Sof, une sauvage

- Par l'auteur HDS geniez19 -
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Récit libertin : Sof, une sauvage Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sof, une sauvage
C'est par hasard que j’ai retrouvé Sof à la salle de sport. Nous nous connaissions mais n'avions jamais échangé plus que ça.
Depuis cette rencontre, nous nous envoyons quelques fois des messages. Au fil du temps, ces derniers deviennent de plus en plus réguliers et des sous-entendus commencent à poindre.

Sur un des derniers que je reçois, elle me dit manquer de volonté pour venir à la salle actuellement et qu'il lui faudrait un bon coup de pied au cul pour la motiver voire plus.
Je lui réponds ne pas comprendre ce que signifie ce plus.

La réponse tombe, nette et sans équivoque : Une bonne fessée.

Bouge pas ma belle, si c'est ce que tu veux et aime, je vais te servir. Je continue toutefois à faire le nigaud durant quelques jours de façon à la laisser se dévoiler encore plus.

Elle me dit alors clairement qu'elle aimerait une liaison basée sur le seul plaisir, sans vouloir engager son amant dans sa situation familiale. Sof est maman et entend bien me dit-elle, ne pas mettre de côté sa vie de femme.
Elle me rappelle que je devais lui faire goûter un risotto et qu'elle serait disponible le week end suivant, si ma proposition tenait toujours.
Je lui confirme la validité de ma proposition et l'invite donc.

Le jour venu, Sof arrive et dès son entrée dans le garage, je la plaque au mur et lui croque la bouche. Puisque tu veux quelqu'un qui te domine, tu vas être servie.

Une fois dans la cuisine, je continue à la mordiller tout en lui caressant la poitrine. Elle me précise alors qu'elle est très sensible des seins et que la moindre caresse peut la faire décoller. Je la travaille alors et l'entends qui commence à geindre. Je ne lâche rien et lui mordille, lui croque et lui tortille les tétons.

Sof se dandine sur la chaise et me dit qu'elle ne va pas résister longtemps à ce traitement. C'est en la tirant par les tétons que je la guide vers la chambre. Elle a du mal à me suivre, tant elle lutte contre le plaisir qui commence à lui attaquer le minou (pour reprendre son expression).

Je la bascule sur le lit, lui enlève son pantalon et lui dis qu'elle doit m'arrêter si par hasard je venais à lui faire mal.

- Bien sûr mais j'adore un peu de force et de violence quand on me baise, je suis prête à beaucoup de choses avec toi et suis à ta merci. Tu peux me fesser, me mordre, me ligoter, rien ne devrait m'effrayer.
- C'est peut-être ce que tu crois.
- J'ai l'impression d'avoir trouvé avec toi celui qui m'amènera vers un plaisir fulgurant et qui saura me faire découvrir de nouvelles limites dans le jeu.
- On verra bien ou plutôt, je verrai bien.
- Pourquoi “je”?

Je sors alors un bandeau et lui approche du visage.
- Rien que ça, ça me fait déjà des choses.

Je lui bande les yeux, et porte ma main vers sa chatte, la passe dans son string et sent son sexe déjà très humide.
- Je vois que madame ne tarde pas.
- Et encore tu n'as rien vu, Avec ce traitement-là, je ne vais bientôt plus répondre de rien.
- J'espère bien.
- Rien que tes mains qui jouent avec mes tétons, ça me ferait jouir.

Je place alors sur chacun de ses tétons une pince “accroche serviette”, reliées entre elles par une chaine. La morsure des griffes la fait crier de plaisir et me traiter de salaud.

- Je savais que tu saurais d'entrée de jeu me faire grimper. T'es un grand malade mais qu'est-ce que c'est bon.

Je tire alors légèrement sur la chaine et lui demande :

- Et là ?
- Elle se tortille, crie de plaisir, et semble convulser.
- Stop, stop!

J'ai à peine relâché la chaine qu'elle me demande de continuer et de lui caresser son minou en même temps.

- Puisque tu insistes.

Je continue à jouer avec ses seins en tirant la chaine et introduit un doigt dans sa chatte.

- Mais ç'est bien mouillé tout ça, petite garce.

Je lui donne alors une bonne claque sur le cul, ce qui a pour effet de la faire hurler de plaisir.

- Oui vas-y, continue j'adore que tu me donnes des fessées.

Elle me tend son cul pour une nouvelle salve et se tord de plaisir.
Je lui place alors la chaîne entre les dents ce qui a pour effet de la rendre responsable de la traction exercée sur ses seins et de me rendre libres les 2 mains.

- T'es dégueulasse tellement c'est bon, je n'y avais jamais pensé.

Pendant que d'une main je lui claque les fesses, l'autre pénètre sa chatte. Deux doigts suffisent et Sof se met à hurler pendant qu'un énorme jet coule d'entre ses cuisses et vient tremper le lit.
Rien ne semble vouloir interrompre ce flux tant que mes doigts la besogne.
Elle me supplie de lui enlever le foulard, Je lui rends alors la vue.
- Dès que je t'ai vu, je savais que tu me baiserais comme un sauvage. Ton regard a quelque chose qui promet la folie, à celle qui veut.

Elle ajoute,
- Tout ce que j'aime. Les pinces sur mes seins, c'est carrément divin de douleur. Où tu es vache c'est de me donner du plaisir en ayant la chaîne dans la bouche. A plus je jouis, à plus je me tords et donc à plus je me donne du plaisir en maltraitant mes seins. C'est odieux et sans fin. Où est ce que tu as appris à baiser comme ça ?
- Je pourrais te dire que je ne sais pas, mais c’est juste grâce à des femmes comme toi, folles de cul. Je n'ai pas grand mérite en ayant en face de moi une baiseuse de première.
- Salaud, c'est toi qui me rends comme ça. Je savais que je pouvais être fontaine mais certainement pas à ce point-là. C'est pas moi qui ai pu faire ça.
- Pense tu c'est moi.
- J'avais l'impression que je n'arrêterais pas de couler et ne pouvais rien contrôler.
- En plus en parfaite garce baiseuse, tu te donnais du plaisir en continu en remuant sans lâcher la chaine.
- J'ai pris un pied comme je ne me souviens pas m'être explosée. Il me tarde te sucer et te faire payer tout ce que je viens de subir.
- Mais j'espère bien, C'est quand tu veux…

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Hate de voir la suite de cette relation 😏



Texte coquin : Sof, une sauvage
Histoire sexe : Une rose rouge
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