Un grand incconu (Suite)
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-04-2013 dans la catégorie Plus on est
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Un grand incconu (Suite)
Mathias était debout devant la glace. Il était nu. La porte était fermée à clé, il
voulait être seul. Il contemplait son corps avec un nouveau regard. Jusqu’à ce soir
son corps lui avait paru indésirable. Il n’était pas laid était même plutôt sportif
mais n’avait jamais connu de succès avec les femmes. Son sexe était petit, peinait à
atteindre 12cm. On avait beau lui répéter que la taille ne comptait pas mais il ne
pouvait pas dire en avoir vu la preuve. Chaque rencard se terminait de la même manière
– la fille arborant une aire agacée ou même moqueur, se tirant plus tôt que prévu.
Mais ce soir, il avait satisfait un homme. Il ne s’était montré ni déçu ou insultant.
Mathias avait senti l’odeur forte du sexe de celui-ci, avait goûté le parfum amère
mais doux du gland frottant contre son palet et enfin avait avalé sa semence épaisse
et délectable. Les coups de rein de l’homme l’avaient libéré de sa nervosité et de son
complexe. Il ne connaissait même pas son nom mais ça rendait le tout encore plus
excitant. Il se coucha, et, se remémorant les ébats de la soirée, se masturba alors
que les premières lueurs du matin se pointaient. Une coulée fine mais longue gicla sur
son ventre en moins d’une minute. Le sommeil lui vint, un sourire aux lèvres.
Les semaines qui suivirent, il ne pu penser qu’à l’homme, cet être dominant et
masculin qui lui avait fait découvrir un nouveau monde. Il n’osait pas demander à son
coloc son nom ou son numéro, Jean aurait su tout de suite ce qui se tramait. Alors
Mathias attendait, espérant que l’homme reviendrait. Puis, au bout de deux semaines,
alors qu’il était chez lui, son téléphone vibra –
Alors, tu y penses toujours j’imagine ? J’en ai pas finit avec toi. Envoi moi ton id
skype, j’ai envi de voir cette petite bite et ses belles fesses.
Mathias sentait son cœur battre à toute allure. Les mains tremblantes, il s’empressa
de répondre à l’homme, lui envoyant comme demandé ses informations. Il s’installa
devant l’ordinateur, attendant avec impatience l’invitation de son interlocuteur. Elle
ne tarda à venir. Il reçu un message d’un Domus22. Sa photo était sombre.
Tu as une webcam j’espère ?
Oui. Mathias se sentait durcir, son jean le serrant de plus en plus.
Allume. Il s’exécuta. L’homme répondit au bout de deux sonneries. Sa caméra était
également allumée, pointée vers son bassin.
Montre moi ton visage. La voix grave de l’homme ne fit que l’exciter d’avantage. Il ne
pouvait qu’obéir. Il tourna la caméra vers son visage. L’homme resta silencieux
quelques instants.
Mets toi à poil salope. L’air était frais à présent sur sa peau, il sentait ses
couilles se rétrécir contre le froid. Il fit un tour sur lui même.
Tu as vraiment un sexe ridicule. Au lieu de le blaiser, les mots le rendirent encore
plus dure. L’homme le vit et ricana.
Petite pute va. Montre moi ton cul maintenant. Mathias se cambra devant la caméra.
L’homme l’ordonna d’écarter les fesses, puis de se doigter. Au début, Mathias ne
savait pas trop s’y prendre, puis il sentit l’ombre du plaisir de la nuit avec l’homme
revenir. Le souvenir de sa queue profondément enfouie en lui le fit gémir.
Jean est là ? La question était impromptue et Mathias ne savait pas où il voulait en
venir.
Eu non il est sorti.
Vas dans sa chambre, prends ce qu’il y a dans le tiroir sous son lit. Perplexe,
Mathias se dirigea vers la chambre de son colocataire, toujours nu, sa queue raide. Il
ouvrit comme ordonné le tiroir de Jean. Le gode était gros. Il y avait également du
lubrifiant. Mathias, sentant l’excitation grimper encore, se saisit des deux et
retourna dans sa chambre.
Lèche le gode.
