SURPRIS PAR SA FEMME
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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SURPRIS PAR SA FEMME
SURPRIS PAR SA FEMME
C'est une histoire triste que je vais vous raconter, un drame de la vie ordinaire qui pourrait arriver à chacun d'entre nous … Enfin non pas à moi ! Mais ça pourrait vous arriver, surveillez ce qui se passe autour de vous quand vous me lisez sur l'Internet … Enfin n'allez pas devenir parano non plus.
Voilà …
Il y a quelques jours un lecteur me contactait. Il avait l'air sympa, il me racontait qu'il me lisait régulièrement depuis quelques temps maintenant et que souvent il continuait en se masturbant … J'en entend qui vont s'exclamer '' Bah c'est du propre ! ''.
Mais enfin ! C'est le but ! …
Bref, il s'amusait gentiment sans déranger personne, même pas les voisins. Il me parlait de certains textes qui l'avait particulièrement amusé ou excité. Il est marié le mec mais comme il me disait, ' Avec Bobonne c'est pas tous les jours les grands soirs '. Après plusieurs années de mariage c'est même devenu rare … Comme je vous disais, c'est un drame de la vie ordinaire.
Donc l'autre soir, il était seul chez lui, bobonne … heu pardon, sa femme était à son club de tricot. Lui donc il était peinard, les doigts de pied en éventail devant la télé. Et il lisait un de mes textes. Je ne sais pas lequel c'était, il ne me l'a pas dit ou alors j'ai oublié, mais c'est pas ça le problème.
L'histoire devenait chaude, il s'était laissé aller. Il avait ouvert en large son pantalon, sorti sa bitte et ses couilles et il se tripotait la bite. Rapidement il bandait, il crachait dans sa main et se caressait le gland avec à la fois force et douceur. Il gémissait de plaisir, et rapidement tremblait de tout son corps.
Avec bobonne, ça faisait quelques temps qu'il n'avait droit qu'à une chose … ceinture. Alors à voir comment il était parti il avait décidé d'en profiter, sa femme ne devait pas entrer avant tard dans la soirée. En général elle ne revenait pas avant dix heures trente, il s'était déjà demandé quelquefois si elle n'était pas avec son amant. C'est vrai quoi, elle avait peut être un amant.
Enfin lui, ce soir là, il se ferait plaisir. Il prenait bien son temps, il avait décidé de ne pas se presser. Il refermait sa main sur sa queue, ne bougeait plus il lisait encore quelques lignes puis se masturbait de nouveau.
Il laissait monter le plaisir. Il ne me cachait pas que mon texte lui chauffait la cervelle et qu'il aurait largement suffi pour le faire bander. Il se frictionnait le manche lentement puis plus vite, quand il sentait que le plaisir montait et qu'il risquait de lâcher la sauce il ralentissait, il refermait sa mains avec force et surtout ne bougeait plus.
Il terminait un texte, c'est vrai qu'ils ne sont pas très longs, et il enchaînait sur la suite, un seconde texte. Il était chaud aussi, et si le plus souvent l'histoire commence tout tranquillement, ça fini toujours par dégénérer. Remarquez pour une fois, ce jour là ça n'allait pas dégénérer uniquement dans mon histoire.
Il se masturbait de nouveau et le plaisir montait haut cette fois-ci, très haut. Il faisait une dernière tentative pour se contrôler et faire durer le plaisir plus longtemps. Il refermait sa main sur sa queue avec force, il ne respirait même plus, il tremblait déjà de plaisir, il faisait une grimace terrible quand …
– ALORS C'EST À ÇA QUE TU JOUES QUAND JE NE SUIS PAS LÀ ?
C'était Bobonne, c'était sa femme qui était rentré et qu'il n'avait pas entendu venir. Le plaisir continuait à monter et là il ne contrôlait plus rien, il a éjaculé, il a éjaculé avec force. Bobonne était juste derrière lui, elle a reçu quelques goûtes sur la joue, et peut être ailleurs aussi, le plus gros de la giclée a atterri sur le dossier du canapé.
