Un nouveau défi pour Éva : 4/4
Récit érotique écrit par Sofie34fr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-05-2019 dans la catégorie Plus on est
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Un nouveau défi pour Éva : 4/4
A la sortie de l’hôtel, une voiture nous attendait. C’était la vendeuse de l'après-midi qui nous accueillit et qui nous conduisit. Elle était en beauté. J'étais jalouse. Sa robe était terriblement sexy. C’était celle qui était dans la vitrine et que je n’oserais jamais porter, mais sur elle, elle lui allait si bien…Je montais devant. Paul s’assit à l’arrière.
Après une quinzaine de minutes de route, la voiture s’arrêta devant une grande bâtisse. C’était une auberge qui associait style ancien et moderne. La décoration était époustouflante. J’avais les yeux grands ouverts. Mon chéri ne dérogeait pas à ses habitudes en me caressant les fesses en montant les marches… Déjà que mes vêtements ne cachaient pas grand-chose…
Un homme nous conduisit dans une pièce avec une table sur laquelle il y avait cinq couverts, ainsi qu’un canapé en rond avec une table basse. Des rideaux sur les murs. Une ambiance ultra moderne. Je me sentis intimidée. Paul enleva le châle de mes épaules pour le poser sur l’assise du canapé… Il me connait le coquin. En même temps, je me sentais plus nue que nue…. Avec la jolie vendeuse, nous étions à égalité…
À peine nous voilà assis que la porte s’ouvrit pour laisser entrer … le « cochon » de la boutique avec sa femme qui avait aussi choisi une robe de la même boutique et très sexy, noire également, et qui ne cachait pas grand-chose de sa poitrine lourde et généreuse. Je me sentis rougir à l’arrivée du « cochon »…
Nous nous levâmes pour accueillir les nouveaux arrivants et la canaille me flatta délicatement les fesses avant de m’embrasser. De rose, j'étais devenue rouge-pivoine !!!
Avant de s’asseoir, notre coquin ouvrit les rideaux et j’eus la surprise de découvrir des salles identiques à la nôtre de chaque côté. Une pièce était déjà occupée par une femme et trois hommes. La femme mangeait nue…..
Le coquin anticipa mes questions ... « Ne t’inquiète pas, ce sont des vitres spéciales. Nous pouvons voir nos voisins, mais eux, ne peuvent pas nous voir…. Sauf si on le souhaite… ».
Nous commandâmes l'apéritif, du champagne, ici du « cava », pour tout le monde, je me dis que j'allais en avoir besoin !
Nous Voilà, assis, tous les 5, je me trouvais entre le couple de coquins, mon mari étant en face à côté de la jolie vendeuse. Il était tout sourire, ben voyons !!
Nous nous présentâmes. L'ambiance était très conviviale et électrique.
J'admirais la déco et regardais du coin de l'œil, la pièce à côté ! La femme était penchée sur les cuisses d'un de ses compagnons et le léchait avec délice.... Gloups je rougis d'autant plus… Mais je dus avouer que la scène, si proche, et si explicite m'excitait terriblement.
Mon voisin, ayant vu mon regard, me précisa qu'il connaissait les personnes de la pièce d'à côté et qu'ils étaient des habitués des soirées libertines ; que c'étaient des coquins très sympathiques qu'il n'hésiterait pas à me présenter une prochaine fois.
Des gros coquins, des habitués !! J'en voyais deux à ma table, aussi !
Je sentis une main sur ma cuisse... Je n'osais plus bouger. C'était une main douce !! Ma voisine !! Celle à la poitrine généreuse !! Elle me caressa la cuisse et remonta tout doucement ! Paul me regardait. Il avait remarqué le manège des coquins et me souriait !
Ses doigts arrivèrent tout en haut !! Oouah !!
Je sentis une autre main, celle-ci plus lourde ; mon voisin cette fois !! Un grand sourire me rassura, c'était grisant, le cava commençait à faire ses effets. Je laissais ces deux mains explorer mes cuisses, s'aventurer plus haut encore !!
Inconsciemment, je me penchai en arrière, écartai davantage mes cuisses, aussitôt des doigts coquins se glissèrent dans mon intimité, c'était dingue, j'adorais toutes ces sensations. J'étais électrique !!
