour terminer sa jouissance avec ma bouche qu'elle frottait fermement sur son clito.
J'attendis que sa jouissance retombe pour défaire mon pantalon et lui relever les jambes afin d'accéder à son petit trou qui accueillit mon gland sans difficulté. Sihame adorait que je la sodomise. C'était chez nous une pratique très courante, surtout après un bon cuni.
Je m'enfonçais profondément. Je la pilonnais. Parfois je ressortais ma queue pour regarder son anus qui restait ouvert quelques instants. Cela m'excitait encore davantage et j'y replongeais. Ces va et vient s'accélérèrent jusqu'à ce que je jouisse dans une dernière plongée dans son cul qui déclencha plusieurs giclées de foutre dans ses entrailles.
Je restais quelques minutes enfoncé dans ses fesses. Qu'elle était bonne ma petite Sihame.
Que salope, oui !!! Une fois les bienfaits de la baise passés, je repensais à toutes les questions qui m'étaient venues à l'esprit quand j'étais rentré du travail.
On en a reparlé brièvement le lendemain au petit déjeuner, mais elle n’a jamais craché le morceau, sans nier non plus.
Une autre fois, Sihame était sortie. Elle m'avait chauffé avec des photos ambigües qui la montraient entre deux hommes. J'étais habitué à ses jeux, mais là, quand je reconnus les deux garçons qui étaient descendus du train avec elle quand j'avais été la chercher à la gare et que je l'avais retrouvée sans culotte… L'adultère de Sihame s'imposait à mon esprit.
Comme d'habitude, j'attendais son retour et quand elle arriva, je me précipitais sur elle pour la serrer dans mes bras et l'embrasser.
- "Tu m'as manqué mon amour."
Sacré Sihame, cette fois-ci, j’en avais le cœur net, l’odeur de sa culotte, toute imprégnée, plus qu’à son habitude, encore humide, poisseuse, c’était une certitude, elle l’avait vraiment fait, elle s’était vraiment faite baiser par ces deux salopards.
Les photos qu’elle m’avait envoyées étaient restées pourtant très suggestives mais déjà, je pouvais percevoir son petit air coquin. Une Sihame provocante, comme pour me dire "Tu vois chéri, c’est avec ces deux beaux mecs que je vais m’envoyer en l’air."
Je la savais provocatrice et je lui avais renvoyé direct un message en lui disant qu’elle abusait, qu’elle me rendait dingue et que j’avais qu’une hâte, qu’elle rentre à la maison pour que je lui fasse payer ça en la baisant bien à fond.
Elle me répondit, toujours sur le même ton ambivalent "On se voit tout à l’heure, je vais être occupée pendant un moment…"
À nouveau, cette phrase pleine de double sens me fit bander directement. Quelle chienne quand même ! Elle aime me rendre dingue. Et oui, ça m’excite de savoir que peut être elle va vraiment se lâcher et se faire baiser comme une salope.
Une vague de sentiments forts et contrastés m’envahit, de la jalousie, mais c’est l’excitation qui l’emportait, à la vue de ma queue qui ne voulait pas redescendre. Je bandais comme un âne en l'imaginant en train de se faire défoncer par ces deux salopards.
Quand elle est rentrée, bien plus tard que prévu, j'ai vu son regard qui me provoquait, l'air de dire "Ben oui Fab, je suis désolée mais je n’ai pas pu résister à la tentation de me faire baiser par ces deux queues qui me désiraient."
Mmmmhhhh! Ça m’a rendu dingue, je me suis approché d’elle et c’est là que je lui ai passé la main sous sa jupe pour vérifier si elle était toujours dans la provocation ou si vraiment, elle s’était laissée allée à se faire bien baiser comme une salope par ces deux enfoirés.
Cette culotte que je portai à mon nez a embaumé mes narines. Ma queue se raidit instantanément car oui...Sihame était bien passée à l’acte !
Le cœur dans les chaussettes car je n’aurais quand même pas cru que...mais si, Sihame s’était clairement faite baiser comme une chienne! L’excitation qui avait pris le dessus m’avait donnée envie de la dévorer, de lui bouffer cette si bonne chatte ultra sensible à cause des assauts de ces deux amants du soir.
