TED 10 LES JOURS QUI VONT VENIR 1
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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TED 10 LES JOURS QUI VONT VENIR 1
TED 10
LES JOURS QUI VONT VENIR 1
Par la suite, il m'a libéré trois fois. Sept semaines encore sous clés pour aller jusqu'à la mie Février. Là il ne me libérait qu'un week-end. Cinq semaines plus tard nous étions fin Mars. De nouveau sept semaines et nous avions passé la mie Mai. L'été était de retour et là il me restituait la clé. J'avais le droit de m'amuser comme je l'entendais jusqu'à la mie Septembre. A ce moment il me renfermait pour huit mois. C'est ce qui était prévu ! C'est aussi ce que je redoutait au moment ou il remettait les clés entre mes mains.
Cette libération spéciales au milieu du mois de Février reste gravée dans ma mémoire. Il m'avait défoncé le cul comme il sait si bien le faire. Il en profite, il ne m'a jamais caché qu'il avait un mal fou à se trouver un partenaire capable de se prendre sa queue jusque qu'à la garde comme il aime le faire, comme j'aime me la prendre … Ensuite pendant que je récupérais, il me câlinait puis me donnait ma clé. Je la gardais deux jours pendant lesquels je pouvais en disposer sans lui rendre de compte.
En Mars, c'était un peu différent, il avait de toutes évidences envie de s'amuser avec son jouet. Il m'appelait '' Mon Doudou '' mais dans ses bras je me sentais avant tout comme un jouet qu'il pouvait poser dans cette position ou dans cette autre position, ici ou là. Enfin, j'étais un jouet entre ses mains et j'aimais ça !
J'étais bien excité, je l'avais sucé, caressé pendant un long moment, il avait fait preuve de beaucoup de tendresse et m'avait donné lui aussi beaucoup de caresse. Il était allongé sur le dos, les cuisses très légèrement écartées, il bandait ferme, je l'avais bien stimulé … Il me tendait un tube de gel.
Ted : Tu sais à quoi ça sert ! Assoies toi sur ma queue !
Je le regardais, un pincement au cœur, un appréhension naissait dans mon ventre. Il réitérait sa demande …
Ted : Empale toi sur ma queue, je veux sentir tes fesses s'écraser contre mon bassin !
Je tremblais un peu en lui lubrifiant abondamment la queue puis en me lubrifiant le cul. Je prenais ensuite position, j'avais déjà le souffle court pourtant je n'avais encore rien fait. Je plaçais un pied contre ses hanches, je le chevauchais, puis je m'accroupissais. Je me plaçais pour que son gland se place juste contre mon cul. Je respirais bien à fond plusieurs fois, puis, très lentement je repliais un peu plus les jambes. Sa bitte poussait contre mon cul. Là c'est moi qui contrôlait la pression, ça semble plus facile dit comme ça mais je n'étais pas habitué et puis, avec un gros truc comme la bitte à Ted ce n'est jamais facile. Mon cul résistait !
J'avais l'impression que mon cul savait qui commandait à ce moment et que s'il décidait de résister je renoncerais … Ted m'encourageait de son regard et de son sourire. Je poussais plus fort, j'avais les fesses bien écartées et un moment sans prévenir mon cul se détendait. La moitié de la queue de Ted s'enfonçait subitement, m'écartelait l'anus. Je hurlais de douleur, j'étais pourtant habitué ou en tous cas j'aurais du l'être mais avec une gros bazar comme le pieux surdimensionné de Ted rien n'est jamais gagné !
Je me contractais, je voulais me dégager, mon pied glissait et tombais sur la queue de Ted, je me retrouvais empalé, bien empalé, bien à fond comme il me l'avait demandé. J'ai poussé un cri, je me cambrais, je ne disais plus rien et je faisait des grimaces à faire peur. Ted ne bougeai pas, il me laissait faire !