Le cava me rafraichit, j'avais l'impression de bouillir, l'homme avait une main sure, ses doigts faisaient vibrer mon clito !!
Je fermai les yeux, et me laissai aller sur une vague qui me submergea d’un coup….
Après un temps indéterminé, je rouvris les yeux pour découvrir un Paul ravi tout sourire qui me resservait une coupe, cela me fit revenir sur terre !!
Je remerciai d'un sourire mon voisin !! Quel coquin. J'aperçus discrètement une grosse bosse à son pantalon, Ouah. Cela promet.
Dans mon excitation, ma serviette était tombée, alors que je me penchais …Je vis les mains de Paul bien affairées. Il s'était emparé du sexe de sa voisine qu’il caressait à pleine main. Ses doigts luisants de mouille faisaient vibrer ses lèvres intimes…Elle aussi avait les yeux fermés et se laissait emporter…
Surexcitée, je me décidai à poser ma main sur la cuisse de mes voisins, mais le garçon arriva pour la commande ! Je savais bien ce que j'aimerais goûter, moi !!!! Il me regardait avec un large sourire. Ce fut à cet instant que je fis le rapprochement. C'était le serveur du café qui avait assisté à mon exhibition et tout heureux de me revoir.
Je me remémorais alors ce que m'avait dit Paul en quittant le café quand je lui avais avoué que j'avais trouvé mignon le serveur et que j'en aurais bien fait mon quatre heures. Il m'avait répondu que ce n'était peut-être que partie remise… Il est trop fort mon coquin de mari.
En tout cas, là, maintenant, il avait l'air heureux, tout excité, le vilain !!
Je regardai un peu plus Tonio, mon voisin, je le trouvai séduisant, des tempes argentées et surtout de beaux muscles sous sa veste ! J'eus un aperçu de son sexe ou du moins de l'ampleur! Hum !!
Je fermai les yeux et j'imaginai deux secondes, une main forte mais douce me fit revenir à moi, cette main sur ma cuisse m'électrisait !! Je m'enhardis et posai ma main sur sa cuisse !! Il réagit aussitôt en m'embrassant dans le cou ! Ouah !!
Paul appréciait de me voir entreprenante !! Je remontais le long de sa cuisse, me faisant plus pressante !! J'aimais ses cuisses fermes et chaudes !
Il descendit sa fermeture à glissière ! Me Voilà invitée !! Allais-je répondre! Et oui je suis gourmande, j'avais bien envie d'y goûter !!
Je caressai son sexe ferme mais coincé dans son boxer, il gémissait! Les autres continuaient à discuter.
Je sortis sa queue dressée et je commençais à la caresser, il semblait apprécier !! Sa queue me le montrait, elle vibrait !
J'eus une envie folle de la sucer ! Allais-je me lâcher ?
Je me penchai, je pris cette grosse bite dans ma bouche, je la léchai !!
Je pris mon temps, m’en délectai !!
Quel pied !
Je continuais mes mouvements de bouche sur cette belle queue énorme, gonflée rien que pour moi !
Il vacilla, se tendit, allongea ses jambes, se cambra. Sa jouissance n'était pas très loin !!
Je sentis des mains qui me caressaient les cuisses et qui remontaient vers mon sexe, c’était Ana-Maria qui plongeait ses doigts dans mon sexe détrempé… Ouah. Que c’était bon.
Simultanément, je sentis que mon amant allait craquer, jouir!! Voilà ! Son sperme me remplit la bouche ! Je m'en délectai !! Je recueillis parcimonieusement chaque giclée comme un présent unique.
Alors que je me redressais, je vis tous les invités autour de la table qui me regardaient et me souriaient !! Je rougis et passai ma langue sur mes lèvres !
Paul se leva et vint près de nous. Il en profita pour prendre à pleine main un sein d’Ana-Maria dont le téton était durci d’excitation et m'embrassa à pleine bouche, dégustant par la même occasion les dernières gouttes de sperme de Tonio !
Notre ami coquin Tonio commanda quelques tapas et nous invita à nous asseoir sur la banquette qui se trouvait à côté autour d’une table basse.
Mon serveur revint avec une nouvelle bouteille de Cava et quelques tapas bien appétissantes.…
Tonio, nous resservit et nous trinquâmes tous les cinq à l’amour !!!!