Mathias posa sa langue contre le plastique. L’homme défit son jean à la caméra et,
lentement, sorti son sexe. Il était dur et gros, comme dans son souvenir. Mathias se
mit à sucer le gode, s’imaginant à la place le sexe de l’homme. Celui-ci se mit à se
branler doucement, chaque mouvement de la main délibéré et fort.
Mets toi sur ton dos, écartes les jambes et enfonces le dans ta chatte pute.
Mathias appliqua une lampée de lubri sur le gode, puis s’en étala sur son trou imberbe
avec un doigt. Il frissonna en plaçant le gland sur son trou. S’était froid mais il
frémissait à l’idée de se l’enfoncer. Doucement il le fit pénétrer. Il commença les
vas et viens, le gode le dilatant rapidement. Il accéléra le rythme, regardant l’homme
se masturbant en même temps. Il gémit puis joui, la giclée lui touchant même le
visage. L’homme ne joui pas.
Petit joueur. Je ne t’ai pas autorisé à finir alors je ne te laisse pas me regarder me
satisfaire. Viens chez moi ce soir – rue des Archives, je t’envoi l’heure par
téléphone.
La vidéo coupa, laissant Mathias, le souffle coupé, toujours sur son dos, le gode
encore en lui. Il reçu le texte peu après – 19h au 57. Il ne savait pas comment
l’homme avait eu son numéro mais il s’en foutait. L’excitation à l’idée de voir
l’homme l’emplissait.
Il sortit du métro très en avance. La place de l’hôtel de Ville était quasiment
déserte. Il se dirigea rapidement vers l’adresse, s’empressant d’arriver. Il poussa la
porte du 57, donnant sur un hall d’entrée sombre mais élégant. Il gravit les quatre
étages comme indiqué par l’homme. La porte de droite au palier était entre ouverte. Il
la poussa puis la referma derrière lui. Un long couloir le mena vers un grand salon
sobrement décoré. Il n’y avait personne. Une porte s’ouvrit en face. Une femme sortit,
le fixa du regard. Elle était grande et belle, très belle. Des jambes longues et nues
menaient vers de belles hanches et un ventre lisse. Sa chatte était rasée, sa peau
semblait couverte d’une fine couche de sueur. Elle ne portait rien. Des seins lourds
et fermes jetaient une ombre douce sur le haut de son ventre. Ses tétons pointaient,
roses dans la lumière tamisée. Ses cheveux étaient coupés aux épaules, ils étaient
noirs. Une frange tombait sur un visage magnifique et mince. Ses yeux semblaient le
transpercer.
« Il t’attend. » Elle avait une voix douce mais autoritaire.
Mathias, ne pouvant déroger son regard de la femme, s’avança vers la porte. La femme
lui barrait le chemin.
« Enlève tes vêtements. » Mathias s’exécuta, l’excitation montant en flèche.
Elle le fixait toujours alors qu’il se déshabillait. Une fois nu, elle s’avança d’un
pas vers lui. Elle se colla à lui, posant une main sur le bas de son ventre, la
laissant glisser vers son sexe raidissant. Mathias senti un frisson le traverser. Elle
sourit et plaça son autre main sur ses fesses, parcourant le long de sa raie, puis
lentement, fit entrer un doigt en lui. Elle continua de sourire, puis, sa main sur son
sexe, le guida à l’intérieur de la pièce. L’homme était là, nu sur le lit, son sexe
flasque mais toujours impressionnant. La fille l’amena au lit, se saisit de sa main et
la plaça sur le sexe de l’homme. Il s’en empara lentement, son cœur battant un tempo
frénétique. Il regarda la femme, posa une main sur un sein.
« Elle est pas là pour toi. » L’homme lui donna une petite tape sur la joue. La femme
sourit, haussa les épaules. Elle se leva.
« Tiens mets ça. » Elle lui tendit un tanga noir en dentelle. Mathias la fixa. Puis,
tendis la main. Il prit la lingerie entre ses doigts et l’enfila. Le tissu lui serrait
les boules, mais le contact était agréable. L’homme plaça une main sur ses fesses. La
femme le contemplait, un petit sourire aux lèvres. L’homme se leva.