Je finissais par me détendre ? C'est alors que Ted relevait son torse et me prenait dans ses bras. Je croisais les jambes dans son dos. Il s'allongeait de nouveau prenait ma clé qu'il avait dans la main, m'ouvrait mon dispositif, retirait la cage et me disait de retirer le cock-ring, il y a des opérations qu'il est préférable de faire soi-même …
Ted : Maintenant, masturbe toi !
Je ne bandais plus à ce moment, mais j'obéissais. Rapidement je bandais, je bandais bien même. Il balançait son bassin d'avant en arrière, il appuyait le bas de son dos contre le lit ce qui relevait sa queue vers l'avant, elle entrait bien à fond. Ou relevait le dos, sa queue était alors attirée vers l'arrière, elle ressortait et la pression contre ma prostate diminuait.
Je me masturbais, il continuait ce mouvement. Mon cœur battait vraiment fort, j'avais envie de jouir mais rien ne venait. Ted accélérait doucement le mouvement mais sans l'amplifier. Plus rapide, c'est tout !
Par réflexe je serrais les cuisses ce qui diminuait la pression contre ma prostate. Vous avez déjà essayé de vous branler avec un gros gode dans le cul ? La pression interne peut empêcher l'éjaculation, c'est pour cela que je n'avais jamais éjacule avec la queue de Ted dans mon cul et que je ne jutais que quand il se retirait. Rien ne venait sauf le plaisir, on continuait. Ted n'était pas pressé de jouir, je devinais qu'il voulait me voir jouir avant lui, je me branlais de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Finalement mes efforts on payé ce soir là, je ne sais pas combien de temps il m'a fallu pour y arriver mais ça en valait la peine, j'ai joui comme jamais ! C'était un truc de fou, je tremblais, je gémissais, je râlais, je sentais la queue de Ted se contracter dans mon cul et je hurlais … Mais je ne jutais pas !
Ted se relevait alors une seconde fois, il me penchais en arrière et repliait ses jambes en tailleur. Je me retrouvais allongé sur le dos, encore tremblant et frémissant de plaisir, il était au dessus de moi, sa queue encore bien en place, il se retirait et là enfin je jutais, je jutais et mon ventre se recouvrait de mon sperme, cinq semaines, c'est long cinq semaines mais c'est le temps qui s'était passé depuis la la dernière fois que j'avais joui par la bitte. Mon souffle était fort.
Ted faisait preuve de tendresse en me caressant tout le corps, et m'enculait de nouveau, j'ai hurlé de nouveau quand il est entré, j'ai gueulé quand il m'a limé le cul, j'en ai redemandé à chacun de ses mouvements puis je me suis effondré sur moi-même quand après avoir joui il s'est retiré.
Il m'a laissé le temps de récupérer puis il a posé mon dispositif sur mon ventre, je comprenais le message …
Encore sept semaines passaient et il me donnait la clé, c'était la saison de la plage, je pourrais retirer mon dispositif à ma guise, je devrais seulement l'avoir sur moi à chaque fois que je serais avec Ted, sauf sur la plage bien sûr.
Je ne vous cacherais pas que je me suis fait quelques plaisirs quand j'étais seul dans la journée, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
J'ai fait aussi quelques rencontres sur la plage, j'ai défoncé quelques culs, je me suis fait sucé plusieurs fois aussi, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
Puis est arrivé ce jour dont je vous parlais au début de ce récit, j'étais allé à la plage, ce dernier jour le soleil était magnifique même si quelques nuages annonçaient déjà l'Automne. J'avais pris une douche, puis Ted était arrivé, nous avons pris une douche ensemble, je l'ai caressé, je l'ai embrassé en lui frottant le dos, il en a fait de même. Ensuite on s'en habillé pour passer à table, il voulait faire durer, faire monter le plaisir. Ensuite il m'a sucé la bitte, je lui avais sucé la bitte également ce soir là, puis, lui allongé sur le dos, je m'étais empalé sur lui. Puis …
Il avait sorti le petit dispositif, pas le mien mais un dispositif qu'il m'avait acheté dans un bureau de la PK, il ne m'avait pas prévenu, c'était pour marquer l'anniversaire, il connaissait ma taille le farceur, il oubliait de me donner la clé, quel distrait quand il veut celui-là. Il était convenu que je le garderait huit mois non stop ...
