Tou big tou cage 02 L'examen de fin d'étude
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Tou big tou cage 02 L'examen de fin d'étude
Tou big tou cage 02L'examen de fin d'étude
C'était là le plaisir qui était encore autorisé aux porteurs de cette cage de chasteté. Ils parvenaient à se faire plaisir. Le lit d'Alexandre était grand et ils ont très bien dormis tous les trois.
Le lendemain nos quatre gaillards se réveillaient en pleine forme. Ils prenaient une douche chacun leur tour et restaient nus pendant toute la matinée. Alexandre était vraiment excité de voir ses deux camarades, il aurait aimé sentir sa queue se balancer comme le faisaient celles de ses camarades.
Il bavait littéralement d'envie de retirer son dispositif, de se branler sur la figure de ses copains avant de les prendre sauvagement l'un après l'autre ...
Bein oui quoi, six ans ça commence a faire long, surtout quand on en a vingt trois !
Alexandre était de plus en plus frustré. Vous savez quand on attend quelque chose, ce sont toujours les derniers jours qui semblent les plus longs. Tenir encore une semaine semble impossible même si on a déjà tenu pendant six ans. Si tout se passait, comme il l'espérait il aurait quelques mois de liberté, comme ses deux camarades. Il avait fait une demande de formation stage dans une filiale de la PK , il savait que s'il elle était acceptée il devrait porter le dispositif, que si la formation se passait bien on lui proposerait un contrat à long terme, et peut être même un contrat à durée indéterminée.
Alors autant vous dire qu'il l'attendait cette période de liberté. Elle lui permettrait de réfléchir à son avenir, à sa décision de porter définitivement ou pas le dispositif PK, à une possibilité de chercher un boulot dans une autre branche. Plus des trois quarts des hommes ne portent pas un tel dispositif … En tout cas c'est ce que disent certains, les autres disent le contraire. Mais comme je vous disais, les statistiques ne sont plus ce qu'elles étaient ...
Alexandre ne savais plus qui croire, par moment il ne savait plus quoi choisir. La carrière PK avait de nombreux avantages, mais elle avait une obligation … Bien sûr après six ans dans ce mode vie, il savait qu'il pouvait continuer, continuer très longtemps même, et même y trouver un certain équilibre, et même y être heureux.
Mais malgré tout dans sa tête ça cogitait un maximum, il était à la croisé d'un chemin, et le choix qu'il ferait pourrait l'engager pour le reste de sa vie … Ses camarades avaient quelques mois de libre, il avaient fait des demandes dans différentes entreprises, plus de quatre vingt dix pour cent des entreprises ne demandaient pas à leurs employés de porter un tel dispositif … En tout cas c'est ce que disent certains, les autres disent le contraire. Bein oui quoi, les statiques …
On ne savait plus, plus personne ne savaient plus. Surtout que les mouvements religieux s'en mêlaient, oh pour ça, ceux là n'étaient pas les derniers. Et avec eux, les statistiques n'étaient pas plus clairs …
Alexandre chassait de sa tête toutes ces idées et réflexions, il regardait la queue de ses camarades et il s'imaginait à leur place. Malgré la frustration il se sentait bien, il sentait encore les caresses que ses deux amis lui avaient donné la veille au soir, ces caresses profondes qui lui avaient arraché des cris, des gémissements et lui avaient donné beaucoup de plaisir. Il lui restait encore quelques sensations de plaisir au fond de lui même.
C'est à cet instant qu'il ouvrait son courrier électronique et y trouvait une lettre de la PK … S'il réussissait son examen, la dernière épreuve était prévue pour le Vendredi on l'attendrait au siège local dès le Lundi, on était Mercredi.
Il a senti son cœur se serrer dans son thorax. La providence pensait à lui mais ne lui laissait pas vraiment le temps de réagir … Il devrait prendre sa décision sans délai …
Régis et Daniel finissaient pas s'habiller et laissaient Alexandre à ses révisions. Quelque puisse être son choix, il ne fallait pas louper pour autant ce dernier examen.
Alexandre reprenait ses révisions.
Quelques jours plus tard il passait les épreuves. C'était bien organisé, étonnamment bien organisé, on pouvait deviner que la PK y participait. Les résultats tombaient … Alexandre était reçu … Et avec mention même …
Il avait fait tout ce qu'il fallait pour cela, il avait travaillé comme un fou, il aurait du être content, d'une certaine manière il l'était, mais un instant, un court instant il regrettait les conséquences, il n'aurait pas une journée de repos. Nous étions alors vendredi soir et il était attendu le lundi matin suivant aux bureaux de la PK. Ça ne valait pas la peine de demander sa clé !
