Titre de l'histoire érotique : Marie - Épisode 20 . 2 – Pauline à la ferme
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Marie - Épisode 20 . 2 – Pauline à la ferme
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Cello a prévu de consacré ce dimanche à Marie, aussi dès 8 heures, il vient la réveiller et la détacher. Il la conduit à la cuisine pour leur petit-déjeuner. Elle demande si elle va encore rester longtemps ainsi sans pourvoir faire l'amour, ni même se caresser. Cello la rassure en lui disant que bientôt, elle sera rassasiée et gavée de sexe en tout genre.
Après le petit-déjeuner, Cello lui mets sa laisse et l'emmène dehors et plus précisément au fond du jardin, près du tas de déchets de composte pour qu'elle fasse ses besoins. Puis il l'attache entre les deux poteaux situé sur la dalle de béton. Marie se retrouve écarteler.
Cello enclenche la caméra et entreprend de faire la toilette de Marie. Il l'arrose avec le jet d'eau, puis il prend une brosse de WC en silicone et entreprend de lui nettoyer la chatte puis l'anus. Si la brosse entre sans trop de difficulté dans le sexe de Marie, il est obligé de prendre une brosse plus petite et forcer très durement pour faire pénétrer l'instrument dans le fion de Marie. Elle hurle de douleur, mais enfin son cul accepte la brosse. Cello fait tourner la brosse dans le fondement de Marie, puis après deux ou trois vas et viens, il retire la brosse.
C: « Voila ! Maintenant tu as le cul propre. Il introduit l'embout du tuyau dans ces orifices pour bien les rincer, et il la laisse ainsi le temps pour lui de ramasser ses crottes. Puis il la détache pour lui faire faire de l'exercice.
Il fais marcher Marie en l'obligeant à bien lever bien les genoux, car elle a besoin de faire du sport, après être rester inactive pendant plusieurs jours. Après une bonne heure de marche, il lui permets de s'asseoir un quart d'heure et de se désaltérer.
Puis, nouvel exercice, cette fois-ci, c'est à 4 pattes que Marie doit marcher devant Cello, alors qu'il la regarde allongé sur un transat.
Cello lui permets ensuite de se reposer pendant qu'il prépare le repas. Une grillage sur le barbecue et une salade verte. Il fait simple pour pouvoir surveiller sa petite chienne. Le repas terminé, elle a le droit de venir entre les jambes de Cello prendre sa dose de sperme.
L'après-midi, le programme est le même et s'est épuisée que Marie retourne dans la chambre pour y être de nouveau attachée. Elle s'endort très rapidement.
Le lendemain, alors que Marie dort encore Cello appelle Pauline au téléphone :
P : « Allô ! »
C : « Bonjour ma pute ! Je viens te chercher dans une heure environ ! Habille-toi, juste d'une petite robe courte sans rien dessous! »
Et il raccroche sans lui laisser le temps de réagir.
Puis il nourrit et sors Marie avant de la rattacher pour accueillir Pauline.
Avant l'arrivée de Pauline, il regarde dans sa boîte aux lettres et prend l'enveloppe qui si trouve. Aucune indication sur l'expéditeur ne figure sur l'enveloppe, aussi il s'empresse de l'ouvrir et découvre un courrier d'Henri. Et voici ce qu'il lit :
[ Moi Henri x ......
En signant ce présent document, je donne à monsieur Cello, tous les droits sur ma femme Pauline. Monsieur Cello aura tous les droits sur la vie sexuelle de mon épouse.
Je n'aurais plus le droit d'avoir des relations sexuelle avec elle , et ne pourrais la voir que le week-end, à la condition que monsieur Cello n'en ai pas lui-même besoin.
J'autorise d'autre part, mon épouse à suivre un stage intensif sous l'autorité de monsieur Cello, ce stage pourra durée plusieurs semaines. Pendant ce stage, elle ne pourra pas venir me rendre visite le week-end et monsieur Cello pourra lui faire subir les transformations physiques qu'il juge utile pour son épanouissement sexuel.
Je m'engage à subvenir à tous les besoins matériels et financiers de mon épouse, et régler le montant de ce stage qui s'élève à la somme de 2000 euros par mois.
Contrat fait en double exemplaire
le xx/xx/xxxx
Henri X]
Lorsque celle-ci arrive, elle sourit à Cello, mais celui-ci la sens tendue. Il l'embrasse, la câline et alors qu'elle se décontracte, il lui retire sa robe et l'entraîne dehors au fond du jardin. Elle lui sert la main de plus en plus fort, elle s'inquiète ne sachant pas ce qui l'attend.
