Titre de l'histoire érotique : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le jeu de con (1/1) - histoire érotique

Cap ou pas cap !
C’est par ce jeu idiot entre nos amis, Laura et moi que les choses débutent.
Comme chaque mois, l’un de nos trois couples reçoit les deux autres pour une soirée entre amis.
Ce soir c’est nous qui recevons.

• Cap ou pas Cap, Laurent d’embrasser Jennifer sur la bouche.
• Si Victor est d’accord, un baissé à Jennifer sur la bouche ne se refuse pas, mais bien sûr dans le jeu.
• Vas-y mon frère, depuis vingt ans que nos couples se connaissent, je tourne la tête, tu as trois secondes.

Jennifer tourne, sa tête et nos bouches se rencontrent, la petite vicieuse, subrepticement, je sens sa langue venir trouver la mienne.

• Chérie n’abuse pas, j’ai dit trois secondes.

C’est Laura, ma femme qui jouait et qui m’a envoyé le défi d’embrasser notre copine.

• Mon cœur, c’est à moi de poser la question, cap ou pas cap, tu es prête.
• Attends, je vais voir si Jules dort bien, votre jeu très con commence à être chaud.

Ma femme part vers le couloir et en revient.

• Il dort comme un bébé, où en étions-nous, à oui Laurent, c’est à toi de poser une question idiote.

En prononçant ces mots, elle s’approche de la fenêtre, nous habitons au premier étage à un croisement entre deux rues, depuis quelques mois, des putes de l’Est ont investi le carrefour, nous les voyons nettement aller et venir, jusqu’à ce qu’une voiture s’arrête.
Elle monnaye leur charme mis en avant dans des tenues provocantes, si le tarif va pour client, la fille monte et c’est dans une impasse non loin de chez nous qu’elle suce où se font enfiler.
Vous allez dire que je connais trop bien tout ça, erreur, c’est Charles, un copain de boulot au bureau qui les pratique sa femme refusant tous contacts physiques entre eux.
Je me lève, je viens dans son dos.

• Cap ou pas cap, de te faire un client.

Comme Jennifer, elle tourne sa tête et m’embrasse, dans un souffle assez faible pour que je l’entende, mais pas nos amis.

• Cap, mon chéri.
• Tu te prostituerais même pour t’amuser.
• Je descends, regarde, le prochain client est pour moi.
• Que vous dites vous, les amoureux.
• C’est vrai, je disais à Laura que je la remerciais de m’avoir donnée un fils comme Jules, c’est un petit garçon adorable.
• Tu as raison, j’aurais bien aimé que Jennifer m’en face un aussi gentil et surtout plus calme.
• Victor, nos jumeaux ont le double d’âge que Jules, souviens-toi, à son âge, ils étaient de vrais anges.
• On a assez joué à ce jeu de con, si nous faisions un strip-poker.
• Il faut toujours que tu fasses des surenchères Benoît, nous savons tous que tu adores voir Valentine s’exhiber, la dernière fois, elle a fait exprès de perdre pour te satisfaire, pourquoi ne la fais-tu pas descendre pour qu’elle se mélange aux filles qui tapinent.
Jennifer embrasse nos amis, demain on part au Touquet, tes parents nous attendent à 12 heures au restaurant où nous allons manger des fruits de mer.

Tous partent, nous les regardons par la fenêtre, c’est à ce moment que l’un des macs arrive avec une camionnette à neuf places pour emmener les filles.

• Trop tard, ma chérie, elles sont parties, viens, j’ai deux billets de 100 dans ma poche, si tu me suces et que je te baise, ils sont à toi !

Une partie de la nuit est torride, de nombreux copains se plaignent que leurs femmes, quand elles sont devenues mère, oublient leur mec, moi c’est l’inverse depuis que Jules est né, j’ai du mal à suivre, elle n’en a jamais assez.
Le lendemain, nous récupérons nitre voiture dans un parking souterrain non loin de là où j’ai un box à l’année, il faut dire que je gagne suffisamment d’argent et mes beaux-parents sont aussi assez riches.
Laura a mis sa tenue en jean que j’adore, short ras sa jolie petite moule, débardeur qui me montre ses seins quand elle se penche en avant ce qui me fait invariablement bander, petit boléro, en jean lui aussi et talon haut.
Elle ressemble aux putes qui ornent le trottoir en face de chez nous.
Dans la journée, nous sommes à La Varenne Saint-Hilaire près de la piscine de mes beaux-parents, Jules fait sa sieste, je vais chercher le champagne et Laura va voir son fil, je la croise dans le couloir, je pose la bouteille sur un guéridon, vous allez voir comme elle est folle du cul, elle me saute au cou et nous nous embrassons comme peu de couple le fait.
Je passe ma main sur ma braguette, je l’ouvre, je sors ma queue, je la passe dans l’échancrure de son short et je la baise lui remplissant la chatte, j’espère que notre action si fougueuse quand je l’aide à monter et à descendre sur ma bite va nous amener dans notre foyer notre petite fille.