« Aller à genoux petite lope. » Mathias se mit devant l’homme, la femme assise
derrière lui sur le lit. Il approcha son visage du sexe de son maitre qui sentait la
sueur et le parfum de la femme. Il prit le pénis entre ses doigts, le souleva, et
plaça le bout de sa langue sur les boules de l’homme. Le sexe commençait à durcir. Il
prit une des testicules en bouche, la malaxant avec ses lèvres. Il se mit ensuite à
lécher tout du long de la verge de l’homme, remontant vers le gland. La queue n’était
pas tout à fait dure mais, même ainsi elle dépassait largement la sienne. Il trouva un
trait fin de liquide argent, luisant au bout du gland. Il frotta la peau contre ses
lèvres, étalant la semence. Il se mit à téter, le gout salé du sperme se fondant à
celui du sexe de l’homme. Il était dur à présent, le sexe gros entre les lèvres de son
soumis. L’homme s’empara de sa tête et se mit à lui baiser la bouche à coups secs, le
guidant. La femme avait posé ses pieds contre son dos. Elle respirait fortement en se
caressant. Le petit sexe de Mathias Son était raide dans le tanga. Il suça l’homme
pendant de longues minutes délicieuses.
« Debout. » Mathias sortit le sexe de l’homme de sa bouche et se leva. Le maitre le
retourna et plaça une main sur ses fesses. Il les caressa puis d’un coup sec, lui
administra une fessée forte et douloureuse. Mathias ne pu empêcher un petit cri.
L’homme le poussa contre le lit, le plaquant contre son ventre. Il se saisit du tanga
et le tira vers le bas, le laissant mi-cuisse.
« Enduit moi. » La femme prit un flacon de lubrifiant sur une table de chevet,
l’ouvrit et en étala sur le gland de l’homme puis elle fit glisser ses doigts à
nouveau contre le trou de Mathias. Le liquide était froid mais l’anticipation était
grande. L’homme se plaça entre ses cuisses, contre sa chatte. Pendant un instant le
gland peinait à rentrer, puis d’un coup il était en lui. Mathias gémit. L’homme
s’enfonça lentement mais fermement en lui, le pénétrant. Lentement il se mit à asséner
de bons coups de reins, comme une puissante machine se mettant en route. Il accéléra
la cadence, se positionnant au-dessus de Mathias, le dominant totalement. Chaque coup
était comme une bouffée de plaisir, augmentée d’une touche de douleur pour Mathias. Il
se mit à gémir, pendant que l’homme laissait entendre un son bas et masculin de
satisfaction. La femme se plaça assise devant Mathias, écarta les cuisses et, le
guidant avec une main, amena sa langue contre son clitoris. Il se mit à lécher.
L’homme le baisait sans retenu à présent, sa queue longue de plus de 20cm, alternant
entre la pénétration profonde et un titillement du gland au bord de sa rondelle.
L’homme s’arrêta. Il s’allongea sur le dos. La femme se désengagea de sa position et
se mit à sucer la verge du maître. L’homme regarda Mathias.
« Je t’autorise à la baiser. Mais ne t’avise pas de finir en elle. Ta semence ne vaut
rien. »
La femme jeta un regard coquin vers Mathias et se mis à quatre pattes, la queue de
l’homme toujours en bouche. L’excitation au comble, Mathias se positionna derrière
elle et plaça son sexe entre ses cuisses. Elle le laissa entrer en elle. Il se mit à
lui donner de petits coups de reins.
« Tu peux y aller plus fort petit, avec cette blague que t’as entre les jambes je
doute que qu’elle ne ressente quoi que ce soit. »
Mathias se fit la réflexion qu’en effet, après le gabarit de l’homme, son sexe devait
à peine se faire ressentir. Cependant, il se sentait frotter contre les parois chauds
et trempées de la femme qui se contractait autour de son pénis. Il accéléra le rythme,
la femme ne se dérogeant en rien de la pipe langoureuse qu’elle effectuait. Elle
semblait même pas être au courant de se qui se passait derrière elle.