Le pauvre se tordait de plaisir, il manquait d'air, la situation lui échappait il éjaculait de nouveau, bobonne hurlait et ne cachait pas son indignation. Et encore, une troisième fois. Il refermait sa mains avec force mais c'en était à se demander si c'était vraiment efficace comme truc il éjaculait encore deux fois avant de se calmer.
Bobonne avait disparu mais il l'entendait encore hurler.
– JE N'ARRIVE PAS À Y CROIRE. TU ME DÉGOÛTES TU SAIS. TU ME DÉGOÛTES.
Le pauvre était amoureux, et en plus après l'orgasme, il était sous les effets des endorphines, il aurait du se sentir gêné mais là il était content, ça ne se contrôle pas. Il reprenait ses esprits, regardait l'étendue des dégâts, nettoyait partout ou il avait giclé avec des serviettes en papier.
Quand il revenait, Bobonne … Au fait je me demande si c'était le nom de sa femme, je n'en suis pas sûr ? Mais bon j'ai commencé à l'appeler comme ça et le plus simple est de continuer …
Bobonne, donc, était en train de lite le texte sur l'écran quand notre amis qu'on va appeler Robert par souci de simplicité et de discrétion. Là par contre je sais qu'il ne s'appelle pas Robert.
Robert revenait, il avait remonté son pantalon, je vous rassure, et en plus il ne bandait même plus. Il voyait le visage rouge de colère de Bobonne qui lisait le texte, par moment elle sursautait, relevait la tête et lui lançait un regard tueur.
– Tu sais chérie …– Ah ne m'appelle pas chérie, tu me dégoûtes. Je ne sais même plus avec qui ou avec quoi je suis mariée …– Je suis un homme, c'est tout. Et les hommes on des besoins, tu devrais aussi … Disait-il en approchant.
– Ne m'approche pas ou je hurle. Je vais me coucher, toi tu peux faire ce que tu veux !
Elle se levait et allait directement dans la chambre. Il la suivait, entrait dans la chambre mais en ressortait tout de suite, elle hurlait comme une folle. Elle lui lançait son oreiller et c'est donc avec l'oreiller sous un bras et une couverture sous l'autre qu'il revenait à son canapé.
Bon là il râlait. C'est vrai quoi on le comprend. Sa femme se refusait à lui sous prétexte qu'il ne pensait qu'à ça … Elle se refusait à lui d'ailleurs depuis quelques mois. Remarquez au bout de quelques mois, s'il ne pensait qu'à ça, c'était un peu normal.
C'est donc en ronchonnant qu'il s'installait, il n'arrivait pas à dormir aussi il reprenait sa lecture. C'est aussi la première fois qu'il m'a contacté. Je réponds toujours à mon courrier, normal.
Mais que pouvais-je lui dire à notre pauvre Robert ? Elle lui en a fait voir, je ne vous raconte pas … Enfin si, bien sûr je vais vous raconter … Donc dans un premier temps elle l'a laissé dormir sur le canapé. Il m'a dit que finalement c'était pas plus désagréable. Bein oui dormir seul ou dormir avec quelqu'un qui vous attire physiquement et que vous n'avez pas le droit de toucher … Et bien il semblerait qu'on dorme mieux tout seul.
Donc notre ami Rober dormait bien. Il se branlait mais pas toujours en me lisant, par contre en me lisant, toujours.
Un jour il revenait du travail et il trouvait un petit colis sur la table du salon, il y avait son nom marqué dessus. A la maison il n'y avait personne, il faisait le tour du propriétaire, il était seul. Il m'a raconté qu'il sentait que quelque chose se passait. Il n'avait alors aucune idée de ce qui se tramais mais quand il venait s'asseoir sur le canapé, il faisait le tour de la table de salon en regardant de travers le petit colis qu'il trouvait suspect finalement.
La présence de ce petit paquet n'était pas normal, il était arrivé par la poste, il était à son nom mais pourtant il n'avait rien commandé. Toujours en le regardant de travers il le prenait dans la main, il réfléchissait un instant avant de l'ouvrir.
C'était une petite boite en carton qui contenait un sachet en papier. Il le déchirait et là il restait sans voix. Il a tout de suite reconnu l'objet, c'était un dispositif de chasteté de grande marque. Un truc qui n'était pas donné en plus, garanti très confortable et qui pouvait être porté en permanence …
Il n'y croyait pas, il regardait le dispositif, et bandait. De nombreuses question se bousculaient dans sa tête.