• Vous avez été bien long.
• Léon, on a été jeunes nous aussi.

Le soir, nous laissons Jules chez mes beaux-parents, demain nous partons une semaine en Grèce, arrivées devant chez nous, les putes sont encore là.
Le soir, nous laissons Jules chez mes beaux-parents, demain nous partons une semaine en Grèce, arrivées devant chez nous, les putes sont encore là.

• Chérie, souviens-toi, cap !

Laura ouvre sa portière et descend, je vais pour la rattraper, mais déjà elle commence à marcher au milieu des cinq autres filles, c’est à ce moment que derrière moi, on klaxonne.

• T’avance pauvre con, si tu veux aller aux putes, gare-toi.

Je suis obligé de démarrer, je tourne à droite, une nouvelle fois à droite, la rue est bloquée, à cette heure avancée, un camion livre la bière pour le lendemain matin dans un bistrot, inutile de klaxonner, je sais que le livreur fera exprès de prendre son temps.
Il repart au bout de cinq minutes, je fais le reste du chemin, Laura brille par son absence, je refais un tour, une nouvelle fois bloqué, arrivé devant les filles, Laura n’est plus là, elle a dû monter chez nous, par chance une place se libère, je me gare.
Dans une voiture en face de la mienne, un homme type gitan fume une cigarette, je le vois sortir et venir vers moi, je viens de couper le contact, il ouvre la porte arrière et monte.
Immédiatement, je sens une lame de rasoir sur ma gorge, il m’interpelle d’une voix à forte connotation étrangère.

• T’es gonflé mec, venir faire travailler ta gagneuse dans notre secteur, j’ai bien envie de te faire voir qui est Fredo, une blonde en plus, on a du mal à en trouver, tient voilà 10 000, je te la rachète, sinon.

Je sens la lame qui a dû entamer ma gorge, car je sens mon sang couler, il balance l’argent sur le siège avant, il descend, Laura vient de revenir, il la rejoint, l’emmène dans l’arrière vers un porche, il la plaque dans l’embrassure, je la vois qui regarde dans ma direction, elle pleure.
Je redémarre et je vais garer ma voiture, je me rends compte que j’ai laissé l’argent sur le siège avant, mais je m’en contre-fiche, je veux récupérer ma femme, le jeu de con à mal tourné, même si je dois reconnaître qu’elle a été au bout du cap puisque le maquereau ne l’a pas forcée.
Quand j’arrive au coin, la camionnette est là, le mac fait monter les filles, mettant la main aux fesses de mon épouse la poussant à l’intérieur.
Je les vois passer, Laura est assise à l’arrière, c’est la dernière fois que je la verrais.
Le lendemain matin, je vais à la police, je dépose une demande de recherche dans l’intérêt des familles, impossible de dire que par jeu, elle s’est prostituée et qu’un mac me l’a rachetée pour les 10 000 € que j’ai dans ma poche.
La police pense que ma femme a fugué et comme elle est adulte, elle va revenir, aucune enquête pour le moment n’est diligentée.

Le plus dur c’est de mentir à mes beaux-parents et à mon fils, le temps passe et comme je l’ai dit, j’ai l’argent, je pense à le brûler, mais je réalise que le fruit de notre connerie serait plus utile aux nécessiteux, je le dépose anonymement au secours populaire.

Dans les mois suivants, mes beaux-parents acceptent que leur fille soit partie, il m’en veule sans savoir pourquoi, je rencontre une autre Jennifer, ce qui me permet de récupérer mon fils malgré les misères que mes beaux-parents me font.
Un soir, nous sommes chez l’autre Jennifer, la mienne attend la petite fille que nous espérions avec Laura.

• À quoi pouvons-nous jouer ?

C’est Victor qui vient de parler.

• Tient recommençons à jouer à cap ou pas cap !
• Sans nous !