Soirée ' gros lot '
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Soirée ' gros lot '
Soirée ' gros lot '
C'était pas tout à fait par hasard si j'étais venu en boite ce soir là. J'avais vu sur le flyer et il y parlait des dispositifs de chasteté. Soirée Chastity Cage ! Je ne voulais pas louper ça. Il y aurait aussi des cages à gagner si on pouvait la mettre sur place, je décidais donc d'y aller avec ma clé. Histoire de pouvoir retirer ma cage dans le cas ou.
' Si vous êtes tirés au sort, vous le gagnez, vous le mettez et vous le gardez ' … Ils disait le flyer.
Il fallait s'inscrire, et en plus c'était gratos. Le prix de l'inscription était compté dans le prix de l'entrée, il n'y avait pas de supplément.
Je me suis inscrit bien sûr. Ils avaient organisé un système de bonus. On inscrivait son nom sur un ticket et on le mettait dans une urne. Si on avait déjà un dispositif on rajoutait plusieurs tickets, ce qui augmentait les chance gagner. Si on passait la soirée à poil, on avait droit à plusieurs tickets supplémentaires. J'ai eut droit à cinq tickets de plus parce que mon dispositif était original.
Bein oui c'était un modèle unique fait maison. C'est donc très fier de moi que je leur disais.
– C'est moi qui l'ai fait !
Ça les faisait rire.
Je faisais ma star, je n'avais gardé que les chaussures, je montait sur le gogo, je faisais le fou. Il y avait des mains un peu partout qui me touchaient, me caressaient les couilles, me les tripotaient. Là je ne laissais pas toujours faire, il y en a qui font mal, ils vous pincent.
Je me souviens de slows d'une tendresse incroyable, mon partenaire portait lui aussi un dispositif de chasteté, il était nu lui aussi mais il n'était pas inscrit.
Il avait un magnifique modèle céramique. C'était un modèle en titane, il était blanc et son contact était particulièrement doux. Je le sentais il bandais, moi aussi je bandais mais mon dispositif fait maison confinait également parfaitement ma queue, on ne voyait rien sinon que la cage était bien pleine.
Mon dispositif avait un certain succès, toute la petite troupe qui organisait la soirée s'y intéressait et ils passaient tous les uns après les autres pour me tâter les couilles. Ils sont joueurs tout de même. Il y avait trois cages à gagnée, deux modèles céramique et le fameux modèle ' Autolock '. Il était magnifique, il avait des boucliers qui permettait de changer son aspect.
La soirée battait son plein. Un quart des clients étaient à poil. C'était pas une soirée naturiste au départ mais on avait presque fini par arriver. Il y en avait avec des toutes petite bite d'autre bien plus grosse, certaines se relevaient, d'autres pendaient et parfois même lourdement.
Et il y avait la Black Room, d'ailleurs sur ce sujet je n'ai jamais réussi à retenir s'il faut dire Black Room ou Back Room, en effet ces salles sont généralement à l'arrière, au fond, de la boite de nuit et il y fait toujours noir. S'il y en a qui ont une idée sur le sujet …
Bref il y avait la Black Room, là c'est vrai qu'on ne voyait plus rien mais il y avait des mains qui se promenaient sans retenue sur votre corps, il y avait les corps nus, pour la plupart, sur lesquels vos mains pouvaient se promener. Si, si on vous laisse faire, si vous ne connaissez pas vous devez essayer ! Il y a des bites qui viennent se glisser contre vous, et ce soir là aussi il y avait ces bites dans leurs cages.
Un corps venait se coller contre le mien, je ne savais pas qui c'était mais lui savais qui j'étais.
– C'est toi qui l'a fait ton dispositif ? Me demandait-il avant de m'avoir touché.
Son visage s'approchait du mien et dans son oreille.
– Tu le trouves comment ?
Au passage on échangeait un baiser, une caresse suivait, sur sa queue qui était déjà bien relevée et était de belle taille, sur ma cage dans laquelle ma queue protestait avec rage.
Puis on se prenait l'un l'autre dans nos bras, on se caressait, on s'embrassait. Il me saisissait les fesses, mes les écartait, je devinais ses envies, ou ses projets, ça dépend comment on voit les choses.
Nos deux corps glissaient l'un contre l'autre, une main s'aventurait sur mon ventre, il me caressait, elle descendait vers mon sexe, je laissais faire. Il finissait par me tripoter les couilles avec force et conviction. Ce n'était pas de la tendresse, qu'il me proposait mais je laissais faire.