Au bout de cinq minutes Mathias se sentit au bord de la jouissance. Amère, il se
retira de la femme. L’homme le regarda –
« Bien, maintenant regarde un vrai homme faire. »
Il saisit la femme, et à son tour se plaça là où Mathias s’était tenu quelques
instants au préalable. La femme sourit, anticipant la suite. D’un mouvement ferme
l’homme s’enfonça en elle et se mit à la baiser. La femme fixa Mathias du regard
pendant que l’homme la baisait. Elle jouit plusieurs fois avant que l’homme ne se
décide de se retirer. Il se rallongea fit signe à Mathias de s’approcher.
« Aller salope, montre moi comment tu montes. »
Mathias se plaça au-dessus du sexe de l’homme, toute semblance de virilité abandonnée.
Il se saisit d’une main du sexe de l’homme et le positionna contre son trou. Il se mit
à descendre doucement. Il descendit jusqu’au bout, ses fesses se posant contre les
hanches de l’homme. La position lui fit d’autant plus ressentir la taille de la verge
qui l’emplissait. Il se mit à monter et descendre doucement, chaque mouvement porteur
de plaisir et de douleur. Peu à peu cependant, le plaisir prit le dessus. Encore une
fois, il sentit l’excitation monter en flèche alors qu’un plaisir intense grimpait du
bas de son ventre. Il chevaucha l’homme pendant un long moment, la femme allongée les
observant. L’homme lui tenait fermement les hanches, l’enfonçant sur son membre.
Mathias jouit, un fil fin tombant sur sa cuisse droite.
« A mon tour. » L’homme souleva Mathias et se leva. Il poussa le soumis qui tomba au
lit, sa tête se reposant sur les fesses de la femme. Celle-ci tourna la tête pour
observer. L’homme se positionna au-dessus de leurs deux corps et se mit à se masturber.
Une giclée épaisse et longue fut projetée sur son visage et la peau de la femme,
coulant dans sa raie. L’homme exhala un souffle long et fort.
« Lèche. »
Mathias obéit, récoltant d’abord la semence sur son visage, puis parcourant avec sa
langue la raie de la femme qui souleva légèrement son bassin pour lui faciliter
l’action. Le gout du sperme se mélangea à la sueur de la femme.
Il se rhabilla et les laissa, l’homme s’apprêtant à pénétrer la femme une nouvelle
fois.
voulait être seul. Il contemplait son corps avec un nouveau regard. Jusqu’à ce soir
son corps lui avait paru indésirable. Il n’était pas laid était même plutôt sportif
mais n’avait jamais connu de succès avec les femmes. Son sexe était petit, peinait à
atteindre 12cm. On avait beau lui répéter que la taille ne comptait pas mais il ne
pouvait pas dire en avoir vu la preuve. Chaque rencard se terminait de la même manière
– la fille arborant une aire agacée ou même moqueur, se tirant plus tôt que prévu.
Mais ce soir, il avait satisfait un homme. Il ne s’était montré ni déçu ou insultant.
Mathias avait senti l’odeur forte du sexe de celui-ci, avait goûté le parfum amère
mais doux du gland frottant contre son palet et enfin avait avalé sa semence épaisse
et délectable. Les coups de rein de l’homme l’avaient libéré de sa nervosité et de son
complexe. Il ne connaissait même pas son nom mais ça rendait le tout encore plus
excitant. Il se coucha, et, se remémorant les ébats de la soirée, se masturba alors
que les premières lueurs du matin se pointaient. Une coulée fine mais longue gicla sur
son ventre en moins d’une minute. Le sommeil lui vint, un sourire aux lèvres.
Les semaines qui suivirent, il ne pu penser qu’à l’homme, cet être dominant et
masculin qui lui avait fait découvrir un nouveau monde. Il n’osait pas demander à son
coloc son nom ou son numéro, Jean aurait su tout de suite ce qui se tramait. Alors
Mathias attendait, espérant que l’homme reviendrait. Puis, au bout de deux semaines,
alors qu’il était chez lui, son téléphone vibra –
Alors, tu y penses toujours j’imagine ? J’en ai pas finit avec toi. Envoi moi ton id
skype, j’ai envi de voir cette petite bite et ses belles fesses.
Mathias sentait son cœur battre à toute allure. Les mains tremblantes, il s’empressa
de répondre à l’homme, lui envoyant comme demandé ses informations. Il s’installa
devant l’ordinateur, attendant avec impatience l’invitation de son interlocuteur. Elle
ne tarda à venir. Il reçu un message d’un Domus22. Sa photo était sombre.