Pendant que nous parlions, nos hommes se firent canailles et leurs caresses appuyées nous dévoilaient toutes les trois peu à peu. Ana-Maria, avait un sein totalement découvert. Tonio s’amusait à lui pincer le téton durci au grand plaisir de mon Paul qui s’empressait d’en faire autant… Il commençait à faire chaud dans la pièce… L'ambiance était électrique et sentait le sexe.
Une musique langoureuse vint envahir la pièce…
Tonio se lèva et prit les mains de sa femme et de la vendeuse. Tous les trois s’enlacèrent et dansèrent au rythme de la musique. Cette danse très sensuelle me fit beaucoup d’effet.
Je sentis mon sexe s’humidifier. Paul me prit la main pour accompagner nos amis...
La danse se transforma rapidement en un échange multidirectionnel de caresses. Je sentais des mains qui parcouraient mon corps. A qui étaient-elles ? Je sentais mes jambes flageoler… Nous tournions… Je fermais les yeux… Je me laissais aller… Je passais de bras en bras, de bouche en bouche… C’était un plaisir nouveau, terriblement excitant. Je me trouvais assoiffée de nouvelles sensations… Pourquoi avoir attendu si longtemps ??? Des doigts me pénétrèrent et me fouillèrent. Un, puis deux et trois orgasmes successifs me submergèrent….
La vendeuse se détacha de nous pour s’allonger sur la table basse. Tonio plaça alors Ana-Maria au-dessus d’elle en lui écartant les jambes. Ana-Maria profita de la situation pour l’embrasser et lui gober ses seins…Paul me demanda de me placer de l’autre côté. Il m’écarta les jambes et je me trouvais ainsi face à Ana-Maria qui se redressa pour s’occuper de moi… La bouche de la vendeuse, placée entre mes cuisses vint se plaquer contre ma vulve trempée. Sa langue s’amusa avec mon clito enflammé.
Nos deux hommes se caressaient en nous regardant prendre du plaisir toutes les trois.
Emportée par la jouissance, je m’activais à tenter maladroitement de donner du plaisir à mes compagnes d’un soir… Les seins d’Ana-Maria étaient lourds, pleins et sensuels, avec des tétons durcis et démesurés. Je me régalais comme le ferait Paul… Impatients, nos hommes se placèrent derrière nous, nous attrapant par les hanches, ils nous pénétrèrent alors profondément sans préalable. Leurs coups de boutoir firent trembler la pièce…. Je me sentis emportée par un trop plein de sensations. Je me sentais femme, j’avais l’impression de n’être qu’un sexe recouvert de clitos… Les assauts de mon Paul me transportèrent encore plus loin, plus hauts que d’habitude. Son bassin cognait contre mes fesses.
Puis, comme de parfaits complices, les sexes de nos hommes ressortirent pour conquérir Julia, la vendeuse. Paul s’appropria la gorge grande ouverte de celle-ci qui abandonnait mon clito, pendant que Tonio s’attaquait à son vagin. Nos coquins allaient ainsi alterner en nous frustrant alternativement à chaque sortie, avec le sentiment d’abandon, mais avec une sensation de véritable plaisir à chaque retour…
Ana-Maria ne lâchait plus mes seins et ma bouche… J’avoue ne plus savoir qui me faisait quoi… Et nos coquins qui tacitement changeaient de partenaire et moi maintenant avec Tonio qui me pilonnait pendant que mon cochon de Paul défonçait Ana-Maria. C’en était trop pour moi qui jouis à nouveau sous les assauts de Tonio. Ma jouissance explosive et démonstrative fut de trop pour nos hommes… Tonio lâcha sa purée dans la gorge de Julia, pendant que Paul gicla sur les fesses d’Ana-Maia… Le coquin de Tonio lécha le dos de sa femme pour recueillir la crème de Paul, puis l'embrassa pour communier avec elle.
Julia, de son côté, se redressa pour venir échanger le nectar recueilli avec nous. Quel délice !!!!
Alors que nous tentions de retrouver nos forces et nos esprits, mon serveur frappa. Il nous apportait une bassine d’eau chaude, du savon et des serviettes pour faire notre petite toilette avant de passer à table… Quel luxe !!!!! C'est alors, que j’aperçus sa tenue qui était plutôt déshabillée… laissant son sexe apparent quand il se déplaçait…un sexe de bon calibre... humm !!
