Titre de l'histoire érotique : COLLECTION ZONE ROUGE. Les dépravés (1/1) - histoire érotique

Je m’appelle Hubert et je suis mariée avec Gisèle depuis 20 ans, nous avons une fille Babette de Vingt et un ans qui fait des études de langues pour devenir interprète internationale.
Depuis quelque temps j’ai bien senti des changements dans le comportement de ma fille, il était fréquent que j’aille dans sa chambre dont la porte était toujours ouverte et nous passions de longs moments à discuter de son avenir, somme tous très normal pour une jeune fille de son âge avec son papa.
Un jour certains changements se faisant jour, un exemple, porte fermée à clef qu’elle ouvrait en m’ayant fait attendre, Gisèle me dit qu’elle était grande et qu’il était normal qu’elle prenne du recule par rapport à nous.
J’ai pris cela comme argent comptant et ne me suis plus inquiété.
Avec Gisèle, aucun problème, après vingt-deux ans nous avons des rapports classiques dans notre couple, nous baisons de manière fort classique et presque chaque fois elle jouit avant que je jouisse moi-même.
J’ai une petite entreprise qui tourne bien et qui nous permet d’avoir une vie facile comparée à d’autres couples de mes amis.
Parmi eux Robert garçon de mon âge témoin a mon mariage et qui est le parrain de Babette, il porte haut sa quarantaine très sportive, étant célibataire endurcit.

Aujourd’hui, je pars pour l’Espagne pour signer un contrat avec une société qui se sert des pièces mécaniques que je fabrique, à l’hôtel ou je suis descendue, je regarde un film sur mon portable, puis je vais sur un site ou je sais pouvoir voir des filles nues, j’aime me masturber surtout que Gisèle était absente hier au soir, sortie avec Nadia sa copine.
Gisèle sort de plus en plus souvent avec son amie, mais comme elle travaille toute la semaine elle peut se permettre de dépenser son argent en resto ou autre visite d’expositions ou de galeries d’art, je sais où elles vont, car fréquemment elle laisse traîner de petites affiches parlantes des dates où ils se tiennent.
À un moment je me retrouve sur un site où des femmes dialoguent avec des personnes derrière leur écran, j’ai déjà regardé, mais pour la première fois j’ai une impression fugace, la jeune femme qui est derrière la Cam ressemble étrangement à ma fille Babette, mais j’ai à peine le temps d’avoir ce sentiment que le réseau est coupé la jeune femme étant passée en show privé.
J’attends relançant fréquemment le site et la photo figée ne m’apportant aucune certitude, jusqu’au moment où elle revient m’apportant la preuve que c’est ma fille qui s’exhibe dans sa chambre.
Je reconnais une partie de la pièce et surtout un coin mal caché de la tapisserie du drap blanc qu’elle a tendu derrière elle.
Elle est en string avec bas résille et porte-jarretelles les seins nus, je les connais, car chaque été depuis dix ans la première quinzaine d'aoûts nous louons une villa sur l’île d’Oléron.
Elles se font bronzer sur la terrasse les seins nus malgré la présence de Robert qui loue avec nous et qui a une chambre non loin de la nôtre.
Pendant ces vacances je pars en mer tous les jours de beau temps étant passionnés de pêche aux gros, mon pote refusant de venir souffrant du mal de mer.

Je me demande quelle position je dois adopter, la fiche qu’elle a déposée me précise que c’est une femme parlant en Russe, Espagnole, Italien et Anglais, toutes des langues travaillées en fac.
Pour preuve que j’ai bien affaire à un Française s’est notre drapeau qui est sous sa photo.
Je tape une phrase bateau, mais je suis bloqué, car je n’ai pas pris de jetons, comme elle repasse en mode show, je laisse tomber mais me posant bien des questions, la fermeture de sa porte à double tour serait peut-être la cause lui permettant d’enlever les preuves de ce qu’elle fait tel le drap blanc.
À y bien réfléchir, les dernières fois où j’ai essayé de lui parler, elle était en peignoir chaque fois recouvrant certainement sa tenue sexy si l’on peut dire.

Le lendemain je suis de retour et dans la discrétion de mon bureau je me loge sur les webcams coquines, je reconnais des filles vues la veille mais aucune trace de Babette, ce qui me rassure voyant qu’aucune autre Françaises ne s’exhibe.
Je regarde les conditions d’embauche pour les modèles et je m’aperçois qu’elles peuvent être invisibles de leur pays d’origine.
Je croise plusieurs fois Babette qui se garde bien de me dévoiler l’activité parallèle qu'elle exerce, je regarde plusieurs fois par jour sans qu’elle soit là, je vais même jusqu’à mettre mon oreille sur sa porte, elle parle et répond en plusieurs langues sans que je puisse dire le sens de ses conversations.

