Un nouveau défi pour Éva : 1/4
Récit érotique écrit par Sofie34fr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2019 dans la catégorie Plus on est
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Un nouveau défi pour Éva : 1/4
Nous prenions cette fois quelques jours pour profiter du bon temps en Espagne. C'était la demi-saison. Il faisait beau. Paul nous avait trouvé un bel hôtel sur internet à un prix intéressant et "all inclusive". A cette époque de l'année, c'était calme.
Paul m'avait fixé un challenge.
Mettre la même robe toute la semaine.
Aujourd'hui, elle était à dix cm au-dessus des genoux...
Chaque jour, il coupera quatre centimètres...
Et ce, pendant cinq jours.
Quel coquin !!!! Et moi, j'avais dit oui !!!
Je sentais que cela allait être très dur, mais en même temps, de voir mon Paul chéri en érection quasi permanente, je ne pouvais qu'adorer !!!
Nous voilà dehors. Ses mains commencèrent à me caresser les fesses ... Ouille !!!!! C'est chaud !!! Et dire qu'il n'avait pas encore commencé son travail de découpe.
1° partie
A peine sortie de l'hôtel, je me sentis rougir. Mes fesses étaient nues, n'importe qui pouvait me voir, Paul n'en avait cure ! Il se régalait. Il passait et repassait sa main sur ma croupe, il jubilait de mon trouble !
Je serrais les fesses mais une petite tape sur mes rondeurs me rappelai à l'ordre, je lui avais promis de sortir avec une robe retaillée par ses soins !!! Demain, elle serait plus courte de quatre centimètres et pareil pour chaque nouvelle journée....... Quel défi pour moi !!!
Pour l'instant, la main de Paul claqua fort me faisant gémir de douleur et de plaisir ! J'aimais bien ses petites tapes érotiques, elles m'excitaient et lui aussi... Me voyant toute souriante, il remit cela, une autre petite tape bien sonore, ouille !!! Le bruit ou mon petit cri fit se retourner un homme, il était tout sourire ; amateur ? Sûrement, les cochons se reconnaissent entre eux.....
Je me sentis rougir. Cela m'amusait et m'excitait. De voir sa bosse grossir dans son pantalon m'enivrait, me faisait déjà mouiller et chavirer.
Mon Paul aimait bien s'amuser à l'extérieur et moi aussi (j'évoluais petit à petit...) toute en restant craintive. Nous continuâmes notre route, mes fesses devaient être toutes rouges, j'adorais, cela me brulait un peu et je n'avais qu'une envie c'était qu'il recommence, je me tortillais et dévoilais ainsi mes globes... Paul comprit et me flatta en me donnant à nouveau une petite tapette, hum. C'est bon...
Serais-je maso ? Non coquine seulement !
La douleur et la chaleur prodiguées par ses fessées me faisaient mal sur le coup, mais rapidement, une douce chaleur m'envahissait et me troublait...
C'était trop bon !!! Nous continuâmes notre promenade. Où m'entrainait-il ?
Paul avait préparé son appareil photo. Le contraire m'aurait étonné. Il me laissa prendre un peu d'avance pour mater mon cul le coquin !!! Je jouais le jeu. Je "roulais" des fesses, enfin, j'essayais !!!
J'attendais ses consignes ou bien c'était à moi de prendre l'initiative...?
Je m'étais dit que j'allais prendre les devants. Cela surprenait toujours agréablement mon Paul qui n'oubliait jamais de me féliciter et j'avouais apprécier ses compliments. Je détestais quand je n'étais pas au rendez-vous et que je le voyais bouder. D'autant que je ne savais pas toujours pourquoi, ce que j'avais pu rater, oublier ou bien mal faire ...
Appliquons-nous !!! Je devais me rappeler les consignes : toujours avoir les cuisses écartées quand je me baissais, accroupie face à mon coquin, ou encore, penchée dos à mon Paul...
J'étais devant mon homme, il avait son appareil sorti (photo naturellement). J'allais le surprendre, j'adorais cela, quand il restait scotché par mes initiatives ! Je vis devant nous une jolie boutique... Tiens cela me donnai des idées.