C'est la queue entre les jambes, qu'il rentrait chez lui. Ils retrouvaient ses amis, eux le recevaient avec des félicitations, lui les retrouvait en faisant la gueule. Ils se retrouvaient finalement à toute une bande pour fêter la fin des études. Une partie avait décidé de retirer pour au moins quelques temps leur dispositif, d'autres pour toujours. Il restait la moitié de ces jeunes hommes qui le gardaient pour au moins quelques temps, d'autres pour toujours. Alexandre se demandait s'il ne faisait pas partie de cette dernière catégorie.
La soirée commençait dans un restaurant, on leur avait réservé une salle ou ils pourraient faire du bruit. La fête se prolongeait en boîte de nuit ou là aussi ils faisaient beaucoup de bruit … Et c'est finalement en petit comité que se terminait la soirée, chez un d'entre eux.
– Il doit y avoir le même pourcentage de porteurs parmi nous que dans la société ! Déclarait Ludovic. C'est chez lui que la soirée se terminait.
– Tu es sûr des conneries que tu racontes Ludo ? Lui demandait son pote Jason.
Ludo et Jason étaient des stars dans la fac, ils portaient dès leur arrivée à la fac un dispositif permanent, c'était toute une histoire il paraît, mais à chaque fois qu'il la racontaient ils donnaient une nouvelle version.
Pour ces deux là l'avenir était tout tracé, ils seraient cadre à la PK, les parent de ces deux branleurs … Heu ! C'est pas ce que je voulais dire, mais vous m'avez compris … Donc les parents de ces deux guignols avaient un poste tout à fait honorable au sein de la PK. Par distraction ils avaient passé une cage prototype qui avait la particularité de ne pas avoir de serrure et d'être dans un alliage quasiment indestructible, il leur était impossible de la retirer, pour eux le choix était fait !
Il y avait une très belle piscine chez Ludo. Dans cette maison le port du dispositif était obligatoire mais pour une fois Nadine, la maîtresse des lieux, avait décidé d'une soirée spéciale … Les nouveaux diplômés auraient le droit de retirer leur dispositif, on laissait la maison à ce petit groupe pour tout le week end.
C'est Ludo qui commençait à se faire remarquer, il se mettait à poil et plongeait dans la piscine en invitant les autres à le suivre. La nuit était bien avancée mais ils étaient jeunes et tous très en forme. Jason suivait dans la piscine, lui aussi à poil. Puis tous les autres suivaient.
Daniel et Régis exhibaient fièrement leur bite, ils avaient déjà retiré le dispositif depuis plusieurs jours, Alexandre ne cachait pas son dispositif en résine et rapidement l'ambiance dégénérait, ceux qui portaient encore un dispositif le montraient avec fierté et ceux qui n'en portaient plus montraient leur érection avec fierté.
Alexandre se retrouvait, sans trop savoir comment, à sucer un de ses camarades qu'il n'avait toujours vu qu'avec un dispositif de chasteté. Ils se connaissaient tous très bien, et tous s'étaient souvent vu nus dans les vestiaire ou sous la douche mais c'était la première fois qu'il se montraient entièrement nus, enfin pour ceux qui avaient retiré leur cage à bite.
Ils s'étaient tous déjà amusé entre eux avec des godes ou des petits trucs de ce genre, pour la première fois ce soir là, c'est avec leurs queues qu'ils allaient s'amuser avec leur petits camarades moins chanceux.
C'est goulûment qu'Alexandre avalait la première queue qui était passé à sa portée. C'est avec envie qu'il la caressait, la masturbait. C'est avec avidité qu'il la faisait entrer entièrement dans sa bouche jusqu'à sa gorge. Il caressait le corps de son camarade qui lui appuyait sur la tête.
Ludo faisait de même, il plongeait sur la première queue qu'il pouvait attraper, la caressait et la suçait. Jason suivait le mouvement …
En fait ils ne représentaient pas vraiment la même proportion de de queues en cage que dans la société. Ils était une douzaine, il y avait quatre queues en cage et huit qui se relevaient avec une vigueur incroyable.