Par la suite, il m'a libéré trois fois. Sept semaines encore sous clés pour aller jusqu'à la mie Février. Là il ne me libérait qu'un week-end. Cinq semaines plus tard nous étions fin Mars. De nouveau sept semaines et nous avions passé la mie Mai. L'été était de retour et là il me restituait la clé. J'avais le droit de m'amuser comme je l'entendais jusqu'à la mie Septembre. A ce moment il me renfermait pour huit mois. C'est ce qui était prévu ! C'est aussi ce que je redoutait au moment ou il remettait les clés entre mes mains.
Cette libération spéciales au milieu du mois de Février reste gravée dans ma mémoire. Il m'avait défoncé le cul comme il sait si bien le faire. Il en profite, il ne m'a jamais caché qu'il avait un mal fou à se trouver un partenaire capable de se prendre sa queue jusque qu'à la garde comme il aime le faire, comme j'aime me la prendre … Ensuite pendant que je récupérais, il me câlinait puis me donnait ma clé. Je la gardais deux jours pendant lesquels je pouvais en disposer sans lui rendre de compte.
En Mars, c'était un peu différent, il avait de toutes évidences envie de s'amuser avec son jouet. Il m'appelait '' Mon Doudou '' mais dans ses bras je me sentais avant tout comme un jouet qu'il pouvait poser dans cette position ou dans cette autre position, ici ou là. Enfin, j'étais un jouet entre ses mains et j'aimais ça !
J'étais bien excité, je l'avais sucé, caressé pendant un long moment, il avait fait preuve de beaucoup de tendresse et m'avait donné lui aussi beaucoup de caresse. Il était allongé sur le dos, les cuisses très légèrement écartées, il bandait ferme, je l'avais bien stimulé … Il me tendait un tube de gel.
Ted : Tu sais à quoi ça sert ! Assoies toi sur ma queue !
Je le regardais, un pincement au cœur, un appréhension naissait dans mon ventre. Il réitérait sa demande …
Ted : Empale toi sur ma queue, je veux sentir tes fesses s'écraser contre mon bassin !
Je tremblais un peu en lui lubrifiant abondamment la queue puis en me lubrifiant le cul. Je prenais ensuite position, j'avais déjà le souffle court pourtant je n'avais encore rien fait. Je plaçais un pied contre ses hanches, je le chevauchais, puis je m'accroupissais. Je me plaçais pour que son gland se place juste contre mon cul. Je respirais bien à fond plusieurs fois, puis, très lentement je repliais un peu plus les jambes. Sa bitte poussait contre mon cul. Là c'est moi qui contrôlait la pression, ça semble plus facile dit comme ça mais je n'étais pas habitué et puis, avec un gros truc comme la bitte à Ted ce n'est jamais facile. Mon cul résistait !
J'avais l'impression que mon cul savait qui commandait à ce moment et que s'il décidait de résister je renoncerais … Ted m'encourageait de son regard et de son sourire. Je poussais plus fort, j'avais les fesses bien écartées et un moment sans prévenir mon cul se détendait. La moitié de la queue de Ted s'enfonçait subitement, m'écartelait l'anus. Je hurlais de douleur, j'étais pourtant habitué ou en tous cas j'aurais du l'être mais avec une gros bazar comme le pieux surdimensionné de Ted rien n'est jamais gagné !
Je me contractais, je voulais me dégager, mon pied glissait et tombais sur la queue de Ted, je me retrouvais empalé, bien empalé, bien à fond comme il me l'avait demandé. J'ai poussé un cri, je me cambrais, je ne disais plus rien et je faisait des grimaces à faire peur. Ted ne bougeai pas, il me laissait faire !
Je finissais par me détendre ? C'est alors que Ted relevait son torse et me prenait dans ses bras. Je croisais les jambes dans son dos. Il s'allongeait de nouveau prenait ma clé qu'il avait dans la main, m'ouvrait mon dispositif, retirait la cage et me disait de retirer le cock-ring, il y a des opérations qu'il est préférable de faire soi-même …
Ted : Maintenant, masturbe toi !
