Titre de l'histoire érotique : Marie - Épisode 23 – L’épilation de Pauline
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : Marie - Épisode 23 – L’épilation de Pauline
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Cela fait maintenant quelques jours que Marie a été tondue suite à la mise aux enchères de sa tonte, et que Pauline est en stage chez Mylène et Édouard.
Ce jour là, Cello en rendant visite à ses amis et voir Pauline et Marie, il constate que Pauline n'a toujours pas tenue compte de sa remarque faite, au début de sa prise en main. Il lui avait dit de supprimer les poils de sa toison intime, un ticket de métro sur son pubis.
Pauline n'avait pas jugé utile de prendre soin d'elle. A quoi bon ce faire belle, alors qu'elle était en permanence dans la crasse et la boue au milieu des animaux et travaillait durement pour gagner sa croûte, sentant la sueur, la crasse, la pisse, la cyprine ou le sperme de Mylène, Marie, Édouard ou Cello.
Cello se fâche et demande à Édouard d'attacher Pauline entre les deux poteaux distant de 2 mètres environ, qui se trouve dans le fond du jardin, près de la dalle en béton, où elle est passé au jet quotidiennement par ses employeurs.
Édouard prend Pauline par le bras, l'emmène et l'attache entre les deux poteaux. Elle est attachée, les bras et les jambes écartées dans l'impossibilité de bouger, mais pour être certain qu'elle ne pourra pas esquisser le moindre geste, Édouard attache une corde à l'anneau se trouvant au milieu du poteau, fait le tour de Pauline, et attache l'autre extrémité au milieu du second poteau. La corde serre durement ses chair au niveau de sa taille. Au moindre geste, le frottement du lien la brûle.
Il la laisse ainsi et retourne dans le corps de ferme, retrouver Cello. Ils discutent ensemble près d'une heure et vont enfin retrouver Pauline, toujours attachée en plein soleil. Elle pense que son maître va la passer au jet, mais il n'en est rien. Il lui reproche de n'avoir pas pris soin d'elle et de s'être laissé aller, notamment en ne supprimant pas son ticket de métro, malgré sa demande.
Pauline tente de se justifier, mais rien n'y fait. Cello est décidé de passer à l'action aujourd'hui.
Il embrasse Pauline, lui caresse les fesses et les seins. Puis il tire légèrement sur ses anneaux pour étirer ses tétons. Pauline grimace, mais aime toutefois ce traitement. Puis il prend dans sa poche une boite d'allumette, craque l'une d'elle et approche la flamme de l'aisselle droite de Pauline. Elle voudrait bouger, fuir, mais ses liens empêche tout mouvement.
P : « Non monsieur Cello, s'il vous plaît ne faite pas cela ! »
C : « Ça va me coûter moins cher que l'esthéticienne, et le résultat sera le même, plus de poil et définitivement ».
L'allumette enflamme les poils de ses aisselles qui grésillent et noircisse. Cello passe sa main sur la peau de Pauline, les poils ont disparu et une partie de son aisselle est lisse. Il réitère l'opération deux fois et son dessous de bras est propre. Pauline pleure, elle craque alors qu'elle n'a pas souffert.
Ensuite, Cello procède de la même façon avec l'aisselle gauche de sa soumise. Celle-ci s'est calmé en constatant qu'elle n'a pas ressenti de douleur.
C'est à ce moment là, que Mylène vient rejoindre le trio, et assister au spectacle.
C : « Tu arrives bien, tu vas m'aider, Mets-toi devant Pauline et écarte ses fesses que je lui épile son SIF. Il n'est pas très fourni, mais comme cela elle sera plus nette. Pauline comprenant ce que Cello va faire, essai de nouveau de bouger. Mylène s’accroupit alors devant Pauline et embrasse son sexe, puis passe sa langue sur ses lèvre intimes avant de jouer avec sa langue, sur le piercing du capuchon du clitoris de Pauline. Celle-ci se calme, et Cello procède comme précédemment avec les dessous de bras de la bourgeoise.
Quand le sillon inter fessier de Pauline est nette, Cello passe sa main dans la raie culière de Pauline et constatant que celle-ci est nette, il dit ;
« Mylène, vient donc passer ta langue par ici, tu vas voir comme c'est agréable de lécher un cul propre et net ».