Quelques instants plus tard il me tripotait les couilles avec force, il me faisait un peu mal mais là encore je laissais faire.
– Tu aimes quand ça fait mal ? Me demandait-il.
– Heu, pas trop alors, un peu mais pas trop.
Il rigolait à ma réponse et aussitôt m'écrasait les couilles dans le creux de sa main. Je me contractait mais laissais faire. Il me relâchait, je me détendais, il m'embrassait tendrement et se frottait contre moi.
De nouveau sans prévenir il m'écrasait les couilles, là il me faisait mal, je tentais de repousser sa main mais il ne lâchait pas. Il recommençait ce petit jeux plusieurs fois et n'arrêtait que quand je lui demandait.
– Doucement, vas y doucement.
Là il me retournait, plusieurs autres mains venaient me caresser, je les sentais qui couraient sur tout mon corps. Mon partenaire inconnu me lubrifiait le cul. Là j'ai compris ou il voulait en venir et j'écartais les jambes, je me penchais en avant en m'appuyant contre le mur.
Il faisait glisser son gland entre mes fesses, puis il s'arrêtait, il poussait alors très fort. Il avait bien lubrifié l'animal, et sa queue glissait dans mon cul sans rencontrer trop de résistance. En tout cas ça glissait bien, ça résistait bien un peu, il fallait ouvrir le passage. Si je résistais, c'était sans le vouloir, c'était un réflexe, on forçait le passage les muscles se contractaient.
Mais il était décidé, il forçait. Ça ne résistait pas bien longtemps. Son ventre s'écrasait contre mes fesses avant que j'ai le temps de prendre une grande respiration.
Il était décidé, il poussait plus fort et appuyait contre mon cul. C'était violent mais c'était bon. Ma queue manifestait, elle ne se relevait pas mais elle poussait elle aussi, elle poussait contre les barreaux en plastique de la cage. Il n'y avait que très peu de place pour lui permettre de se développer, elle restait parfaitement confinée. Seules mes couilles se balançaient lourdement d'avant en arrière. Elle pendaient lourdement sous l'effet de la chaleur.
Il faisait chaud, je vous jure, chaleur, chaleur !
Il n'attendait pas avant de se retirer pour mieux revenir, et commençait à ce moment à me limer le cul. Là il me faisait un peu mal, c'est pas que j'aime pas me faire défoncer le cul mais vous savez il faut toujours y aller progressivement. Là il n'avait pas pris la peine de me préparer. Il y était allé d'un coup, sans ménagement.
C'est une grande douleur qui m'envahissait mais rapidement cette douleur se transformait en plaisir, la douleur disparaissait totalement et le plaisir m'envahissait. C'était bon, terriblement bon. Je gémissait de plaisir.
– Tu aimes ça ? Me disait-il.
Il m'a semblé que ce n'était pas une question.
Puis ses coups devenaient plus fort, plus rapide. Il se retirait presque entièrement et revenait à la charge. Il me balançait alors un coup de bassin très rapide et très violent. Sa queue venait s'écraser au fond de ventre. Dans une zone de mon anatomie que je ne soupçonnait même pas.
C'était un peu la panique dans mon ventre mais c'était tellement bon, je ne m'en rendais pas compte mais je jutais. Je jouissais aussi mais ça je m'en rendais compte.
Le plaisir m'envahissait, tout mon corps tremblait, je gémissait et je tremblais. Dans mon dos, le gars me retenait, il me tirait vers lui quand il s'enfonçait en moi, il me repoussait et revenait à la charge, je continuais à juter, je continuais à jouir.
Il me balançait alors quelques coups très violent, là il éjaculait en moi, il prenait son plaisir et ne le cachait pas. Il se serrait alors très fort contre lui. Je sentais sa queue dressée dans mon ventre et je m'abandonnait à mon plaisir.
On ressortait de la Chambre Noire un moment plus tard. C'était le premier tirage au sort.
– Une mains innocente, il me faut une main innocente ! Demandait le patron de la boite.
– C'est pas ici que tu vas trouver ça ! Lui lançait un des clients.
Tout le monde éclatait de rire, mais bon c'est vrai aussi ça. Ou trouver une main innocente dans un tel endroit de débauche ? Un endroit ou entre deux bières on pouvait se faire défoncer le cul, comme ça, juste pour s'occuper ou se faire plaisir.
C'est ce que je venais de faire. Et je pouvais recommencer quand j'aurais envie, personne n'y trouverait rien à redire.
