Tata Monika

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Tata Monika Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Tata Monika
Histoire vraie

Chapitre 1 : Tata Monika


Bonjour
Je m’appelle Hamed, et cela fait déjà 1/2 siècle que je marche, que cours et que trébuche sur la terre de nos ancêtres !
Les derniers 30 ans de ma vie, j'ai eu le plaisir et la chance de faire pleines de découvertes et d'aventures sexuelles.

Bon, je me dois de commencer par le "commencement":
Je suis le dernier ďune famille de 3 garçons. Entre ma mère et mon frère ainé il y a 20 ans, 2 ans plus tard il y a eu la naissance de mon frère cadet et enfin moi qui atteris entre les mains du gényco de ma mère, 4 ans après.
Si on fait les comptes, cela donne : maman avait plus ou moins 20 ans quand elle à eu mon frère ainé, 22 ans a l'arrivée du second môme et moi elle m'a eu à 26 ans.
Ce qui fait, qu'avec mes frères, on est très proches et avons une complicité particuliérement... "Complice", même si cela n'apparait pas trop dans les écrits qui vont suivre, sauf peut être dans une ou deux épisodes que je vous raconterai et où ils ont étaient acteurs.
Bref,
Un jour, ma mère m'avait avouer que ma présence sur terre n'était pas programmée.
Du moins, ma mère au début du mois de Mars 1972, s'était alarmée ďun retard dans le cycle de vidange des parois de son nid à ovules.
"Alarmée" qu'elle était (bien que je doute que cela soit le bon qualificatif)... Du moins, elle était surtout heureuse plus que "alarmée"..
Ayant pris conscience de ľarrivée prochaine ďun bébé "non-programmé", chamboulait un peu le plan ďavenir de mes parents, ďautant plus, qu'à cette époque, pratiquer une IVG était assez risquée.
Ah oui je ne vous ľai pas dis... Mon père est tunisien et la mère est française. Mon pays, la tunisie, était au moment de ma création, indépendante depuis 18 ans (indépendance le 20.03.1956). Et donc les infrastructures de base (éducation, santé, maintient de ľordre...) n'étaient pas au top de leurs forme, du moins, notre 1er président (H.Bourguiba) a tout fait pour mettre "le train" de ľavenir de son pays sur de bons rails.
Cela lui a quand même pris une petite vingtaines ďannées pour y parvenir.
Bref, je me permets là, juste de vous "décrire" l'ambience dans la quelle régnait, l'endroit qui a vu mon arrivée sur terre.

Donc, comme je disais, mon père est tunisien et, à sa réussite au bac en 1960 il fut ľun des premiers enfants de la patrie a être envoyé en Europe pour faire des études de tourismes.
Et c'est lors de son stage de fin ďétudes (à Grenoble) qu'il a fait la connaissance de la mère qui était elle aussi en stage dans le même hôtel. Coup de foudre... Et ils ont convolé en juste noce en 1965 (donc cela fait près de 60 ans que mes parents sont mariés !).
Bon, voilà un résumé assez "bref" de ma famille.
Depuis que j'ai ouvert les yeux, j'ai toujours eu le... "plaisir"... de voir ma famille (mes parents et mes frères) sans obstacles visuels de leurs intimités.
Bien entendu notre mode de vie ne devait pas divulgué à notre entourage, car nous vivons dans un pays musulman et la nudité "intégrale" ne faisait pas, et ne fait toujours pas, partie des us et coutumes de la population locale.
Toujours est-il que...
Je vais encore faire un petit cours d'histoire :
Comme la Tunisie n'avait pas de resources minières (ni gaz, ni pétrole, ni diaments, ou or... Juste un peu de phosphate) elle a tout misé sur ľagriculture et le tourismes comme source de revenues des caisses de ľêtat.
À l'époque la chaîne "club méd." faisait son apparition et ľêtat tunisien avait donné son accord pour ľimplantation des villages de vacances de cette enseigne sur son territoire. (D'ailleurs Vincent Lagaffe était G.O (Gentil Organisateur : titre qu'on donne aux animateurs) en tunisie).

