Titre de l'histoire érotique : VOYAGE EN BELGIQUE, VERS L’ENFER. (6/20) - histoire érotique

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Noémi se déshabille me faisait apparaître ce sein que j’ai eu le plaisir de téter.
La grande monte et place un pied sur un petit plateau de bois, Hugo lui met le bracelet, même opération pour l’autre pied.
Elle attrape la poignée droite placée à hauteur du bracelet qu’il lui attache, idem pour l’autre.
Noémi se retrouve ventre contre la roue, l’angle d’inclinaison de cette dernière permet à ma copine de ne pas être entièrement en appui sur ses pieds, en se collant bien il semble possible de se reposer.
Hugo lance deux chronomètres qui décomptent le temps jusqu’à la fermeture.
Un à droite de la roue, l’autre à gauche.
Le pervers qui a créé cet engin, à pousser le vice à placer deux chronomètres pour que la personne attachée ne puisse ignorer le temps qu’il lui reste à attendre avant la fermeture.
Sur une petite table, une cravache est posée.

• Léa, la tradition veut que chaque fille passe fouetter leur copine en début de journée, commence !

J’ai du mal à exécuter un geste que je réprouve, je prends la cravache et je tape mollement sur la fesse de la grande qui ne dit mot, toutes les autres font de même, jusqu’à Annabelle qui saisit la cravache et assène un coup de bas en haut.
Vu l’écartement des jambes elle touche l’intérieur de son vagin.
J’entends un petit cri, elle a dû avoir mal.

• Léa, suis-moi !

Il m’installe au bar, très près de Madame Claude qui est derrière sa caisse.

• Chaque fois qu’un client te choisira, il ira payer Madame Claude qui te remettra un jeton de la couleur de la prestation payée.
Tu le placeras dans la boîte correspondant à la couleur de ton collier.
À la fin de la nuit, j’ouvrirais les boîtes et tu sauras combien tu as gagné.

Derrière le bar, une jolie fille attend pour servir.
Hugo va ouvrir les portes une vingtaine d’hommes et deux femmes entrent.
Rapidement un petit gros tout dégarni s’approche de moi.

• Tu es nouvelle !
• Oui.

Il s’approche de Madame Claude, traite la transaction, je vois des billets s’échanger, mais je suis dans l’impossibilité de savoir combien il a payé pour me baiser.

• Léa !

Je descends de mon tabouret. Madame Claude me donne un jeton noir.

• Chambre 1, tu as de la chance pour une première passe, ton client veut monter « no limite », tu n’as rien à lui refuser pendant trente minutes ou qu’il éjacule.

Je mets mon jeton dans ma boîte, en passant auprès de la grande, je remarque que son fessier est zébré de marque faite par la cravache que les clients viennent prendre plaisir à lui asséner.
Je vois mal son visage, mais j’ai peur qu’elle n'ait tourné de l’œil.
En passant mon client prend, la cravache lui assène un coup d’une violence qui me fait peur s’il se comporte comme cela avec moi.

• Ça lui fait du bien, je connais bien Noémi, elle adore que je la fouette.

Arrivés à la chambre, nous entrons, habitué de la maison, il fait tomber ses affaires et attend devant le lavabo.
Un instant désemparé, je me souviens du film « belle de jour » ou l’héroïne femme de médecin se prostitue volontairement, grosse différence avec moi qui le fait pour protéger et continuer à voir mes enfants.
Je me mets nue, je m’approche et avec le produit, je bichonne le morceau qui va entrer dans mon corps contre ma volonté.
Le lavage terminé, je le sèche en prenant mon temps faisant croire que je veux qu’il soit propre comme un sou neuf.
Je suis maligne, le temps que je passe à cette opération sera du temps gagné sur les pénétrations.
Il ne faut pas aller trop loin, je me baisse et le prends en bouche, l’odeur de l’aseptisant monte à mes narines, mais cela prouve que mon nettoyage a été efficace.
Il trouve que je l’ai assez pompé vu l’état de sa bite qui a bien grandi, il s’assied sur la chaise et m’attire à lui.
Je ne souhaite pas avoir son haleine sur ma figure, je me place dos à lui et comme sa tige est bien droite, je sens qu’il me caresse l’anus, il me perfore quand je m’assieds dessus.
Le traitement que m’a infligé Hugo me permet de recevoir ce pieu sans problème.
Je me souviens des muscles autour de mon petit trou que je contractais lorsque mon bel amant me sodomisait.
Je me concentre pendant qu’il me soulève en me tenant par les flancs et en me laissant tomber sur son sexe, je force mon cerveau pour mettre en marche ces muscles qui doivent bien exister.
Avec de la volonté, je les sens bouger, ils sont là.

• Tu es bonne toi qu’est-ce que tu fais autour de ma queue, on ne m’a jamais fait cela, tu es une vraie pro.