Il est pas un peu trop petit ce truc ?
Mais elle est pas bien ?
Ça ne lui suffit pas de me virer de son lit, enfin de notre lit ?
Elle va pas bien !
…
Bon là c'était pas une question mais. Il bandait, il bandait bien même et , comme il était tout seul, il se décidait … et se masturbait. Juste un petit peu se disait-il, histoire de lâcher la sauce. '' Après je me sentirais mieux ! ''. Se souvenant de la dernière fois il prenait soin de verrouiller la porte de l'intérieur. Sa femme serait obligée de sonner, il l'entendrait venir !
Il bandait et se masturbait discrètement, il jetais un œil sur la notice, il y avait une notice en plus, qui donnait les conseils comme la taille que devait avoir le pénis pour pouvoir entrer dans le dispositif. Ça correspondait à ses mensurations … Il aurait jugé le truc un peu trop petit.
Il continuait à se masturber avec toujours autant de distractions, la lecture du mode d'emploi, ça distrait … Mais par moment il y mettait un peu plus de conviction. Il avait fini par lire tout le mode d'emploi, une page remarquez c'était assez court, et là il se concentrait sur ce qu'il faisait … Sa branlette.
Régulièrement il crachait dans sa main et s'astiquait bien le manche, il insistait par moment sur son gland, très sensible. Et quand il refermait sa main avec force sur son gland, c'est un frisson qui parcourait toute sa colonne vertébrale depuis le haut jusqu'en bas.
Il bandait ferme, ses yeux passaient du dispositif, à sa bite. Il lui semblait toujours que le dispositif était petit mais c'est vrai que là il était au sommet de sa forme.
Il sentait déjà les prémices du plaisir, là il ne se retenait plus, il respirait plus fort, il venait de décider qu'il se ferait plaisir, que ça serait top.
Et quand il a juté, c'était top. Il a pris un plaisir rare, il regardait l'heure, ça faisait plus d'une demie heure qu'il était là à se branler. Son ventre était recouvert de sperme, mais prévoyant qu'il était il avait un paquet de mouchoir en papier à portée de main. Il s'essuyait et reprenait son souffle.
Le dispositif l'intriguait toujours, il le manipulait, retirait la cage, la remettait, faisait jouer le cadenas … Tout semblait bien fonctionner. Il passait ses couilles dans l'anneau, juste pour voir …
Là il remarquait une feuille de papier qu'il y avait au fond du paquet ... C'était une note de Bobonne.
' Tu me dégoutes !
Si tu veux continuer à vivre avec moi tu va mettre ce dispositif, tu vas le refermer, bien le verrouiller et tu remarqueras que je ne te demande pas ton avis.
Sinon … Je divorse ! '
'' Ah ouai quand même ! '' . Se disait-il dans sa tête. Un instant il envisageait la dernière option proposée. Il se disait qu'ils étaient mariés sous contrat donc c'était une option intéressante, mais c'était finalement la curiosité qui l''emportait.
Là il ne bandait plus du tout.
Il glissait sa queue qui était toute molle maintenant, il pensait qu'il pourrait toujours dire à Bobonne qu'il ne voulait pas mais qu'il cédait à sa menace, qu'il ne voulait pas divorcer, qu'il ne voulait pas qu'elle le quitte … Et en même temps il prenait lentement conscience que finalement il ne l'aimait pas tant que ça.
Il glissait, non sans mal, sa queue dans la cage. Il n'avait pas l'habitude, c'était nouveau tout ça et tellement inattendu. Sa queue, bien que toute molle prenait toute la place. En fait elle n'avait pas totalement dégonflé, elle était toute molle mais encore un peu gonflée.
Il s'imaginait devant Bobonne en train de quémander sa pitié, de quémander un peu de clémence, ça donnerait le change. En fait il m'a expliqué que la curiosité était la plus forte, qu'il voulait faire cette expérience, surtout depuis qu'il avait le petit dispositif devant les yeux.
Par contre il n'accepterait jamais de l'avouer à sa femme, il préférait lui faire croire qu'il se soumettait sous la contrainte. Peut être que si elle ne voulait pas le libérer, quelques semaines plus tard, il le regretterait. Mais pour le moment il avait sa queue dans une cage de chasteté et il commençait à bander.