Une fois arrivée sur la dalle en béton, près du tas de compost, Cello lui met des bracelets en cuir munis d'anneaux aux poignets et aux chevilles. Elle s'inquiète et demande :
« Monsieur Cello, qu'allez-vous faire ? »
Pour toute réponse, il la fait se coucher sur le dos au milieu de la dalle, et attache ses poignets aux crochets scellés dans celle-ci. Il fait de même avec ses chevilles. Elle est maintenant totalement écartelée. Cello enclenche la caméra sur pied, qu'il a mis en place le matin même, s'éloigne et retourne dans son garage.
Il revient un bon quart d'heure plus tard, le temps pour lui de prendre un petit café et surtout de faire monter l'angoisse chez Pauline. Il revient avec le seau que lui ont donné les pêcheurs hier.
Il contient une dizaine de litre d'eau du lac et les 6 anguilles que Pauline a gagné avec son cul.
Cello déverse la totalité du contenu du seau, sur le corps nue de Pauline. Elle frissonne en recevant l'eau froide sur elle, et tente de se détacher lorsqu'elle sent les poissons serpentiformes sur son corps. Cello la menace de la bâillonnée si il l'entends encore criée. Elle se tait et tente de se calmer et de se maîtriser.
Cello enfile une paire de gant pour éviter que l'animal ne glisse entre ses mains. Il prend alors une anguille, il choisie la plus grosse et commence à frotter sa queue contre la vulve de Pauline. Elle crie, Cello la gifle, elle pleure puis elle se calme enfin. Cello reprends la bestiole et approche la queue de l'anguille de sa bouche la menaçant de l’étouffée avec si il l'entend encore. Cello lui ordonne alors :
« Ouvre la bouche et suce la ! »
Craignant que Cello l'étouffe, elle ouvre la bouche et passe sa langue sur la queue de l'animal puis elle engouffre une dizaine de centimètres de l'anguille dans sa bouche.
Cello l'encourage, lui disant de continuer et d'en mettre plus dans sa gueule de suceuse de bites. Elle tente d'avaler un peu plus de la bestiole en faisant aller ses lèvres sur la peau gluante.
C. : « Allez petit bourgeoise, ».
P. : « Non pas ça monsieur Cello. Non pas l’anguille dans la bouche s'il vous plaît monsieur ».
C. : « Je t’avais promis une pommade pour arrêter le feu que tu as au cul, et bien voilà je tiens toujours mes promesse. Tu la suce et ça devait atténuer tes douleurs ».
P. : « Mais, je veux pas, c’est très dégradant, et elle va me mordre. Déjà avec vos clients monsieur, mais là des anguilles ! ».
C. : « Arrête de pleurnicher, ton cocu m'a donné tous les droits sur toi, tu l’as bien entendue hier , il t'a confié à moi pour un stage intensif, réponds,ou j'appelle ton cocu ».
P. « Heu !... Non monsieur, pas mon mari, je ne veut pas avec les anguilles, heu !.... Non je vous en supplie »
Cello envoie un SMS à Henri, sans que Pauline le vois
[Connecte toi, tu verras les progrès de Pauline. Tu vois, elle ne perd pas de temps, et elle a de très grosse envies, la preuve ]
C. : « Regarde bien , tu n'avais pas à me contredire. Tu es à moi et je fais ce que je veux de toi ».
Puis il compose le numéro d’Henri.
P. : « Non pas ça , heu !… Faite ce que vous voulez, mais pas mon mari, il ne doit pas savoir ».
C. : « Heu !.. Bonjour Henri, merci pour le contrat, je l'ai reçu ce matin. Mais si je t'appelle c'est parce que Pauline est très réticente. Tu, vois ce que je veux dire. Pourrais-tu lui dire qu’à partir de maintenant, elle doit. faire ce que je veux, comme je veux et ou je veux et je rajouterais avec qui je veux.
Cello passe le téléphone à Pauline
P. : « Bonjour chéri ».
H. : « Oui ma chérie, Cello n’est pas très content, tu dois lui obéir ».
P. : « Heu ! ….Mon amour mais la heu !…Je veux dire, aille ! Hum ! ».
Cello commence à écarter le spéculum.
P. : « Heu !…Monsieur… » ?
H. : « Mais ma chérie tu parles à qui ? ».
P, : « A toi mon amour ».
H. : « Ha ! , Oui je te disais que j'ai signé un contrat donnant les pleins pouvoir à Cello et que maintenant tu devais faire ce qu’il te demande ».
