Titre de l'histoire érotique : Je suis une femelle salope 1 - Je bouffe le cul d’un inconnu
Récit érotique écrit par Perruche77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Je suis une femelle salope 1 - Je bouffe le cul d’un inconnu
JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 1 – JE BOUFFE LE CUL D’UN INCONNU Je suis un homme bi, exclusivement passif dans mes rencontres. Depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours éprouvé une jouissance extrême à toucher mon petit trou et y à introduire quelque chose. Jeune, je me doigtais et sentais ensuite mon odeur, puis je me suis mis à m’introduire divers objets de petite taille, règle, stylo, etc.…
En grandissant, ce furent des légumes déjà plus importants (aubergine, courgette) Et vint le jour où je découvris la pénétration par une vraie queue, un travesti rencontré dans Paris faisant du stop, du moins c’est ce que je pensais en m’arrêtant pour faire monter une charmante jeune fille Porte Maillot. La surprise fut totale dans la chambre dans laquelle nous nous retrouvâmes mais surprise de courte durée car il m’embrocha assez rapidement et jouit dans mon cul pendant que je me caressais. Ce fut une révélation même si j’adore faire l’amour avec une femme, car depuis, mes jouissances avec sodomie passive sont d’une force rarement éprouvée en pénétrant une chatte, disons très différentes. Mais ma découverte des joies d’être sodomisé fera l’objet d’un autre récit.
J’adore me donner à des inconnus, rencontrés sur des sites gay, afin de les faire jouir en moi et ensuite de jouir à mon tour s’ils le désirent. En général, un bon engodage me convient, quelquefois je rencontre une âme charitable qui me fiste, mais cela fera l’objet d’un autre chapitre.
Ce jour, je suis allé chez un homme d’une cinquantaine d’années, rencontré sur un site gay. A l’arrivée, heureuse surprise, la maison est magnifique et mon hôte mince, bien élevé, bref des prémices encourageantes.
Il me fait rentrer dans son salon et m’explique que sa femme ne rentrant qu’en fin d’après-midi, nous avons une bonne heure pour nous amuser ensemble.
Je me déshabille et commence à me doigter devant lui tout en me caressant la bite… il se déshabille à son tour et s’allonge sur le dos sur le canapé. Sa bite est de taille normale, le prépuce laisse voir un joli gland et quelques gouttes d’excitation…. hummmm miam-miam.
Je m’accroupis devant lui, entre ses jambes et entreprend de lui lécher les couilles tout en le caressant. Il a l’air d’apprécier, et encore plus lorsque je commence à les lui gober. Il sent bon le mâle, propre mais odeur forte et virile qui m’excite. Je le lèche puis le suce délicatement, d’abord sur la tige puis je prends sa queue en bouche pour lui faire du bien. Je pompe, je pompe, tout en lui serrant la base de la queue, il commence à bander, je me doigte en même temps.
Au bout de quelques minutes, je lui fais relever les jambes plus haut et ma langue descend sur ses couilles puis plus bas, il grogne, j’ai trouvé le point sensible.
Ma langue descend franchement et j’embrasse son petit trou, bien serré, tout le contraire du mien. Il sent bon de là aussi et comme j’aime cette caresse et l’apprécie sur moi, je me mets à le lécher furieusement tout en le branlant pour le faire durcir… j’ai tellement envie de le prendre entre mes fesses…
Quand sa bite est bien dure, je me redresse, lui enfile une capote et me plaçant en levrette, je l’encourage à me fourrer dans ma chatte. Il ne se le fait pas dire deux fois et m’encule d’une traite, le délice, une bonne bite bien dure dans mon trou d’amour.
Il m’enfile un bon moment, jouis en moi et quand il débande un peu, sort de mon ventre et me demande de lui bouffer le cul à nouveau pour le refaire jouir… un amateur, ça ne se refuse pas, je recommence donc à lui lécher la rondelle tandis qu’il se branle et youpi, il recrache son foutre quand je commence à le pénétrer par des va-et-vient de ma langue dans son anus.
Je lui demande ensuite la permission de me goder, il acquiesce mais devant l’intérêt moyen du public, j’arrête rapidement sans jouir, me rhabille et nous quittons en nous promettant de nous revoir.