En disant cela, Cello a bien sûr une autre idée en tête. La fermière obtempère et viens s'agenouiller derrière Pauline, avant de passer sa langue dans le sillon et s'attarder sur l’œillet de Pauline.
Cello profite que Pauline est tout à son plaisir, plaisir que lui procure la langue de Mylène pour prendre une bougie dans sa poche, d'allumer celle-ci et approche la flamme du pubis de Pauline. Elle réagit en comprenant ce que son amant veux faire. Elle crie :
« Non monsieur Cello, je vous en prie par cela.... »
Mais Cello n'en a cure, et enflamme le ticket de métro roux de la belle. Les poils s'enflamme immédiatement et quelques secondes plus tard, ceux-ci sont grillés. Cello frotte alors le pubis de la bourgeoise et constate que son pubis est totalement lisse. Satisfait de son travail, il demande à Édouard de détacher sa belle. Libérée, Pauline se jette dans les bras de Cello et l'embrasse, recherchant du réconfort et de la tendresse.
Cello lui rend son baiser, la félicitant d'avoir été courageuse et la caresse pendant de longue minutes. Il regarde alors Mylène et ses forêt vierge autant sous ses bras, que sur ses parties intimes. Il se dit : Elle n'a jamais du s'épiler les dessous de bras. Et il dit à Édouard :
« Attache Mylène, je vais m'occuper d'elle ».
Avant qu'elle ne réagisse, Édouard attrape sa femme par le bras, et le lui attache à l'un des poteaux. Elle se débat, mais son homme la ceinture, lui attrape le second bras, et fais de même. Reste à attacher les jambes, elle gesticule, vocifère, mais rien n'y fait, Édouard lui claque les fesses et fini par lui attacher les jambes, malgré la lutte de sa femme pour ne pas se laisser attacher. Il passe alors la corde autour de sa taille et s'approche pour embrasser et caresser le corps de Mylène. Elle se calme.
Pauline ne semble pas du tout contrariée de voir celle qui la bafoue et l'humilie depuis son arrivée, attachée. Elle câline Cello, comme pour le remercier d'abaisser Mylène.
La fermière au contraire est surtout vexée que Pauline assiste à cette humiliation. Elle qui gérait tout dans la ferme, se retrouve au rang d'esclave. Mais, elle a bien l'intention de se venger et de faire payer à Pauline le fait d'assister à cela.
Cello rallume la bougie et s'approche de Mylène, elle vocifère, le menace mais rien n'y fait, il approche la flamme du dessous de bras de la fermière et brûle les poils disgracieux de ses aisselles. En quelques secondes, ils sont tous grillés et de la main Cello ôte les poils grillés de Mylène, il procède de la même façon sur l’autre aisselle.
Il demande alors à Pauline :
« Va derrière elle et malaxe lui les nibards ».
La fermière qui a entendu l'ordre donné à Pauline s'exclame :
« T'approche pas salope! ».
Pauline regarde Cello, qui lui fait signe d'obéir, et elle vient se placer derrière Mylène, lui saisit les seins et malaxe ceux-ci en alternant douceur et rudesse. La fermière semble apprécier le traitement que lui prodigue Pauline. Celle-ci, tout en s'occupant de la poitrine de Mylène, dépose des baisers dans son cou et Cello en profite pour s'accroupir devant la toison pubienne de la femme d’Édouard.
La forêt vierge de Mylène s'embrase immédiatement, La fermière crie, mais en quelques secondes les poils sont roussis et de la main, Cello dégage les poils cramoisis de la chatte de Mylène.
Il est temps maintenant de faire subir à Marie sa première traite en publique. Elle est amenée dans une pièce carrelée totalement aseptisée. Mylène la fait s’agenouiller entre des tubes métalliques où elle est attachée main et jambes écartées, les mamelles pendantes et un lourd collier autour du cou. Édouard lui fixe alors un bâillon-boule puis lui soupèse les mamelles. Il lave ensuite les tétines de Marie avec une éponge et de l'eau froide. Puis il met en fonctionnement la trayeuse et place les embouts sur les tétons de Marie. Aussitôt ceux-ci sont pompés très fortement. Marie sent ses mamelles aspirées et étirées vers les gobelets-trayeurs de la machine, et son lait sortir de ses pis.