P. : « Heu !….Chéri ..Oui heu….Hum ! …..Non pas ça monsieur ».
H. : « Mais enfin Pauline, tu est sûre que tout va bien ? ».
P. : « Heu !….Chéri, oui ».
P. : « Non pas ça heu !…. Arrêter heu !…Hum monsieur ! Oui encore ! Plus loin !
H. : « Chérie ça va ? »
P. : « Oui mon ammmmouur ».
H. : « Pauline ma chérie, tu es toujours avec moi ? »
P. : « Heu !... .Ouiiii, .mon chéri ».
H. : « Tu ne parles plus, tu grognes , pourquoi ? ».
P. : « Mais chéri c’est monsieur Cello qui me fait des choses, c’est toi qui m’a dit que je devais tout accepter ».
H. : « Oui chérie et là, je vois que tu fais preuve de motivation ».
Cello reprend le téléphone :
« Oui Henri c’est moi. Reste encore un peu, maintenant ta femme est la mienne ».
H. : « Heu !….. Oui, heu !...’C"est à dire que Cello vous outrepassé vos bons droits ».
C. : « Oui et alors, tu es cocu et un cocu la ferme ».
H. : « Ok , heu !….Oui monsieur, comme vous voulez »/
C. : « Allez regarde tu vas aimer »
Cello raccroche.
Pauline n’a rien entendue, tellement l’anguille lui procure du plaisir.
P. : « Heu !…. Non pas ça…..Heu ! …Pas l’anguille monsieur …..
C. : « Tu te tais, tu as entendu ton cocu, alors tu vas adorer, laisse-moi faire »
Lorsqu'il en a fini avec Pauline et les anguilles, il la laisse là, attachée et retourne à la maison, où Cello appelle Édouard pour qu'il vienne chercher Pauline. Il retourne la voir, elle pleure, supplie de la détacher. Cello lui met alors un collier de cuir et une laisse avant de la détacher, d'abord les chevilles, puis les poignets. Puis Cello fixe la laisse à un pieu en lui disant qu'elle pue et qu'il ne peux s'approcher d'elle, tant qu'elle ne se sera pas laver.
Cello l'a laisse ainsi et attend patiemment l'arrivée d’Édouard. Lorsque celui-ci arrive avec sa bétaillère, il le fais entrer dans la propriété, afin d'éviter les voisins. Ils vont chercher Pauline et quand Édouard ouvre la van, Cello constate que celui-ci n'est pas propre. Il y a du purin sur la paille, qui recouvre le sol de la bétaillère.
Cello en fait la remarque à Édouard, qui se justifie en disant qu'il a emmené des porcs à l'abattoir hier, et qu'il n'a pas eu le temps ce matin de nettoyer son véhicule. Cello fait monter Pauline dans le van, la menotte avec les mains dans le dos et retire sa laisse. Il lui conseille de s'asseoir sur la paille, pour ne pas tomber pendant le transport.
Édouard quitte alors la maison et Cello le suis dans sa voiture, après avoir été voir Marie et fermé la maison.
En arrivant à la ferme, les hommes ouvrent la bétaillère et voient Pauline couchée sur le coté, elle est probablement tombée pendant le trajet, et les mains menottées dans le dos, elle n'a pas pu se relever. Édouard la relève et elle apparaît avec de la paille collée sur le visage, les seins et les cuisses.
Édouard fait tombé la paille humide collée sur son corps et sort Pauline du véhicule et ils vont tous les trois dans le corps de ferme. Mylène est là affairée dans la cuisine. Du moins, elle fait semblant, car elle guettait l'arrivée du trio pour déclencher une camera juste avant l'entrée du trio. Elle est vêtue d'une blouse bleue mi-cuisse et ne semble pas coiffée. En apercevant Pauline, elle s'exclame :
« C'est elle, la bourgeoise qu'il faut humiliée et dressée ? Plutôt mignonne la salope. Approches, tu vas me nettoyer, je n'ai pas eu le temps de prendre une douche ce matin... D'ailleurs hier non plus....hahahah ! ».
Pauline ne bouge pas et regarde Mylène déboutonner sa blouse. Elle est nue et ses poils pubiens toujours aussi fournis. Édouard pousse Mylène qui trébuche et tombe à genoux aux pieds de la fermière. Elle saisit Pauline par les cheveux et lui plaque le visage contre son bas-ventre. Cello perçois une grimace et un mouvement de recul de Pauline. Il imagine que la chatte de Mylène ne sent pas la rose, mais plutôt la crasse, la sueur et peut être le sperme, la cyprine et la pisse.