Alors, elle me fit part de quelques détails en me disant surtout qu’elle n’avait pas pu résister à la tentation après un deux verres et des allusions bien coquines de la part de ces deux salauds.
Nous rebaisâmes et nous jouirent comme deux petits fous. Je l’avais baisée comme je l’avais encore jamais fais auparavant.
Puis elle s'endormit directement après ; exténuée.
Je l’ai regardée un instant. Des images ont fusé dans ma tête. L’imaginant dans cette situation, la sachant se faire baiser par deux gars. Comment était-elle ?
Elle n’était pas trop rentrée dans les détails quand je lui avais demandé des précisions, qu'elle me raconte comment elle s’était fait prendre, est-ce qu’ils avaient une grosse queue ? Combien de fois avait- elle jouit ? Eux ? Etc. Et, me dirait-elle tout ?
On s’était bien trop vite retrouvés à baiser comme des fous ce qui l’a peut-être arrangée pour ne pas répondre à toutes mes questions.
Dès le lendemain matin, après n’avoir quasiment pas fermé l’œil de la nuit en repensant à tout ça.
Je lui fis l’amour, plus tendrement cette fois ci. C’était bon ! Elle était belle.
Ensuite seulement, nous prîmes un petit déjeuner. J’en ai profité pour l’interroger à nouveau.
Elle répondit brièvement à mes questions en me faisant part du fait que oui c’était dingue et que oui tous les deux avaient des queues énormes. Et comme si ça ne suffisait pas, elle me fit part d’un détail qui me rendit dingue à nouveau en me disant que ça devait certainement faire longtemps qu’ils ne s’étaient pas soulagés parce qu’elle n’avait pas pensé qu’autant de sperme puisse jaillir d’une queue.
Mmmhhhh! Mais quelle chienne quand même.
Au moment où elle me fit part de ce détail, je l’ai embrassée à pleine bouche et je l’ai baisée directement sur la table.
Nous jouîmes comme des dingues à nouveau et me dit, avec un air malicieux, qu’elle recommencerait plus souvent si à chaque fois je la baisais aussi intensément.
Haha, quelle chienne ! Elle ne ratait pas une occasion de me taquiner.
Je partis travailler. En chemin, je reçus un petit message de Sihame me disant qu’elle avait oublié sa montre chez eux et que l’un des deux viendrait la lui ramener directement à la maison dans l’après-midi.
Quelle salope. Elle s'était fait défoncer quasiment toute la nuit et elle en voulait encore !
Mmhhh ! Mais elle veut me rendre dingue !!!!
Je n'arrivais pas à me concentrer à mon travail. J'imaginais ma Sihame en train de se faire baiser par tous les trous par les deux salopards. N'y tenant plus, je prétextais un besoin de retourner à la maison pour m'absenter.
Je garais la voiture de façon à pouvoir observer discrètement l'entrée de l'immeuble. J'envoyais un texto à ma femme : "Coucou chérie. Comment se passe ta matinée ? As-tu récupéré ta montre ? Je t'aime."Elle me répondit aussitôt : "Tout va bien mon cœur. Je viens tout juste de sortir de la douche et je vais me sécher les cheveux. J'avais même du sperme dans les cheveux. Pour la montre, j'attends Gabriel. Il ne devrait pas tarder. Je te plais ?" Et elle joignit une photo d'elle toute nue.
Au même moment, je vis mes deux lascars se pointer au pied de l'immeuble. Allait-elle les recevoir comme ça ?
Mon sang ne fit qu'un tour. J'avais la gaule. Elle m'excitait la salope.
J'attendis une bonne heure avant de les voir ressortir. Ils semblaient satisfaits… L'avaient-ils encore baisée ?
J'envoyais un texto à ma femme :"Chérie, j'ai oublié un dossier à la maison, je reviens pour le récupérer. Tu veux que l'on mange ensemble ?"Elle me répondit : "Je suis trop contente. Je t'attends."
Je sortis en vitesse de la voiture pour rejoindre ma femme. Elle m'ouvrit aussitôt. Elle était encore nue. Ah la salope. Elle m'embrassa tendrement. Je la serrai très fort. Elle sentait le sperme.