Je m’approchais et me baissais pour regarder de plus près les sacs à main. Je prenais bien soin d’écarter les cuisses pour offrir une meilleure vue à mon coquin de photographe. Je me redressais, et continuais de plus belle. Après trois ou quatre exercices bien coquins, je me retournais enfin et vis mon Paul très concentré avec son appareil. Mais j'aperçus aussi un homme debout appuyé sur sa voiture garée à proximité qui n’en avait pas perdu une miette ; le cochon. Celui-ci me fit un grand sourire. Il semblait avoir apprécié… Cet homme me décontenança. Je sentis le rouge me monter à la tête, mais en même temps, je me dis qu’il était bien mignon…. Et puis, si cela avait pu lui faire du bien. Quand je pense que mon Paul n’avait rien vu. Je lui raconterai ce soir à l’hôtel quand nous ferons l’amour…
Ce fut tout pour cette première journée. Nous étions fatigués de notre voyage et nous rentrâmes tôt à l'hôtel.
Après notre repas, nous sortîmes néanmoins faire une promenade digestive sur le paseo avant d'aller nous coucher. Quel plaisir de vivre ainsi en Espagne !
Le lendemain matin, je trouvais Paul affairé avec une paire de ciseaux à raccourcir ma robe de quatre centimètres…. !!! waouhhh. Il me regarda avec un large sourire. Ben voyons !!!
Le plus dur pour moi était de traverser le hall de l'hôtel. J'avais l'impression que tout s'arrêtait autour de moi. Et puis, une fois dehors, je marchais collé à Paul et j'étais rassurée.
Nous retournâmes au centre du village pour faire la rue commerçante. Je commençais à me prendre au jeu. Paul me suivait, une dizaine de mètres derrière moi. Je m'intéressais bien évidemment aux objets situés les plus bas. Je me baissais, m'accroupissais pour affoler mon Paul. De temps en temps, je me retournais. Et là, je remarquais un homme placé entre Paul et moi qui semblait très intéressé par mes acrobaties.
Autant il y a quelque temps j'aurais paniqué d'être la cible d'un voyeur, autant maintenant je me sentais plus sereine, d'autant plus qu'il était plutôt bel homme.
Paul me fit signe de continuer pour m'encourager. Il avait vu le voyeur et cela l'excitait bien évidement.
Après quelques minutes de promenade, j'entrais dans un café suivi de mon voyeur, puis de Paul. Chacun s'asseyant à une table.
Je commandais un café. Trop absorbé par la proximité de Paul et de mon voyeur, je n'avais pas fait attention à ma tenue, qui compte tenu de la longueur de ma robe, était assez indécente… Je ne tentais même pas de tirer sur le bas de ma robe. Le serveur ne restait pas très loin. Il tournait autour de moi, me demandait si je voulais quelque chose à grignoter. Je m'amusais de son jeu. Pour le faire revenir, je lui demandais la carte, puis je l'interrogeais sur les gâteaux qui étaient proposés. Maladroitement, je fis tomber la carte et dans le mouvement pour la ramasser j'écartais les cuisses découvrant ma vulve nue. Le serveur qui avait été plus rapide pour se baisser faillit s'étouffer face au spectacle que je lui offrais.
Paul, très attentif à mes gestes, m'adressa un pouce levé pour me féliciter.
Le serveur était très intimidé et avait du mal à parler. Je commandais un flan au riz.
Le voyeur, qui n'avait rien raté du spectacle, me souriait en dégustant son café.
Quand le serveur revint avec ma commande je lui demandais où se trouvaient les toilettes. Il m'indiqua le chemin. Il fallait que je monte un escalier à claire-voie pour m'y rendre. Inutile de dire que les coquins placés dessous n'allaient pas en rater une miette…. Le serveur dut y penser également car en me donnant les explications il avait un sourire aux lèvres…
Allez, j'allais donner un petit plaisir à ces coquins de voyeurs. Sans hésitation, je me dirigeais vers l'escalier sous les regards brillants des hommes présents dans le café. Jouer pour jouer, je montais deux marches à la fois et en écartant plus que nécessaire les jambes. Moi, je regardais le haut de l'escalier. Je ne voulais pas voir les cochons me mater. Il n'y avait plus un bruit dans le café.
Quand je revins à ma place, je découvris de nombreux sourires béats sur les visages des consommateurs. Je souris intérieurement. Au moment où je levais la tête pour regarder Paul, je le vis se lever pour me rejoindre. J'étais soulagée car je ne savais pas trop comment gérer la suite avec tous ces cochons.
Nous réglâmes l'addition au serveur qui me fit un large sourire. Il était plutôt mignon et j'en aurais bien fait mon quatre heures. Je l'avouais à Paul qui, avec ses yeux pétillants, me répondit que ce n'était peut-être que partie remise.