Contrainte, Pauline passe sa langue entre les lèvres poilues de Mylène, et pénètre la chatte de la fermière. Lorsque celle-ci lui plaque le visage contre elle, l'empêchant presque de respirer, Mylène geint de plus en plus et se trémousse contre le visage de Pauline. Et c'est un torrent de cyprine que reçoit Pauline dans la bouche, sur le visage et les seins. Et oui, cette crasseuse de Mylène est une femme-fontaine.
Pauline s'est reculée et Édouard la prenant par le bras veut l'emmener dehors pour la passer au jet, mais Mylène l'arrête en lui disant qu'elle ne vaut pas la peine de gaspiller de l'eau pour cette traînée, surtout qu'elle va finir la matinée dans la soue avec le verrat. Et qu'elle va la rincer autrement. Elle met Pauline à terre, et l'enjambant, elle urine sur elle, devant son mari et Cello et sur le sol de la cuisine. Pauline est arrosée sur tout le corps. Tentant de protester, elle en reçoit même dans la bouche. Mylène rit satisfaite d'humiliée ainsi sa nouvelle pensionnaire.
Ensuite, Édouard prend la femelle et l'entraîne dehors et la conduit jusqu'à l'enclos des porcs. Il ouvre la soue du verrat, un abri de 1 m 20 de haut environ et pousse Pauline à l'intérieur. Après avoir enfermé Pauline avec l'animal, il déclenche la troisième caméra mis en place. Elle ne peut se tenir debout et c'est à 4 pattes qu'elle se retrouve sur le sol carrelé de l'habitation du verrat. Lorsqu'elle aperçoit l'animal, elle prend peur, l'animal fait près de 10 fois son poids. Il serait capable de l'écraser en tombant sur elle.
Cela fait maintenant près d'une heure que Pauline est prostrée dans un coin de la porcherie. Elle commence à avoir froid, car elle est toujours mouillée, mais pas d'excitation, par la cyprine et la pisse de Mylène. Elle remarque que le cochon reproducteur est calme et est allongé sur la paille sèche et semble dormir. Elle pense : Si je me blottissais contre lui, sa chaleur animal me réchaufferais peut-être.
Elle se déplace lentement pour ne pas effrayer l'animal et arrivé près du verrat, elle s'allonge tout contre lui passant son bras sur le corps de l'animal. Trouvant ainsi un peu de chaleur, elle s'endort contre l'animal
Cello prend son téléphone et envoi un SMS à Hervé :
[Branche toi et connecte toi à ce numéro et tu verras la femme de ton chef, se faire enculer]
Et à Henri, il envoi :
[Branche toi et connecte-toi à ce numéro et tu verras que j'ai raison, quand je te dis que ta femme est une grosse cochonne]
Édouard l'oblige à se mettre à quatre pattes. Cello reçoit un appel d'Henri. Il se met légèrement à l'écart pour ne pas être entendu de Pauline et décroche :
H. : « Allô ! C'est Henri. Vous êtes devenu fou ? Vous n'allez tout de même pas...
Cello l'interrompt :
« Oh que si ! Et c'est Édouard qui va sodomiser Pauline, pendant que Mylène la tient en laisse dans la soue près du cochon.Ta salope de femme, sur qui je te rappelle, j'ai tous les droits, sera sodomiser, et ce ne sera certainement pas la seule fois pendant son stage. Il est même fort probable qu'elle connaîtra bien d'autres expériences d'ici la fin du stage ».
H. : « Je vous interdit de faire cela ! »
Et Cello coupe son phone.
Après la sodomie de Pauline par Édouard, il l'oblige à le sucer pour nettoyer son gland et recueillir les dernières gouttes de sperme.
Le verrat est couché sur le sol. Mylène rattache Pauline à l'animal et s'allonge près de lui, avant de s'endormir.
Cello a prévu de consacré ce dimanche à Marie, aussi dès 8 heures, il vient la réveiller et la détacher. Il la conduit à la cuisine pour leur petit-déjeuner. Elle demande si elle va encore rester longtemps ainsi sans pourvoir faire l'amour, ni même se caresser. Cello la rassure en lui disant que bientôt, elle sera rassasiée et gavée de sexe en tout genre.
Après le petit-déjeuner, Cello lui mets sa laisse et l'emmène dehors et plus précisément au fond du jardin, près du tas de déchets de composte pour qu'elle fasse ses besoins. Puis il l'attache entre les deux poteaux situé sur la dalle de béton. Marie se retrouve écarteler.
