Titre de l'histoire érotique : Marie ma nouvelle voisine - 13 - Samedi matin - histoire érotique

Le samedi matin, lorsque tu te réveilles tu constates que tu es seule dans le lit, et qu'Hervé est déjà levé. Tu te décides à aller le rejoindre dans la cuisine, appréhendant son humeur, après ton comportement de la veille au soir.

Je me lève, j'enfile un t'shirt dont les bretelles sont distendues et donc très échancré m'arrivant à peine, à mi-cuisses et vais le rejoindre. Il est dans la cuisine à boire un café, je vais vers lui, câline ... il bande rapidement et je lui fais remarquer qu'il est en forme pour un homme qui a prit une grosse cuite la veille et c'est endormi sur le canapé ... il me dit que je suis belle et qu'il a fait un rêve très érotique me concernant

Il ajoute qu'il a fait du café, car il a une grosse gueule de bois, et qu'il va probablement se recoucher après son café, pensant certainement que tu le rejoindras.
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« Un rêve érotique avec moi ? Oh ! Cochon ! Allez raconte moi !
- Et bien ça me gène un peu de te le raconter
- Si ! Allez... tu en as trop dit ou pas assez. C'est de m'avoir fait me montrer dans ma petite robe sans soutien gorge à notre voisin ? Avoue !
- Oui je ne me souviens pas de grand chose de la soirée, mais j'ai rêvé qu'il te mettait une fessée, te caressait, te mettait nue et te prenait dans le salon en levrette en te disant des cochonneries et que tu en jouissais comme jamais je ne t'ai vue jouir ...
- Espèce de pervers, je me doutais hier que ça te plaisait que notre voisin reluque mes seins libres sous ma robe, mais... tu aimerais qu'il devienne mon amant, ça t'exciterait ?
- Heu...je ne sais pas...peut être pas ton amant mais heu...Qu'il joue avec toi de manière sensuelle, je pense que oui, malgré ma jalousie cela m'exciterait je pense »

Et il ajoute :

« Je heu... je ne sais pas ma chérie, je ne veux pas que tu me trompes, mais c'est vrai que ça m'excite d'y penser
- Arrête tu vas m'exciter »

Dis tu en finissant ta tasse de café.
Hervé s'approche de toi pour te prendre dans ses bras, mais à ce moment là, la sonnette de la porte d'entrée retentit.

Dring ! Dring!

« Ho ! Tu es un vrai cochon mon amour, mais c'est vrai que je dois t'avouer que moi aussi j'étais excitée hier soir, quand je sentais son regard sur moi en sachant que tu étais là, il émane de lui une telle autorité ... tu ne trouves pas ? Embrasse moi ! »

Driiing ...

« Ho ! Mince ! Qui c'est ?
- Hooo qui c'est à cette heure ? Tu vas ouvrir mon chéri ?
- Je ne peux pas, je suis en caleçon et regarde dans quel état tu m'as mis.
- Oui tu parles, c'est de m'imaginer avec le voisin, bon j'y vais »

Et tu te décides à aller ouvrir ;

Hervé m'entend depuis la cuisine
« Hoo bonjour Monsieur Cello, vous êtes bien matinal, je heu... que puis je faire pour vous ?
- Bonjour Marie, toujours aussi ravissante, mais dis moi tu n'es pas prête ?
- Prête ? Mais pour quoi ?
- Mais pour notre jogging voyons, ne me dis pas que tu as oubliée que nous faisons notre jogging aussi le week-end, pour que je t'aide à te mettre en forme ?
- Hoo mince, si, mais avec tout l'alcool que nous avons bu hier, j'ai complètement oublié, je suis désolée, je heu...entrez, venez dans la cuisine, Hervé est là je vous sers un café et vais me changer ... mais qu'est ce que je vais mettre ? »

Nous entrons à la cuisine.

