Tourisme en bord de Loire - histoire érotique

Nous sommes en Août 2018, je suis seul, ma femme Garance s’est absentée pour huit jours, le thermomètre annonce 37°C à l’ombre, il n’y a pas de vent, j’ai une forte envie d’escapade coquine en ce début d’après-midi après avoir tchatté hot avec un mec de 45 ans durant deux heures sur mon site favori… Je décide donc de prendre ma voiture, vitres et toit ouvrant grands ouverts je pars en direction des bords de Loire, ayant comme objectif de rejoindre un coin de drague réputé pour les naturistes gays et bi à quelques 20Km de chez moi.
Avec un soleil aussi ardent et ce ciel bleu azur, je suis assuré d’y trouver du monde. Effectivement arrivé au chemin qui mène de la départementale au bas de la digue, où se trouve un semblant de parking j’y aperçois de nombreux véhicules stationnés au mieux à l’ombre des saules ligériens. Je ne serai pas seul à errer au bord du fleuve c’est assuré !
Je trouve une place entre deux voitures pour me garer, le temps est tellement sec que le sol est poussiéreux. J’ai pour habitude de faire un tour de reconnaissance sur le terrain afin de voir quels sont les « visiteurs » du jour et s’ils me conviennent.
Je sors de la voiture, met ma casquette et mes lunettes de soleil, je suis en bermuda rouge cerise et un tee-shirt ivoire, je décide de tout quitter au cul de la voiture et enfiler sans rien dessous un short sexy bien échancré et moulant Joe Snyder l’un de mes préférés genre toile de jean’s souple rose qui favorise bien mes attributs et un débardeur noir en lycra, une belle tenue gay qui laisse rarement les regards des mecs indifférents.
Je ferme mon véhicule et entame ma reconnaissance aux abords du parking. Dans quelques voitures je vois des mecs en recherche visuelle d’une hypothétique « proie », l’un d’entre eux m’a d’ailleurs bien maté lorsque j’étais à poil durant quelques secondes pour me changer il y a quelques instants à l’arrière de ma bagnole.
Me voilà parti errer à pied, je croise un homme d’une quarantaine d’années torse nu en boxer de bain et tongues, la serviette sur l’épaule, il me dit bonjour et me sourit et poursuit son chemin, je me retourne pour apprécier ses fesses bien dessinées… il se retourne au même moment, on se sourit à nouveau puis continuons nos chemins inverses.

Plus loin c’est un couple nu qui marche main dans la main pour retrouver l’un des nombreux sentiers de sable tracés au milieu de la végétation. J’en fait autant en empruntant l’un de ceux-ci, je marche pendant deux à trois minutes avant d’arriver sur un espace sablonneux plus vaste qui lui même offre quatre à cinq sentiers partant vers la Loire ou vers des coins isolés.
Un vrai labyrinthe qui permet à chacun de trouver un coin discret sous les arbres ou dans les grandes herbes sèches, pour s’ébattre dans une semi furtivité et discrétion à l’abri à peine caché des nombreux voyeurs. C’est ici une forme de jeu accepté et recherché de tous, on se promène nu ou presque, sans provoquer ni vraiment s’exhiber, quoique, mais tout en souhaitant être vu et parfois suivi pour partager quelques moments intimes volés dans les grandes herbes folles ou sous les feuillus au pied des arbres.

Nombreuses sont les traces d’herbes couchées faisant office de « nids douillets » dissimulés çà et là, où parfois on croit le lieu libre alors que deux corps s’ébattent discrètement. C’est d’ailleurs sur l’un d’entre eux que je suis tombé, pensant pouvoir m’étendre quelques instants avec l’intention de me mettre à poil seul pour bronzer tranquillement, alors que je découvre un homme d’une trentaine d’année nu comme un ver et à genoux occupé à tailler une pipe à un daddy bien pourvu d’environ soixante-dix ans le maillot de bain noir en bas des jambes et la bite au garde à vous.
- Excusez-moi, dis-je à peine surpris.
- Pas de soucis me dis l’ancien tu peux mater j’aime ça !
- OK c’est sympa, ainsi je m’installais assis en tailleur à mater ces deux mecs qui se partageaient leur plaisir, tout en me caressant.
Après un quart d’heure de suce incessante le daddy a lâché sa purée sur le visage du suceur en quantité abondante, satisfait l’un et l’autre, le suceur s’essuya le visage avec sa serviette éponge et l’ancien remonta son maillot de bain taille basse en remballant son membre encore dégoulinant de sperme et reparti errer plus loin.