Cello enclenche la caméra et entreprend de faire la toilette de Marie. Il l'arrose avec le jet d'eau, puis il prend une brosse de WC en silicone et entreprend de lui nettoyer la chatte puis l'anus. Si la brosse entre sans trop de difficulté dans le sexe de Marie, il est obligé de prendre une brosse plus petite et forcer très durement pour faire pénétrer l'instrument dans le fion de Marie. Elle hurle de douleur, mais enfin son cul accepte la brosse. Cello fait tourner la brosse dans le fondement de Marie, puis après deux ou trois vas et viens, il retire la brosse.
C: « Voila ! Maintenant tu as le cul propre. Il introduit l'embout du tuyau dans ces orifices pour bien les rincer, et il la laisse ainsi le temps pour lui de ramasser ses crottes. Puis il la détache pour lui faire faire de l'exercice.
Il fais marcher Marie en l'obligeant à bien lever bien les genoux, car elle a besoin de faire du sport, après être rester inactive pendant plusieurs jours. Après une bonne heure de marche, il lui permets de s'asseoir un quart d'heure et de se désaltérer.
Puis, nouvel exercice, cette fois-ci, c'est à 4 pattes que Marie doit marcher devant Cello, alors qu'il la regarde allongé sur un transat.
Cello lui permets ensuite de se reposer pendant qu'il prépare le repas. Une grillage sur le barbecue et une salade verte. Il fait simple pour pouvoir surveiller sa petite chienne. Le repas terminé, elle a le droit de venir entre les jambes de Cello prendre sa dose de sperme.
L'après-midi, le programme est le même et s'est épuisée que Marie retourne dans la chambre pour y être de nouveau attachée. Elle s'endort très rapidement.
Le lendemain, alors que Marie dort encore Cello appelle Pauline au téléphone :
P : « Allô ! »
C : « Bonjour ma pute ! Je viens te chercher dans une heure environ ! Habille-toi, juste d'une petite robe courte sans rien dessous! »
Et il raccroche sans lui laisser le temps de réagir.
Puis il nourrit et sors Marie avant de la rattacher pour accueillir Pauline.
Avant l'arrivée de Pauline, il regarde dans sa boîte aux lettres et prend l'enveloppe qui si trouve. Aucune indication sur l'expéditeur ne figure sur l'enveloppe, aussi il s'empresse de l'ouvrir et découvre un courrier d'Henri. Et voici ce qu'il lit :
[ Moi Henri x ......
En signant ce présent document, je donne à monsieur Cello, tous les droits sur ma femme Pauline. Monsieur Cello aura tous les droits sur la vie sexuelle de mon épouse.
Je n'aurais plus le droit d'avoir des relations sexuelle avec elle , et ne pourrais la voir que le week-end, à la condition que monsieur Cello n'en ai pas lui-même besoin.
J'autorise d'autre part, mon épouse à suivre un stage intensif sous l'autorité de monsieur Cello, ce stage pourra durée plusieurs semaines. Pendant ce stage, elle ne pourra pas venir me rendre visite le week-end et monsieur Cello pourra lui faire subir les transformations physiques qu'il juge utile pour son épanouissement sexuel.
Je m'engage à subvenir à tous les besoins matériels et financiers de mon épouse, et régler le montant de ce stage qui s'élève à la somme de 2000 euros par mois.
Contrat fait en double exemplaire
le xx/xx/xxxx
Henri X]
Lorsque celle-ci arrive, elle sourit à Cello, mais celui-ci la sens tendue. Il l'embrasse, la câline et alors qu'elle se décontracte, il lui retire sa robe et l'entraîne dehors au fond du jardin. Elle lui sert la main de plus en plus fort, elle s'inquiète ne sachant pas ce qui l'attend.
Une fois arrivée sur la dalle en béton, près du tas de compost, Cello lui met des bracelets en cuir munis d'anneaux aux poignets et aux chevilles. Elle s'inquiète et demande :
« Monsieur Cello, qu'allez-vous faire ? »
Pour toute réponse, il la fait se coucher sur le dos au milieu de la dalle, et attache ses poignets aux crochets scellés dans celle-ci. Il fait de même avec ses chevilles. Elle est maintenant totalement écartelée. Cello enclenche la caméra sur pied, qu'il a mis en place le matin même, s'éloigne et retourne dans son garage.