Bon en attendant, il y avait le tirage au sort. Tout le monde s'approchait du gogo, c'est de la que le boss allait procéder.
Il y avait une urne de grande taille, le bras entrait entièrement et celui qui tirerait les billets ne pouvait pas voir lequel il attrapait.
Premier tirage. Le bras du boss disparaissait totalement dans l'urne et en ressortait un petit rouleau de papier, il le donnait au bar man qui avait été nommé volontaire pour vérifier le sérieux du tirage au sort.
Celui-ci déroulait le petit bout de papier.
– Sainte finesse de la fesse d'ange ! Proclamait-il.
Un mec un peu efféminé hurlait !
– C'est moi, c'est moi, j'ai gagné. Wouééé .
Vous avez compris que ce n'était pas son vrai nom, Le petit gars montait sur le gogo, il ne portait pas de dispositif à ce moment. C'était un jeu érotique pour lui, il ne le mettait que de temps en temps.
Il fallait le mettre pour pouvoir le gagner, aussi il se glissait dedans et terminait la soirée entièrement nu avec juste son dispositif céramique sur lui. C'est vrai qu'il était beau, il avait le corps très mince et très élégant. Une peau blanche qui mettait très en valeur le blanc de sa nouvelle cage de chasteté.
– Second tirage ! Hurlait le boss.
C'était le même cérémonial …
– Stephane Bouchet !
– C'est moi, c'est moi, c'est moi ! S'écriait un très beau jeune homme bien bâti.
Il avait les épaules larges et un torse bien musclé. Lui était tout habillé, ça réduisait ses chances de gagner car il n'avait pas de tickets bonus, mais tout le monde avait une chance.
Il retirait tous ses vêtements et lui aussi passait le dispositif, il avait la peau bronzée et le dispositif parfaitement blanc ne ressortait que plus. Lui aussi gagnait en beauté. Il se mettait à danser dans les bras de son compagnon qui ,lui , était resté tout habillé.
Venait ensuite le dernier tirage au sort pour la cage ' Autolock' ! Les cris dans la salle couvrait la voix du boss qui annonçait le grand vainqueur de la soirée. Je n'ai pas vraiment compris pourquoi on parlait du ' Grand Vainqueur ' mais je ne m'en inquiétais pas.
– Charly Chast ! Hurlait le bar man.
Tout le monde se retournait vers moi … Je m'écriais alors …
– Wouééééééééééé ! C'est moi qui ai gagné.
J'avais remis ma clé à l'entrée, il ne fallait que quelques seconde pour que Gill me l'apporte. Je retirais mon dispositif. On me tendait l'anneau de l'autre dispositif, il était exactement à la bonne taille et je l'enfilais sans difficultés. On faisait ça très vite pour éviter une érection, elle aurait été totalement déplacée vous en conviendrez.
J'ajustais bien l'anneau et on me tendait la cage avec sa butée anti évasion . En anglais on dit ' anti pull … ' et je sais plus quoi. J'étais étonné de la sensation de confort, sur ce point elle était très supérieure à la mienne.
– Maintenant tu verrouilles ! Me disait le représentant de la marque.
J'appuyais là ou il me montrait et je verrouillais.
On nous faisait monter tous les trois sur le gogo, on faisait les marioles, on gigotait en montrant bien notre nouveau dispositif de chasteté. Bref on rigolait bien.
Le représentant de la marque prenait la parole.
– Pour bien s'assurer que vous êtes sérieux, on vous enverra la clé directement chez vous, on va pour cela prendre vos coordonnées. Ou alors vous viendrez les chercher ici dans six semaines, c'est vous qui voyez.
On terminait en dansant, les gagnants restaient nus toute la soirée puis la soirée se terminait, en beauté. Je restais toujours impressionné pas la sensation de confort. C'était étonnant et très agréable.
Les semaines avaient passé, les deux autres gagnants avaient reçu leurs clés et moi toujours pas. Presque deux mois plus tard j'en parlait au barman. Il me regardait l'air un peu surpris.
– Mais enfin Charly, tu as gagné le modèle ' Autolock ' me disait-il.
– Et alors ?
– Ce modèle n'as pas de clé, il se ferme mais ne se rouvre pas !
Il me montrait le Flyer de cette soirée, c'était indiquées en toutes lettre. Les détails techniques de chaque modèle étaient expliqués bien en détails. En tout petit, mais c'est toujours comme ça dans les contrats …
Qu'est ce que vous voulez que je réponde ? C'est moi qui avait gagné le gros lot.
