Titre de l'histoire érotique : Femme BCBG, escorte, non, pute… (139) - histoire érotique

Les enchères ont été largement supérieures à ce que j’espérais, un exemple, j’avais vendu mon anus à Igor pour 10 000 € alors qu’Ophélie, la copine de ma petite Katia vient de vendre le sien à Miroslav un homme d'affaires russe pour 50 000 €.
Katia quant à elle vient de suivre attachée par la laisse offerte par Igor avec le collier blanc en diamant comme les miens, mais les pierres moitiés moins grosses que celle que je touche en ce moment en entrant dans la chambre puis dans la pièce attenante.

Télé, télé, télé et encore Télé, un vrai mur de télévision et au milieu de la pièce un pupitre avec un fauteuil semblant confortable.

• Tu me dois ton cul à l'œil mon amour, tu voulais être une petite souris, je t’offre de l’être grâce au système vidéo mis en place pendant la guerre froide.
Il permettait aux hommes et aux femmes de savoir bien des secrets sur les personnes importantes qui descendaient obligatoirement ici, ils avaient été démontés surtout la pièce ici où tous avaient été enlevés.
Comme toujours à Moscou ceux qui ont été chargés de ce travail l’on fait à moitié pour partir sur un autre chantier plus rapidement, dans les chambres, ils avaient enlevé les caméras très bien camouflées et d’une qualité moyenne.
Quand nous avons racheté l’hôtel, nous avons constaté qu’un étage seulement sur les cinq avait encore tous le câblage, nous avons réinstallé des caméras plus performantes et nous avons reconstruit cette pièce.
Virginie qui par mon intermédiaire a acquis cet hôtel pour comme elle l’a fait à Paris diversifier ses activités, en passant il lui a permis de blanchir toutes les passes qu’elle faisait avec les nombreux clients qu’elle avait ici.
J’en faisais partie et contrairement à ce simple professeur de français veuf que vous avez rencontré sur la place rouge, j’étais amoureux, un amoureux déçu au début, mais qui s’est vite consolé quand je t’ai vu.
Virginie a vite vu l’utilité de cet étage pour l’organisation qu’elle a créée rejointe par plusieurs personnes dont tu connais la plupart des membres, il sert principalement à contrôler si les filles sont réglos sur les capotes et la boisson.
• Peut-on voir les images ?
• Bien sûr, petite souris regarde.

Il appuie sur un bouton et un écran s’allume, je constate que Marie-Ange est déjà au travail, ils sont tous dans une chambre que je reconnais, c’est là qu’avec Virginie encore active, nous avons tapiné et reçut Dimitri, Andreï sans oublier Igor qui sur ce lit m’a pris mon pucelage anal.
Marie-Ange est agenouillée devant Dimitri et avale la bite que j’ai moi-même sucée il y a peu, quand je repense à mon parcours.

• Igor, j’aime bien ses trois filles, c’est moi qui les ai enrôlées, mais tu sais que c’est Katia qui ait la principale vedette de notre voyage.
• Oui, je branche la chambre des jumeaux.
Je me suis trompé, c’est la chambre où se trouve Ophélie, attend, je branche celle des jumeaux, ce n’est pas de chance, l’écran reste noir.
Tiens, écoute ce que dit Ophélie, elle semble embarrassée.

Il tourne un bouton, nous avons l’image et nous entendons Ophélie, assise sur le lit Miloslav à ses côtés.

• Excusez, Monsieur, je vais aller voir l’ami de Christine, la jeune femme qui nous accompagne, il est impossible pour moi de passer à l’acte et de vendre mon corps même pour cette grosse somme d’argent.

Joignant le geste à la parole, elle enlève son collier qu’elle pose sur le lit avec la laisse.

• Je vous comprends, Mademoiselle, c’est une décision que vous aurez à assumer à chaque moment de votre vie, certaines femmes dont toutes vos amies l’assument facilement, je respect votre souhait.

En disant ces mots, il lui prend les mains qu’il porte à sa bouche et qu’il embrasse.

• C’est dommage que nous soyons partis sur une fausse base, vous êtes fort séduisant, si je vous avais rencontré dans d’autres circonstances, j’aurais pu être votre amie.
• Aurions-nous pu faire l’amour ?
• J’ai peu d’expérience du sexe, il y a quelques jours que je suis allé sur la plage de la ville que j’habite dans la Charente-Maritime, le garçon qui m’accompagnait est venu me faire l’amour, j’étais contente de perdre mon pucelage.
Il venait d’entrer en moi quand plusieurs personnes sont passées près de nous en courant dans la pénombre, j’ai pris peur et je me suis sauvé.
Le sang sur ma petite culotte m’a fait prendre conscience que je n’étais plus vierge, mais peut-on dire que je sais ce qu’ait l’amour physique.
• Si je t’embrasse et si nous laissons tomber l’histoire de la sodomie, acceptes-tu que je te prenne dans mes bras et que je t’embrasse ?
• Oh ! Oui.

Il le fait et je vois Ophélie embrasser cet homme, à un moment, il l’a couche en arrière et elle se laisse faire, il passe sa main sur ses seins, Igor fait un zoom à la caméra la mieux placée et je vois qu’elle a la chair de poule.
Miroslav, la redresse, lui ôte ses vêtements pendant qu’elle dégrafe son pantalon.

• As-tu déjà sucé un homme ?
• Oui, je l’ai fait à mon camarade sur la plage, vous voulez que je vous suce.
• J’aime le tutoiement dans ta langue, j’adorerais que tu le fasses sans que je te l’impose, il va de soi.