Dans la pièce à côté, les choses sérieuses débutaient. La femme nue, passait de bras en bras et de mains en mains. Elle gardait ses yeux fermés. Un grand sourire illuminait son visage. Elle s’abandonnait à ses trois amants… Elle me donnait envie. La situation était très excitante. Malgré ce que je venais de vivre, je mouillais encore au spectacle de cette femme emportée par ses trois amants.
Aussitôt, la tension remonta d’un cran dans notre pièce. Ana-Maria, Julia et moi-même, ne pouvions, nous empêcher de glisser notre main entre nos cuisses humides… Les sexes de Tonio et de Paul semblaient reprendre de la vigueur.
Tonio, le grand organisateur de la soirée nous positionna toutes les trois dos à la cloison de verre et nous demande de nous mettre à genoux. Tonio, debout, conquérant nous dominait toutes les trois de son sexe en érection… S’appuyant contre la vitre, il nous donnait son pieu à lécher et à sucer, passant de l’une à l’autre... Paul, tout aussi excité par la scène qui se déroulait à côté que par notre posture de soumises gourmandes, se masturbait. Aucune d’entre nous ne semblait prête à laisser passer son tour…
Alors que Tonio avait choisi de baiser la gorge de Julia, je vis Paul s'approcher d'Ana-Maria, me laissant frustrée. C'est alors, je que je vis apparaitre devant moi le sexe tendu de mon serveur qui attendait que je m'occupe de lui. Quel engin !!!
Je le pris délicatement entre mes mains qui en faisaient difficilement le tour et m'appliquais à lécher et à mordiller son gland énorme où perlaient déjà quelques gouttes montrant son état d'excitation.
Devant la taille de son pieu, je ne pouvais pas tenter de le prendre en bouche sans préparation. Je le léchais, je crachais dessus, et petit à petit, je pus m'enfoncer sa grosse bite dans la bouche, puis dans la gorge. Il semblait adorer. Trop peut-être car il gicla aussitôt. Il m'inonda la gorge de nombreux jets puissants et épais. Je dus le faire sortir pour avaler sa crème avant de le reprendre en bouche… Mes voisins semblaient avoir apprécié le spectacle car tous les quatre me regardaient avec étonnement et envie….
Nos amants nous relevâmes pour nous embrasser. Quand je me retournais pour regarder l'autre pièce, il me sembla que les coquins nous regardaient… Voyant mon étonnement, Tonio m'expliqua qu'il avait enlevé le masque de la vitre et que maintenant nous pouvions nous voir des deux côtés.
Oubliant tous les protagonistes, je me concentrais sur mon serveur. Surprenant les coquins, je me mis à quatre pattes pour l'inviter à me baiser bien à fond. Vue les dimensions de sa queue, j'allais prendre cher et j'aimais ça !!!!
Il obtempéra aussitôt avec un large sourire qui me fit craquer. Sa queue avait repris de la vigueur, mais pas totalement. Il entra sans difficulté dans ma chatte trempée par les précédents assauts.
Je pris l'initiative. Je me cambrais pour bien enfoncer son pal au plus profond de ma matrice, et je commençais à onduler des hanches pour enclencher la montée de mon plaisir. Que sa queue était bonne ! Je commençais à la sentir grossir dans mon étui qui s'élargissait au fur et à mesure de mes déhanchements. Alors, je me sentis prête à m'offrir à mon amant et je m'arrêtais, tête baissée, cul relevé, dans la position de soumise. Il comprit aussitôt en entama des va et vient timides, puis, de plus en plus puissants. J'étais folle de plaisir ; endiablée. Il n'y avait que nous deux au monde de la jouissance. Ses coups de boutoir m'endiablaient. Il me donnait la chair de poule. Je secouais la tête dans tous les sens. Mes seins, libres ballotaient à tout va. Je criais tout et n'importe quoi, en français et en espagnol. Mon amant n'avait pas besoin de comprendre, même si je sentais bien que mes cris le stimulaient. Ses mains s'agrippaient à mes hanches à me faire mal. Il claquait mes fesses qui me brulaient. Un total mélange de douleur et de plaisir et une vague plus forte m'emporta. Un tsunami de plaisir me submergea et après un cri indicible je m'écroulais vaincue.