En sortant, j’ai une pensée reconnaissante envers sa femme qui n’aime pas lui lécher la rondelle et grâce à qui j’ai fait sa connaissance pour satisfaire son penchant coupable.
En grandissant, ce furent des légumes déjà plus importants (aubergine, courgette) Et vint le jour où je découvris la pénétration par une vraie queue, un travesti rencontré dans Paris faisant du stop, du moins c’est ce que je pensais en m’arrêtant pour faire monter une charmante jeune fille Porte Maillot. La surprise fut totale dans la chambre dans laquelle nous nous retrouvâmes mais surprise de courte durée car il m’embrocha assez rapidement et jouit dans mon cul pendant que je me caressais. Ce fut une révélation même si j’adore faire l’amour avec une femme, car depuis, mes jouissances avec sodomie passive sont d’une force rarement éprouvée en pénétrant une chatte, disons très différentes. Mais ma découverte des joies d’être sodomisé fera l’objet d’un autre récit.
J’adore me donner à des inconnus, rencontrés sur des sites gay, afin de les faire jouir en moi et ensuite de jouir à mon tour s’ils le désirent. En général, un bon engodage me convient, quelquefois je rencontre une âme charitable qui me fiste, mais cela fera l’objet d’un autre chapitre.
Ce jour, je suis allé chez un homme d’une cinquantaine d’années, rencontré sur un site gay. A l’arrivée, heureuse surprise, la maison est magnifique et mon hôte mince, bien élevé, bref des prémices encourageantes.
Il me fait rentrer dans son salon et m’explique que sa femme ne rentrant qu’en fin d’après-midi, nous avons une bonne heure pour nous amuser ensemble.
Je me déshabille et commence à me doigter devant lui tout en me caressant la bite… il se déshabille à son tour et s’allonge sur le dos sur le canapé. Sa bite est de taille normale, le prépuce laisse voir un joli gland et quelques gouttes d’excitation…. hummmm miam-miam.
Je m’accroupis devant lui, entre ses jambes et entreprend de lui lécher les couilles tout en le caressant. Il a l’air d’apprécier, et encore plus lorsque je commence à les lui gober. Il sent bon le mâle, propre mais odeur forte et virile qui m’excite. Je le lèche puis le suce délicatement, d’abord sur la tige puis je prends sa queue en bouche pour lui faire du bien. Je pompe, je pompe, tout en lui serrant la base de la queue, il commence à bander, je me doigte en même temps.
Au bout de quelques minutes, je lui fais relever les jambes plus haut et ma langue descend sur ses couilles puis plus bas, il grogne, j’ai trouvé le point sensible.
Ma langue descend franchement et j’embrasse son petit trou, bien serré, tout le contraire du mien. Il sent bon de là aussi et comme j’aime cette caresse et l’apprécie sur moi, je me mets à le lécher furieusement tout en le branlant pour le faire durcir… j’ai tellement envie de le prendre entre mes fesses…
Quand sa bite est bien dure, je me redresse, lui enfile une capote et me plaçant en levrette, je l’encourage à me fourrer dans ma chatte. Il ne se le fait pas dire deux fois et m’encule d’une traite, le délice, une bonne bite bien dure dans mon trou d’amour.
Il m’enfile un bon moment, jouis en moi et quand il débande un peu, sort de mon ventre et me demande de lui bouffer le cul à nouveau pour le refaire jouir… un amateur, ça ne se refuse pas, je recommence donc à lui lécher la rondelle tandis qu’il se branle et youpi, il recrache son foutre quand je commence à le pénétrer par des va-et-vient de ma langue dans son anus.
Je lui demande ensuite la permission de me goder, il acquiesce mais devant l’intérêt moyen du public, j’arrête rapidement sans jouir, me rhabille et nous quittons en nous promettant de nous revoir.
En sortant, j’ai une pensée reconnaissante envers sa femme qui n’aime pas lui lécher la rondelle et grâce à qui j’ai fait sa connaissance pour satisfaire son penchant coupable.
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Une vraie pute a mâles
