Titre de l'histoire érotique : Je suis une femelle salope 15 - Fisté par un travesti
Récit érotique écrit par Perruche77 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Je suis une femelle salope 15 - Fisté par un travesti
JE SUIS UNE FEMELLE SALOPE 15 – FISTÉ PAR UN TRAVESTI
La semaine dernière, n’ayant pas été fisté depuis quelques mois, j’étais en manque et j’ai décidé de demander ce service à un travesti de mes connaissances. Je le rencontre d’habitude pour qu’il me bouffe le cul, chose qu’il adore, étant très porté sur le scato.
Arrivé chez lui, je me déshabille, chose que je fais très rapidement car je ne porte ni sous-vêtements ni chaussettes, cela m’excite de sortir ainsi dans la rue. En plus, ainsi, je suis tout de suite disponible pour me donner à mon partenaire.
Une fois nu, nous rentrons dans la chambre et il entreprend de me caresser les tétons que j’ai très sensibles. Visiblement il sait y faire car ils se dressent bientôt sous sa main. Je ne reste pas inactif et le caresse aussi.
Puis il me fait coucher sur dos sur son lit, les fesses près du bord et s’agenouille entre mes jambes que je relève aussitôt pour bien m’offrir.
Il se jette littéralement sur ma queue et me suce goulûment. Moi qui ne suis pas très friand de la pipe, je sens ma queue se dresser peu à peu entre ses lèvres. En même temps qu’il gobe ma queue, ses doigts caressent mon anus et mes couilles et je ne sais ce qui est le plus agréable, en tout cas je commence à gémir et à me tortiller de plaisir.
Au bout de quelques minutes, je n’en peux plus et lui demande de s’occuper de mon petit trou :
« Bouffes moi le cul, lèche ma chatte, s’il te plaît ! »
Il lâche ma queue et sa langue descend dans ma raie, humecte ma rosette et il me lèche amoureusement mon trou. C’est ma caresse préférée, je deviens fou de plaisir lorsqu’on me la donne et cela ne rate pas, je commence à gémir, à crier de plaisir tout en me branlant furieusement.
Il me bouffe le cul pendant un temps trop court à mes yeux puis décide de passer aux choses sérieuses : me rentrer sa main dans le cul.
Il enfile un gant et le badigeonne de lubrifiant. Ensuite, c’est ma rosette qui est à son tour bien enduite. Puis il me rentre un doigt puis deux, puis trois.
« Tu es bien large ma chérie »
« Vas-y, rentre ta main, défonce moi la chatte ! »
Il ne se fait pas prier et commence à introduire sa main entière dans ma chatte. Je pousse, je pousse, comme si j’étais à la selle et peu à peu sa main me pénètre. En même temps, je me branle, de plus en plus vite, tellement c’est bon. Mais j’en veux plus, je le veux tout au fond de moi, et je l’encourage :
« Plus fort, plus profond, rentre bien, fouille moi bien ! »
Arrivé au niveau du pouce, il stoppe son avancée :
« C’est trop gros, je ne peux pas aller plus loin » «Vas-y, défonce moi, je veux te sentir dans mon ventre »
Et je pousse de plus en plus, j’avance mes fesses vers lui, sur sa main, de son côté il pousse aussi et enfin, sa main toute entière rentre dans mon ventre.
Là je suis aux anges, ma queue est toute dressée entre mes doigts, je sens sa main me fouiller, je sens mon plaisir monter comme à chaque fois qu’on me dilate bien, et je hurle :
« Oh oui, plus fort, plu fort, fouille moi, je vais jouir ! »
Il me défonce de plus en plus fort, sa main entre et ressort de mon cul comme un piston et d’un coup, j’éjacule en hurlant, j’asperge mon ventre, mes cuisses de sperme.
Quelques instants plus tard, je lui demande de se retirer doucement, ce qu’il fait ; mon anus reste tout ouvert, il me le fait remarquer, je le rassure :
« T’en fais pas, il va se refermer peu à peu, j’ai l’habitude »
Une fois ma toilette faite, je l’embrasse sur la bouche, tendrement, en le remerciant pour le plaisir qu’il m’a procuré et je le quitte.