Tu as une webcam j’espère ?
Oui. Mathias se sentait durcir, son jean le serrant de plus en plus.
Allume. Il s’exécuta. L’homme répondit au bout de deux sonneries. Sa caméra était
également allumée, pointée vers son bassin.
Montre moi ton visage. La voix grave de l’homme ne fit que l’exciter d’avantage. Il ne
pouvait qu’obéir. Il tourna la caméra vers son visage. L’homme resta silencieux
quelques instants.
Mets toi à poil salope. L’air était frais à présent sur sa peau, il sentait ses
couilles se rétrécir contre le froid. Il fit un tour sur lui même.
Tu as vraiment un sexe ridicule. Au lieu de le blaiser, les mots le rendirent encore
plus dure. L’homme le vit et ricana.
Petite pute va. Montre moi ton cul maintenant. Mathias se cambra devant la caméra.
L’homme l’ordonna d’écarter les fesses, puis de se doigter. Au début, Mathias ne
savait pas trop s’y prendre, puis il sentit l’ombre du plaisir de la nuit avec l’homme
revenir. Le souvenir de sa queue profondément enfouie en lui le fit gémir.
Jean est là ? La question était impromptue et Mathias ne savait pas où il voulait en
venir.
Eu non il est sorti.
Vas dans sa chambre, prends ce qu’il y a dans le tiroir sous son lit. Perplexe,
Mathias se dirigea vers la chambre de son colocataire, toujours nu, sa queue raide. Il
ouvrit comme ordonné le tiroir de Jean. Le gode était gros. Il y avait également du
lubrifiant. Mathias, sentant l’excitation grimper encore, se saisit des deux et
retourna dans sa chambre.
Lèche le gode.
Mathias posa sa langue contre le plastique. L’homme défit son jean à la caméra et,
lentement, sorti son sexe. Il était dur et gros, comme dans son souvenir. Mathias se
mit à sucer le gode, s’imaginant à la place le sexe de l’homme. Celui-ci se mit à se
branler doucement, chaque mouvement de la main délibéré et fort.
Mets toi sur ton dos, écartes les jambes et enfonces le dans ta chatte pute.
Mathias appliqua une lampée de lubri sur le gode, puis s’en étala sur son trou imberbe
avec un doigt. Il frissonna en plaçant le gland sur son trou. S’était froid mais il
frémissait à l’idée de se l’enfoncer. Doucement il le fit pénétrer. Il commença les
vas et viens, le gode le dilatant rapidement. Il accéléra le rythme, regardant l’homme
se masturbant en même temps. Il gémit puis joui, la giclée lui touchant même le
visage. L’homme ne joui pas.
Petit joueur. Je ne t’ai pas autorisé à finir alors je ne te laisse pas me regarder me
satisfaire. Viens chez moi ce soir – rue des Archives, je t’envoi l’heure par
téléphone.
La vidéo coupa, laissant Mathias, le souffle coupé, toujours sur son dos, le gode
encore en lui. Il reçu le texte peu après – 19h au 57. Il ne savait pas comment
l’homme avait eu son numéro mais il s’en foutait. L’excitation à l’idée de voir
l’homme l’emplissait.
Il sortit du métro très en avance. La place de l’hôtel de Ville était quasiment
déserte. Il se dirigea rapidement vers l’adresse, s’empressant d’arriver. Il poussa la
porte du 57, donnant sur un hall d’entrée sombre mais élégant. Il gravit les quatre
étages comme indiqué par l’homme. La porte de droite au palier était entre ouverte. Il
la poussa puis la referma derrière lui. Un long couloir le mena vers un grand salon
sobrement décoré. Il n’y avait personne. Une porte s’ouvrit en face. Une femme sortit,
le fixa du regard. Elle était grande et belle, très belle. Des jambes longues et nues
menaient vers de belles hanches et un ventre lisse. Sa chatte était rasée, sa peau
semblait couverte d’une fine couche de sueur. Elle ne portait rien. Des seins lourds
et fermes jetaient une ombre douce sur le haut de son ventre. Ses tétons pointaient,
roses dans la lumière tamisée. Ses cheveux étaient coupés aux épaules, ils étaient
noirs. Une frange tombait sur un visage magnifique et mince. Ses yeux semblaient le
transpercer.