Il verrouillait l'ensemble !
Il avait fait ce dernier geste mécaniquement, sans y penser, sans réagir. Ensuite il avait filé dans la salle de bain pour voir en plan large ce que ça donnait dans le miroir. Quand il est revenu, il était toujours à poil et Bobonne était là au milieu du salon, elle avait les clés du dispositif dans la main. Elle avait finalement réussi à rentrer sans faire de bruit, et sur le coup il ne se posait pas de questions.
Il tombait à ses pied et l'implorait.
– Rend moi la clé, j'ai juste voulu essayer, je ne veux pas le garder. Je t'en supplie, je ferai tout ce que tu voudras.
– Je veux juste que tu arrêtes tes cochonneries, tu es marié maintenant, tu as une femme !
– Oui bein là, je ne vois pas trop la différence, ces derniers mois c'était pas la grande fête tous les jours.
– Et tu arrêtes de ronchonner . Puisque c'est comme ça tu garderas ce truc au moins un mois.
Là il se disait qu'elle ne rigolait pas, c'est vrai que depuis quelques temps c'est lui qui ne rigolait pas mais ça risquait de continuer. Heureusement, le dispositif était en plastique.
Il m'a contacté une semaine plus tard.
– Mais je fais quoi maintenant. Au début c'est rigolo mais … Je te jure Charly, au bout d'une semaine, beaucoup moins.
– Enfin ce jeux, c'est toi qui a voulu y jouer, personne ne t'a forcé. C'est pas ma faute. Et puis tu me disais que ton truc est en plastique. Ça résiste trois seconde avec une pince coupante …– Oui, c'est ce que je pensais, mais il n'est pas en plastique. Bobonne a acheté un truc haut de gamme, il est en titane, le plastique c'est juste une impression, un traitement de surface, je ne sais pas quoi … Le dispositif est indestructible ! Je fais quoi moi maintenant ? Je fais quoi ?
Je me demande s'il en rajoutait pas un peu, mais c'est pas moi qui le lui avait mis son truc …
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'est une histoire triste que je vais vous raconter, un drame de la vie ordinaire qui pourrait arriver à chacun d'entre nous … Enfin non pas à moi ! Mais ça pourrait vous arriver, surveillez ce qui se passe autour de vous quand vous me lisez sur l'Internet … Enfin n'allez pas devenir parano non plus.
Voilà …
Il y a quelques jours un lecteur me contactait. Il avait l'air sympa, il me racontait qu'il me lisait régulièrement depuis quelques temps maintenant et que souvent il continuait en se masturbant … J'en entend qui vont s'exclamer '' Bah c'est du propre ! ''.
Mais enfin ! C'est le but ! …
Bref, il s'amusait gentiment sans déranger personne, même pas les voisins. Il me parlait de certains textes qui l'avait particulièrement amusé ou excité. Il est marié le mec mais comme il me disait, ' Avec Bobonne c'est pas tous les jours les grands soirs '. Après plusieurs années de mariage c'est même devenu rare … Comme je vous disais, c'est un drame de la vie ordinaire.
Donc l'autre soir, il était seul chez lui, bobonne … heu pardon, sa femme était à son club de tricot. Lui donc il était peinard, les doigts de pied en éventail devant la télé. Et il lisait un de mes textes. Je ne sais pas lequel c'était, il ne me l'a pas dit ou alors j'ai oublié, mais c'est pas ça le problème.
L'histoire devenait chaude, il s'était laissé aller. Il avait ouvert en large son pantalon, sorti sa bitte et ses couilles et il se tripotait la bite. Rapidement il bandait, il crachait dans sa main et se caressait le gland avec à la fois force et douceur. Il gémissait de plaisir, et rapidement tremblait de tout son corps.
Avec bobonne, ça faisait quelques temps qu'il n'avait droit qu'à une chose … ceinture. Alors à voir comment il était parti il avait décidé d'en profiter, sa femme ne devait pas entrer avant tard dans la soirée. En général elle ne revenait pas avant dix heures trente, il s'était déjà demandé quelquefois si elle n'était pas avec son amant. C'est vrai quoi, elle avait peut être un amant.