La semaine dernière, n’ayant pas été fisté depuis quelques mois, j’étais en manque et j’ai décidé de demander ce service à un travesti de mes connaissances. Je le rencontre d’habitude pour qu’il me bouffe le cul, chose qu’il adore, étant très porté sur le scato.
Arrivé chez lui, je me déshabille, chose que je fais très rapidement car je ne porte ni sous-vêtements ni chaussettes, cela m’excite de sortir ainsi dans la rue. En plus, ainsi, je suis tout de suite disponible pour me donner à mon partenaire.
Une fois nu, nous rentrons dans la chambre et il entreprend de me caresser les tétons que j’ai très sensibles. Visiblement il sait y faire car ils se dressent bientôt sous sa main. Je ne reste pas inactif et le caresse aussi.
Puis il me fait coucher sur dos sur son lit, les fesses près du bord et s’agenouille entre mes jambes que je relève aussitôt pour bien m’offrir.
Il se jette littéralement sur ma queue et me suce goulûment. Moi qui ne suis pas très friand de la pipe, je sens ma queue se dresser peu à peu entre ses lèvres. En même temps qu’il gobe ma queue, ses doigts caressent mon anus et mes couilles et je ne sais ce qui est le plus agréable, en tout cas je commence à gémir et à me tortiller de plaisir.
Au bout de quelques minutes, je n’en peux plus et lui demande de s’occuper de mon petit trou :
« Bouffes moi le cul, lèche ma chatte, s’il te plaît ! »
Il lâche ma queue et sa langue descend dans ma raie, humecte ma rosette et il me lèche amoureusement mon trou. C’est ma caresse préférée, je deviens fou de plaisir lorsqu’on me la donne et cela ne rate pas, je commence à gémir, à crier de plaisir tout en me branlant furieusement.
Il me bouffe le cul pendant un temps trop court à mes yeux puis décide de passer aux choses sérieuses : me rentrer sa main dans le cul.
Il enfile un gant et le badigeonne de lubrifiant. Ensuite, c’est ma rosette qui est à son tour bien enduite. Puis il me rentre un doigt puis deux, puis trois.
« Tu es bien large ma chérie »
« Vas-y, rentre ta main, défonce moi la chatte ! »
Il ne se fait pas prier et commence à introduire sa main entière dans ma chatte. Je pousse, je pousse, comme si j’étais à la selle et peu à peu sa main me pénètre. En même temps, je me branle, de plus en plus vite, tellement c’est bon. Mais j’en veux plus, je le veux tout au fond de moi, et je l’encourage :
« Plus fort, plus profond, rentre bien, fouille moi bien ! »
Arrivé au niveau du pouce, il stoppe son avancée :
« C’est trop gros, je ne peux pas aller plus loin » «Vas-y, défonce moi, je veux te sentir dans mon ventre »
Et je pousse de plus en plus, j’avance mes fesses vers lui, sur sa main, de son côté il pousse aussi et enfin, sa main toute entière rentre dans mon ventre.
Là je suis aux anges, ma queue est toute dressée entre mes doigts, je sens sa main me fouiller, je sens mon plaisir monter comme à chaque fois qu’on me dilate bien, et je hurle :
« Oh oui, plus fort, plu fort, fouille moi, je vais jouir ! »
Il me défonce de plus en plus fort, sa main entre et ressort de mon cul comme un piston et d’un coup, j’éjacule en hurlant, j’asperge mon ventre, mes cuisses de sperme.
Quelques instants plus tard, je lui demande de se retirer doucement, ce qu’il fait ; mon anus reste tout ouvert, il me le fait remarquer, je le rassure :
« T’en fais pas, il va se refermer peu à peu, j’ai l’habitude »
Une fois ma toilette faite, je l’embrasse sur la bouche, tendrement, en le remerciant pour le plaisir qu’il m’a procuré et je le quitte.
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