« Hervé mon chéri, j'avais demandé à notre voisin de l'accompagner pour courir dans la forêt, je ne sais pas quoi mettre, mes affaires de sport ne sont pas propres, peux-tu me prêter quelque chose ?
- Oui bien sur, dans l'un de mes tiroirs tu trouveras des vieux tee-shirts et dans l'autre mes shorts, mais ils seront trop grands pour toi, mais je n'ai que cela à te proposer… »

Puis il ajoute

« Ha ! Si ! Il y a un short blanc, qui est à Vincent, le fils de Thérèse et Bernard. Il l'avait oublié, lorsqu'ils sont venus, il y a deux mois, et tu l'as rangé avec les miens, il risque de te serrer peut être un peu, mais au moins, tu ne risques pas de le perdre.
- Bon je vais aller le mettre, mais en attendant je vous sers un café Monsieur Cello ? Installez vous à coté d'Hervé ... »

Je vous sers, vous offrant comme la veille au soir, le spectacle de mes seins, qui pendent sous moi, quand je me penche en avant et je vous laisse entre hommes pour me changer ... Pendant que vous discutez, j'enfile le tee-shirt de Bernard et son short, je me regarde dans le miroir, avec ce maillot trop petit et très échancré, qui moule comme une seconde peau la partie de mes seins recouverte, je pourrais presque faire sortir mes seins par les cotés, je me demande ce que va dire Hervé en voyant que je ne porte pas de soutien gorge ... et pour le short, il trop petit et il me moule les fesses et le sexe de façon si indécente, qu'on dirait une seconde peau.

Je me trouve belle et provocante ainsi "vêtue". Tant pis ! J'y vais comme cela !

Je remercie Hervé pour sa soirée, et il devient rouge, lorsque je le complimente une nouvelle fois sur le choix de la robe que tu portais hier soir. Puis il me confesse en s'excusant qu'il a trop bu et manqué une bonne partie de la soirée et qu'il va se remettre au lit, dès notre départ pour récupérer.

Vous le regardez en riant comme de défi, lui est honteux, car il se demande s'il a vraiment rêvé ou si certaines choses sont vraies, comme ma fessée ... ou pire.

« Oui tu as raison, après tout tu es le seul à bosser réellement dans la semaine »

Puis je lui demande :

« Cela ne t'embête pas que je "prenne" Marie ce matin, mais tu sais, elle en a pris l'habitude depuis le début de la semaine et cela lui fait un bien monstre, elle a déjà perdu au moins 2 kilos dans sa semaine à courir comme cela.
- Ha bon ! Elle a perdu du poids ? Je la trouvais plus radieuse que d'habitude, mais je pensais que c'était du à sa tenue ... je heu... c'est que depuis qu'elle se sent bien dans cette maison, elle ne porte plus de soutien gorge, vous avez remarqué hier ...
- Il aurait fallu être aveugle pour ne pas s'en apercevoir, et ce n'est pas moi, qui vais m'en plaindre, j'aime trop voir des gros seins pour cela.
- Oui je heu... et bien tant mieux pour tout le monde alors ... je heu... c'est sûr que Marie a de gros seins et que ça se voyait bien hier soir.
- Oui et elle semblait en être fière, fière de ne plus porter de soutien gorge et fière de ses grosses mamelles, qui se balançaient de tout coté.
- Je heu... fière de ses grosses mamelles je... oui enfin dis comme ça je heu... oui peut être, elle voulait me faire plaisir en portant la robe que je lui ai achetée l’été dernier et qu'elle ne pouvait pas porter avec un soutien gorge, vous avez vu, elle est très moulante ...
- Oui moulante et sexy !
Je m'arrête en t'entendant dans le couloir revenir.

En répétant pour vous "grosses mamelles", Hervé ne peut s'empêcher de bander dans son caleçon et fait des efforts honteux pour que vous ne le remarquiez pas

Ton entrée n'arrange pas sa situation, lorsqu'il te voit avec son short un trop petit, qui épouse tes formes et son t'shirt trop petit, te moulant comme une seconde peau tes grosses outres. De plus il est sans manche, et très échancré.

« Je vois que ma partenaire est prête »

Et m'adressant à toi je te demande :

« M'accordes-tu le temps de reprendre un café avec Hervé et toi bien sur ? »

Oui Hervé et vous restez silencieux un moment en m'entendant revenir et Hervé reste bouche bée en me voyant entrer dans la cuisine. Mon mari en a du mal à avaler lorsqu'il me voit entrer avec ce tee-shirt sans manche moulant, le tissu me faisant comme une deuxième peau sans presque rien maintenir ! On voit le renflement de mes mamelons et chaque pas les fait bouger. Ensuite, il remarque le short, tout aussi moulant, laissant clairement voir que je n'ai rien dessous, le tissu me rentrant dans la chatte.