Il (ľêtat tunisien et non pas Vincent) fermait les yeux sur les "activités" qui s'y déroulaient à condition que l'accès aux "club méd." soit intéridit à la population locale et que au moins 80% de leurs empolyés soient des étrangers...
De Mars à fin Octobre, le temps qui régne sur la Tunisie nous permet de nager et de bronzer au soleil.
Donc, il y avait foule dans ces lieux de villégitures.
Et le model vestimentaire à la plage, à ľépoque (fin années 60, jusqu'au début des années 80) rejoignait le mode vestimentaire de notre cellule familiale, C.à.D, + ou - 0% fibres (surtout après mai 68).
Et comme vous l'avait sûrement compris, mon père qui était devenu, entre temps, directeur d'hôtel, avait des avantages que ces concitoyen(ne)s n'avaient pas, entre autre ľaccès sans restriction à tous les hôtels et donc, aussi, aux "club méd."
Et nous en profitions pleinement !

Et c'est grâce à nos fréquents passages au "club méd." qui j'ai eu le plaisir, la chance, de rentrer dans le monde des "plaisirs charnels" (et si je puis dire) et de... ľinceste... Oups.
C'est à dire (pour ceux qui n'ont pas saisi le sens de la phrase) : j'ai eu des rapports sexuels assez tôt.
D'autant plus que le cercle qui a modeler ma jeunesse y était pour beaucoup.
Quoi qu'il en soit, c'est entre les jambes de celle qui m'a "pondu" que j'ai fais ma première et plus belle découverte...
Voilà à peu près la façon dont ça s’est passé :

Comme je l'avais préciser au début, mes parents pratiquaient beaucoup le naturisme... (C'est toujours le cas aujourd'hui même s'ils ont plus de 80 ans).
Tous les ans nous avions la visites d'un couple d'amis (allemands) qui logeaient soit chez nous, soit à l'hôtel que mon père dirigeait.
Je ne le sais pas pour quelle raison, mais depuis plus 10 ans, ils logeaient à ľhôtel alors qu'ils passaient un max de temps chez nous à la maison puisqu'ils ont le même mode de vie que mes parents...

Dés qu'ils franchissaient la porte de notre maison, la première chose qu'ils faisaient (tout comme le faisait tous les membres de ma famille) c'était de se débarrasser des tissus qui couvraient leurs corps.
Comme toujours, j'étais aux premières loges pour suivre le rituel de ce déshabillage : Regarder Monika et Peter se mettre nue.
Ainsi que ma génétrice qui ne tiennait point à "froisser" ses amis en restant couverte... Hihhihi.
Assis au salon, je n'avais rien d'autre à faire que de me rincer (le coin) les yeux et admirer ces corps qui se delestent des étoffes qui les couvraient.
Mais j'étais surtout subjugué, ensorcelé, envouté, impressionné lorsque je voyais ma mère mettre sa tenue de maison ou plutôt oter sa tenue de ville.
Bien qu'étant... Comment dire... Précoce pour un gamin de mon âge... (la première fois que je m'étais masturbé, je ne devais pas avoir plus de 6-7ans. Bon... Vous vous imaginez bien que je n'avais pas pu "éjaculé" car à cet âge là, nos bourses sont encore "vides"... Mais cette irritation que j'avais ressentis à ce moment là était... wahhhh), je savais qu'en étant son fils, je n'avais pas à avoir des pensées à connotation sexuelle.
Des pensées qui étaient moralement interdites, juridiquement condamnables et religieusement inflammables (assujeti aux flammes de l'enfer), mais j’aimais bien voir ma mère nue : c’était une femme splendide, grande, avec des fesses d’une rondeur et d’une fermeté admirable.
Donc, une fois que les nouveaux arrivants avaient terminé de s'alléger, nous nous dirigeâmes vers la piscine pour offrir nos peaux aux caresses du soleil.
Monika était une belle femme aussi, de 5 ans plus agée que ma mère (ma mère avait à ce moment-là 45 ans), avait des seins fermes et un cul à damner un pape !
En prenant place sur l'un des transats qui bordent la piscine, elle faisait bien attention à ce que, quand elle posait ses fesses, que le transat écartait bien ses jambes, et en nous faisant face, pour discuter, elle faisait tout pour bien nous montrer ou laisser voir sa chatte toute lisse.
Il était assez rare, à ľépoque, de voir des femmes, ou même des hommes, sans une pilosité qui recouvre leurs pubis... La mode a bien changé depuis !
Monika aimait provoquer, en jouant de ses charmes, c’était clair.
J’avais, un jour, eu envie de faire quelque chose qui puisse déstabiliser à son tour cette femme, qu'on qualiferait ďallumeuse (je ne connaissais pas, à l'époque, ce mot, du moins le 2ème sens du mot) mais je ne savais pas comment.
Mais voilà que le "hasard" fait bien les choses :
Ma mère s’était allongée sur sa serviette pour s’adonner à ľun de ses passes temps favoris : la bronzette.