Et le dispositif, je le porte toujours … De fait !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'était pas tout à fait par hasard si j'étais venu en boite ce soir là. J'avais vu sur le flyer et il y parlait des dispositifs de chasteté. Soirée Chastity Cage ! Je ne voulais pas louper ça. Il y aurait aussi des cages à gagner si on pouvait la mettre sur place, je décidais donc d'y aller avec ma clé. Histoire de pouvoir retirer ma cage dans le cas ou.
' Si vous êtes tirés au sort, vous le gagnez, vous le mettez et vous le gardez ' … Ils disait le flyer.
Il fallait s'inscrire, et en plus c'était gratos. Le prix de l'inscription était compté dans le prix de l'entrée, il n'y avait pas de supplément.
Je me suis inscrit bien sûr. Ils avaient organisé un système de bonus. On inscrivait son nom sur un ticket et on le mettait dans une urne. Si on avait déjà un dispositif on rajoutait plusieurs tickets, ce qui augmentait les chance gagner. Si on passait la soirée à poil, on avait droit à plusieurs tickets supplémentaires. J'ai eut droit à cinq tickets de plus parce que mon dispositif était original.
Bein oui c'était un modèle unique fait maison. C'est donc très fier de moi que je leur disais.
– C'est moi qui l'ai fait !
Ça les faisait rire.
Je faisais ma star, je n'avais gardé que les chaussures, je montait sur le gogo, je faisais le fou. Il y avait des mains un peu partout qui me touchaient, me caressaient les couilles, me les tripotaient. Là je ne laissais pas toujours faire, il y en a qui font mal, ils vous pincent.
Je me souviens de slows d'une tendresse incroyable, mon partenaire portait lui aussi un dispositif de chasteté, il était nu lui aussi mais il n'était pas inscrit.
Il avait un magnifique modèle céramique. C'était un modèle en titane, il était blanc et son contact était particulièrement doux. Je le sentais il bandais, moi aussi je bandais mais mon dispositif fait maison confinait également parfaitement ma queue, on ne voyait rien sinon que la cage était bien pleine.
Mon dispositif avait un certain succès, toute la petite troupe qui organisait la soirée s'y intéressait et ils passaient tous les uns après les autres pour me tâter les couilles. Ils sont joueurs tout de même. Il y avait trois cages à gagnée, deux modèles céramique et le fameux modèle ' Autolock '. Il était magnifique, il avait des boucliers qui permettait de changer son aspect.
La soirée battait son plein. Un quart des clients étaient à poil. C'était pas une soirée naturiste au départ mais on avait presque fini par arriver. Il y en avait avec des toutes petite bite d'autre bien plus grosse, certaines se relevaient, d'autres pendaient et parfois même lourdement.
Et il y avait la Black Room, d'ailleurs sur ce sujet je n'ai jamais réussi à retenir s'il faut dire Black Room ou Back Room, en effet ces salles sont généralement à l'arrière, au fond, de la boite de nuit et il y fait toujours noir. S'il y en a qui ont une idée sur le sujet …
Bref il y avait la Black Room, là c'est vrai qu'on ne voyait plus rien mais il y avait des mains qui se promenaient sans retenue sur votre corps, il y avait les corps nus, pour la plupart, sur lesquels vos mains pouvaient se promener. Si, si on vous laisse faire, si vous ne connaissez pas vous devez essayer ! Il y a des bites qui viennent se glisser contre vous, et ce soir là aussi il y avait ces bites dans leurs cages.
Un corps venait se coller contre le mien, je ne savais pas qui c'était mais lui savais qui j'étais.
– C'est toi qui l'a fait ton dispositif ? Me demandait-il avant de m'avoir touché.
Son visage s'approchait du mien et dans son oreille.
– Tu le trouves comment ?
Au passage on échangeait un baiser, une caresse suivait, sur sa queue qui était déjà bien relevée et était de belle taille, sur ma cage dans laquelle ma queue protestait avec rage.
Puis on se prenait l'un l'autre dans nos bras, on se caressait, on s'embrassait. Il me saisissait les fesses, mes les écartait, je devinais ses envies, ou ses projets, ça dépend comment on voit les choses.
Nos deux corps glissaient l'un contre l'autre, une main s'aventurait sur mon ventre, il me caressait, elle descendait vers mon sexe, je laissais faire. Il finissait par me tripoter les couilles avec force et conviction. Ce n'était pas de la tendresse, qu'il me proposait mais je laissais faire.