Moi j’étais resté là en voyeur à peine assouvi, c’est alors que le suceur m’invita à le sucer à son tour, son corps de naturiste était uniformément bronzé, ses cheveux bruns coupés courts et ses yeux verts intenses m’ont convaincus qu’il m’étais impossible de refuser une telle proposition. Je pris place, bien calé à genoux entre ses jambes légèrement poilues, sa queue de taille moyenne basse et ses couilles pendantes au niveau de ma bouche, je me sentais en bonne position pour lui assurer une fellation de qualité, d’autant qu’ils m’avaient bien chauffé quelques instants auparavant ces deux-là.
Il se mit à se branler doucement au départ puis plus vigoureusement alors que j’avais entrepris de lui sucer cette belle paire de couilles pendantes et imberbes, lorsque son membre fut bien tendu ferme et le gland décalotté je l’engouffrai dans ma bouche gourmande de queue et me mis à le pomper avec délicatesse en tournoyant ma langue experte autour de sa tige veinée, mes mouvements circulaires semblaient le satisfaire parfaitement comme en témoignaient ses râles de plaisir qui ne manqueraient pas d’ameuter les voyeurs en goguette dans le secteur.
Effectivement moins de dix minutes plus tard, lorsque je repris de l’air en lâchant provisoirement ma proie je découvris trois mecs la bite à la main, deux à poil et le troisième en maillot de bain qui se masturbaient en se délectant de me voir pomper ce beau naturiste près à me larguer son jus en pleine bouche.

Comme déjà dit, ce coin est le paradis des voyeurs, on y vient donc en connaissance de cause et on accepte sans retenue de procurer du plaisir à ce public averti, qu’il soit gay, bi ou hétero.
Au moment où son râle fut le plus intense je sentis en fond de gorge son gland me cracher par jets puissants sa semence chaude et épaisse, je suffoquais par manque d’air, mais il m’appuyait sur la tête pour que je continue d’avaler son nectar en gorge profonde, son jus m’arrivait par saccades, je n’en pouvais plus, je devais respirer, je dégage rapidement sa queue bien raide et reçois encore un jet sur le nez… puis sur mes épaules… pour finir par une belle chandelle de jute qui pendait au bout de sa queue, que je me suis empressé de faire disparaître d’un coup de langue en l’avalant goulûment.
- Bravo tu es un vrai bon suceur… et gourmand en plus ! me lança-t-il.
-
Je vis les trois mecs se vider devant moi, à peu près en même temps, après avoir bien maté et s’être paluchés sans retenue, l’odeur de sperme était à ce moment omniprésente dans ces hautes herbes. Mon « sucé » proposa à chacun de s’essuyer sur sa serviette de plage, chacun s’exécuta en nous remerciant pour le spectacle bandant que nous venions de leur faire partager. Après une claque aux fesses à chacun d’entre nous, le « petit nid douillet » devint disponible pour d’autres ébats, il ne fut pas libre bien longtemps car deux jeunes nanas de type nordique aux seins nus et strings ultra minces ont pris possession du lieu en batifolant comme deux ados en fête… un gode à la main.
Rhabillé de mon seul short sexy, le débardeur sur les épaules, je continuais mon chemin en bord de Loire, le goût du sperme encore en bouche… Au loin des canoés et leurs équipiers qui ralentissaient leurs mouvements de rames pour profiter des quelques culs à l’air qui s’ébattaient dans l’eau ou bronzaient sur les petites plages successives de sable.
Puis chemin faisant, je croise deux couples en tenue d’Adam, bronzés intégral, puis plus loin légèrement en retrait deux allemands allongés sur le dos, au pied de leurs vélos chargés comme des mules, eux sont en pleine séance de bronzette à poil, étendus l’un près de l’autre sur leurs serviettes éponge, des corps bien sculptés avec chacun un sexe de belle taille accompagné de couilles bien dimensionnées, ils sont chacun attentionnés avec leurs portables, deux beaux mâles qui m’ont fait ralentir le pas pour mieux les apprécier… ils s’en sont d’ailleurs bien rendus compte et ne semblaient pas perturbés pour autant… Une exhib bien rôdée pour eux à priori dont ils semblaient se délecter.