Enfin lui, ce soir là, il se ferait plaisir. Il prenait bien son temps, il avait décidé de ne pas se presser. Il refermait sa main sur sa queue, ne bougeait plus il lisait encore quelques lignes puis se masturbait de nouveau.
Il laissait monter le plaisir. Il ne me cachait pas que mon texte lui chauffait la cervelle et qu'il aurait largement suffi pour le faire bander. Il se frictionnait le manche lentement puis plus vite, quand il sentait que le plaisir montait et qu'il risquait de lâcher la sauce il ralentissait, il refermait sa mains avec force et surtout ne bougeait plus.
Il terminait un texte, c'est vrai qu'ils ne sont pas très longs, et il enchaînait sur la suite, un seconde texte. Il était chaud aussi, et si le plus souvent l'histoire commence tout tranquillement, ça fini toujours par dégénérer. Remarquez pour une fois, ce jour là ça n'allait pas dégénérer uniquement dans mon histoire.
Il se masturbait de nouveau et le plaisir montait haut cette fois-ci, très haut. Il faisait une dernière tentative pour se contrôler et faire durer le plaisir plus longtemps. Il refermait sa main sur sa queue avec force, il ne respirait même plus, il tremblait déjà de plaisir, il faisait une grimace terrible quand …
– ALORS C'EST À ÇA QUE TU JOUES QUAND JE NE SUIS PAS LÀ ?
C'était Bobonne, c'était sa femme qui était rentré et qu'il n'avait pas entendu venir. Le plaisir continuait à monter et là il ne contrôlait plus rien, il a éjaculé, il a éjaculé avec force. Bobonne était juste derrière lui, elle a reçu quelques goûtes sur la joue, et peut être ailleurs aussi, le plus gros de la giclée a atterri sur le dossier du canapé.
Le pauvre se tordait de plaisir, il manquait d'air, la situation lui échappait il éjaculait de nouveau, bobonne hurlait et ne cachait pas son indignation. Et encore, une troisième fois. Il refermait sa mains avec force mais c'en était à se demander si c'était vraiment efficace comme truc il éjaculait encore deux fois avant de se calmer.
Bobonne avait disparu mais il l'entendait encore hurler.
– JE N'ARRIVE PAS À Y CROIRE. TU ME DÉGOÛTES TU SAIS. TU ME DÉGOÛTES.
Le pauvre était amoureux, et en plus après l'orgasme, il était sous les effets des endorphines, il aurait du se sentir gêné mais là il était content, ça ne se contrôle pas. Il reprenait ses esprits, regardait l'étendue des dégâts, nettoyait partout ou il avait giclé avec des serviettes en papier.
Quand il revenait, Bobonne … Au fait je me demande si c'était le nom de sa femme, je n'en suis pas sûr ? Mais bon j'ai commencé à l'appeler comme ça et le plus simple est de continuer …
Bobonne, donc, était en train de lite le texte sur l'écran quand notre amis qu'on va appeler Robert par souci de simplicité et de discrétion. Là par contre je sais qu'il ne s'appelle pas Robert.
Robert revenait, il avait remonté son pantalon, je vous rassure, et en plus il ne bandait même plus. Il voyait le visage rouge de colère de Bobonne qui lisait le texte, par moment elle sursautait, relevait la tête et lui lançait un regard tueur.
– Tu sais chérie …– Ah ne m'appelle pas chérie, tu me dégoûtes. Je ne sais même plus avec qui ou avec quoi je suis mariée …– Je suis un homme, c'est tout. Et les hommes on des besoins, tu devrais aussi … Disait-il en approchant.
– Ne m'approche pas ou je hurle. Je vais me coucher, toi tu peux faire ce que tu veux !
Elle se levait et allait directement dans la chambre. Il la suivait, entrait dans la chambre mais en ressortait tout de suite, elle hurlait comme une folle. Elle lui lançait son oreiller et c'est donc avec l'oreiller sous un bras et une couverture sous l'autre qu'il revenait à son canapé.