Quelques instants plus tard il me tripotait les couilles avec force, il me faisait un peu mal mais là encore je laissais faire.
– Tu aimes quand ça fait mal ? Me demandait-il.
– Heu, pas trop alors, un peu mais pas trop.
Il rigolait à ma réponse et aussitôt m'écrasait les couilles dans le creux de sa main. Je me contractait mais laissais faire. Il me relâchait, je me détendais, il m'embrassait tendrement et se frottait contre moi.
De nouveau sans prévenir il m'écrasait les couilles, là il me faisait mal, je tentais de repousser sa main mais il ne lâchait pas. Il recommençait ce petit jeux plusieurs fois et n'arrêtait que quand je lui demandait.
– Doucement, vas y doucement.
Là il me retournait, plusieurs autres mains venaient me caresser, je les sentais qui couraient sur tout mon corps. Mon partenaire inconnu me lubrifiait le cul. Là j'ai compris ou il voulait en venir et j'écartais les jambes, je me penchais en avant en m'appuyant contre le mur.
Il faisait glisser son gland entre mes fesses, puis il s'arrêtait, il poussait alors très fort. Il avait bien lubrifié l'animal, et sa queue glissait dans mon cul sans rencontrer trop de résistance. En tout cas ça glissait bien, ça résistait bien un peu, il fallait ouvrir le passage. Si je résistais, c'était sans le vouloir, c'était un réflexe, on forçait le passage les muscles se contractaient.
Mais il était décidé, il forçait. Ça ne résistait pas bien longtemps. Son ventre s'écrasait contre mes fesses avant que j'ai le temps de prendre une grande respiration.
Il était décidé, il poussait plus fort et appuyait contre mon cul. C'était violent mais c'était bon. Ma queue manifestait, elle ne se relevait pas mais elle poussait elle aussi, elle poussait contre les barreaux en plastique de la cage. Il n'y avait que très peu de place pour lui permettre de se développer, elle restait parfaitement confinée. Seules mes couilles se balançaient lourdement d'avant en arrière. Elle pendaient lourdement sous l'effet de la chaleur.
Il faisait chaud, je vous jure, chaleur, chaleur !
Il n'attendait pas avant de se retirer pour mieux revenir, et commençait à ce moment à me limer le cul. Là il me faisait un peu mal, c'est pas que j'aime pas me faire défoncer le cul mais vous savez il faut toujours y aller progressivement. Là il n'avait pas pris la peine de me préparer. Il y était allé d'un coup, sans ménagement.
C'est une grande douleur qui m'envahissait mais rapidement cette douleur se transformait en plaisir, la douleur disparaissait totalement et le plaisir m'envahissait. C'était bon, terriblement bon. Je gémissait de plaisir.
– Tu aimes ça ? Me disait-il.
Il m'a semblé que ce n'était pas une question.
Puis ses coups devenaient plus fort, plus rapide. Il se retirait presque entièrement et revenait à la charge. Il me balançait alors un coup de bassin très rapide et très violent. Sa queue venait s'écraser au fond de ventre. Dans une zone de mon anatomie que je ne soupçonnait même pas.
C'était un peu la panique dans mon ventre mais c'était tellement bon, je ne m'en rendais pas compte mais je jutais. Je jouissais aussi mais ça je m'en rendais compte.
Le plaisir m'envahissait, tout mon corps tremblait, je gémissait et je tremblais. Dans mon dos, le gars me retenait, il me tirait vers lui quand il s'enfonçait en moi, il me repoussait et revenait à la charge, je continuais à juter, je continuais à jouir.
Il me balançait alors quelques coups très violent, là il éjaculait en moi, il prenait son plaisir et ne le cachait pas. Il se serrait alors très fort contre lui. Je sentais sa queue dressée dans mon ventre et je m'abandonnait à mon plaisir.
On ressortait de la Chambre Noire un moment plus tard. C'était le premier tirage au sort.
– Une mains innocente, il me faut une main innocente ! Demandait le patron de la boite.
– C'est pas ici que tu vas trouver ça ! Lui lançait un des clients.
Tout le monde éclatait de rire, mais bon c'est vrai aussi ça. Ou trouver une main innocente dans un tel endroit de débauche ? Un endroit ou entre deux bières on pouvait se faire défoncer le cul, comme ça, juste pour s'occuper ou se faire plaisir.
C'est ce que je venais de faire. Et je pouvais recommencer quand j'aurais envie, personne n'y trouverait rien à redire.
Bon en attendant, il y avait le tirage au sort. Tout le monde s'approchait du gogo, c'est de la que le boss allait procéder.