Le lundi qui suit je dois aller en Italie ou notre nouvelle production semble intéresser des acheteurs d’une société deux fois plus grande que celle de celle dont j’ai signé un contrat lucratif la semaine dernière.
Dès le soir je vais voir si Babette est en ligne, c’est le cas, allez savoir pourquoi je me suis logé sous le pseudo Robert alors qu’elle se fait appeler « bébé 74 ».
La conversation s’engage en tapant sur mon clavier l’entendant parlé et en reconnaissant sa voix, mais je suis à nouveau bloqué, je commande pour 100 € de jetons et je retourne tchaté comme le dit ma fille du temps où il y avait un dialogue entre nous.

• Bonjour Robert, vous vous appelez comme mon parrain.
• Dès Roberts il y en a beaucoup, est-il sympa ?
• Pour être sympa il est sympa, il adore certains membres de notre famille.
• Que voulez-vous dire part là ?

J’ai failli la tutoyer naturellement, que veut-elle dire par, "il adore certains membres de notre famille" .
Difficile de trouver la bonne question, le plus dur c’est d’éviter qu’elle ne se dénude devant moi-même par clavier interposé.

• J’aimerais dialoguer avec toi, 50 jetons peut-on passer en mode privé !
• Non, minimum 100 jetons sans problème.

Elle va me coûter un max, mais je suis trop engagé pour reculer.

• Voilà c’est fait, avez-vous une webcam et un micro ?
• Non, le système est cassé, j’aurais bien aimé que tu me vois, mais je t’entends.
• Tu as raison, tutoyons-nous, c’est plus sympa, tu veux voir ma chatte.
Vous êtes à l’étranger, car j’ai bloqué la France et vous me voyez et m’entendez.

Je manque de dire en Italie, mais je me rattrape, elle sait que je suis dans ce pays et je me garde bien de répondre à sa question sur sa chatte.

• En Allemagne, je suis professeur de français.

J’évite d’en dire trop, j’ignore comment le système fonctionne et si elle peut voir d’où vient mon appel, je décide de prendre l’offensive.

• Comme nous sommes entre nous, je voudrais savoir ce que tu voulais dire quand j’ai dit mon nom et que tu as que Robert aimait certains membres de ta famille.
• C’est un secret, mais comme nous après ces quelques mots il y a peu de chance que nous nous rencontrions, alors que c’est drôle, mon parrain est l’amant de ma mère et il l’a entraîné à devenir escorte girl, il en a fait une pute, ce soir elle est partie se faire deux clients en même temps.

J’aurais un cœur fragile, je serais mort, ce salaud de Robert me cocufie et prostitue ma femme.

• Robert, c’est un salaud, mais tu as parlé de membres de ta famille.
• Avant que j’apprenne ce que je viens de te dire, nous étions en vacances, un soir il est venu en boîte avec moi et à la sortie nous sommes allées sur la plage et il m’a dépucelé.
• Mais c’est un fumier ce mec, il mériterait de ramasser une balle dans la peau.
• D'autant plus qu’il a voulu que moi aussi je devienne escorte.
• Mais en t’exposant comme tu le fais, indirectement tu te prostitues.
• Tu as raison, ce doit être de famille.
Bon je coupe ton temps est terminé, à moins que tu remettes des jetons, c’est sympa de parler avec toi, je fais du fric sans rien faire.
Tu es ou en France, on pourrait se voir, es-tu vieux comme parrain ?

Je me vois mal parti aussi, je coupe le portable, les révélations que ma fille vient de me faire me rendent malade.
Sans attendre mon rendez-vous je rentre en France, j’arrive non loin de la maison de ce fumier de Robert, j’attends à peine une heure remontée comme un coucou, au moment où il passe à pied devant moi, je le suis et quand je le peux entre deux arbres, j’accélère ayant le plaisir de sentir ses os craquer sous mes pneus.
Si elle le désire, ma femme et ma fille suivront son cercueil, j’ai attendu tranquillement la police et depuis j’attends mon jugement même si l’on reconnaît des circonstances atténuantes malgré la préméditation ayant raconté à la police que ma femme et ma fille sont devenues, les putes de celui qui est mort sous mes roues.
Pour vivre heureux, vivons caché, la prison est un très bon endroit.