Il revient un bon quart d'heure plus tard, le temps pour lui de prendre un petit café et surtout de faire monter l'angoisse chez Pauline. Il revient avec le seau que lui ont donné les pêcheurs hier.
Il contient une dizaine de litre d'eau du lac et les 6 anguilles que Pauline a gagné avec son cul.
Cello déverse la totalité du contenu du seau, sur le corps nue de Pauline. Elle frissonne en recevant l'eau froide sur elle, et tente de se détacher lorsqu'elle sent les poissons serpentiformes sur son corps. Cello la menace de la bâillonnée si il l'entends encore criée. Elle se tait et tente de se calmer et de se maîtriser.
Cello enfile une paire de gant pour éviter que l'animal ne glisse entre ses mains. Il prend alors une anguille, il choisie la plus grosse et commence à frotter sa queue contre la vulve de Pauline. Elle crie, Cello la gifle, elle pleure puis elle se calme enfin. Cello reprends la bestiole et approche la queue de l'anguille de sa bouche la menaçant de l’étouffée avec si il l'entend encore. Cello lui ordonne alors :
« Ouvre la bouche et suce la ! »
Craignant que Cello l'étouffe, elle ouvre la bouche et passe sa langue sur la queue de l'animal puis elle engouffre une dizaine de centimètres de l'anguille dans sa bouche.
Cello l'encourage, lui disant de continuer et d'en mettre plus dans sa gueule de suceuse de bites. Elle tente d'avaler un peu plus de la bestiole en faisant aller ses lèvres sur la peau gluante.
C. : « Allez petit bourgeoise, ».
P. : « Non pas ça monsieur Cello. Non pas l’anguille dans la bouche s'il vous plaît monsieur ».
C. : « Je t’avais promis une pommade pour arrêter le feu que tu as au cul, et bien voilà je tiens toujours mes promesse. Tu la suce et ça devait atténuer tes douleurs ».
P. : « Mais, je veux pas, c’est très dégradant, et elle va me mordre. Déjà avec vos clients monsieur, mais là des anguilles ! ».
C. : « Arrête de pleurnicher, ton cocu m'a donné tous les droits sur toi, tu l’as bien entendue hier , il t'a confié à moi pour un stage intensif, réponds,ou j'appelle ton cocu ».
P. « Heu !... Non monsieur, pas mon mari, je ne veut pas avec les anguilles, heu !.... Non je vous en supplie »
Cello envoie un SMS à Henri, sans que Pauline le vois
[Connecte toi, tu verras les progrès de Pauline. Tu vois, elle ne perd pas de temps, et elle a de très grosse envies, la preuve ]
C. : « Regarde bien , tu n'avais pas à me contredire. Tu es à moi et je fais ce que je veux de toi ».
Puis il compose le numéro d’Henri.
P. : « Non pas ça , heu !… Faite ce que vous voulez, mais pas mon mari, il ne doit pas savoir ».
C. : « Heu !.. Bonjour Henri, merci pour le contrat, je l'ai reçu ce matin. Mais si je t'appelle c'est parce que Pauline est très réticente. Tu, vois ce que je veux dire. Pourrais-tu lui dire qu’à partir de maintenant, elle doit. faire ce que je veux, comme je veux et ou je veux et je rajouterais avec qui je veux.
Cello passe le téléphone à Pauline
P. : « Bonjour chéri ».
H. : « Oui ma chérie, Cello n’est pas très content, tu dois lui obéir ».
P. : « Heu ! ….Mon amour mais la heu !…Je veux dire, aille ! Hum ! ».
Cello commence à écarter le spéculum.
P. : « Heu !…Monsieur… » ?
H. : « Mais ma chérie tu parles à qui ? ».
P, : « A toi mon amour ».
H. : « Ha ! , Oui je te disais que j'ai signé un contrat donnant les pleins pouvoir à Cello et que maintenant tu devais faire ce qu’il te demande ».
P. : « Heu !….Chéri ..Oui heu….Hum ! …..Non pas ça monsieur ».
H. : « Mais enfin Pauline, tu est sûre que tout va bien ? ».
P. : « Heu !….Chéri, oui ».
P. : « Non pas ça heu !…. Arrêter heu !…Hum monsieur ! Oui encore ! Plus loin !
H. : « Chérie ça va ? »
P. : « Oui mon ammmmouur ».
H. : « Pauline ma chérie, tu es toujours avec moi ? »
P. : « Heu !... .Ouiiii, .mon chéri ».
H. : « Tu ne parles plus, tu grognes , pourquoi ? ».
P. : « Mais chéri c’est monsieur Cello qui me fait des choses, c’est toi qui m’a dit que je devais tout accepter ».
H. : « Oui chérie et là, je vois que tu fais preuve de motivation ».
Cello reprend le téléphone :
« Oui Henri c’est moi. Reste encore un peu, maintenant ta femme est la mienne ».