Je ne bandais plus à ce moment, mais j'obéissais. Rapidement je bandais, je bandais bien même. Il balançait son bassin d'avant en arrière, il appuyait le bas de son dos contre le lit ce qui relevait sa queue vers l'avant, elle entrait bien à fond. Ou relevait le dos, sa queue était alors attirée vers l'arrière, elle ressortait et la pression contre ma prostate diminuait.
Je me masturbais, il continuait ce mouvement. Mon cœur battait vraiment fort, j'avais envie de jouir mais rien ne venait. Ted accélérait doucement le mouvement mais sans l'amplifier. Plus rapide, c'est tout !
Par réflexe je serrais les cuisses ce qui diminuait la pression contre ma prostate. Vous avez déjà essayé de vous branler avec un gros gode dans le cul ? La pression interne peut empêcher l'éjaculation, c'est pour cela que je n'avais jamais éjacule avec la queue de Ted dans mon cul et que je ne jutais que quand il se retirait. Rien ne venait sauf le plaisir, on continuait. Ted n'était pas pressé de jouir, je devinais qu'il voulait me voir jouir avant lui, je me branlais de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Finalement mes efforts on payé ce soir là, je ne sais pas combien de temps il m'a fallu pour y arriver mais ça en valait la peine, j'ai joui comme jamais ! C'était un truc de fou, je tremblais, je gémissais, je râlais, je sentais la queue de Ted se contracter dans mon cul et je hurlais … Mais je ne jutais pas !
Ted se relevait alors une seconde fois, il me penchais en arrière et repliait ses jambes en tailleur. Je me retrouvais allongé sur le dos, encore tremblant et frémissant de plaisir, il était au dessus de moi, sa queue encore bien en place, il se retirait et là enfin je jutais, je jutais et mon ventre se recouvrait de mon sperme, cinq semaines, c'est long cinq semaines mais c'est le temps qui s'était passé depuis la la dernière fois que j'avais joui par la bitte. Mon souffle était fort.
Ted faisait preuve de tendresse en me caressant tout le corps, et m'enculait de nouveau, j'ai hurlé de nouveau quand il est entré, j'ai gueulé quand il m'a limé le cul, j'en ai redemandé à chacun de ses mouvements puis je me suis effondré sur moi-même quand après avoir joui il s'est retiré.
Il m'a laissé le temps de récupérer puis il a posé mon dispositif sur mon ventre, je comprenais le message …
Encore sept semaines passaient et il me donnait la clé, c'était la saison de la plage, je pourrais retirer mon dispositif à ma guise, je devrais seulement l'avoir sur moi à chaque fois que je serais avec Ted, sauf sur la plage bien sûr.
Je ne vous cacherais pas que je me suis fait quelques plaisirs quand j'étais seul dans la journée, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
J'ai fait aussi quelques rencontres sur la plage, j'ai défoncé quelques culs, je me suis fait sucé plusieurs fois aussi, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
Puis est arrivé ce jour dont je vous parlais au début de ce récit, j'étais allé à la plage, ce dernier jour le soleil était magnifique même si quelques nuages annonçaient déjà l'Automne. J'avais pris une douche, puis Ted était arrivé, nous avons pris une douche ensemble, je l'ai caressé, je l'ai embrassé en lui frottant le dos, il en a fait de même. Ensuite on s'en habillé pour passer à table, il voulait faire durer, faire monter le plaisir. Ensuite il m'a sucé la bitte, je lui avais sucé la bitte également ce soir là, puis, lui allongé sur le dos, je m'étais empalé sur lui. Puis …
Il avait sorti le petit dispositif, pas le mien mais un dispositif qu'il m'avait acheté dans un bureau de la PK, il ne m'avait pas prévenu, c'était pour marquer l'anniversaire, il connaissait ma taille le farceur, il oubliait de me donner la clé, quel distrait quand il veut celui-là. Il était convenu que je le garderait huit mois non stop ...