Il y avait une urne de grande taille, le bras entrait entièrement et celui qui tirerait les billets ne pouvait pas voir lequel il attrapait.
Premier tirage. Le bras du boss disparaissait totalement dans l'urne et en ressortait un petit rouleau de papier, il le donnait au bar man qui avait été nommé volontaire pour vérifier le sérieux du tirage au sort.
Celui-ci déroulait le petit bout de papier.
– Sainte finesse de la fesse d'ange ! Proclamait-il.
Un mec un peu efféminé hurlait !
– C'est moi, c'est moi, j'ai gagné. Wouééé .
Vous avez compris que ce n'était pas son vrai nom, Le petit gars montait sur le gogo, il ne portait pas de dispositif à ce moment. C'était un jeu érotique pour lui, il ne le mettait que de temps en temps.
Il fallait le mettre pour pouvoir le gagner, aussi il se glissait dedans et terminait la soirée entièrement nu avec juste son dispositif céramique sur lui. C'est vrai qu'il était beau, il avait le corps très mince et très élégant. Une peau blanche qui mettait très en valeur le blanc de sa nouvelle cage de chasteté.
– Second tirage ! Hurlait le boss.
C'était le même cérémonial …
– Stephane Bouchet !
– C'est moi, c'est moi, c'est moi ! S'écriait un très beau jeune homme bien bâti.
Il avait les épaules larges et un torse bien musclé. Lui était tout habillé, ça réduisait ses chances de gagner car il n'avait pas de tickets bonus, mais tout le monde avait une chance.
Il retirait tous ses vêtements et lui aussi passait le dispositif, il avait la peau bronzée et le dispositif parfaitement blanc ne ressortait que plus. Lui aussi gagnait en beauté. Il se mettait à danser dans les bras de son compagnon qui ,lui , était resté tout habillé.
Venait ensuite le dernier tirage au sort pour la cage ' Autolock' ! Les cris dans la salle couvrait la voix du boss qui annonçait le grand vainqueur de la soirée. Je n'ai pas vraiment compris pourquoi on parlait du ' Grand Vainqueur ' mais je ne m'en inquiétais pas.
– Charly Chast ! Hurlait le bar man.
Tout le monde se retournait vers moi … Je m'écriais alors …
– Wouééééééééééé ! C'est moi qui ai gagné.
J'avais remis ma clé à l'entrée, il ne fallait que quelques seconde pour que Gill me l'apporte. Je retirais mon dispositif. On me tendait l'anneau de l'autre dispositif, il était exactement à la bonne taille et je l'enfilais sans difficultés. On faisait ça très vite pour éviter une érection, elle aurait été totalement déplacée vous en conviendrez.
J'ajustais bien l'anneau et on me tendait la cage avec sa butée anti évasion . En anglais on dit ' anti pull … ' et je sais plus quoi. J'étais étonné de la sensation de confort, sur ce point elle était très supérieure à la mienne.
– Maintenant tu verrouilles ! Me disait le représentant de la marque.
J'appuyais là ou il me montrait et je verrouillais.
On nous faisait monter tous les trois sur le gogo, on faisait les marioles, on gigotait en montrant bien notre nouveau dispositif de chasteté. Bref on rigolait bien.
Le représentant de la marque prenait la parole.
– Pour bien s'assurer que vous êtes sérieux, on vous enverra la clé directement chez vous, on va pour cela prendre vos coordonnées. Ou alors vous viendrez les chercher ici dans six semaines, c'est vous qui voyez.
On terminait en dansant, les gagnants restaient nus toute la soirée puis la soirée se terminait, en beauté. Je restais toujours impressionné pas la sensation de confort. C'était étonnant et très agréable.
Les semaines avaient passé, les deux autres gagnants avaient reçu leurs clés et moi toujours pas. Presque deux mois plus tard j'en parlait au barman. Il me regardait l'air un peu surpris.
– Mais enfin Charly, tu as gagné le modèle ' Autolock ' me disait-il.
– Et alors ?
– Ce modèle n'as pas de clé, il se ferme mais ne se rouvre pas !
Il me montrait le Flyer de cette soirée, c'était indiquées en toutes lettre. Les détails techniques de chaque modèle étaient expliqués bien en détails. En tout petit, mais c'est toujours comme ça dans les contrats …
Qu'est ce que vous voulez que je réponde ? C'est moi qui avait gagné le gros lot.
Et le dispositif, je le porte toujours … De fait !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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