Et voilà. C'est tout mon Paul. Il est toujours mystérieux et semble me cacher des choses. Je verrai bien.
Nous rentrâmes à l'hôtel pour nous câliner et pour profiter de la piscine. Les deux en même temps. Nous avions une piscine privée
Paul m'avait fixé un challenge.
Mettre la même robe toute la semaine.
Aujourd'hui, elle était à dix cm au-dessus des genoux...
Chaque jour, il coupera quatre centimètres...
Et ce, pendant cinq jours.
Quel coquin !!!! Et moi, j'avais dit oui !!!
Je sentais que cela allait être très dur, mais en même temps, de voir mon Paul chéri en érection quasi permanente, je ne pouvais qu'adorer !!!
Nous voilà dehors. Ses mains commencèrent à me caresser les fesses ... Ouille !!!!! C'est chaud !!! Et dire qu'il n'avait pas encore commencé son travail de découpe.
1° partie
A peine sortie de l'hôtel, je me sentis rougir. Mes fesses étaient nues, n'importe qui pouvait me voir, Paul n'en avait cure ! Il se régalait. Il passait et repassait sa main sur ma croupe, il jubilait de mon trouble !
Je serrais les fesses mais une petite tape sur mes rondeurs me rappelai à l'ordre, je lui avais promis de sortir avec une robe retaillée par ses soins !!! Demain, elle serait plus courte de quatre centimètres et pareil pour chaque nouvelle journée....... Quel défi pour moi !!!
Pour l'instant, la main de Paul claqua fort me faisant gémir de douleur et de plaisir ! J'aimais bien ses petites tapes érotiques, elles m'excitaient et lui aussi... Me voyant toute souriante, il remit cela, une autre petite tape bien sonore, ouille !!! Le bruit ou mon petit cri fit se retourner un homme, il était tout sourire ; amateur ? Sûrement, les cochons se reconnaissent entre eux.....
Je me sentis rougir. Cela m'amusait et m'excitait. De voir sa bosse grossir dans son pantalon m'enivrait, me faisait déjà mouiller et chavirer.
Mon Paul aimait bien s'amuser à l'extérieur et moi aussi (j'évoluais petit à petit...) toute en restant craintive. Nous continuâmes notre route, mes fesses devaient être toutes rouges, j'adorais, cela me brulait un peu et je n'avais qu'une envie c'était qu'il recommence, je me tortillais et dévoilais ainsi mes globes... Paul comprit et me flatta en me donnant à nouveau une petite tapette, hum. C'est bon...
Serais-je maso ? Non coquine seulement !
La douleur et la chaleur prodiguées par ses fessées me faisaient mal sur le coup, mais rapidement, une douce chaleur m'envahissait et me troublait...
C'était trop bon !!! Nous continuâmes notre promenade. Où m'entrainait-il ?
Paul avait préparé son appareil photo. Le contraire m'aurait étonné. Il me laissa prendre un peu d'avance pour mater mon cul le coquin !!! Je jouais le jeu. Je "roulais" des fesses, enfin, j'essayais !!!
J'attendais ses consignes ou bien c'était à moi de prendre l'initiative...?
Je m'étais dit que j'allais prendre les devants. Cela surprenait toujours agréablement mon Paul qui n'oubliait jamais de me féliciter et j'avouais apprécier ses compliments. Je détestais quand je n'étais pas au rendez-vous et que je le voyais bouder. D'autant que je ne savais pas toujours pourquoi, ce que j'avais pu rater, oublier ou bien mal faire ...
Appliquons-nous !!! Je devais me rappeler les consignes : toujours avoir les cuisses écartées quand je me baissais, accroupie face à mon coquin, ou encore, penchée dos à mon Paul...
J'étais devant mon homme, il avait son appareil sorti (photo naturellement). J'allais le surprendre, j'adorais cela, quand il restait scotché par mes initiatives ! Je vis devant nous une jolie boutique... Tiens cela me donnai des idées.
Je m’approchais et me baissais pour regarder de plus près les sacs à main. Je prenais bien soin d’écarter les cuisses pour offrir une meilleure vue à mon coquin de photographe. Je me redressais, et continuais de plus belle. Après trois ou quatre exercices bien coquins, je me retournais enfin et vis mon Paul très concentré avec son appareil. Mais j'aperçus aussi un homme debout appuyé sur sa voiture garée à proximité qui n’en avait pas perdu une miette ; le cochon. Celui-ci me fit un grand sourire. Il semblait avoir apprécié… Cet homme me décontenança. Je sentis le rouge me monter à la tête, mais en même temps, je me dis qu’il était bien mignon…. Et puis, si cela avait pu lui faire du bien. Quand je pense que mon Paul n’avait rien vu. Je lui raconterai ce soir à l’hôtel quand nous ferons l’amour…
Ce fut tout pour cette première journée. Nous étions fatigués de notre voyage et nous rentrâmes tôt à l'hôtel.