Bon là il râlait. C'est vrai quoi on le comprend. Sa femme se refusait à lui sous prétexte qu'il ne pensait qu'à ça … Elle se refusait à lui d'ailleurs depuis quelques mois. Remarquez au bout de quelques mois, s'il ne pensait qu'à ça, c'était un peu normal.
C'est donc en ronchonnant qu'il s'installait, il n'arrivait pas à dormir aussi il reprenait sa lecture. C'est aussi la première fois qu'il m'a contacté. Je réponds toujours à mon courrier, normal.
Mais que pouvais-je lui dire à notre pauvre Robert ? Elle lui en a fait voir, je ne vous raconte pas … Enfin si, bien sûr je vais vous raconter … Donc dans un premier temps elle l'a laissé dormir sur le canapé. Il m'a dit que finalement c'était pas plus désagréable. Bein oui dormir seul ou dormir avec quelqu'un qui vous attire physiquement et que vous n'avez pas le droit de toucher … Et bien il semblerait qu'on dorme mieux tout seul.
Donc notre ami Rober dormait bien. Il se branlait mais pas toujours en me lisant, par contre en me lisant, toujours.
Un jour il revenait du travail et il trouvait un petit colis sur la table du salon, il y avait son nom marqué dessus. A la maison il n'y avait personne, il faisait le tour du propriétaire, il était seul. Il m'a raconté qu'il sentait que quelque chose se passait. Il n'avait alors aucune idée de ce qui se tramais mais quand il venait s'asseoir sur le canapé, il faisait le tour de la table de salon en regardant de travers le petit colis qu'il trouvait suspect finalement.
La présence de ce petit paquet n'était pas normal, il était arrivé par la poste, il était à son nom mais pourtant il n'avait rien commandé. Toujours en le regardant de travers il le prenait dans la main, il réfléchissait un instant avant de l'ouvrir.
C'était une petite boite en carton qui contenait un sachet en papier. Il le déchirait et là il restait sans voix. Il a tout de suite reconnu l'objet, c'était un dispositif de chasteté de grande marque. Un truc qui n'était pas donné en plus, garanti très confortable et qui pouvait être porté en permanence …
Il n'y croyait pas, il regardait le dispositif, et bandait. De nombreuses question se bousculaient dans sa tête.
Il est pas un peu trop petit ce truc ?
Mais elle est pas bien ?
Ça ne lui suffit pas de me virer de son lit, enfin de notre lit ?
Elle va pas bien !
…
Bon là c'était pas une question mais. Il bandait, il bandait bien même et , comme il était tout seul, il se décidait … et se masturbait. Juste un petit peu se disait-il, histoire de lâcher la sauce. '' Après je me sentirais mieux ! ''. Se souvenant de la dernière fois il prenait soin de verrouiller la porte de l'intérieur. Sa femme serait obligée de sonner, il l'entendrait venir !
Il bandait et se masturbait discrètement, il jetais un œil sur la notice, il y avait une notice en plus, qui donnait les conseils comme la taille que devait avoir le pénis pour pouvoir entrer dans le dispositif. Ça correspondait à ses mensurations … Il aurait jugé le truc un peu trop petit.
Il continuait à se masturber avec toujours autant de distractions, la lecture du mode d'emploi, ça distrait … Mais par moment il y mettait un peu plus de conviction. Il avait fini par lire tout le mode d'emploi, une page remarquez c'était assez court, et là il se concentrait sur ce qu'il faisait … Sa branlette.
Régulièrement il crachait dans sa main et s'astiquait bien le manche, il insistait par moment sur son gland, très sensible. Et quand il refermait sa main avec force sur son gland, c'est un frisson qui parcourait toute sa colonne vertébrale depuis le haut jusqu'en bas.
Il bandait ferme, ses yeux passaient du dispositif, à sa bite. Il lui semblait toujours que le dispositif était petit mais c'est vrai que là il était au sommet de sa forme.
Il sentait déjà les prémices du plaisir, là il ne se retenait plus, il respirait plus fort, il venait de décider qu'il se ferait plaisir, que ça serait top.
Et quand il a juté, c'était top. Il a pris un plaisir rare, il regardait l'heure, ça faisait plus d'une demie heure qu'il était là à se branler. Son ventre était recouvert de sperme, mais prévoyant qu'il était il avait un paquet de mouchoir en papier à portée de main. Il s'essuyait et reprenait son souffle.