Comme d’habitude elle avait à porté de mains, sa bouteille d’huile solaire qu'elle tendait à la personne la plus proche d'elle, pour protéger son corps de la chaleur de ce soleil du mois de juillet.
Elle s’était mise sur le ventre, et m’avait demandé de lui passer l’huile solaire.
J’ai répondu :

— Bien sûr mam !

J'ai répandu un léger filet d’huile sur son dos. Puis, j’en avais versé le long de ses jambes et sur ses fesses.
L’huile étalée, il fallait bien ľétalrer et je m'étais mis à lui masser les cuisses avec l’huile. Puis les fesses...
Ma mère me laissait faire, le visage tourné de l’autre côté, les yeux fermés comme s'il n'en était rien.
Monika regardait la scène et l’air de rien, cela avait l’air de bien l’intéresser.
Je massais avec application les cuisses de ma jolie maman et à chaque mouvement je faisais exprès de bien lui écarter les fesses, histoire de bien huiler toute l’intimité de ma mère, son petit abricot épilé (lui aussi), son cul... Sous le regard de Monika.
J’espérais bien que ce spectacle allait un peu la déstabiliser.
C’est là que j'avais pris conscience que j'étais tombé dans mon propre piège...
Je m’appliquais tellement dans mon massage, que mes doigts pénétraient loin entre les fesses de ma mère.
Je m’aperçus, qu’à une ou deux reprises, j’effleurais sa vulve, et son anus.
Ma mère ne disait toujours rien, se laissant faire. Un doigt qui débordait, qui allait plus loin qu'il ne lui était permis, était si vite arrivé !
Mais Dieu merci (que vient faire Dieu ici ?) Cela n'était réel que dans mes fantasmes d'ado.
Ces pensées provoquèrent chez moi une érection que nos deux amis, remarquèrent tout de suite. Je voyais, ou bien était-ce mon imagination, que la blonde qui observait la scène jubilait... Elle en bâvait presque !
Je voulais la provoquer, j'y étais, peut-être, arrivé, mais ce qui était certain c'est que c'étais moi qui ne savais plus où me mettre et je me sentais devenir rouge.
Sans demander mon reste, j’avais rapidement conclu le massage et je m'étais précipitamment éclipsé pour piquer une tête dans la piscine et retrouver mon calme, du moins pour appaiser mon excitation.

Le soir, on s'était rendu à hôtel pour dîner avec nos amis.
À table, Monika avait pris place à mes cotés et elle commençait à me taquiner avec ce qui s’était passé plutôt dans la journée :