Mon amant, toujours en moi, me caressait le dos et mes fesses endolories. Peu à peu je revins à moi. J'étais épuisée, brisée et perdue. Je mis un temps à reprendre mes esprits.
Alors que je relevais la tête, je vis les autres qui me fixaient médusés. Les femmes me regardaient avec envie.
Mon amant, insatiable, se remit à bouger lentement. Il entrait et sortait de mon vagin détrempé. Je m'étais sentie éjaculer au moment de ma jouissance. Son pouce trempé de ma cyprine assouplissait mon anus jusqu'au moment où il me sentit prête à l'accueillir.
Je voulais bien tenter le coup, mais je ne savais pas si j'en étais capable. Excité, un sodomite est encore plus gros. Et alors là !!!!
Son gland franchit facilement ma rondelle. Il s'amusa alors à entrer et sortir, pour bien me préparer, puis il s'enfonça, progressivement. Je me redressais, empalée par sa grosse queue dont je ne voyais pas la fin. Il s'enfonça totalement. J'étais clouée. Je pouvais sentir ses couilles contre mes fesses et cela m'excita. Ses doigts me stimulaient le clitoris. Je perdais pied. Il le sentit bien et commença à me pilonner, bien décidé à lâcher sa crème au plus profond de mes entrailles.
Il me rendait folle. Ses coups de butoir me perforaient le cul. Un mélange de douleur et de plaisir me submergea et je me déchaînais à nouveau, l'encourageant. Ce fut trop pour mon amant qui poussa un cri primal en lâchant ses jets de sperme au fond de mon cul.
Nous nous écroulâmes tous les deux, épuisés par la jouissance.
Il nous fallut quelques minutes pour reprendre nos esprits. Alors que mon amant sortait de mes fesses, je me retournais pour l'embrasser et pour remercier cette queue qui m'avait donnée autant de plaisir. Je la pris en bouche pour en profiter une dernière fois. Lécher les ultimes gouttes de crème mélangées à ma cyprine et à mes sécrétions annales, puis je m'allongeais épuisée. Paul me couvrit de mon châle et me laissa récupérer. A son regard, je compris qu'il était fier de moi. Je m'assoupis heureuse et comblée.
Un petit mot pour remercier mes lecteurs HDS qui ont su alimenter et pimenter mon histoire avec leurs idées bienvenues.
Après une quinzaine de minutes de route, la voiture s’arrêta devant une grande bâtisse. C’était une auberge qui associait style ancien et moderne. La décoration était époustouflante. J’avais les yeux grands ouverts. Mon chéri ne dérogeait pas à ses habitudes en me caressant les fesses en montant les marches… Déjà que mes vêtements ne cachaient pas grand-chose…
Un homme nous conduisit dans une pièce avec une table sur laquelle il y avait cinq couverts, ainsi qu’un canapé en rond avec une table basse. Des rideaux sur les murs. Une ambiance ultra moderne. Je me sentis intimidée. Paul enleva le châle de mes épaules pour le poser sur l’assise du canapé… Il me connait le coquin. En même temps, je me sentais plus nue que nue…. Avec la jolie vendeuse, nous étions à égalité…
À peine nous voilà assis que la porte s’ouvrit pour laisser entrer … le « cochon » de la boutique avec sa femme qui avait aussi choisi une robe de la même boutique et très sexy, noire également, et qui ne cachait pas grand-chose de sa poitrine lourde et généreuse. Je me sentis rougir à l’arrivée du « cochon »…
Nous nous levâmes pour accueillir les nouveaux arrivants et la canaille me flatta délicatement les fesses avant de m’embrasser. De rose, j'étais devenue rouge-pivoine !!!
Avant de s’asseoir, notre coquin ouvrit les rideaux et j’eus la surprise de découvrir des salles identiques à la nôtre de chaque côté. Une pièce était déjà occupée par une femme et trois hommes. La femme mangeait nue…..
Le coquin anticipa mes questions ... « Ne t’inquiète pas, ce sont des vitres spéciales. Nous pouvons voir nos voisins, mais eux, ne peuvent pas nous voir…. Sauf si on le souhaite… ».