FIN
LES JOURS QUI VONT VENIR 1
Par la suite, il m'a libéré trois fois. Sept semaines encore sous clés pour aller jusqu'à la mie Février. Là il ne me libérait qu'un week-end. Cinq semaines plus tard nous étions fin Mars. De nouveau sept semaines et nous avions passé la mie Mai. L'été était de retour et là il me restituait la clé. J'avais le droit de m'amuser comme je l'entendais jusqu'à la mie Septembre. A ce moment il me renfermait pour huit mois. C'est ce qui était prévu ! C'est aussi ce que je redoutait au moment ou il remettait les clés entre mes mains.
Cette libération spéciales au milieu du mois de Février reste gravée dans ma mémoire. Il m'avait défoncé le cul comme il sait si bien le faire. Il en profite, il ne m'a jamais caché qu'il avait un mal fou à se trouver un partenaire capable de se prendre sa queue jusque qu'à la garde comme il aime le faire, comme j'aime me la prendre … Ensuite pendant que je récupérais, il me câlinait puis me donnait ma clé. Je la gardais deux jours pendant lesquels je pouvais en disposer sans lui rendre de compte.
En Mars, c'était un peu différent, il avait de toutes évidences envie de s'amuser avec son jouet. Il m'appelait '' Mon Doudou '' mais dans ses bras je me sentais avant tout comme un jouet qu'il pouvait poser dans cette position ou dans cette autre position, ici ou là. Enfin, j'étais un jouet entre ses mains et j'aimais ça !
J'étais bien excité, je l'avais sucé, caressé pendant un long moment, il avait fait preuve de beaucoup de tendresse et m'avait donné lui aussi beaucoup de caresse. Il était allongé sur le dos, les cuisses très légèrement écartées, il bandait ferme, je l'avais bien stimulé … Il me tendait un tube de gel.
Ted : Tu sais à quoi ça sert ! Assoies toi sur ma queue !
Je le regardais, un pincement au cœur, un appréhension naissait dans mon ventre. Il réitérait sa demande …
Ted : Empale toi sur ma queue, je veux sentir tes fesses s'écraser contre mon bassin !
Je tremblais un peu en lui lubrifiant abondamment la queue puis en me lubrifiant le cul. Je prenais ensuite position, j'avais déjà le souffle court pourtant je n'avais encore rien fait. Je plaçais un pied contre ses hanches, je le chevauchais, puis je m'accroupissais. Je me plaçais pour que son gland se place juste contre mon cul. Je respirais bien à fond plusieurs fois, puis, très lentement je repliais un peu plus les jambes. Sa bitte poussait contre mon cul. Là c'est moi qui contrôlait la pression, ça semble plus facile dit comme ça mais je n'étais pas habitué et puis, avec un gros truc comme la bitte à Ted ce n'est jamais facile. Mon cul résistait !
J'avais l'impression que mon cul savait qui commandait à ce moment et que s'il décidait de résister je renoncerais … Ted m'encourageait de son regard et de son sourire. Je poussais plus fort, j'avais les fesses bien écartées et un moment sans prévenir mon cul se détendait. La moitié de la queue de Ted s'enfonçait subitement, m'écartelait l'anus. Je hurlais de douleur, j'étais pourtant habitué ou en tous cas j'aurais du l'être mais avec une gros bazar comme le pieux surdimensionné de Ted rien n'est jamais gagné !
Je me contractais, je voulais me dégager, mon pied glissait et tombais sur la queue de Ted, je me retrouvais empalé, bien empalé, bien à fond comme il me l'avait demandé. J'ai poussé un cri, je me cambrais, je ne disais plus rien et je faisait des grimaces à faire peur. Ted ne bougeai pas, il me laissait faire !
Je finissais par me détendre ? C'est alors que Ted relevait son torse et me prenait dans ses bras. Je croisais les jambes dans son dos. Il s'allongeait de nouveau prenait ma clé qu'il avait dans la main, m'ouvrait mon dispositif, retirait la cage et me disait de retirer le cock-ring, il y a des opérations qu'il est préférable de faire soi-même …
Ted : Maintenant, masturbe toi !