Mes doigts fouillèrent ses orifices qui suintaient. Je glissais mes doigts entre nos bouches collées. Nous les léchâmes avec application. Nous n'avions pas besoin de parler pour comprendre ce qui venait de se passer.
Constatant que je bandais comme un âne, Sihame ne retourna pour se positionner à quatre pattes. Elle me dit : "Mon chéri, tu veux bien m'enculer ? Là, maintenant. J'ai envie…"
Qu'est-ce que je pouvais faire ? Oui j'en vais foutrement envie et je la baisais là comme une chienne qu'elle était. Je la pilonnais avec des coups de butoir puissants, ma queue coulissant aisément dans ses entrailles inondées récemment par son amant. Je m'accrochais fortement à ses hanches. Je voyais ses seins qui ballotaient dans le miroir. Nous jouîmes dans un même élan.
Voilà comment nous fonctionnons avec ma Sihame chérie ; un pur bonheur.
Et puis, un jour, quand je revenais à la maison après mon travail, je trouvais l'appartement vide avec un mot de Sihame : "Merci pour tout mon chéri. Je pense que nous avons fait le tour de tout ce que nous pouvions vivre ensemble. Je préfère partir en gardant en tête tous ces moments magiques que nous avons vécus, plutôt que de vivre une vie faite de routine comme la plupart des autres couples. Je t'aime".
Il ne me restait plus qu'à compiler les messages et les photos que j'avais d'elle et d'écrire ce récit pour être sûr de ne jamais oublier….
Quand je sortais, je m'habillais toujours très sexy. Fab était endiablé. C'était le jeu. Comme convenu, le lui envoyais des photos et celles-ci étaient toujours ambigües, souvent avec des hommes qui me serraient de près. Je ne pouvais pas m'en empêcher.
De retour à la maison, Fab me sautait dessus. Il me serrait dans ses bras et quelle que soit l'heure, il me faisait l'amour tout excité. Il essayait de me faire parler. Il voulait savoir jusqu'où j'avais été avec ces hommes.
Plus le temps passait et plus j'osais m'aventurer dans les bras des garçons ou des filles que je rencontrais.
Un soir, je pris beaucoup de plaisir à caresser un garçon qui avait une superbe queue et à le sucer pour le faire jouir. Il m'inonda de son sperme que j'avalais tant bien que mal. C'était ma première vraie infidélité, mais bon. Je me disais que cela faisait partie du jeu.
De retour à la maison, Fab sentit les odeurs de sperme que j'avais encore. Cette fois, je le sentis différent, un peu plus énervé, qu'excité. Je lui demandais de m'embrasser et de me lécher pour me nettoyer des traces de sperme de mon amant d'un soir. J'avais bien l'impression que je jouais gros, mais après un peu d'hésitation, Fab s'exécuta et me lécha entièrement. Il me prit sauvagement et me sodomisa. Nous nous endormîmes épuisés et heureux d'être ensemble.
Fab m'aimait. Je voyais bien que ses sentiments étaient ambivalents, mais il tenait trop à moi. Toute la semaine nous en reparlâmes. Il voulait savoir où et comment je l'avais sucé ? Comment était sa queue ? Si j'avais joui ? Tout cela m'excitait aussi ; de repenser aux moments de séduction et de désir que j'avais vécu avec cet homme…
Une autre fois, Fab m'interrogea car il avait reconnu les deux hommes qui m'entouraient lors de la soirée d'où je revenais. Il s'agissait des deux voyageurs qui étaient descendus du TGV quand il était venu me chercher à la gare. Il me demanda s'ils m'avaient baisée dans le train et aussi à cette soirée.
Je lui racontais que l'idée m'avait effleurée de faire l'amour avec les deux à la fois. Il m'arrivait de me masturber en pensant à cette idée. Fab me défonça tous mes orifices cette nuit-là, trop excité par cette idée.
Ce qui devait arriver arriva. Une fois, après le travail, je reçus un sms de mes amis du train qui me proposaient un verre. Comme ils n'habitaient pas très loin, je passais les voir. Nous passâmes un bon moment. Je fis quelques photos pour Fab, puis les choses dégénérèrent et je me retrouvais torse nu. J'eus juste le temps d'envoyer une dernière photo que les deux coquins voulurent que je les suce. J'en avais trop envie. Je les pris en bouche, l'un après l'autre, puis ensemble.