— Dis-moi, j'ai bien aimé comment tu as enduis le corps de ta mère avec cet huile solaire... J'ai même remarqué qu'un de tes doigts a fallit... Comment dire... s'égarer !!
— Voyons tata Monika... Tu es folle ou quoi ? C’est de ma mère qu'on parle... Je ne suis pas amoureux de ma mère... J'ai juste fais ce que chaque enfant ferait pour le bien de sa maman !
— Voyons jeune homme... Arrêtez de me prendre pour une nouille... J'ai quelques années d'expériences derrière moi et de plus... J’ai bien vu comment tu bandais !
— Ok... Ok... J'étais peut-être plus excité que d'habitude... Mais là... On parle de ma mère, je te le répète !
— Hoho... Arrêtes avec tes mensonges ! On en a tous eu envie de ça au moins une fois !
— Quoi ?? Toi avec ta mère ??
— Ma mère je ne me rappel pas... Mais avec mon père sûrement... Et même que...
— Que quoi ???
— Je te raconterai ça une autre fois mais si... Si... Tu veux mon avis...
— Oui tata... Dis moi tout !
— Ta mère aussi, je suis sûre qu’elle a aimé ce que tu as fais et comment tu l'as fais, sinon elle t’aurait pas laissé faire !

Puis elle me dit doucement à l'oreille :

— A mon avis tu peux même la baiser si tu veux !
— Tu es folle ! Crai-je presque.
— Qu'y a-t-il fiston ? Me demandait mon père.
— Excuse Papa... C'est que... Heuuu... Tata Monika m'a dit que... Heuuu... On pourra tous aller faire un bain de minuit à la mer...
— Et alors ??
— Les requins viendront nous bouffer !
— Mais Hamed... Il n'y a pas de requins mangeurs d'homme en Méditerranée !
— Oupsss ! Faisais-je en baissant la tête... Je l'ignorais !
— Ceux qui nagent sur nos côtes ont peur des hommes !
— Pas des femmes ? Demandait ma mère.

Après avoir bien rit à la remarque de ma mère, Monika me sussurait à l'oreille :

— Hamed... Si cela te dit, je te donne un coup de main !
— Euhhh... Je ne crois pas que... Je ne comprends pas tata Monika !

Je ne voyais pas de quel coup de main elle me parlait... Ou du moins mon jeune coté pervers me disait autre chose... J'aurai bien voulu que cette coquine de tata Monika me donne un coup de langue plutôt qu'un coup de main.
Mais bon... Là je prennais mes rêves pour des réalités.

— Ecoutes moi bien, Hamed je m’occupe de tout... Si t’en as envie, demain matin lorsque je viendrai chez vous... Je m'arrangerai pour que Peter reste à l'hôtel avec ton père... On sera donc juste tous les trois... Moi, toi et ta mère... Tu me suis ?
— Heuheu.. Pas trop... Mais bon... Et je dois te suivre où ???
— Nul part gros béta... "tu me suis" c'est à dire "tu me comprends !
— Pas trop... Mais je te fais confiance !

Effectivement, le lendemain matin, on sonne à la porte de notre maison : tata Monika. Comme elle me l'avait dit, elle était seule, Peter était rester à l'hôtel, car il avait prévu de participer à un tournoi de pétanque que l'équipe sportive de l'hôtel avait organisé... Cela tombait à pic... Merci (Monsieur ? Madame ?) Hasard.
Une fois la porte franchie, elle nous pressait de nous habiller en nous disant :

— Vous n'avez pas envie de vous baigner à la mer ?
— Oh oui Monika... Quelle bonne idée... Cela doit faire plus de deux mois que nous n'avons pas mis les pieds au club méd. ! Criait presque ma mère.

Aussitôt dit, aussitôt fait ! En deux temps, trois mouvements notre sac de plage était fin prêt. On doit dire, qu'il ne nous fallait pas grande chose à prendre. Et nous voilà donc partis.
Arrivée à destination, nous n'eumes pas trop de difficulté à franchir la barrière d'accès, étant donné que la "mia mamma" était une cliente assez "fidéle".
Connaissant les lieux, nous nous dirigeâmes de suite vers la pointe nord de la plage.
Caractéristique de cet endroit est qu'à la marée montante ľaccès à cette pointe se "noie" et cette pointe devient comme une petite île pendant au moins 5 bonnes heures.
À notre arrivée, la mer avait doucement avancée et commençait à couvrir, de son eau salée, le passage à cette pointe.
A moins un, les deux femmes allaient se mettre à courir comme si c'était une question de vie ou de mort.
Je n'arrivais pas à comprendre l'empressement de ces dames.