Rapidement il y avait quatre mecs la queue à l'air allongés sur le dos, les quatre garçons qui avaient toujours leur cage étaient penchés sur eux et les suçaient, les caressaient. Ils recevaient des coups de bassin réguliers et parfois violent.
Thierry attrapait avec force la tête de son camarade Luidji et appuyait de toutes ses forces pendant qu'il lui balançait des coups de bassin. Luidji encaissait, il n'avait pas vraiment le choix, Thierry ne lui demandait pas son avis. Mais il encaissait, à la troisième fois il relevait la tête, il était rouge, en larmes mais il en redemandait encore.
C'est à ce moment que sans prévenir Antoine prenait place et lui enfonçait bien à fond sa queue avec force, en un mouvement rapide, il poussait ensuite contre les fesses de Luidji. Thierry donnait des coups de bassin. Le pauvre Luidji ne pouvait même pas râler, il ne pouvait que faire des bruits étranges et rigolo, mais il ne tentait pas de se dégager.
Alexandre se retrouvait à sucer Philippe. C'était plus tendre de ce côté, Philippe le laissait faire et lui caressait doucement les cheveux, par moment il passait sa main sur sa joue. Alexandre se relevait et embrassait Philippe avec beaucoup de tendresse. Philippe retournait Alexandre sur le dos, lui écartait les cuisses, plaçait ses chevilles ses épaules et l'enculait avec douceur mais avec détermination.
Sa queue entrait rapidement, puis Philippe commençait à limer son partenaire. Gogo un beau black avec une très belle queue prenait position, il s'agenouillait, ses genoux de chaque côté de la tête d'Alexandre, ses couilles sur les yeux d'Alexandre, puis il glissait sa queue dans la bouche d'Alexandre qui la recevait en lui caressant le gland avec la langue.
Suivaient des caresses sur tout le corps d'Alexandre qui ne cachait pas son plaisir en promenant ses mains sur les parties de ses camarades qu'il pouvait caresser.
Jason s'en prenait plein le cul par Régis qui lui balançait une série de coups violents dans le cul avant de le prendre dans ses bras et de lui faire un câlin viril mais un câlin quand même. Il le serrait alors dans ses bras, le caressait, l'embrassait. Il poussait sa bite bien à fond dans le cul de Jason qui était à moitié allongé, à moitié à quatre pattes.
Jason gémissait de plaisir, gémissait fort, c'est vrai que c'était le seul à ne pas avoir la bouche pleine.
Ludo qui comme son ami Jason portait un dispositif permanent, le fameux prototype qu'on ne peut pas retirer avait particulièrement le feu au cul se prenait des salves de coups de queues de la part de la part de Roméo. Puis Roméo se retirait et laissait la place à Daniel. Ils se passaient ainsi le relais, se lâchait pendant quelques instants sur le cul de Ludo avant de laisser à nouveau la place.
Le dernier Gaétan avait regardé un long moment la scène en se masturbant doucement, il bandait ferme et avait finalement pris la place devant Ludo, il lui enfonçait sa queue dans la bouche et tirait son visage vers lui tout en le bombardant de coups de bite.
Par moment un petit groupe se calmait, ils se prenaient alors dans les bras et se faisaient de gros câlins. Le calme retombait alors. Ils regardaient les autres qui continuaient à s'énerver.
Plus tard dans la soirée, tout le monde était calme. Des garçons changeaient de place, s'échangeaient leurs positions. Ceux qui avaient la queue libre se sentaient en position de force, ils ne demandait pas s'il voulait enculer ou se faire sucer, ils se servaient. Enfin avec ceux qui qui étaient toujours sous clé, ils se servaient.
Entre eux, ils demandaient, ils se demandait l'un l'autre. Et ils partageaient aussi des câlins, des caresses, de la douceur. Ils se suçaient un peu également, et avant la fin de la nuit certains s'enculaient également.
Puis les heures passaient, nous étions au début de l'été, il faisait chaud et tout le monde s'endormait. Tout le monde s'endormait chacun son tour. La nuit a été courte. Quand le soleil se levait ils n'avaient dormi que quelques heures.
Ceux qui avaient choisi un peu de liberté s'étaient bien vidé les couilles les autres en avaient pris plein le cul. Tout le monde était content.
Le reste de la journée, ils continuaient à s'envoyer en l'air en fonction de leur désir ils se laissaient aller à leur plaisir.