« Mais chérie tu as vu comme tu es habillée, je… heu… enfin on voit tout !

- Bah je n'ai pas le choix, je n'ai rien d'autre à mettre et celui là est un peu serré comme le tee-shirt et puis tu es bien content que je prenne soin de moi pour te plaire ? Et puis il ne peut rien m'arriver, je suis avec notre voisin.

Il ne se doutait pas que son épouse resterait seins nus sous le tee-shirt moulant, ni que celui ci, échancré aux épaules, laisserait voir le bord extérieur des seins...

De votre coté , lorsque je vous rejoins, vous me dites :

« Parfait, te voilà prête pour courir Marie, nous parlions justement avec Hervé du fait que tu étais très belle ... »

Pendant ce temps, Hervé bande de plus belle malgré lui en m'imaginant courir les seins ballottant à chaque foulée !

« Oui bien sur, je vais en prendre un avec vous, tu en veux un autre mon chéri ?
- Heu... oui s'il te plait, je heu...tu es à l'aise avec ce tee-shirt ? »

Prenant la cafetière, tu remplis nos trois tasses, t'arrangeant pour me présenter l'un de tes profils, pour que je puisse reluquer tes pis. Voulant dire il ne serait pas trop grand par hasard.

« Ho oui ! Il me serre un peu, mais comme il est bien échancré et décolleté, je peux respirer tout de même. Café ? Café ?"

Et lorsque je vous sers, mon mari voit mes seins par les cotés, c'est si obscène ! Il en a mal à la bite tellement il bande !

Je bois mon café assez rapidement, avant qu'Hervé ne te fasse changé de tenue, et dis :

« Bon ! Ma petite Marie, on va y aller et laisser Hervé se reposer, il a encore mal aux cheveux d'hier soir et une bonne sieste lui fera du bien »

Et j'ajoute :

« Bien sur, vous manger avec moi, j'ai prévu un barbecue pour ce midi et pour ce soir une fondue bourguignonne, (ce qui me permettra de te donner des gages chaque fois que ton morceau de viande tombe dans l'huile...) et pour le dessert, j'ai acheté de beaux abricots bien juteux. »

Nous partons sous le regard mi-excité, mi-jaloux de mon homme et sortons par la porte d'entrée, pour aller de votre coté prendre votre voiture. Dès que nous sommes dans votre voiture vous me dites :

« Humm ma belle salope ! Enfin tous les deux, je vais bien te faire jouir dans la forêt, tu as vu comme ton mari bandait de te voir m'accompagner dans cette tenue ?
- Ho oui ! Il m'a même avoué que ça l'excitait de vous imaginer profiter de moi ...

Je démarre la voiture et à peine avons nous quitté le lotissement que tu t'apprêtes à ôter ton short.

« Non garde le, s'il n'est pas plein de sueur, ton mari va comprendre que tu coures à poil et puis il te moule tellement bien le cul et la chatte, que c'est encore plus excitant ainsi.
- Ho oui vous avez raison monsieur Cello, mais il ne faudrait pas qu'il soit trop odorant de mon sexe tout mouillé non plus ...
- Non tu pourras le retirer plus tard, mais je te permets de te caresser pendant le trajet ».

Dès notre départ, Hervé termine son café et au lit avec une sacré trique ! Une fois sous les draps, il ne peut s'empêcher de se masturber en m'imaginant courir les seins, qui ballottent et vous qui me regardez et me caressez les seins ... au moment de jouir il vous imagine même me prendre debout penchée contre un arbre et il gicle dans les draps puis s'endort (j'ai l'habitude)...

Mais avant de se mettre au lit, Hervé a fermé la porte à clé, sans penser que tu n'avais certainement pas prise la tienne.

Pendant le trajet, tu te caresses au travers du short, celui-ci étant trop étroit pour y glisser ta main, et te caresse doucement. Je te regarde et te dis :

« Tu as raison, commence à chauffer ta chatte et ton cul, car j'ai bien l'intention de te prendre par tous les trous ce matin, ton cocu n'a trop excité.
- Hum ! Moi aussi ! J'ai honte mais ça m'excite de savoir qu'il bande de vous sentir me tourner autour ... et vous qu'est ce qui vous a excité monsieur ce matin ?
- De pouvoir lui dire que je passais te "prendre" tous les matins, sans qu'il comprenne l'allusion ».