Je ne bandais plus à ce moment, mais j'obéissais. Rapidement je bandais, je bandais bien même. Il balançait son bassin d'avant en arrière, il appuyait le bas de son dos contre le lit ce qui relevait sa queue vers l'avant, elle entrait bien à fond. Ou relevait le dos, sa queue était alors attirée vers l'arrière, elle ressortait et la pression contre ma prostate diminuait.
Je me masturbais, il continuait ce mouvement. Mon cœur battait vraiment fort, j'avais envie de jouir mais rien ne venait. Ted accélérait doucement le mouvement mais sans l'amplifier. Plus rapide, c'est tout !
Par réflexe je serrais les cuisses ce qui diminuait la pression contre ma prostate. Vous avez déjà essayé de vous branler avec un gros gode dans le cul ? La pression interne peut empêcher l'éjaculation, c'est pour cela que je n'avais jamais éjacule avec la queue de Ted dans mon cul et que je ne jutais que quand il se retirait. Rien ne venait sauf le plaisir, on continuait. Ted n'était pas pressé de jouir, je devinais qu'il voulait me voir jouir avant lui, je me branlais de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Finalement mes efforts on payé ce soir là, je ne sais pas combien de temps il m'a fallu pour y arriver mais ça en valait la peine, j'ai joui comme jamais ! C'était un truc de fou, je tremblais, je gémissais, je râlais, je sentais la queue de Ted se contracter dans mon cul et je hurlais … Mais je ne jutais pas !
Ted se relevait alors une seconde fois, il me penchais en arrière et repliait ses jambes en tailleur. Je me retrouvais allongé sur le dos, encore tremblant et frémissant de plaisir, il était au dessus de moi, sa queue encore bien en place, il se retirait et là enfin je jutais, je jutais et mon ventre se recouvrait de mon sperme, cinq semaines, c'est long cinq semaines mais c'est le temps qui s'était passé depuis la la dernière fois que j'avais joui par la bitte. Mon souffle était fort.
Ted faisait preuve de tendresse en me caressant tout le corps, et m'enculait de nouveau, j'ai hurlé de nouveau quand il est entré, j'ai gueulé quand il m'a limé le cul, j'en ai redemandé à chacun de ses mouvements puis je me suis effondré sur moi-même quand après avoir joui il s'est retiré.
Il m'a laissé le temps de récupérer puis il a posé mon dispositif sur mon ventre, je comprenais le message …
Encore sept semaines passaient et il me donnait la clé, c'était la saison de la plage, je pourrais retirer mon dispositif à ma guise, je devrais seulement l'avoir sur moi à chaque fois que je serais avec Ted, sauf sur la plage bien sûr.
Je ne vous cacherais pas que je me suis fait quelques plaisirs quand j'étais seul dans la journée, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
J'ai fait aussi quelques rencontres sur la plage, j'ai défoncé quelques culs, je me suis fait sucé plusieurs fois aussi, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
Puis est arrivé ce jour dont je vous parlais au début de ce récit, j'étais allé à la plage, ce dernier jour le soleil était magnifique même si quelques nuages annonçaient déjà l'Automne. J'avais pris une douche, puis Ted était arrivé, nous avons pris une douche ensemble, je l'ai caressé, je l'ai embrassé en lui frottant le dos, il en a fait de même. Ensuite on s'en habillé pour passer à table, il voulait faire durer, faire monter le plaisir. Ensuite il m'a sucé la bitte, je lui avais sucé la bitte également ce soir là, puis, lui allongé sur le dos, je m'étais empalé sur lui. Puis …
Il avait sorti le petit dispositif, pas le mien mais un dispositif qu'il m'avait acheté dans un bureau de la PK, il ne m'avait pas prévenu, c'était pour marquer l'anniversaire, il connaissait ma taille le farceur, il oubliait de me donner la clé, quel distrait quand il veut celui-là. Il était convenu que je le garderait huit mois non stop ...