Le soir Alexandre se préparait, il avait rendez-vous pour son stage le lendemain matin.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'était là le plaisir qui était encore autorisé aux porteurs de cette cage de chasteté. Ils parvenaient à se faire plaisir. Le lit d'Alexandre était grand et ils ont très bien dormis tous les trois.
Le lendemain nos quatre gaillards se réveillaient en pleine forme. Ils prenaient une douche chacun leur tour et restaient nus pendant toute la matinée. Alexandre était vraiment excité de voir ses deux camarades, il aurait aimé sentir sa queue se balancer comme le faisaient celles de ses camarades.
Il bavait littéralement d'envie de retirer son dispositif, de se branler sur la figure de ses copains avant de les prendre sauvagement l'un après l'autre ...
Bein oui quoi, six ans ça commence a faire long, surtout quand on en a vingt trois !
Alexandre était de plus en plus frustré. Vous savez quand on attend quelque chose, ce sont toujours les derniers jours qui semblent les plus longs. Tenir encore une semaine semble impossible même si on a déjà tenu pendant six ans. Si tout se passait, comme il l'espérait il aurait quelques mois de liberté, comme ses deux camarades. Il avait fait une demande de formation stage dans une filiale de la PK , il savait que s'il elle était acceptée il devrait porter le dispositif, que si la formation se passait bien on lui proposerait un contrat à long terme, et peut être même un contrat à durée indéterminée.
Alors autant vous dire qu'il l'attendait cette période de liberté. Elle lui permettrait de réfléchir à son avenir, à sa décision de porter définitivement ou pas le dispositif PK, à une possibilité de chercher un boulot dans une autre branche. Plus des trois quarts des hommes ne portent pas un tel dispositif … En tout cas c'est ce que disent certains, les autres disent le contraire. Mais comme je vous disais, les statistiques ne sont plus ce qu'elles étaient ...
Alexandre ne savais plus qui croire, par moment il ne savait plus quoi choisir. La carrière PK avait de nombreux avantages, mais elle avait une obligation … Bien sûr après six ans dans ce mode vie, il savait qu'il pouvait continuer, continuer très longtemps même, et même y trouver un certain équilibre, et même y être heureux.
Mais malgré tout dans sa tête ça cogitait un maximum, il était à la croisé d'un chemin, et le choix qu'il ferait pourrait l'engager pour le reste de sa vie … Ses camarades avaient quelques mois de libre, il avaient fait des demandes dans différentes entreprises, plus de quatre vingt dix pour cent des entreprises ne demandaient pas à leurs employés de porter un tel dispositif … En tout cas c'est ce que disent certains, les autres disent le contraire. Bein oui quoi, les statiques …
On ne savait plus, plus personne ne savaient plus. Surtout que les mouvements religieux s'en mêlaient, oh pour ça, ceux là n'étaient pas les derniers. Et avec eux, les statistiques n'étaient pas plus clairs …
Alexandre chassait de sa tête toutes ces idées et réflexions, il regardait la queue de ses camarades et il s'imaginait à leur place. Malgré la frustration il se sentait bien, il sentait encore les caresses que ses deux amis lui avaient donné la veille au soir, ces caresses profondes qui lui avaient arraché des cris, des gémissements et lui avaient donné beaucoup de plaisir. Il lui restait encore quelques sensations de plaisir au fond de lui même.
C'est à cet instant qu'il ouvrait son courrier électronique et y trouvait une lettre de la PK … S'il réussissait son examen, la dernière épreuve était prévue pour le Vendredi on l'attendrait au siège local dès le Lundi, on était Mercredi.
Il a senti son cœur se serrer dans son thorax. La providence pensait à lui mais ne lui laissait pas vraiment le temps de réagir … Il devrait prendre sa décision sans délai …
Régis et Daniel finissaient pas s'habiller et laissaient Alexandre à ses révisions. Quelque puisse être son choix, il ne fallait pas louper pour autant ce dernier examen.
Alexandre reprenait ses révisions.
Quelques jours plus tard il passait les épreuves. C'était bien organisé, étonnamment bien organisé, on pouvait deviner que la PK y participait. Les résultats tombaient … Alexandre était reçu … Et avec mention même …
Il avait fait tout ce qu'il fallait pour cela, il avait travaillé comme un fou, il aurait du être content, d'une certaine manière il l'était, mais un instant, un court instant il regrettait les conséquences, il n'aurait pas une journée de repos. Nous étions alors vendredi soir et il était attendu le lundi matin suivant aux bureaux de la PK. Ça ne valait pas la peine de demander sa clé !