Le dispositif l'intriguait toujours, il le manipulait, retirait la cage, la remettait, faisait jouer le cadenas … Tout semblait bien fonctionner. Il passait ses couilles dans l'anneau, juste pour voir …
Là il remarquait une feuille de papier qu'il y avait au fond du paquet ... C'était une note de Bobonne.
' Tu me dégoutes !
Si tu veux continuer à vivre avec moi tu va mettre ce dispositif, tu vas le refermer, bien le verrouiller et tu remarqueras que je ne te demande pas ton avis.
Sinon … Je divorse ! '
'' Ah ouai quand même ! '' . Se disait-il dans sa tête. Un instant il envisageait la dernière option proposée. Il se disait qu'ils étaient mariés sous contrat donc c'était une option intéressante, mais c'était finalement la curiosité qui l''emportait.
Là il ne bandait plus du tout.
Il glissait sa queue qui était toute molle maintenant, il pensait qu'il pourrait toujours dire à Bobonne qu'il ne voulait pas mais qu'il cédait à sa menace, qu'il ne voulait pas divorcer, qu'il ne voulait pas qu'elle le quitte … Et en même temps il prenait lentement conscience que finalement il ne l'aimait pas tant que ça.
Il glissait, non sans mal, sa queue dans la cage. Il n'avait pas l'habitude, c'était nouveau tout ça et tellement inattendu. Sa queue, bien que toute molle prenait toute la place. En fait elle n'avait pas totalement dégonflé, elle était toute molle mais encore un peu gonflée.
Il s'imaginait devant Bobonne en train de quémander sa pitié, de quémander un peu de clémence, ça donnerait le change. En fait il m'a expliqué que la curiosité était la plus forte, qu'il voulait faire cette expérience, surtout depuis qu'il avait le petit dispositif devant les yeux.
Par contre il n'accepterait jamais de l'avouer à sa femme, il préférait lui faire croire qu'il se soumettait sous la contrainte. Peut être que si elle ne voulait pas le libérer, quelques semaines plus tard, il le regretterait. Mais pour le moment il avait sa queue dans une cage de chasteté et il commençait à bander.
Il verrouillait l'ensemble !
Il avait fait ce dernier geste mécaniquement, sans y penser, sans réagir. Ensuite il avait filé dans la salle de bain pour voir en plan large ce que ça donnait dans le miroir. Quand il est revenu, il était toujours à poil et Bobonne était là au milieu du salon, elle avait les clés du dispositif dans la main. Elle avait finalement réussi à rentrer sans faire de bruit, et sur le coup il ne se posait pas de questions.
Il tombait à ses pied et l'implorait.
– Rend moi la clé, j'ai juste voulu essayer, je ne veux pas le garder. Je t'en supplie, je ferai tout ce que tu voudras.
– Je veux juste que tu arrêtes tes cochonneries, tu es marié maintenant, tu as une femme !
– Oui bein là, je ne vois pas trop la différence, ces derniers mois c'était pas la grande fête tous les jours.
– Et tu arrêtes de ronchonner . Puisque c'est comme ça tu garderas ce truc au moins un mois.
Là il se disait qu'elle ne rigolait pas, c'est vrai que depuis quelques temps c'est lui qui ne rigolait pas mais ça risquait de continuer. Heureusement, le dispositif était en plastique.
Il m'a contacté une semaine plus tard.
– Mais je fais quoi maintenant. Au début c'est rigolo mais … Je te jure Charly, au bout d'une semaine, beaucoup moins.
– Enfin ce jeux, c'est toi qui a voulu y jouer, personne ne t'a forcé. C'est pas ma faute. Et puis tu me disais que ton truc est en plastique. Ça résiste trois seconde avec une pince coupante …– Oui, c'est ce que je pensais, mais il n'est pas en plastique. Bobonne a acheté un truc haut de gamme, il est en titane, le plastique c'est juste une impression, un traitement de surface, je ne sais pas quoi … Le dispositif est indestructible ! Je fais quoi moi maintenant ? Je fais quoi ?
Je me demande s'il en rajoutait pas un peu, mais c'est pas moi qui le lui avait mis son truc …
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