Cela fait maintenant quelques jours que Marie a été tondue suite à la mise aux enchères de sa tonte, et que Pauline est en stage chez Mylène et Édouard.
Ce jour là, Cello en rendant visite à ses amis et voir Pauline et Marie, il constate que Pauline n'a toujours pas tenue compte de sa remarque faite, au début de sa prise en main. Il lui avait dit de supprimer les poils de sa toison intime, un ticket de métro sur son pubis.
Pauline n'avait pas jugé utile de prendre soin d'elle. A quoi bon ce faire belle, alors qu'elle était en permanence dans la crasse et la boue au milieu des animaux et travaillait durement pour gagner sa croûte, sentant la sueur, la crasse, la pisse, la cyprine ou le sperme de Mylène, Marie, Édouard ou Cello.
Cello se fâche et demande à Édouard d'attacher Pauline entre les deux poteaux distant de 2 mètres environ, qui se trouve dans le fond du jardin, près de la dalle en béton, où elle est passé au jet quotidiennement par ses employeurs.
Édouard prend Pauline par le bras, l'emmène et l'attache entre les deux poteaux. Elle est attachée, les bras et les jambes écartées dans l'impossibilité de bouger, mais pour être certain qu'elle ne pourra pas esquisser le moindre geste, Édouard attache une corde à l'anneau se trouvant au milieu du poteau, fait le tour de Pauline, et attache l'autre extrémité au milieu du second poteau. La corde serre durement ses chair au niveau de sa taille. Au moindre geste, le frottement du lien la brûle.
Il la laisse ainsi et retourne dans le corps de ferme, retrouver Cello. Ils discutent ensemble près d'une heure et vont enfin retrouver Pauline, toujours attachée en plein soleil. Elle pense que son maître va la passer au jet, mais il n'en est rien. Il lui reproche de n'avoir pas pris soin d'elle et de s'être laissé aller, notamment en ne supprimant pas son ticket de métro, malgré sa demande.
Pauline tente de se justifier, mais rien n'y fait. Cello est décidé de passer à l'action aujourd'hui.
Il embrasse Pauline, lui caresse les fesses et les seins. Puis il tire légèrement sur ses anneaux pour étirer ses tétons. Pauline grimace, mais aime toutefois ce traitement. Puis il prend dans sa poche une boite d'allumette, craque l'une d'elle et approche la flamme de l'aisselle droite de Pauline. Elle voudrait bouger, fuir, mais ses liens empêche tout mouvement.
P : « Non monsieur Cello, s'il vous plaît ne faite pas cela ! »
C : « Ça va me coûter moins cher que l'esthéticienne, et le résultat sera le même, plus de poil et définitivement ».
L'allumette enflamme les poils de ses aisselles qui grésillent et noircisse. Cello passe sa main sur la peau de Pauline, les poils ont disparu et une partie de son aisselle est lisse. Il réitère l'opération deux fois et son dessous de bras est propre. Pauline pleure, elle craque alors qu'elle n'a pas souffert.
Ensuite, Cello procède de la même façon avec l'aisselle gauche de sa soumise. Celle-ci s'est calmé en constatant qu'elle n'a pas ressenti de douleur.
C'est à ce moment là, que Mylène vient rejoindre le trio, et assister au spectacle.
C : « Tu arrives bien, tu vas m'aider, Mets-toi devant Pauline et écarte ses fesses que je lui épile son SIF. Il n'est pas très fourni, mais comme cela elle sera plus nette. Pauline comprenant ce que Cello va faire, essai de nouveau de bouger. Mylène s’accroupit alors devant Pauline et embrasse son sexe, puis passe sa langue sur ses lèvre intimes avant de jouer avec sa langue, sur le piercing du capuchon du clitoris de Pauline. Celle-ci se calme, et Cello procède comme précédemment avec les dessous de bras de la bourgeoise.
Quand le sillon inter fessier de Pauline est nette, Cello passe sa main dans la raie culière de Pauline et constatant que celle-ci est nette, il dit ;
« Mylène, vient donc passer ta langue par ici, tu vas voir comme c'est agréable de lécher un cul propre et net ».
