Titre de l'histoire érotique : Marie ma nouvelle voisine - 19 – Matinée du dimanche - histoire érotique

Marie - Lorsque je me réveille, je constate qu'Hervé est déjà levé, il n'est pourtant que 07h00, je revêts un déshabillé transparent, et me rends dans la cuisine. Je vois Hervé en train de boire un café, je le rejoins et lui demande si tout va bien.

« Bonjour chéri, que fais tu debout de si bonne heure un dimanche matin ? ».

Hervé : « Heu ... Et bien, je me suis réveillé et impossible de me rendormir, je n’arrêter pas de me repasser les images d'hier, de tout ce qui s'est passé.

Marie : « Ah d'accord, mais c'est toi qui a dit à Cello que tu voulais qu'il me heu.... Enfin tu sais quoi

Hervé : « Oui je sais bien mais... »

Marie : « Mais quoi mon chéri, j'ai bien vu que ça t'excitait de me regarder me faire prendre par Monsieur Cello, d’ailleurs tu as éjaculé combien de fois? »

Puis, je vois une bosse se former dans son caleçon et lui dis :

« Oh mon cochon ! Tu bandes ? Ça t'a bien excité avoue le ».

Hervé : Baissant la tête honteux dit :

« Oui ça m'a beaucoup excité, mais tu te rends compte de ce qu'il t'a fait faire et tout le sperme que tu as bu, en plus il t'a sodomisée et tu as adoré ça.

Marie : « Mon chéri, ça t'excite de dire ça, regarde comment tu bandes mon cochon »,

Tout en disant cela je passe ma main sur sa bite et le caresse en lui disant :

« Tu as vu mon amour comment il m'a enculé avec sa grosse bite, dans mon trou du cul, et comment je suçais Laurent en même temps ».

Puis je m’accroupis et je sors son sexe en érection de son short, et commence à le masturber lentement en lui léchant de temps à autre le gland. Je le regarde dans les yeux et lui dit :

« Tu aimes que je sois salope mon amour, ça t'excite hein, tu aime me regarder me faire prendre par tous les trous comme une grosse salope, qui aime les grosses bites bien pleine de sperme ».

Hervé : "Oui ma chérie, j'aime quand tu te comportes comme une salope, que tu me montres que tu es une chienne docile ».

Marie : Je me met à me frapper les seins avec la bite d'Hervé, et je crache dessus, mais j'ai à peine eu le temps de la mettre dans ma bouche et de la sucer que  quelqu'un sonne à la porte

Je m'arrête brusquement.

Hervé me dit : « Chérie va voir qui c'est, moi dans mon état, je ne peux pas y aller comme cela ».

Marie : «  Heu oui d'accord mon chéri »

Obéissante, je me précipite pour aller ouvrir sans penser que je n"ai que ma petite nuisette courte et transparente. Lorsque j'ouvre la porte, je vois la surprise dans les yeux de Laurent de me voir quasi nue lui ouvrir. C'est à ce moment que je réalise que je suis nue ou presque et vous dit :

« Bonjour Laurent, Hervé est dans la cuisine, il va vous offrir un café, pendant que je vais mettre quelques chose sur mon dos.

Non, n'en faites rien, vous êtes ravissante ainsi et puis je vous ai vu dans des positions encore plus hard hier soir ».

Je rougis et j'obéis et accompagne Laurent jusqu'à la cuisine ou il salue Hervé et je lui sers un café.

Hervé lui demande : « Mais qu'est ce qui t'amène d'aussi bonne heure ? ».

Laurent : « Et bien je vais être franc avec toi Hervé »,

Marie - En disant cela Laurent déboutonne son pantalon , le baisse, ainsi que le caleçon dans la foulée ce qui a pour effet de laisser apparaître sa grosse bite en érection, et il ajoute :

« Depuis hier soir je suis constamment en érection et je n'arrive pas à me soulager. ta femme m'a terriblement excitée, et c'est une sacré cochonne, je peux lui demander de me soulager?

Marie - Très excitée par la situation, je regarde Hervé et dit :

«  Oh quel cochon, tu as vu Hervé comme il bande le pauvre »

Sans attendre de réponse de mon mari, je m'agenouille devant Laurent et saisie son sexe de la main droite et de la main gauche ses couilles toutes gonflées

Cello - Alors que tu le suces, Laurent raconte :

« En arrivant, j'ai vu des jeunes assis sur un muret à l'entrée du lotissement qui discutaient, je me suis arrêté et je leur aie demandés si cela les intéressaient de donner leur sperme à une belle bourgeoise salope de leur quartier, ils ont immédiatement acceptés, aussi je leur ai donné votre adresse et ils devraient venir dans une demi-heure. Ils se prénomment Alban, Charles, Nicolas et Arthur et Vincent, mais il y en a que quatre, qui vont pouvoir venir ce matin ».

A ce moment on sonne de nouveau à la porte.