Je décide de m’installer à cinq mètres d’eux en retrait de la mini plage, je vire mon short moulant, étale ma serviette et me mets en position de bronzage intégral en écartant bien mes jambes afin que le soleil pénètre mon entrejambe. A ce moment je surprends mes deux allemands relever leurs têtes pour voir mes attributs ainsi mis à l’air, puis ils reprennent leurs positions initiales.

A peine installé, je vois passer quelques nudistes hommes ou femmes qui ignorent ma présence ou lancent simplement un regard furtif en direction de mes cuisses… Puis une vingtaine de minutes plus tard, un mec en string-filet blanc s’arrête devant moi en se caressant le paquet bien proéminent, et me dit aimer mon corps et me propose de discuter un peu, j’accepte sans hésiter d’autant que ce mec d’environ quarante ans, bien gaulé me plaisait bien, son string blanc mettait parfaitement en valeur son corps bronzé.
Il s’installe et s’allonge à mes côtés et nous discutons de tout et de rien, ses goûts pour le naturisme, les miens… il me dit être gay et en vacances pour dix jours, son boy-friend se baignait plus loin.

Tout en discutant il n’arrête pas de se caresser le string-filet qui laisse apparaître son membre qui semble de taille très correcte, il n’arrête pas non plus de mater ma queue que je commence à caresser moi aussi…. Quelques instants plus tard il décide de virer son string et me fait découvrir son anatomie parfaitement sculptée, je constate immédiatement que c’est un adepte du nu intégral car ses attributs sont de la même couleur miel foncé que le reste de son corps, puis il me prend la main et l’amène sur ce beau service trois pièces, sa queue ne mit pas bien longtemps à prendre du volume, la mienne aussi…
- Branle-moi, me dit-il soudainement.
- Ici ? ça ne te gêne pas, il y a du passage ? lui répondis-je.
- Non, au contraire j’aime qu’on me mate me faire branler ou sucer, ça m’excite un max.
Je m’exécute donc sans aucune restriction, branler une belle queue ne m’a jamais rebuté, bien au contraire !
Et celle-ci est bien proportionnée, un bon 18cm x 5 et une paire de couilles rasées bien fermes… ma main est bien remplie, ma prise en bouche et mes vas et vient lui font se décalotter totalement son gland brillant et violacé, moi je bande comme un taureau et nous voici en branle commune et simultanée face à la Loire et bientôt avec un couple de mecs, tous deux en jocks Addicted à larges ceintures qui s’arrêtent et s’assoient en face de nous, sans demander quoi que ce soit, puis deux lesbiennes arrivent, elles restent debout en se masturbant mutuellement leurs chattes en nous matant, plusieurs couples à poil qui passent au ralenti pour ne pas en perdre une goutte et continuent leur chemin, enfin nous étions là, deux branleurs jouant les exhibitionnistes devant un petit paquet de voyeurs pervers avides de sexe, et cette situation n’avait fait qu’augmenter notre excitation, nos queues étaient devenues énormes, dures et bien veinées.
Les deux mecs en jocks se relèvent et s’approchent de nous, chacun d’entre eux décidant de prendre le relai en s’emparant l’un et l’autre de nos pieux rigides… et la séance de branle en public continua au moins un quart d’heure, nous n’en pouvions plus de résister à ces vas et vient incessants alternés par des prises en bouche de nos branleurs expérimentés, l’excitation était devenue quasi intenable d’autant que quatre autres mecs venaient d’arriver pour grandir le nombre de voyeurs, deux d’entre eux étaient en string de bain trop mini pour dissimuler leur sexe à demi sorti et les deux autres en tangas, tous les quatre ont viré leur textile illico, serviettes à l’épaule ils se sont mis aussi à se masturber gaiement (le terme est choisi) en se rapprochant de nous tout en se caressant les fesses mutuellement et en lançant des commentaires du style :