H. : « Heu !….. Oui, heu !...’C"est à dire que Cello vous outrepassé vos bons droits ».
C. : « Oui et alors, tu es cocu et un cocu la ferme ».
H. : « Ok , heu !….Oui monsieur, comme vous voulez »/
C. : « Allez regarde tu vas aimer »
Cello raccroche.
Pauline n’a rien entendue, tellement l’anguille lui procure du plaisir.
P. : « Heu !…. Non pas ça…..Heu ! …Pas l’anguille monsieur …..
C. : « Tu te tais, tu as entendu ton cocu, alors tu vas adorer, laisse-moi faire »
Lorsqu'il en a fini avec Pauline et les anguilles, il la laisse là, attachée et retourne à la maison, où Cello appelle Édouard pour qu'il vienne chercher Pauline. Il retourne la voir, elle pleure, supplie de la détacher. Cello lui met alors un collier de cuir et une laisse avant de la détacher, d'abord les chevilles, puis les poignets. Puis Cello fixe la laisse à un pieu en lui disant qu'elle pue et qu'il ne peux s'approcher d'elle, tant qu'elle ne se sera pas laver.
Cello l'a laisse ainsi et attend patiemment l'arrivée d’Édouard. Lorsque celui-ci arrive avec sa bétaillère, il le fais entrer dans la propriété, afin d'éviter les voisins. Ils vont chercher Pauline et quand Édouard ouvre la van, Cello constate que celui-ci n'est pas propre. Il y a du purin sur la paille, qui recouvre le sol de la bétaillère.
Cello en fait la remarque à Édouard, qui se justifie en disant qu'il a emmené des porcs à l'abattoir hier, et qu'il n'a pas eu le temps ce matin de nettoyer son véhicule. Cello fait monter Pauline dans le van, la menotte avec les mains dans le dos et retire sa laisse. Il lui conseille de s'asseoir sur la paille, pour ne pas tomber pendant le transport.
Édouard quitte alors la maison et Cello le suis dans sa voiture, après avoir été voir Marie et fermé la maison.
En arrivant à la ferme, les hommes ouvrent la bétaillère et voient Pauline couchée sur le coté, elle est probablement tombée pendant le trajet, et les mains menottées dans le dos, elle n'a pas pu se relever. Édouard la relève et elle apparaît avec de la paille collée sur le visage, les seins et les cuisses.
Édouard fait tombé la paille humide collée sur son corps et sort Pauline du véhicule et ils vont tous les trois dans le corps de ferme. Mylène est là affairée dans la cuisine. Du moins, elle fait semblant, car elle guettait l'arrivée du trio pour déclencher une camera juste avant l'entrée du trio. Elle est vêtue d'une blouse bleue mi-cuisse et ne semble pas coiffée. En apercevant Pauline, elle s'exclame :
« C'est elle, la bourgeoise qu'il faut humiliée et dressée ? Plutôt mignonne la salope. Approches, tu vas me nettoyer, je n'ai pas eu le temps de prendre une douche ce matin... D'ailleurs hier non plus....hahahah ! ».
Pauline ne bouge pas et regarde Mylène déboutonner sa blouse. Elle est nue et ses poils pubiens toujours aussi fournis. Édouard pousse Mylène qui trébuche et tombe à genoux aux pieds de la fermière. Elle saisit Pauline par les cheveux et lui plaque le visage contre son bas-ventre. Cello perçois une grimace et un mouvement de recul de Pauline. Il imagine que la chatte de Mylène ne sent pas la rose, mais plutôt la crasse, la sueur et peut être le sperme, la cyprine et la pisse.
Contrainte, Pauline passe sa langue entre les lèvres poilues de Mylène, et pénètre la chatte de la fermière. Lorsque celle-ci lui plaque le visage contre elle, l'empêchant presque de respirer, Mylène geint de plus en plus et se trémousse contre le visage de Pauline. Et c'est un torrent de cyprine que reçoit Pauline dans la bouche, sur le visage et les seins. Et oui, cette crasseuse de Mylène est une femme-fontaine.