« Il t’attend. » Elle avait une voix douce mais autoritaire.
Mathias, ne pouvant déroger son regard de la femme, s’avança vers la porte. La femme
lui barrait le chemin.
« Enlève tes vêtements. » Mathias s’exécuta, l’excitation montant en flèche.
Elle le fixait toujours alors qu’il se déshabillait. Une fois nu, elle s’avança d’un
pas vers lui. Elle se colla à lui, posant une main sur le bas de son ventre, la
laissant glisser vers son sexe raidissant. Mathias senti un frisson le traverser. Elle
sourit et plaça son autre main sur ses fesses, parcourant le long de sa raie, puis
lentement, fit entrer un doigt en lui. Elle continua de sourire, puis, sa main sur son
sexe, le guida à l’intérieur de la pièce. L’homme était là, nu sur le lit, son sexe
flasque mais toujours impressionnant. La fille l’amena au lit, se saisit de sa main et
la plaça sur le sexe de l’homme. Il s’en empara lentement, son cœur battant un tempo
frénétique. Il regarda la femme, posa une main sur un sein.
« Elle est pas là pour toi. » L’homme lui donna une petite tape sur la joue. La femme
sourit, haussa les épaules. Elle se leva.
« Tiens mets ça. » Elle lui tendit un tanga noir en dentelle. Mathias la fixa. Puis,
tendis la main. Il prit la lingerie entre ses doigts et l’enfila. Le tissu lui serrait
les boules, mais le contact était agréable. L’homme plaça une main sur ses fesses. La
femme le contemplait, un petit sourire aux lèvres. L’homme se leva.
« Aller à genoux petite lope. » Mathias se mit devant l’homme, la femme assise
derrière lui sur le lit. Il approcha son visage du sexe de son maitre qui sentait la
sueur et le parfum de la femme. Il prit le pénis entre ses doigts, le souleva, et
plaça le bout de sa langue sur les boules de l’homme. Le sexe commençait à durcir. Il
prit une des testicules en bouche, la malaxant avec ses lèvres. Il se mit ensuite à
lécher tout du long de la verge de l’homme, remontant vers le gland. La queue n’était
pas tout à fait dure mais, même ainsi elle dépassait largement la sienne. Il trouva un
trait fin de liquide argent, luisant au bout du gland. Il frotta la peau contre ses
lèvres, étalant la semence. Il se mit à téter, le gout salé du sperme se fondant à
celui du sexe de l’homme. Il était dur à présent, le sexe gros entre les lèvres de son
soumis. L’homme s’empara de sa tête et se mit à lui baiser la bouche à coups secs, le
guidant. La femme avait posé ses pieds contre son dos. Elle respirait fortement en se
caressant. Le petit sexe de Mathias Son était raide dans le tanga. Il suça l’homme
pendant de longues minutes délicieuses.
« Debout. » Mathias sortit le sexe de l’homme de sa bouche et se leva. Le maitre le
retourna et plaça une main sur ses fesses. Il les caressa puis d’un coup sec, lui
administra une fessée forte et douloureuse. Mathias ne pu empêcher un petit cri.
L’homme le poussa contre le lit, le plaquant contre son ventre. Il se saisit du tanga
et le tira vers le bas, le laissant mi-cuisse.
« Enduit moi. » La femme prit un flacon de lubrifiant sur une table de chevet,
l’ouvrit et en étala sur le gland de l’homme puis elle fit glisser ses doigts à
nouveau contre le trou de Mathias. Le liquide était froid mais l’anticipation était
grande. L’homme se plaça entre ses cuisses, contre sa chatte. Pendant un instant le
gland peinait à rentrer, puis d’un coup il était en lui. Mathias gémit. L’homme
s’enfonça lentement mais fermement en lui, le pénétrant. Lentement il se mit à asséner
de bons coups de reins, comme une puissante machine se mettant en route. Il accéléra
la cadence, se positionnant au-dessus de Mathias, le dominant totalement. Chaque coup
était comme une bouffée de plaisir, augmentée d’une touche de douleur pour Mathias. Il
se mit à gémir, pendant que l’homme laissait entendre un son bas et masculin de
satisfaction. La femme se plaça assise devant Mathias, écarta les cuisses et, le
guidant avec une main, amena sa langue contre son clitoris. Il se mit à lécher.