- Cette plage me plait bien…elle est bien fréquentée…
- C’est vraiment une plage de branleurs…Ah, ah !
- Putain ces pieux…
- Ils vont se vider devant nous ces pédés…
- On a bien fait de venir ici…
N’en pouvant plus, nos membres hyper tendus et nos deux branleurs qui devaient être passifs se sont mis soudain en position de levrette quasi en même temps en tortillant leur croupe de salope en rut et se positionnant pour la pénétration face à nous, nous n’avons eu qu’à nous exécuter, tellement leurs trous étaient béants et humides.
Deux nouveaux couples de nudistes avaient rejoint l’attroupement autour de nous pour profiter de nos ébats, nous étions en pleine séance de dogging, deux chiennes qui se faisaient prendre sauvagement devant des hommes et des femmes qui se délectaient du spectacle offert, queues en l’air ou culs humides et des mains vagabondes entre eux… quelle ambiance !... C’est bon l’été au soleil en bord de Loire !
Nos deux passifs avaient pris cher car nos excitations étaient à leur comble, ils gémissaient ensemble et sans aucune discrétion, ils avaient vraiment le cul en feu ces deux-là et presque ensemble on se retire de ces deux lopes en chaleur et nos bites se mirent à cracher, par jets fournis, nos spermes chauds dans la raie et sur le dos de nos deux chiennes, et là, notre « public improvisé » se mit à applaudir à l’unisson, c’était bien la première fois que je vivais une telle scène !... Éjaculer sous des applaudissements… Le fantasme improbable du baiseur…

Après avoir assouvi nos pulsions sexuelles et que nos deux jeunes salopes nous aient léché et nettoyé nos glands, le terrain se dégagea, nos voyeurs ont poursuivis leurs chemins respectifs, seuls les deux allemands qui avaient suivis avec attention nos ébats avaient éjaculé chacun sur leur ventre bronzé, ils continuaient malgré tout de se palucher gentiment en nous faisant signe du pouce qu’ils avaient apprécié ce moment de chaude activité… Jusqu’au jus !

Mon partenaire remet son string filet et moi mon short, nos bites ont repris leur gabarit de repos… bien mérité, on va se séparer, mais avant de nous quitter on se roule une bonne pelle durant quelques minutes en portant nos mains sur nos paquets remballés, une claque sur les fesses…
- Allez, salut toi, et merci pour ce bon moment ! lui dis-je.
- Merci à toi aussi, la météo annonce du soleil toute la semaine, je reviendrai ici après-demain vers 15h. me répond-il en souriant.
- OK, je serai là…j’ai encore quelques jours de célibat à profiter entre mecs, on trouvera bien de quoi se mettre sous la dent.
- Oui, ou dans le cul ??? me répond-il très aguicheur en me faisant un clin d’œil.

Et l’on repart chacun de notre côté en faisant un signe amical aux deux allemands allongés, leur sperme toujours étalé sur leurs ventres respectifs qui commençait à sécher sous les rayons du soleil.
Ils nous répondent en rigolant et en se palpant leurs belles paires de couilles : « Danke… Et Vive la France ! »

Le tourisme estival en bord de Loire a parfois du bon… et Garance pouvait prendre son temps pour rentrer à la maison !