Nous commandâmes l'apéritif, du champagne, ici du « cava », pour tout le monde, je me dis que j'allais en avoir besoin !
Nous Voilà, assis, tous les 5, je me trouvais entre le couple de coquins, mon mari étant en face à côté de la jolie vendeuse. Il était tout sourire, ben voyons !!
Nous nous présentâmes. L'ambiance était très conviviale et électrique.
J'admirais la déco et regardais du coin de l'œil, la pièce à côté ! La femme était penchée sur les cuisses d'un de ses compagnons et le léchait avec délice.... Gloups je rougis d'autant plus… Mais je dus avouer que la scène, si proche, et si explicite m'excitait terriblement.
Mon voisin, ayant vu mon regard, me précisa qu'il connaissait les personnes de la pièce d'à côté et qu'ils étaient des habitués des soirées libertines ; que c'étaient des coquins très sympathiques qu'il n'hésiterait pas à me présenter une prochaine fois.
Des gros coquins, des habitués !! J'en voyais deux à ma table, aussi !
Je sentis une main sur ma cuisse... Je n'osais plus bouger. C'était une main douce !! Ma voisine !! Celle à la poitrine généreuse !! Elle me caressa la cuisse et remonta tout doucement ! Paul me regardait. Il avait remarqué le manège des coquins et me souriait !
Ses doigts arrivèrent tout en haut !! Oouah !!
Je sentis une autre main, celle-ci plus lourde ; mon voisin cette fois !! Un grand sourire me rassura, c'était grisant, le cava commençait à faire ses effets. Je laissais ces deux mains explorer mes cuisses, s'aventurer plus haut encore !!
Inconsciemment, je me penchai en arrière, écartai davantage mes cuisses, aussitôt des doigts coquins se glissèrent dans mon intimité, c'était dingue, j'adorais toutes ces sensations. J'étais électrique !!
Le cava me rafraichit, j'avais l'impression de bouillir, l'homme avait une main sure, ses doigts faisaient vibrer mon clito !!
Je fermai les yeux, et me laissai aller sur une vague qui me submergea d’un coup….
Après un temps indéterminé, je rouvris les yeux pour découvrir un Paul ravi tout sourire qui me resservait une coupe, cela me fit revenir sur terre !!
Je remerciai d'un sourire mon voisin !! Quel coquin. J'aperçus discrètement une grosse bosse à son pantalon, Ouah. Cela promet.
Dans mon excitation, ma serviette était tombée, alors que je me penchais …Je vis les mains de Paul bien affairées. Il s'était emparé du sexe de sa voisine qu’il caressait à pleine main. Ses doigts luisants de mouille faisaient vibrer ses lèvres intimes…Elle aussi avait les yeux fermés et se laissait emporter…
Surexcitée, je me décidai à poser ma main sur la cuisse de mes voisins, mais le garçon arriva pour la commande ! Je savais bien ce que j'aimerais goûter, moi !!!! Il me regardait avec un large sourire. Ce fut à cet instant que je fis le rapprochement. C'était le serveur du café qui avait assisté à mon exhibition et tout heureux de me revoir.
Je me remémorais alors ce que m'avait dit Paul en quittant le café quand je lui avais avoué que j'avais trouvé mignon le serveur et que j'en aurais bien fait mon quatre heures. Il m'avait répondu que ce n'était peut-être que partie remise… Il est trop fort mon coquin de mari.
En tout cas, là, maintenant, il avait l'air heureux, tout excité, le vilain !!
Je regardai un peu plus Tonio, mon voisin, je le trouvai séduisant, des tempes argentées et surtout de beaux muscles sous sa veste ! J'eus un aperçu de son sexe ou du moins de l'ampleur! Hum !!
Je fermai les yeux et j'imaginai deux secondes, une main forte mais douce me fit revenir à moi, cette main sur ma cuisse m'électrisait !! Je m'enhardis et posai ma main sur sa cuisse !! Il réagit aussitôt en m'embrassant dans le cou ! Ouah !!
Paul appréciait de me voir entreprenante !! Je remontais le long de sa cuisse, me faisant plus pressante !! J'aimais ses cuisses fermes et chaudes !