C'est la queue entre les jambes, qu'il rentrait chez lui. Ils retrouvaient ses amis, eux le recevaient avec des félicitations, lui les retrouvait en faisant la gueule. Ils se retrouvaient finalement à toute une bande pour fêter la fin des études. Une partie avait décidé de retirer pour au moins quelques temps leur dispositif, d'autres pour toujours. Il restait la moitié de ces jeunes hommes qui le gardaient pour au moins quelques temps, d'autres pour toujours. Alexandre se demandait s'il ne faisait pas partie de cette dernière catégorie.
La soirée commençait dans un restaurant, on leur avait réservé une salle ou ils pourraient faire du bruit. La fête se prolongeait en boîte de nuit ou là aussi ils faisaient beaucoup de bruit … Et c'est finalement en petit comité que se terminait la soirée, chez un d'entre eux.
– Il doit y avoir le même pourcentage de porteurs parmi nous que dans la société ! Déclarait Ludovic. C'est chez lui que la soirée se terminait.
– Tu es sûr des conneries que tu racontes Ludo ? Lui demandait son pote Jason.
Ludo et Jason étaient des stars dans la fac, ils portaient dès leur arrivée à la fac un dispositif permanent, c'était toute une histoire il paraît, mais à chaque fois qu'il la racontaient ils donnaient une nouvelle version.
Pour ces deux là l'avenir était tout tracé, ils seraient cadre à la PK, les parent de ces deux branleurs … Heu ! C'est pas ce que je voulais dire, mais vous m'avez compris … Donc les parents de ces deux guignols avaient un poste tout à fait honorable au sein de la PK. Par distraction ils avaient passé une cage prototype qui avait la particularité de ne pas avoir de serrure et d'être dans un alliage quasiment indestructible, il leur était impossible de la retirer, pour eux le choix était fait !
Il y avait une très belle piscine chez Ludo. Dans cette maison le port du dispositif était obligatoire mais pour une fois Nadine, la maîtresse des lieux, avait décidé d'une soirée spéciale … Les nouveaux diplômés auraient le droit de retirer leur dispositif, on laissait la maison à ce petit groupe pour tout le week end.
C'est Ludo qui commençait à se faire remarquer, il se mettait à poil et plongeait dans la piscine en invitant les autres à le suivre. La nuit était bien avancée mais ils étaient jeunes et tous très en forme. Jason suivait dans la piscine, lui aussi à poil. Puis tous les autres suivaient.
Daniel et Régis exhibaient fièrement leur bite, ils avaient déjà retiré le dispositif depuis plusieurs jours, Alexandre ne cachait pas son dispositif en résine et rapidement l'ambiance dégénérait, ceux qui portaient encore un dispositif le montraient avec fierté et ceux qui n'en portaient plus montraient leur érection avec fierté.
Alexandre se retrouvait, sans trop savoir comment, à sucer un de ses camarades qu'il n'avait toujours vu qu'avec un dispositif de chasteté. Ils se connaissaient tous très bien, et tous s'étaient souvent vu nus dans les vestiaire ou sous la douche mais c'était la première fois qu'il se montraient entièrement nus, enfin pour ceux qui avaient retiré leur cage à bite.
Ils s'étaient tous déjà amusé entre eux avec des godes ou des petits trucs de ce genre, pour la première fois ce soir là, c'est avec leurs queues qu'ils allaient s'amuser avec leur petits camarades moins chanceux.
C'est goulûment qu'Alexandre avalait la première queue qui était passé à sa portée. C'est avec envie qu'il la caressait, la masturbait. C'est avec avidité qu'il la faisait entrer entièrement dans sa bouche jusqu'à sa gorge. Il caressait le corps de son camarade qui lui appuyait sur la tête.
Ludo faisait de même, il plongeait sur la première queue qu'il pouvait attraper, la caressait et la suçait. Jason suivait le mouvement …
En fait ils ne représentaient pas vraiment la même proportion de de queues en cage que dans la société. Ils était une douzaine, il y avait quatre queues en cage et huit qui se relevaient avec une vigueur incroyable.