Par la suite, il m'a libéré trois fois. Sept semaines encore sous clés pour aller jusqu'à la mie Février. Là il ne me libérait qu'un week-end. Cinq semaines plus tard nous étions fin Mars. De nouveau sept semaines et nous avions passé la mie Mai. L'été était de retour et là il me restituait la clé. J'avais le droit de m'amuser comme je l'entendais jusqu'à la mie Septembre. A ce moment il me renfermait pour huit mois. C'est ce qui était prévu ! C'est aussi ce que je redoutait au moment ou il remettait les clés entre mes mains.
Cette libération spéciales au milieu du mois de Février reste gravée dans ma mémoire. Il m'avait défoncé le cul comme il sait si bien le faire. Il en profite, il ne m'a jamais caché qu'il avait un mal fou à se trouver un partenaire capable de se prendre sa queue jusque qu'à la garde comme il aime le faire, comme j'aime me la prendre … Ensuite pendant que je récupérais, il me câlinait puis me donnait ma clé. Je la gardais deux jours pendant lesquels je pouvais en disposer sans lui rendre de compte.
En Mars, c'était un peu différent, il avait de toutes évidences envie de s'amuser avec son jouet. Il m'appelait '' Mon Doudou '' mais dans ses bras je me sentais avant tout comme un jouet qu'il pouvait poser dans cette position ou dans cette autre position, ici ou là. Enfin, j'étais un jouet entre ses mains et j'aimais ça !
J'étais bien excité, je l'avais sucé, caressé pendant un long moment, il avait fait preuve de beaucoup de tendresse et m'avait donné lui aussi beaucoup de caresse. Il était allongé sur le dos, les cuisses très légèrement écartées, il bandait ferme, je l'avais bien stimulé … Il me tendait un tube de gel.
Ted : Tu sais à quoi ça sert ! Assoies toi sur ma queue !
Je le regardais, un pincement au cœur, un appréhension naissait dans mon ventre. Il réitérait sa demande …
Ted : Empale toi sur ma queue, je veux sentir tes fesses s'écraser contre mon bassin !
Je tremblais un peu en lui lubrifiant abondamment la queue puis en me lubrifiant le cul. Je prenais ensuite position, j'avais déjà le souffle court pourtant je n'avais encore rien fait. Je plaçais un pied contre ses hanches, je le chevauchais, puis je m'accroupissais. Je me plaçais pour que son gland se place juste contre mon cul. Je respirais bien à fond plusieurs fois, puis, très lentement je repliais un peu plus les jambes. Sa bitte poussait contre mon cul. Là c'est moi qui contrôlait la pression, ça semble plus facile dit comme ça mais je n'étais pas habitué et puis, avec un gros truc comme la bitte à Ted ce n'est jamais facile. Mon cul résistait !
J'avais l'impression que mon cul savait qui commandait à ce moment et que s'il décidait de résister je renoncerais … Ted m'encourageait de son regard et de son sourire. Je poussais plus fort, j'avais les fesses bien écartées et un moment sans prévenir mon cul se détendait. La moitié de la queue de Ted s'enfonçait subitement, m'écartelait l'anus. Je hurlais de douleur, j'étais pourtant habitué ou en tous cas j'aurais du l'être mais avec une gros bazar comme le pieux surdimensionné de Ted rien n'est jamais gagné !
Je me contractais, je voulais me dégager, mon pied glissait et tombais sur la queue de Ted, je me retrouvais empalé, bien empalé, bien à fond comme il me l'avait demandé. J'ai poussé un cri, je me cambrais, je ne disais plus rien et je faisait des grimaces à faire peur. Ted ne bougeai pas, il me laissait faire !
Je finissais par me détendre ? C'est alors que Ted relevait son torse et me prenait dans ses bras. Je croisais les jambes dans son dos. Il s'allongeait de nouveau prenait ma clé qu'il avait dans la main, m'ouvrait mon dispositif, retirait la cage et me disait de retirer le cock-ring, il y a des opérations qu'il est préférable de faire soi-même …
Ted : Maintenant, masturbe toi !