Après notre repas, nous sortîmes néanmoins faire une promenade digestive sur le paseo avant d'aller nous coucher. Quel plaisir de vivre ainsi en Espagne !
Le lendemain matin, je trouvais Paul affairé avec une paire de ciseaux à raccourcir ma robe de quatre centimètres…. !!! waouhhh. Il me regarda avec un large sourire. Ben voyons !!!
Le plus dur pour moi était de traverser le hall de l'hôtel. J'avais l'impression que tout s'arrêtait autour de moi. Et puis, une fois dehors, je marchais collé à Paul et j'étais rassurée.
Nous retournâmes au centre du village pour faire la rue commerçante. Je commençais à me prendre au jeu. Paul me suivait, une dizaine de mètres derrière moi. Je m'intéressais bien évidemment aux objets situés les plus bas. Je me baissais, m'accroupissais pour affoler mon Paul. De temps en temps, je me retournais. Et là, je remarquais un homme placé entre Paul et moi qui semblait très intéressé par mes acrobaties.
Autant il y a quelque temps j'aurais paniqué d'être la cible d'un voyeur, autant maintenant je me sentais plus sereine, d'autant plus qu'il était plutôt bel homme.
Paul me fit signe de continuer pour m'encourager. Il avait vu le voyeur et cela l'excitait bien évidement.
Après quelques minutes de promenade, j'entrais dans un café suivi de mon voyeur, puis de Paul. Chacun s'asseyant à une table.
Je commandais un café. Trop absorbé par la proximité de Paul et de mon voyeur, je n'avais pas fait attention à ma tenue, qui compte tenu de la longueur de ma robe, était assez indécente… Je ne tentais même pas de tirer sur le bas de ma robe. Le serveur ne restait pas très loin. Il tournait autour de moi, me demandait si je voulais quelque chose à grignoter. Je m'amusais de son jeu. Pour le faire revenir, je lui demandais la carte, puis je l'interrogeais sur les gâteaux qui étaient proposés. Maladroitement, je fis tomber la carte et dans le mouvement pour la ramasser j'écartais les cuisses découvrant ma vulve nue. Le serveur qui avait été plus rapide pour se baisser faillit s'étouffer face au spectacle que je lui offrais.
Paul, très attentif à mes gestes, m'adressa un pouce levé pour me féliciter.
Le serveur était très intimidé et avait du mal à parler. Je commandais un flan au riz.
Le voyeur, qui n'avait rien raté du spectacle, me souriait en dégustant son café.
Quand le serveur revint avec ma commande je lui demandais où se trouvaient les toilettes. Il m'indiqua le chemin. Il fallait que je monte un escalier à claire-voie pour m'y rendre. Inutile de dire que les coquins placés dessous n'allaient pas en rater une miette…. Le serveur dut y penser également car en me donnant les explications il avait un sourire aux lèvres…
Allez, j'allais donner un petit plaisir à ces coquins de voyeurs. Sans hésitation, je me dirigeais vers l'escalier sous les regards brillants des hommes présents dans le café. Jouer pour jouer, je montais deux marches à la fois et en écartant plus que nécessaire les jambes. Moi, je regardais le haut de l'escalier. Je ne voulais pas voir les cochons me mater. Il n'y avait plus un bruit dans le café.
Quand je revins à ma place, je découvris de nombreux sourires béats sur les visages des consommateurs. Je souris intérieurement. Au moment où je levais la tête pour regarder Paul, je le vis se lever pour me rejoindre. J'étais soulagée car je ne savais pas trop comment gérer la suite avec tous ces cochons.
Nous réglâmes l'addition au serveur qui me fit un large sourire. Il était plutôt mignon et j'en aurais bien fait mon quatre heures. Je l'avouais à Paul qui, avec ses yeux pétillants, me répondit que ce n'était peut-être que partie remise.
Et voilà. C'est tout mon Paul. Il est toujours mystérieux et semble me cacher des choses. Je verrai bien.
Nous rentrâmes à l'hôtel pour nous câliner et pour profiter de la piscine. Les deux en même temps. Nous avions une piscine privée
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