Pauline s'est reculée et Édouard la prenant par le bras veut l'emmener dehors pour la passer au jet, mais Mylène l'arrête en lui disant qu'elle ne vaut pas la peine de gaspiller de l'eau pour cette traînée, surtout qu'elle va finir la matinée dans la soue avec le verrat. Et qu'elle va la rincer autrement. Elle met Pauline à terre, et l'enjambant, elle urine sur elle, devant son mari et Cello et sur le sol de la cuisine. Pauline est arrosée sur tout le corps. Tentant de protester, elle en reçoit même dans la bouche. Mylène rit satisfaite d'humiliée ainsi sa nouvelle pensionnaire.
Ensuite, Édouard prend la femelle et l'entraîne dehors et la conduit jusqu'à l'enclos des porcs. Il ouvre la soue du verrat, un abri de 1 m 20 de haut environ et pousse Pauline à l'intérieur. Après avoir enfermé Pauline avec l'animal, il déclenche la troisième caméra mis en place. Elle ne peut se tenir debout et c'est à 4 pattes qu'elle se retrouve sur le sol carrelé de l'habitation du verrat. Lorsqu'elle aperçoit l'animal, elle prend peur, l'animal fait près de 10 fois son poids. Il serait capable de l'écraser en tombant sur elle.
Cela fait maintenant près d'une heure que Pauline est prostrée dans un coin de la porcherie. Elle commence à avoir froid, car elle est toujours mouillée, mais pas d'excitation, par la cyprine et la pisse de Mylène. Elle remarque que le cochon reproducteur est calme et est allongé sur la paille sèche et semble dormir. Elle pense : Si je me blottissais contre lui, sa chaleur animal me réchaufferais peut-être.
Elle se déplace lentement pour ne pas effrayer l'animal et arrivé près du verrat, elle s'allonge tout contre lui passant son bras sur le corps de l'animal. Trouvant ainsi un peu de chaleur, elle s'endort contre l'animal
Cello prend son téléphone et envoi un SMS à Hervé :
[Branche toi et connecte toi à ce numéro et tu verras la femme de ton chef, se faire enculer]
Et à Henri, il envoi :
[Branche toi et connecte-toi à ce numéro et tu verras que j'ai raison, quand je te dis que ta femme est une grosse cochonne]
Édouard l'oblige à se mettre à quatre pattes. Cello reçoit un appel d'Henri. Il se met légèrement à l'écart pour ne pas être entendu de Pauline et décroche :
H. : « Allô ! C'est Henri. Vous êtes devenu fou ? Vous n'allez tout de même pas...
Cello l'interrompt :
« Oh que si ! Et c'est Édouard qui va sodomiser Pauline, pendant que Mylène la tient en laisse dans la soue près du cochon.Ta salope de femme, sur qui je te rappelle, j'ai tous les droits, sera sodomiser, et ce ne sera certainement pas la seule fois pendant son stage. Il est même fort probable qu'elle connaîtra bien d'autres expériences d'ici la fin du stage ».
H. : « Je vous interdit de faire cela ! »
Et Cello coupe son phone.
Après la sodomie de Pauline par Édouard, il l'oblige à le sucer pour nettoyer son gland et recueillir les dernières gouttes de sperme.
Le verrat est couché sur le sol. Mylène rattache Pauline à l'animal et s'allonge près de lui, avant de s'endormir.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
l'episode 20.1 est tres bien fait je le conseille fortement
merci encore
merci encore
serie tres excitant, qui montre la décheance du femme vers ses plus bas instinct j’attends la suite avec impatience
Serait il possible que vous me fassiez parvenir l' épisode 20.1
merci d'avance
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merci d'avance
Histoire très excitante, c'est avec un grand plaisir que l'on retrouve les aventures de Marie.
Serait il possible d'avoir la version 20.1
Merci d'avance
Serait il possible d'avoir la version 20.1
Merci d'avance
L'auteur propose une histoire plus hard pour les plus "agueris" en le contactant directement
Histoire terriblement excitante
L'auteur a une histoire plus hard qu' il peut vous envoyer par mail si vous le demandez
Je me suis masturbee comme une folle en la lisant.
Perverse et très bien écrire.
J'aimerais beaucoup être a la place de Pauline...
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Je me suis masturbee comme une folle en la lisant.
Perverse et très bien écrire.
J'aimerais beaucoup être a la place de Pauline...
une version a ne pas mettre entre toute les mains " bien plus hard"est disponible en contactant "monsieur" cello
de plus en plus hard c'était une bonne idée de vous demander de reprendre ce récit
merci a vous et a Pauline
merci a vous et a Pauline