De fil en aiguille, je retrouvais toute nue avec leurs mains sur le corps qui m'endiablaient. J'ai un peu perdu pied ce soir-là. Ils m'ont prise en double. Je ne crois pas avoir déjà autant joui. Quels queutards.
Quand je suis rentrée, Fab m'attendait comme à son habitude. Il vint m'embrasser et passa sa main sous ma jupe pour me retirer ma culotte. Il la porta à son nez et la respira, la lécha tout excité.
Alors, je lui racontais ce qu'ils m'avaient fait, et comment ils m'avaient fait jouir.
Fab me bascula alors sur le canapé. Me releva les jambes et vint placer sa tête entre mes cuisses pour lécher le sperme qui suintait encore de mes orifices… Il m'embrassa à pleine bouche, sa langue sentait le mélange de cyprine et de sperme, puis il me baisa et m'encula. Il alternait ses va et vient dans mes deux orifices et je jouis à nouveau, emportée par une vague de plaisir intense.
Fab se retint. Il attendit que je termine ma jouissance pour venir lâcher sa semence dans ma bouche.
FabSihame jouait toujours avec moi. Un double jeu. Je me rappelle, une fois, après être rentré tard du boulot, je trouvais ma compagne sur le canapé. Elle était vraiment trop désirable. Je me mis à genoux près d'elle pour l'embrasser, mes mains sur ses cuisses. Elle sentait bon. J'avais envie de la lécher. Elle me repoussa, ce qui ne lui ressemblait pas. Elle adorait mes cunis.
Surpris, car cela ne lui ressemblait pas, j'ai un peu insisté et elle se laissa faire.
Elle m'ouvrit grand ses cuisses. Elle n'avait pas de culotte.
Sa chatte était trempée. À peine effleurée, je constatais qu'elle était ultra-sensible. Ma bouche aspira un peu de cyprine. J'imaginais bien que Sihame avait dû se faire du bien juste avant que j'arrive ou alors, elle avait baisé avec un autre pendant mon absence.
Je l'interrogeais du regard, elle ne me répondit pas, préférant fermer les yeux. Je la voyais prendre son plaisir, avec un petit sourire en coin. La garce, elle ne dira rien. Elle laisse planer le doute, et moi, cela me rend dingue et m'excite à la fois. Je l'ai léchée à fond, alternant les coups de langue sur son clito et dans sa vulve grande ouverte.
Je profitais de l'abondance de cyprine pour m'abreuver et pour mouiller mes doigts afin de jouer avec son anus.
Après quelques minutes de mon cuni endiablé, je sentis que le plaisir arrivait, lentement, mais sûrement. Ses gémissements étaient de plus en plus forts, puis se transformèrent en un cri puissant. Elle me prit la tête pour terminer sa jouissance avec ma bouche qu'elle frottait fermement sur son clito.
J'attendis que sa jouissance retombe pour défaire mon pantalon et lui relever les jambes afin d'accéder à son petit trou qui accueillit mon gland sans difficulté. Sihame adorait que je la sodomise. C'était chez nous une pratique très courante, surtout après un bon cuni.
Je m'enfonçais profondément. Je la pilonnais. Parfois je ressortais ma queue pour regarder son anus qui restait ouvert quelques instants. Cela m'excitait encore davantage et j'y replongeais. Ces va et vient s'accélérèrent jusqu'à ce que je jouisse dans une dernière plongée dans son cul qui déclencha plusieurs giclées de foutre dans ses entrailles.
Je restais quelques minutes enfoncé dans ses fesses. Qu'elle était bonne ma petite Sihame.
Que salope, oui !!! Une fois les bienfaits de la baise passés, je repensais à toutes les questions qui m'étaient venues à l'esprit quand j'étais rentré du travail.
On en a reparlé brièvement le lendemain au petit déjeuner, mais elle n’a jamais craché le morceau, sans nier non plus.
Une autre fois, Sihame était sortie. Elle m'avait chauffé avec des photos ambigües qui la montraient entre deux hommes. J'étais habitué à ses jeux, mais là, quand je reconnus les deux garçons qui étaient descendus du train avec elle quand j'avais été la chercher à la gare et que je l'avais retrouvée sans culotte… L'adultère de Sihame s'imposait à mon esprit.