Il descendit sa fermeture à glissière ! Me Voilà invitée !! Allais-je répondre! Et oui je suis gourmande, j'avais bien envie d'y goûter !!
Je caressai son sexe ferme mais coincé dans son boxer, il gémissait! Les autres continuaient à discuter.
Je sortis sa queue dressée et je commençais à la caresser, il semblait apprécier !! Sa queue me le montrait, elle vibrait !
J'eus une envie folle de la sucer ! Allais-je me lâcher ?
Je me penchai, je pris cette grosse bite dans ma bouche, je la léchai !!
Je pris mon temps, m’en délectai !!
Quel pied !
Je continuais mes mouvements de bouche sur cette belle queue énorme, gonflée rien que pour moi !
Il vacilla, se tendit, allongea ses jambes, se cambra. Sa jouissance n'était pas très loin !!
Je sentis des mains qui me caressaient les cuisses et qui remontaient vers mon sexe, c’était Ana-Maria qui plongeait ses doigts dans mon sexe détrempé… Ouah. Que c’était bon.
Simultanément, je sentis que mon amant allait craquer, jouir!! Voilà ! Son sperme me remplit la bouche ! Je m'en délectai !! Je recueillis parcimonieusement chaque giclée comme un présent unique.
Alors que je me redressais, je vis tous les invités autour de la table qui me regardaient et me souriaient !! Je rougis et passai ma langue sur mes lèvres !
Paul se leva et vint près de nous. Il en profita pour prendre à pleine main un sein d’Ana-Maria dont le téton était durci d’excitation et m'embrassa à pleine bouche, dégustant par la même occasion les dernières gouttes de sperme de Tonio !
Notre ami coquin Tonio commanda quelques tapas et nous invita à nous asseoir sur la banquette qui se trouvait à côté autour d’une table basse.
Mon serveur revint avec une nouvelle bouteille de Cava et quelques tapas bien appétissantes.…
Tonio, nous resservit et nous trinquâmes tous les cinq à l’amour !!!!
Pendant que nous parlions, nos hommes se firent canailles et leurs caresses appuyées nous dévoilaient toutes les trois peu à peu. Ana-Maria, avait un sein totalement découvert. Tonio s’amusait à lui pincer le téton durci au grand plaisir de mon Paul qui s’empressait d’en faire autant… Il commençait à faire chaud dans la pièce… L'ambiance était électrique et sentait le sexe.
Une musique langoureuse vint envahir la pièce…
Tonio se lèva et prit les mains de sa femme et de la vendeuse. Tous les trois s’enlacèrent et dansèrent au rythme de la musique. Cette danse très sensuelle me fit beaucoup d’effet.
Je sentis mon sexe s’humidifier. Paul me prit la main pour accompagner nos amis...
La danse se transforma rapidement en un échange multidirectionnel de caresses. Je sentais des mains qui parcouraient mon corps. A qui étaient-elles ? Je sentais mes jambes flageoler… Nous tournions… Je fermais les yeux… Je me laissais aller… Je passais de bras en bras, de bouche en bouche… C’était un plaisir nouveau, terriblement excitant. Je me trouvais assoiffée de nouvelles sensations… Pourquoi avoir attendu si longtemps ??? Des doigts me pénétrèrent et me fouillèrent. Un, puis deux et trois orgasmes successifs me submergèrent….
La vendeuse se détacha de nous pour s’allonger sur la table basse. Tonio plaça alors Ana-Maria au-dessus d’elle en lui écartant les jambes. Ana-Maria profita de la situation pour l’embrasser et lui gober ses seins…Paul me demanda de me placer de l’autre côté. Il m’écarta les jambes et je me trouvais ainsi face à Ana-Maria qui se redressa pour s’occuper de moi… La bouche de la vendeuse, placée entre mes cuisses vint se plaquer contre ma vulve trempée. Sa langue s’amusa avec mon clito enflammé.
Nos deux hommes se caressaient en nous regardant prendre du plaisir toutes les trois.