Avec l’aide de ma masturbation vaginale, il éjacule alors que je pense qu’il aurait voulu se retenir pour me pénétrer vaginalement.
Il reste du temps, je m’agenouille et je le reprends en bouche, je le pompe comme jamais je ne l’ai fait à un homme.
Est-ce que je commence à aimer ce que l’on m’oblige à faire ?
Si j’ai bien compris Noémi, je suis ici pour quelques mois, voire années, depuis que mes enfants ont été envoyés chez mes beaux-parents, ma vie était devenue terne. Dans ma grande maison, je m’ennuyais ferme, ici, j’ai l’impression que je ne vais pas chaumer.
Lorsque je ressors de mes pensées, il est tendu prêt à exploser dans ma bouche, autant j’aimerais qu’Hugo me la remplisse de son sperme autant celui de ce client me laisse indifférent.
Je le retire et avec la main, je l’achève pour qu’il éjacule sur mes seins.
La lumière s’allume, les trente minutes sont passées, je lui fais rapidement sa toilette, il se rhabille et me flatte la croupe, j’ai l’impression d’être une jument.
Je fais la toilette de mes seins et de ma chatte, puis après nous êtres habillés, nous redescendons.

• Madame Claude champagne, votre nouvelle est super, je n’ai jamais autant joui, vous avez là une pro top-niveau, gardez là, dès que je peux, je reviens.
Champagne !
• Je ne bois pas d’alcool.
• Si Léa, prenez une coupe, le client est satisfait, vous l’avez bien mérité.

Les yeux noirs que me lance la patronne me fait comprendre que je dois accepter, je m’appuie sur son bras comme avec un copain.

• Vous avez raison champagne.

La barmaid ouvre une bouteille et nous sert trois coupes.

• Vous avez vu Noémi sur la roue.

Nous tournons la tête vers ma copine. Elle est toujours allongée sur le ventre, je vois ses lèvres sèches, je prends ma coupe, descend du tabouret de bar, je me déplace et je lui donne une gorgée.
Elle ouvre les yeux, nos regards se croisent et elle me fait un petit sourire.
Je reviens vers le client et je bois une gorgée de champagne, plutôt bizarre, j’ai l’impression de boire du thé froid avec des bulles.
Madame Claude me regarde et a un petit rire aux coins des lèvres.
La petite blonde qui est venue avec nous de Valenciennes descend avec un client.

• Marjorie, tu es là, prends un verre, nous fêtons le merveilleux moment que Léa m’a fait passer.
• Merci, le client que je viens de monter m’a donné soif.

Il lui sert un verre de champagne, la petite trinque trempe ses lèvres et pose son verre, elle se jette dans les bras de mon client.

• Tu me fais monter chéri, tu sais que je mouille pour toi.

En lui disant ces mots, elle met son corps entre elle et le bar pour qu’il ne puisse pas voir ce que fait la barmaid, en un éclair le verre de champagne est remplacé par un autre.
Du thé avec bulles, le client paye du champagne, on boit du thé froid !
Marjorie a bien fait de proposer à mon client de monter, car il va payer le champagne et Madame Claude lui donne un jeton jaune qu’elle met dans sa boîte.
Ils repartent tous les deux, elle sait y faire la gamine, elle a vite appris les trucs du métier.

• Léa, je te mets ce jeton noir dans ta boîte, c’est pour la bouteille de champagne.

La prochaine fois n’oublie pas de me le demander.
Un client qui vient d’arriver s’approche.

• Es-tu libre ?
• Oui !

Madame Claude me donne un jeton jaune comme pour Marjorie.

• Fellation. Chambre 1. 10 minutes maxi.

Lorsque je passe près de Noémi, elle a la tête tournée et me fait un geste de lassitude.
Je prends la cravache et lui donne une petite tape amicale sur les fesses de plus en plus marquées.
En montant nous croisons la petite qui a fini de sucer, elle est rapide, il y a à peine 5 à 6 minutes qu’ils sont montés.
Les chronomètres marquent 6 heures 10 minutes avant la fermeture, la grande n’a pas passé la moitié du temps dans cette position.
Dans la chambre, tout va très vite, le client a sorti sa queue aussitôt que l’on est entré.
Il me pousse sur le lit et essaye de me maintenir de force, il veut me violer ce malade !
Son entre-jambe est dans l’axe de mon pied, il part tout seul et l’atteint en pleine cible, son sexe qui était bandé, débande, je saute sur la sonnette, trois secondes et Hugo arrivent avec un malabar.

• Qu’est qu’il t’a fait.
Il a payé pour une pipe et as essayé de me baiser.

Il l’empoigne par les épaules et le vire. Je me rajuste et je rejoins mes consœurs.
Madame Claude me donne un jeton noir.

• C’est une prime pour l’attaque que tu as subie et pour ta bonne réaction…