L’homme le baisait sans retenu à présent, sa queue longue de plus de 20cm, alternant
entre la pénétration profonde et un titillement du gland au bord de sa rondelle.
L’homme s’arrêta. Il s’allongea sur le dos. La femme se désengagea de sa position et
se mit à sucer la verge du maître. L’homme regarda Mathias.
« Je t’autorise à la baiser. Mais ne t’avise pas de finir en elle. Ta semence ne vaut
rien. »
La femme jeta un regard coquin vers Mathias et se mis à quatre pattes, la queue de
l’homme toujours en bouche. L’excitation au comble, Mathias se positionna derrière
elle et plaça son sexe entre ses cuisses. Elle le laissa entrer en elle. Il se mit à
lui donner de petits coups de reins.
« Tu peux y aller plus fort petit, avec cette blague que t’as entre les jambes je
doute que qu’elle ne ressente quoi que ce soit. »
Mathias se fit la réflexion qu’en effet, après le gabarit de l’homme, son sexe devait
à peine se faire ressentir. Cependant, il se sentait frotter contre les parois chauds
et trempées de la femme qui se contractait autour de son pénis. Il accéléra le rythme,
la femme ne se dérogeant en rien de la pipe langoureuse qu’elle effectuait. Elle
semblait même pas être au courant de se qui se passait derrière elle.
Au bout de cinq minutes Mathias se sentit au bord de la jouissance. Amère, il se
retira de la femme. L’homme le regarda –
« Bien, maintenant regarde un vrai homme faire. »
Il saisit la femme, et à son tour se plaça là où Mathias s’était tenu quelques
instants au préalable. La femme sourit, anticipant la suite. D’un mouvement ferme
l’homme s’enfonça en elle et se mit à la baiser. La femme fixa Mathias du regard
pendant que l’homme la baisait. Elle jouit plusieurs fois avant que l’homme ne se
décide de se retirer. Il se rallongea fit signe à Mathias de s’approcher.
« Aller salope, montre moi comment tu montes. »
Mathias se plaça au-dessus du sexe de l’homme, toute semblance de virilité abandonnée.
Il se saisit d’une main du sexe de l’homme et le positionna contre son trou. Il se mit
à descendre doucement. Il descendit jusqu’au bout, ses fesses se posant contre les
hanches de l’homme. La position lui fit d’autant plus ressentir la taille de la verge
qui l’emplissait. Il se mit à monter et descendre doucement, chaque mouvement porteur
de plaisir et de douleur. Peu à peu cependant, le plaisir prit le dessus. Encore une
fois, il sentit l’excitation monter en flèche alors qu’un plaisir intense grimpait du
bas de son ventre. Il chevaucha l’homme pendant un long moment, la femme allongée les
observant. L’homme lui tenait fermement les hanches, l’enfonçant sur son membre.
Mathias jouit, un fil fin tombant sur sa cuisse droite.
« A mon tour. » L’homme souleva Mathias et se leva. Il poussa le soumis qui tomba au
lit, sa tête se reposant sur les fesses de la femme. Celle-ci tourna la tête pour
observer. L’homme se positionna au-dessus de leurs deux corps et se mit à se masturber.
Une giclée épaisse et longue fut projetée sur son visage et la peau de la femme,
coulant dans sa raie. L’homme exhala un souffle long et fort.
« Lèche. »
Mathias obéit, récoltant d’abord la semence sur son visage, puis parcourant avec sa
langue la raie de la femme qui souleva légèrement son bassin pour lui faciliter
l’action. Le gout du sperme se mélangea à la sueur de la femme.
Il se rhabilla et les laissa, l’homme s’apprêtant à pénétrer la femme une nouvelle
fois.
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Les avis des lecteurs
magnifique écriture vivante et vécue..un appel à ces pratiques sensuelles..