Comme d'habitude, j'attendais son retour et quand elle arriva, je me précipitais sur elle pour la serrer dans mes bras et l'embrasser.
- "Tu m'as manqué mon amour."
Sacré Sihame, cette fois-ci, j’en avais le cœur net, l’odeur de sa culotte, toute imprégnée, plus qu’à son habitude, encore humide, poisseuse, c’était une certitude, elle l’avait vraiment fait, elle s’était vraiment faite baiser par ces deux salopards.
Les photos qu’elle m’avait envoyées étaient restées pourtant très suggestives mais déjà, je pouvais percevoir son petit air coquin. Une Sihame provocante, comme pour me dire "Tu vois chéri, c’est avec ces deux beaux mecs que je vais m’envoyer en l’air."
Je la savais provocatrice et je lui avais renvoyé direct un message en lui disant qu’elle abusait, qu’elle me rendait dingue et que j’avais qu’une hâte, qu’elle rentre à la maison pour que je lui fasse payer ça en la baisant bien à fond.
Elle me répondit, toujours sur le même ton ambivalent "On se voit tout à l’heure, je vais être occupée pendant un moment…"
À nouveau, cette phrase pleine de double sens me fit bander directement. Quelle chienne quand même ! Elle aime me rendre dingue. Et oui, ça m’excite de savoir que peut être elle va vraiment se lâcher et se faire baiser comme une salope.
Une vague de sentiments forts et contrastés m’envahit, de la jalousie, mais c’est l’excitation qui l’emportait, à la vue de ma queue qui ne voulait pas redescendre. Je bandais comme un âne en l'imaginant en train de se faire défoncer par ces deux salopards.
Quand elle est rentrée, bien plus tard que prévu, j'ai vu son regard qui me provoquait, l'air de dire "Ben oui Fab, je suis désolée mais je n’ai pas pu résister à la tentation de me faire baiser par ces deux queues qui me désiraient."
Mmmmhhhh! Ça m’a rendu dingue, je me suis approché d’elle et c’est là que je lui ai passé la main sous sa jupe pour vérifier si elle était toujours dans la provocation ou si vraiment, elle s’était laissée allée à se faire bien baiser comme une salope par ces deux enfoirés.
Cette culotte que je portai à mon nez a embaumé mes narines. Ma queue se raidit instantanément car oui...Sihame était bien passée à l’acte !
Le cœur dans les chaussettes car je n’aurais quand même pas cru que...mais si, Sihame s’était clairement faite baiser comme une chienne! L’excitation qui avait pris le dessus m’avait donnée envie de la dévorer, de lui bouffer cette si bonne chatte ultra sensible à cause des assauts de ces deux amants du soir.
Alors, elle me fit part de quelques détails en me disant surtout qu’elle n’avait pas pu résister à la tentation après un deux verres et des allusions bien coquines de la part de ces deux salauds.
Nous rebaisâmes et nous jouirent comme deux petits fous. Je l’avais baisée comme je l’avais encore jamais fais auparavant.
Puis elle s'endormit directement après ; exténuée.
Je l’ai regardée un instant. Des images ont fusé dans ma tête. L’imaginant dans cette situation, la sachant se faire baiser par deux gars. Comment était-elle ?
Elle n’était pas trop rentrée dans les détails quand je lui avais demandé des précisions, qu'elle me raconte comment elle s’était fait prendre, est-ce qu’ils avaient une grosse queue ? Combien de fois avait- elle jouit ? Eux ? Etc. Et, me dirait-elle tout ?
On s’était bien trop vite retrouvés à baiser comme des fous ce qui l’a peut-être arrangée pour ne pas répondre à toutes mes questions.
Dès le lendemain matin, après n’avoir quasiment pas fermé l’œil de la nuit en repensant à tout ça.
Je lui fis l’amour, plus tendrement cette fois ci. C’était bon ! Elle était belle.
Ensuite seulement, nous prîmes un petit déjeuner. J’en ai profité pour l’interroger à nouveau.