Arrivée dans le bois, je te demande de garder exceptionnellement ton short, et nous partons courir, le t'shirt très échancré de Vincent, ne tarde pas à libérer l'un de tes seins et quand tu le remontes d'un côté, c'est l'autre côté, qui se dénude.

Oui je cours à vos coté à un rythme soutenu, si bien que je suis essoufflée et à un moment je ne prends plus la peine de recouvrir mon sein nu et je cours avec un sein à l'air, qui saute à chaque pas, cela génère en moi une sensation agréable d'échauffement mammaire et alors que nous approchons de la cabane de chasse habituelle, je suis si excitée que j'ai vraiment du mal à suivre le rythme.
Hervé resté à la maison, dors, la porte fermée, les draps tachés de foutre.

Je te vois t'arrêter et t'appuyer contre un arbre, pour reprendre ta respiration et te dis :

« Oui bonne idée ma chérie, je vais te prendre contre cet arbre »

Je m'approche de toi par derrière, baisse ton short et sans plus attendre, je t'enfile ma bite dans ta chatte déjà humide, avant de commencer des vas et viens de plus en plus rapide dans ta chatte en te tenant par les pis ou en te donnant des claques sur les fesses.. Sentant que je ne vais pas tenir très longtemps ce matin, je me retire et te demande de me prendre dans ta bouche, pour te donner ta première dose de foutre de la journée.

Puis, nous regagnons la voiture en marchant tranquillement, te tenant par la taille ton short dans ta main, et ma main, glisse sur tes fesses et tu sens mes doigts descendent le long de ta raie culière, et titiller ta rondelle, avant que l'index pénètre ton oeillet. Nous finissons le parcours avec mon doigt dans ton cul.

Avant de monter dans le véhicule, je retire mon index et te le donne à sucer en te disant :

« Lèche petite cochonne, je sais que tu aimes le goût de ton cul » !

J'ouvre la portière et avant que tu ne montes, je te fais te pencher sur ton siège et d'ordonne :

"Ecarte-toi que je t'encule ma belle !"

Tu portes aussitôt tes mains sur tes fesses, te cambrant le plus possible pour m'offrir ta rondelle que mon index a déjà préparé.

Je m'approche frotte mon sexe contre ta raie, puis posant mon gland contre ta rosette, je force le passage et m'introduit en totalité dans ton fondement.

"Oh ! Monsieur Cello... hum ! Oh oui...c'est bon...j'aime quand vous me prenez le cul...Oui encore... Plus foooort... "
Je te claque alors les fesses fortement.
"Ouiiiiiiiiii ! Fessez moi et enculez moi !"

J'évite une nouvelle fois d'exploser en toi, pour ne pas te tâcher, et me retirant, tu t'agenouilles devant moi pour me prendre en bouche et recueillir ma purée épaisse et chaude.

Une fois ma bite et les couilles nettoyées, nous montons en voiture après que tu aies remis ton short et prenons la direction de notre lotissement. Arrivée devant chez toi, je m'arrête et te demande :
« Tu as pris ta clé, car Hervé dort peut être encore ?
- Zut ! J'ai oublié de prendre ma clé, j'espère qu'il n'a pas fermé la porte à clé
.- Si la porte est fermée à clé, surtout ne le réveille pas, tu prendras ta douche chez moi et avec moi.
- Oui ! Entendu, je vais essayer de ne pas le réveille ».

Tu sors de l'automobile, va jusqu'à la porte, constate que celle-ci est fermée à clé, et reviens vite me rejoindre pour regagner ma propriété.

Lorsque nous arrivons chez moi, nous nous précipitons aussitôt dans la salle de bain pour nous déshabiller et allons sous la douche ensemble évidemment.

Après avoir fait une nouvelle fois l'amour sous la douche, et pris notre douche avec beaucoup de sensualité, nous caressant et nous embrassant partout je te sèche et te donne un peignoir court, en soie avec le dos en dentelle noire. Cela ne cache pas grand’ chose de ton anatomie, mais tu ne peux tout de même pas remettre tes vêtements trempés de sueur, et au moins, tu ne seras pas nue chez moi, lorsque Hervé viendra te chercher.

Puis nous nous installons dans le salon pour boire un jus de fruits, et nos verres ne sont pas encore vides que l'on sonne à la porte.