Je ne bandais plus à ce moment, mais j'obéissais. Rapidement je bandais, je bandais bien même. Il balançait son bassin d'avant en arrière, il appuyait le bas de son dos contre le lit ce qui relevait sa queue vers l'avant, elle entrait bien à fond. Ou relevait le dos, sa queue était alors attirée vers l'arrière, elle ressortait et la pression contre ma prostate diminuait.
Je me masturbais, il continuait ce mouvement. Mon cœur battait vraiment fort, j'avais envie de jouir mais rien ne venait. Ted accélérait doucement le mouvement mais sans l'amplifier. Plus rapide, c'est tout !
Par réflexe je serrais les cuisses ce qui diminuait la pression contre ma prostate. Vous avez déjà essayé de vous branler avec un gros gode dans le cul ? La pression interne peut empêcher l'éjaculation, c'est pour cela que je n'avais jamais éjacule avec la queue de Ted dans mon cul et que je ne jutais que quand il se retirait. Rien ne venait sauf le plaisir, on continuait. Ted n'était pas pressé de jouir, je devinais qu'il voulait me voir jouir avant lui, je me branlais de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Finalement mes efforts on payé ce soir là, je ne sais pas combien de temps il m'a fallu pour y arriver mais ça en valait la peine, j'ai joui comme jamais ! C'était un truc de fou, je tremblais, je gémissais, je râlais, je sentais la queue de Ted se contracter dans mon cul et je hurlais … Mais je ne jutais pas !
Ted se relevait alors une seconde fois, il me penchais en arrière et repliait ses jambes en tailleur. Je me retrouvais allongé sur le dos, encore tremblant et frémissant de plaisir, il était au dessus de moi, sa queue encore bien en place, il se retirait et là enfin je jutais, je jutais et mon ventre se recouvrait de mon sperme, cinq semaines, c'est long cinq semaines mais c'est le temps qui s'était passé depuis la la dernière fois que j'avais joui par la bitte. Mon souffle était fort.
Ted faisait preuve de tendresse en me caressant tout le corps, et m'enculait de nouveau, j'ai hurlé de nouveau quand il est entré, j'ai gueulé quand il m'a limé le cul, j'en ai redemandé à chacun de ses mouvements puis je me suis effondré sur moi-même quand après avoir joui il s'est retiré.
Il m'a laissé le temps de récupérer puis il a posé mon dispositif sur mon ventre, je comprenais le message …
Encore sept semaines passaient et il me donnait la clé, c'était la saison de la plage, je pourrais retirer mon dispositif à ma guise, je devrais seulement l'avoir sur moi à chaque fois que je serais avec Ted, sauf sur la plage bien sûr.
Je ne vous cacherais pas que je me suis fait quelques plaisirs quand j'étais seul dans la journée, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
J'ai fait aussi quelques rencontres sur la plage, j'ai défoncé quelques culs, je me suis fait sucé plusieurs fois aussi, j'y avait droit et je ne m'en privais pas. Ted le savait !
Puis est arrivé ce jour dont je vous parlais au début de ce récit, j'étais allé à la plage, ce dernier jour le soleil était magnifique même si quelques nuages annonçaient déjà l'Automne. J'avais pris une douche, puis Ted était arrivé, nous avons pris une douche ensemble, je l'ai caressé, je l'ai embrassé en lui frottant le dos, il en a fait de même. Ensuite on s'en habillé pour passer à table, il voulait faire durer, faire monter le plaisir. Ensuite il m'a sucé la bitte, je lui avais sucé la bitte également ce soir là, puis, lui allongé sur le dos, je m'étais empalé sur lui. Puis …
Il avait sorti le petit dispositif, pas le mien mais un dispositif qu'il m'avait acheté dans un bureau de la PK, il ne m'avait pas prévenu, c'était pour marquer l'anniversaire, il connaissait ma taille le farceur, il oubliait de me donner la clé, quel distrait quand il veut celui-là. Il était convenu que je le garderait huit mois non stop ...
FIN
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