Elle répondit brièvement à mes questions en me faisant part du fait que oui c’était dingue et que oui tous les deux avaient des queues énormes. Et comme si ça ne suffisait pas, elle me fit part d’un détail qui me rendit dingue à nouveau en me disant que ça devait certainement faire longtemps qu’ils ne s’étaient pas soulagés parce qu’elle n’avait pas pensé qu’autant de sperme puisse jaillir d’une queue.
Mmmhhhh! Mais quelle chienne quand même.
Au moment où elle me fit part de ce détail, je l’ai embrassée à pleine bouche et je l’ai baisée directement sur la table.
Nous jouîmes comme des dingues à nouveau et me dit, avec un air malicieux, qu’elle recommencerait plus souvent si à chaque fois je la baisais aussi intensément.
Haha, quelle chienne ! Elle ne ratait pas une occasion de me taquiner.
Je partis travailler. En chemin, je reçus un petit message de Sihame me disant qu’elle avait oublié sa montre chez eux et que l’un des deux viendrait la lui ramener directement à la maison dans l’après-midi.
Quelle salope. Elle s'était fait défoncer quasiment toute la nuit et elle en voulait encore !
Mmhhh ! Mais elle veut me rendre dingue !!!!
Je n'arrivais pas à me concentrer à mon travail. J'imaginais ma Sihame en train de se faire baiser par tous les trous par les deux salopards. N'y tenant plus, je prétextais un besoin de retourner à la maison pour m'absenter.
Je garais la voiture de façon à pouvoir observer discrètement l'entrée de l'immeuble. J'envoyais un texto à ma femme : "Coucou chérie. Comment se passe ta matinée ? As-tu récupéré ta montre ? Je t'aime."Elle me répondit aussitôt : "Tout va bien mon cœur. Je viens tout juste de sortir de la douche et je vais me sécher les cheveux. J'avais même du sperme dans les cheveux. Pour la montre, j'attends Gabriel. Il ne devrait pas tarder. Je te plais ?" Et elle joignit une photo d'elle toute nue.
Au même moment, je vis mes deux lascars se pointer au pied de l'immeuble. Allait-elle les recevoir comme ça ?
Mon sang ne fit qu'un tour. J'avais la gaule. Elle m'excitait la salope.
J'attendis une bonne heure avant de les voir ressortir. Ils semblaient satisfaits… L'avaient-ils encore baisée ?
J'envoyais un texto à ma femme :"Chérie, j'ai oublié un dossier à la maison, je reviens pour le récupérer. Tu veux que l'on mange ensemble ?"Elle me répondit : "Je suis trop contente. Je t'attends."
Je sortis en vitesse de la voiture pour rejoindre ma femme. Elle m'ouvrit aussitôt. Elle était encore nue. Ah la salope. Elle m'embrassa tendrement. Je la serrai très fort. Elle sentait le sperme.
Mes doigts fouillèrent ses orifices qui suintaient. Je glissais mes doigts entre nos bouches collées. Nous les léchâmes avec application. Nous n'avions pas besoin de parler pour comprendre ce qui venait de se passer.
Constatant que je bandais comme un âne, Sihame ne retourna pour se positionner à quatre pattes. Elle me dit : "Mon chéri, tu veux bien m'enculer ? Là, maintenant. J'ai envie…"
Qu'est-ce que je pouvais faire ? Oui j'en vais foutrement envie et je la baisais là comme une chienne qu'elle était. Je la pilonnais avec des coups de butoir puissants, ma queue coulissant aisément dans ses entrailles inondées récemment par son amant. Je m'accrochais fortement à ses hanches. Je voyais ses seins qui ballotaient dans le miroir. Nous jouîmes dans un même élan.
Voilà comment nous fonctionnons avec ma Sihame chérie ; un pur bonheur.
Et puis, un jour, quand je revenais à la maison après mon travail, je trouvais l'appartement vide avec un mot de Sihame : "Merci pour tout mon chéri. Je pense que nous avons fait le tour de tout ce que nous pouvions vivre ensemble. Je préfère partir en gardant en tête tous ces moments magiques que nous avons vécus, plutôt que de vivre une vie faite de routine comme la plupart des autres couples. Je t'aime".
Il ne me restait plus qu'à compiler les messages et les photos que j'avais d'elle et d'écrire ce récit pour être sûr de ne jamais oublier….
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