C'est le même arrêrt qu'on marque lorsqu'on croit toucher une barre de fer chaude alors qu'en réalié elle est à la bonne température.
Que c'était-il passé durant cet arrêrt qui a duré, tout au plus, une seconde ?
Je vous explique :
L'information de la nature de l'objet qui avait pris contact avec les doigts de ma mère a été transmise à son cerveau, qui l'avait analysé et il avait répondu à la question que tout être naturellement constitué se serait posé :
Devait-elle poursuivre cette exploration et voir de quoi il en retournait et... et...
Ou alors, retirait-elle sa main et faire un scandale ?
Et tout cela en une fraction de seconde ! (Le coprs humain est trop bien fait !)
Roulement de tambours.... ta... ta... taaaa....
La première option avait éte adopté.
Bien au contraire, la "victime" (je crois que la seule victime qu'il y avait ici c'est moi) a même gardait entre ses doigts le bâton de chair qu'on venait de lui présenter.
Et sans interrompre le balet de sa langue dans la bouche de tata Monika, ma mèe s'était mise à faire aller et venir ses doigts sur ma bite... La plus douce des masturbations que j'ai eu le plaisir de connaitre.
Je ne sais plus si c'était au bout de quelques secondes ou de minutes ou ďheures ou ďannées (la notion de temps avait disparu pour moi) mais voilà que tata Monika s'écartait de ma mère laissant sa bouche "dans le vide".
Ses lèvres cherchaient inexorablement cette langue qui dansait dans sa bouche, tout comme un poisson qu'on aurait sorti de la mer.
En ouvrant les yeux, elle arborait un charmant sourire qui ne pouvait que traduire son bonheur.
Le bonnheur de me voir face à elle, ou le bonheur d'avoir en main la queue toute raide de son fils ?
Non pas qu'elle n'a jamais vu mon excitation par le passé, mais elle ne l'avait jamais "tenu" entre ses doigts !

— Et quelle est ma récompense pour cette jouissance de vos sens ?? Nous demandait Monika. J'espère que j'aurai aussi droit à prendre mon pied aussi... Car... Je vous avoue, vous m'avez donné plus qu'envie avec vos cochonneries !

Heureusement que nous étions tous trois allongés car nous aurions pu nous blesser en tombant tellement nous avions rit.
À peine 1/4 ďheure plus tard, tata Monika, se positionna à 4 pattes et me disait en me tendant ses fesses :

— À toi de jouer jeune mâle ! Fais-moi jouir comme tu as réussis à faire jouir ta mère ! Et note que cela est mon cadeau pour ta réussite au Bac... Hihiihi !

La baiser à son tour, après ma mère, fut tout aussi délicieux...
Les trois derniéers jours du séjour de tata Monika étaient assez torride : nous étions tous les trois chauds comme de la braise, et nous remettions ça dès que nous en avions l’occasion.
C’était un sacré boulot que de satisfaire deux femmes à la fois, mais j’aimais ça et je me débrouillais pas mal !

Quelques jours après le départ de nos amis, ma mère m’avait rapidement fait comprendre, que si je voulais, on pouvait continuer à baiser un peu ensemble de temps en temps, discrètement bien sûr...
On a un peu culpabilisé au début, bien sûr, on s’était dit que ce n’était pas bien de faire ça, mais que c’était dur de s’empêcher.
Dès que je la voyais penchée pour ramasser une chose ou pour mettre un plat au four... Je n’avais qu’une envie... Lui caresser les fesses et la prendre par derrière... Mais on était souvent certain d'être surpris en moins de temps qu'il ne fallait pour le dire... N'empêche que une petite caresse par-ci, par-là était de rigueur.

À suivre...

Les avis des lecteurs

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J’ai rien compris… je crois qu’il doit manquer un passage…

Nikko



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