Laurent : « Ce doit être Cello, on s'est donné rendez-vous ici ».

Marie : « Oh ! Je ne peux pas y aller comme cela »

Laurent : « Oui tu as raison, tu ne dois pas y aller comme ça. Retire ta nuisette et va ouvrir nue, cela va plaire à Cello ».

Cello – Surpris que tu viennes m'ouvrir dans la tenue d'Eve, je te félicite pour ta prise de risque et je salue Hervé et Laurent et t'embrasse, tout en te pelotant les mamelles, avant de m'asseoir à table pour prendre un café en votre compagnie. Marie me donne une tasse, une petite cuillère et s’assoit entre son époux et moi.

Je sors de ma poche la boîte de pilules et donne un cachet à Marie en lui disant :

« Tiens ma chérie, n'oublie pas de prendre ton cachet »

Tu me remercies d'y penser, car ce matin tu avais oublié lorsque Hervé demande :

Hervé : «  C'est quoi les cachets que tu prends Chérie ? »

Marie : «  Heu... C'est des cachets que m'a donnée Laurent pour... Heu... »

Cello – Voyant que tu es gênée d'avouer à Hervé que tu vas louer tes pis, je te coupe la parole et explique :

« C'est des cachets pour provoquer la lactation, afin que Marie puisse allaiter ».

Hervé : « Allaiter ? Mais allaiter qui ? »

Cello : « Des vieux, très riches, amateur de lait de femme, près à payer très cher une tétée. ».

Hervé ; « Mais pourquoi? »

Cello : « Pourquoi ? Parce que tu ne gagnes plus assez d'argent et que Marie va être obliger de louer ses pis pour continuer à avoir le même train de vie, sans se soucier des fins de mois difficiles ».

Hervé une nouvelle fois humilié que je lui dise qu'il ne gagne plus assez d'argent, baisse la tête et sans répondre, boit une gorgée de café, acceptant ainsi que sa belle épouse loue sa poitrine, et pas que..., mais cela je ne le lui dis pas, pour le plaisir de vieux pervers et aussi le sien.

Marie – Je bois rapidement mon café, les cuisses ouvertes et vous posez votre main à l'intérieur de celles-ci. Vous remarquez que je suis déjà humide et vous m'en faite la remarque.

« Heu... C'est de la faute d'Hervé et de Laurent, j'ai commencé à sucer mon mari puis votre ami est arrivé et je l'avais en bouche quand vous avez sonné. »

Et changeant aussitôt de sujet, j'ajoute :

« Bon ! Il faut que je me dépêche de me maquiller avant de recevoir nos visiteurs ».

Cello : « Tu n'as pas écouté les explications de Laurent, il a pourtant été clair, pour ton teint, il n'y a rien de mieux que le sperme, aussi avant de te mettre du rouge à lèvres et te maquiller les yeux, Hervé et Laurent vont se branler devant toi et te lâcher leur purée sur le visage et tu étaleras cette crème de beauté jusqu'à bien la faire pénétrer dans ta peau.

J'ai dit « se branler devant toi » et non se faire sucer, car je n'ai pas envie de donner ce plaisir à ton mari, ni à Laurent,ce matin.

Marie : « Bien monsieur Cello, excusez moi, mais je pensais que je devais en ingurgiter le plus possible »

Cello ; « Tu auras ta dose avec les jeunes que Laurent à recruter et quand Hervé sera absent, c'est moi qui te fournirait ta crème de beauté ».

Marie - Ravie d'apprendre que vous prendrez soin de ma peau chaque matin, je regarde Hervé sortir sa queue de son caleçon, et commencer à se branler devant moi, imiter par Laurent. Bien que j'en ai envie, je garde la bouche fermée, attendant de recevoir les spermes de mon mari et de votre ami sur le visage. Comme d'habitude, je n'ai pas longtemps à attendre, avant de recevoir le jus de mon cocu sur les lèvres, les joues et les paupières. Laurent tarde un peu plus.

« Merci pour vos bonnes crèmes  »

Et j'étale leurs spermes sur tout mon visage, le front, le cou pour qu'ils pénètrent dans les pores de ma peau. Ensuite, je file dans la salle de bain me doucher, me maquiller les yeux et mettre du rouge à lèvres avant de revenir me joindre à vous dans le salon. Hervé et Laurent sont assis chacun dans un fauteuil et vous dans le canapé. Je vous regarde et demande :

« Comment je m'habille ce matin pour recevoir les invités de Laurent? C' est que j’ai plusieurs dessous sexy que je pourrai mettre dans.mon dressing, j'ai même des robes que mon cochon de mari m'avait achetée, mais que je n'ai jamais osées mettre.».

Cello : « Ne mets pas de dessous, juste une robe, la plus indécente que tu trouves. Tu es capable de trouver cela pour me satisfaire? »

Marie : « Oui monsieur Cello, vous savez que je ferais n'importe quoi pour vous satisfaire ».