Ophélie s’agenouille, prends la verge et commence à léchouiller le gland avant de le prendre complétement en bouche.
C’est le moment où le réseau dans la chambre où vivent les jumeaux semble remarcher, mais il coupe pour revenir, Igor touche un bouton et tout se stabilise.
Incroyable, la petite est dans une sorte de cabine, une guitare électrique en main, Igor tourne un bouton et nous entendons les accords que les trois jouent, l’un des jumeaux est à la batterie et son frère comme Katia à une guitare.

• C’est bon, tout est réglé, on attaque « Noir, c’est noir ».
One, deux, trois.

Katia chante, elle connaît la chanson de Johnny par cœur, je regarde sur l’écran n°1 celui des trois grâces, Véronique est sur le tapis prise en double pénétration par Andrei et Sergei, elle y va fort dès le début de la soirée, Valériane et Marie-Ange se font brouter par Rolan et Dimitri.
J’ai l’impression de regarder des films pornos sur divers écrans, quand dans ma villa à Saint-Palais, Johnny Biroute faisait des retours arrière sur ce qu’il avait tourné dans la journée sur sa caméra, l’effet n’était pas le même que sur ces écrans de plus d’un mètre.

• Christine regarde à voir les filles faire l’amour, je bande, vient m’aider à me soulager.

En faisant cela, il tire sur ma laisse qu’il a gardée en main, me rappelant que, lorsqu’elle est attachée à mon mousqueton, je dois être la chienne de celui qui la détient.

• Assieds-toi sur ce siège et fait le pivoter, je veux garder un œil sur les écrans, les anciennes sont égales à elles-mêmes, leurs clients vont être satisfaits, mais Ophélie a des difficultés à devenir ce que nous sommes.
Quant à Katia, je vois mal Johnny Hallyday dépuceler la petite comme elle s’est promis de le faire en venant ici, ce qui me rassure, c’est que ce sont ses clients qui lui font faire de la musique, ils ne viendront pas se plaindre.

Je vois sur le côté en prenant la verge de mon amant en bouche, heureusement que je suis dans cette pièce simplement pour son plaisir, car comme pute professionnelle ma décontraction serait mal venue.
Au bout d’une longue fellation, il me fait me redresser et profitant que ma chatte comme à mon habitude est dénudée, il fait pivoter son siège me replaçant face aux écrans et me fait m’empaler avec délice sur sa verge.
Je me sers des accoudoirs pour me lever et me laisser retomber, me faisant remplir le vagin, cela n'est plus arrivé depuis quelque temps.
Voyons où en sont les petites, j’ai à portée de main les boutons, il est difficile de me concentrer sur les manettes en même temps qu’un frisson me parcourt, mes mains ne peuvent plus m’aider et ce sont les bras musculeux de mon amant qui prennent le relais pour me faire monter et descendre.
Miroslav a fait coucher Ophélie sur le lit ses jambes étant dans le vide, il a pris la place entre ses jambes, qu’elle redresse pour mieux écarter cette jolie petite chatte que j’ai eue tellement le plaisir de soulager et de pénétrer avec ma langue, son clito est bien gonflé, il attend pour lui donner du plaisir.
Je pousse comme l’a fait Igor, la caméra avance et avant que la tête de Miloslav la cache, j’ai une vision de sa fente qui semble baver d’envie.
Je reprends les accoudoirs, car même si Igor est une force de la nature, je sens qu’il fatigue, une fois de plus si la faible femme ne vient pas l’aider, sauf me faire changer de position, c’est moi qui l’aide.
À ton fait de la transmission de pensées, il me pousse pour que je me dresse, il se lève derrière mon dos me pousse vers l’avant défait mon chemisier et me couche les seins sur les boutons de la console.
Il me sodomise comme j’aime qu’il le fasse et comme j’aurais aimé qu’Ophélie l’accepte, la pointe d’un de mes seins pousse en avant arrière l’une des manettes au rythme de ses coups de boutoirs, c’est celui du son dans la cabine d’insonorisation où les jeunes jouent qu’un phénomène de larsen se fait entendre.
Ça oblige les trois musiciens à porter leurs mains au casque sur leurs oreilles.
Le guitariste des deux frères parle en russe.

• Il vient de dire qu’il en a assez de risquer de devenir sourd chaque fois qu’il y a un coup de larsen, dès qu’ils vont être partis, c’est une des améliorations que nous allons apporter à l’installation dans quelques jours.
Redresse-toi, là c’est toi qui as déclenché ce désagrément.

Au-dessus de ces écrans, il y a une pendule, au moment où j’ai un orgasme anal, je m’aperçois qu’il est bientôt 23 heures.
Les trois s’arrêtent de jouer, j’espère qu’ils vont passer à la phase dépucelage, mais c’est le batteur qui à son tour prend la parole.

• Katia, sais-tu déchiffrer une partition ?
• Oui, j’ai fait du solfège.
• Nous allons jouer l’un de nos morceaux, la partition est devant toi sur ton pupitre.

C’est comme cela que pendant qu’Ophélie est prise dans la position du missionnaire par Dimitri et quand je pousse la nanette avec un sigle qui doit vouloir dire « Son » identique à celui qui a déclenché le larsen dans la chambre voisine, je l’entends chanter son plaisir.
Je suis satisfaite, Miroslav même s’il n’a pas eu son anus aura rempli sa capote en poussant, lui aussi un cri de plaisir…