En disant cela, Cello a bien sûr une autre idée en tête. La fermière obtempère et viens s'agenouiller derrière Pauline, avant de passer sa langue dans le sillon et s'attarder sur l’œillet de Pauline.
Cello profite que Pauline est tout à son plaisir, plaisir que lui procure la langue de Mylène pour prendre une bougie dans sa poche, d'allumer celle-ci et approche la flamme du pubis de Pauline. Elle réagit en comprenant ce que son amant veux faire. Elle crie :
« Non monsieur Cello, je vous en prie par cela.... »
Mais Cello n'en a cure, et enflamme le ticket de métro roux de la belle. Les poils s'enflamme immédiatement et quelques secondes plus tard, ceux-ci sont grillés. Cello frotte alors le pubis de la bourgeoise et constate que son pubis est totalement lisse. Satisfait de son travail, il demande à Édouard de détacher sa belle. Libérée, Pauline se jette dans les bras de Cello et l'embrasse, recherchant du réconfort et de la tendresse.
Cello lui rend son baiser, la félicitant d'avoir été courageuse et la caresse pendant de longue minutes. Il regarde alors Mylène et ses forêt vierge autant sous ses bras, que sur ses parties intimes. Il se dit : Elle n'a jamais du s'épiler les dessous de bras. Et il dit à Édouard :
« Attache Mylène, je vais m'occuper d'elle ».
Avant qu'elle ne réagisse, Édouard attrape sa femme par le bras, et le lui attache à l'un des poteaux. Elle se débat, mais son homme la ceinture, lui attrape le second bras, et fais de même. Reste à attacher les jambes, elle gesticule, vocifère, mais rien n'y fait, Édouard lui claque les fesses et fini par lui attacher les jambes, malgré la lutte de sa femme pour ne pas se laisser attacher. Il passe alors la corde autour de sa taille et s'approche pour embrasser et caresser le corps de Mylène. Elle se calme.
Pauline ne semble pas du tout contrariée de voir celle qui la bafoue et l'humilie depuis son arrivée, attachée. Elle câline Cello, comme pour le remercier d'abaisser Mylène.
La fermière au contraire est surtout vexée que Pauline assiste à cette humiliation. Elle qui gérait tout dans la ferme, se retrouve au rang d'esclave. Mais, elle a bien l'intention de se venger et de faire payer à Pauline le fait d'assister à cela.
Cello rallume la bougie et s'approche de Mylène, elle vocifère, le menace mais rien n'y fait, il approche la flamme du dessous de bras de la fermière et brûle les poils disgracieux de ses aisselles. En quelques secondes, ils sont tous grillés et de la main Cello ôte les poils grillés de Mylène, il procède de la même façon sur l’autre aisselle.
Il demande alors à Pauline :
« Va derrière elle et malaxe lui les nibards ».
La fermière qui a entendu l'ordre donné à Pauline s'exclame :
« T'approche pas salope! ».
Pauline regarde Cello, qui lui fait signe d'obéir, et elle vient se placer derrière Mylène, lui saisit les seins et malaxe ceux-ci en alternant douceur et rudesse. La fermière semble apprécier le traitement que lui prodigue Pauline. Celle-ci, tout en s'occupant de la poitrine de Mylène, dépose des baisers dans son cou et Cello en profite pour s'accroupir devant la toison pubienne de la femme d’Édouard.
La forêt vierge de Mylène s'embrase immédiatement, La fermière crie, mais en quelques secondes les poils sont roussis et de la main, Cello dégage les poils cramoisis de la chatte de Mylène.
Il est temps maintenant de faire subir à Marie sa première traite en publique. Elle est amenée dans une pièce carrelée totalement aseptisée. Mylène la fait s’agenouiller entre des tubes métalliques où elle est attachée main et jambes écartées, les mamelles pendantes et un lourd collier autour du cou. Édouard lui fixe alors un bâillon-boule puis lui soupèse les mamelles. Il lave ensuite les tétines de Marie avec une éponge et de l'eau froide. Puis il met en fonctionnement la trayeuse et place les embouts sur les tétons de Marie. Aussitôt ceux-ci sont pompés très fortement. Marie sent ses mamelles aspirées et étirées vers les gobelets-trayeurs de la machine, et son lait sortir de ses pis.
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