Rapidement il y avait quatre mecs la queue à l'air allongés sur le dos, les quatre garçons qui avaient toujours leur cage étaient penchés sur eux et les suçaient, les caressaient. Ils recevaient des coups de bassin réguliers et parfois violent.
Thierry attrapait avec force la tête de son camarade Luidji et appuyait de toutes ses forces pendant qu'il lui balançait des coups de bassin. Luidji encaissait, il n'avait pas vraiment le choix, Thierry ne lui demandait pas son avis. Mais il encaissait, à la troisième fois il relevait la tête, il était rouge, en larmes mais il en redemandait encore.
C'est à ce moment que sans prévenir Antoine prenait place et lui enfonçait bien à fond sa queue avec force, en un mouvement rapide, il poussait ensuite contre les fesses de Luidji. Thierry donnait des coups de bassin. Le pauvre Luidji ne pouvait même pas râler, il ne pouvait que faire des bruits étranges et rigolo, mais il ne tentait pas de se dégager.
Alexandre se retrouvait à sucer Philippe. C'était plus tendre de ce côté, Philippe le laissait faire et lui caressait doucement les cheveux, par moment il passait sa main sur sa joue. Alexandre se relevait et embrassait Philippe avec beaucoup de tendresse. Philippe retournait Alexandre sur le dos, lui écartait les cuisses, plaçait ses chevilles ses épaules et l'enculait avec douceur mais avec détermination.
Sa queue entrait rapidement, puis Philippe commençait à limer son partenaire. Gogo un beau black avec une très belle queue prenait position, il s'agenouillait, ses genoux de chaque côté de la tête d'Alexandre, ses couilles sur les yeux d'Alexandre, puis il glissait sa queue dans la bouche d'Alexandre qui la recevait en lui caressant le gland avec la langue.
Suivaient des caresses sur tout le corps d'Alexandre qui ne cachait pas son plaisir en promenant ses mains sur les parties de ses camarades qu'il pouvait caresser.
Jason s'en prenait plein le cul par Régis qui lui balançait une série de coups violents dans le cul avant de le prendre dans ses bras et de lui faire un câlin viril mais un câlin quand même. Il le serrait alors dans ses bras, le caressait, l'embrassait. Il poussait sa bite bien à fond dans le cul de Jason qui était à moitié allongé, à moitié à quatre pattes.
Jason gémissait de plaisir, gémissait fort, c'est vrai que c'était le seul à ne pas avoir la bouche pleine.
Ludo qui comme son ami Jason portait un dispositif permanent, le fameux prototype qu'on ne peut pas retirer avait particulièrement le feu au cul se prenait des salves de coups de queues de la part de la part de Roméo. Puis Roméo se retirait et laissait la place à Daniel. Ils se passaient ainsi le relais, se lâchait pendant quelques instants sur le cul de Ludo avant de laisser à nouveau la place.
Le dernier Gaétan avait regardé un long moment la scène en se masturbant doucement, il bandait ferme et avait finalement pris la place devant Ludo, il lui enfonçait sa queue dans la bouche et tirait son visage vers lui tout en le bombardant de coups de bite.
Par moment un petit groupe se calmait, ils se prenaient alors dans les bras et se faisaient de gros câlins. Le calme retombait alors. Ils regardaient les autres qui continuaient à s'énerver.
Plus tard dans la soirée, tout le monde était calme. Des garçons changeaient de place, s'échangeaient leurs positions. Ceux qui avaient la queue libre se sentaient en position de force, ils ne demandait pas s'il voulait enculer ou se faire sucer, ils se servaient. Enfin avec ceux qui qui étaient toujours sous clé, ils se servaient.
Entre eux, ils demandaient, ils se demandait l'un l'autre. Et ils partageaient aussi des câlins, des caresses, de la douceur. Ils se suçaient un peu également, et avant la fin de la nuit certains s'enculaient également.
Puis les heures passaient, nous étions au début de l'été, il faisait chaud et tout le monde s'endormait. Tout le monde s'endormait chacun son tour. La nuit a été courte. Quand le soleil se levait ils n'avaient dormi que quelques heures.
Ceux qui avaient choisi un peu de liberté s'étaient bien vidé les couilles les autres en avaient pris plein le cul. Tout le monde était content.
Le reste de la journée, ils continuaient à s'envoyer en l'air en fonction de leur désir ils se laissaient aller à leur plaisir.
Le soir Alexandre se préparait, il avait rendez-vous pour son stage le lendemain matin.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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