Emportée par la jouissance, je m’activais à tenter maladroitement de donner du plaisir à mes compagnes d’un soir… Les seins d’Ana-Maria étaient lourds, pleins et sensuels, avec des tétons durcis et démesurés. Je me régalais comme le ferait Paul… Impatients, nos hommes se placèrent derrière nous, nous attrapant par les hanches, ils nous pénétrèrent alors profondément sans préalable. Leurs coups de boutoir firent trembler la pièce…. Je me sentis emportée par un trop plein de sensations. Je me sentais femme, j’avais l’impression de n’être qu’un sexe recouvert de clitos… Les assauts de mon Paul me transportèrent encore plus loin, plus hauts que d’habitude. Son bassin cognait contre mes fesses.
Puis, comme de parfaits complices, les sexes de nos hommes ressortirent pour conquérir Julia, la vendeuse. Paul s’appropria la gorge grande ouverte de celle-ci qui abandonnait mon clito, pendant que Tonio s’attaquait à son vagin. Nos coquins allaient ainsi alterner en nous frustrant alternativement à chaque sortie, avec le sentiment d’abandon, mais avec une sensation de véritable plaisir à chaque retour…
Ana-Maria ne lâchait plus mes seins et ma bouche… J’avoue ne plus savoir qui me faisait quoi… Et nos coquins qui tacitement changeaient de partenaire et moi maintenant avec Tonio qui me pilonnait pendant que mon cochon de Paul défonçait Ana-Maria. C’en était trop pour moi qui jouis à nouveau sous les assauts de Tonio. Ma jouissance explosive et démonstrative fut de trop pour nos hommes… Tonio lâcha sa purée dans la gorge de Julia, pendant que Paul gicla sur les fesses d’Ana-Maia… Le coquin de Tonio lécha le dos de sa femme pour recueillir la crème de Paul, puis l'embrassa pour communier avec elle.
Julia, de son côté, se redressa pour venir échanger le nectar recueilli avec nous. Quel délice !!!!
Alors que nous tentions de retrouver nos forces et nos esprits, mon serveur frappa. Il nous apportait une bassine d’eau chaude, du savon et des serviettes pour faire notre petite toilette avant de passer à table… Quel luxe !!!!! C'est alors, que j’aperçus sa tenue qui était plutôt déshabillée… laissant son sexe apparent quand il se déplaçait…un sexe de bon calibre... humm !!
Dans la pièce à côté, les choses sérieuses débutaient. La femme nue, passait de bras en bras et de mains en mains. Elle gardait ses yeux fermés. Un grand sourire illuminait son visage. Elle s’abandonnait à ses trois amants… Elle me donnait envie. La situation était très excitante. Malgré ce que je venais de vivre, je mouillais encore au spectacle de cette femme emportée par ses trois amants.
Aussitôt, la tension remonta d’un cran dans notre pièce. Ana-Maria, Julia et moi-même, ne pouvions, nous empêcher de glisser notre main entre nos cuisses humides… Les sexes de Tonio et de Paul semblaient reprendre de la vigueur.
Tonio, le grand organisateur de la soirée nous positionna toutes les trois dos à la cloison de verre et nous demande de nous mettre à genoux. Tonio, debout, conquérant nous dominait toutes les trois de son sexe en érection… S’appuyant contre la vitre, il nous donnait son pieu à lécher et à sucer, passant de l’une à l’autre... Paul, tout aussi excité par la scène qui se déroulait à côté que par notre posture de soumises gourmandes, se masturbait. Aucune d’entre nous ne semblait prête à laisser passer son tour…
Alors que Tonio avait choisi de baiser la gorge de Julia, je vis Paul s'approcher d'Ana-Maria, me laissant frustrée. C'est alors, je que je vis apparaitre devant moi le sexe tendu de mon serveur qui attendait que je m'occupe de lui. Quel engin !!!
Je le pris délicatement entre mes mains qui en faisaient difficilement le tour et m'appliquais à lécher et à mordiller son gland énorme où perlaient déjà quelques gouttes montrant son état d'excitation.
Devant la taille de son pieu, je ne pouvais pas tenter de le prendre en bouche sans préparation. Je le léchais, je crachais dessus, et petit à petit, je pus m'enfoncer sa grosse bite dans la bouche, puis dans la gorge. Il semblait adorer. Trop peut-être car il gicla aussitôt. Il m'inonda la gorge de nombreux jets puissants et épais. Je dus le faire sortir pour avaler sa crème avant de le reprendre en bouche… Mes voisins semblaient avoir apprécié le spectacle car tous les quatre me regardaient avec étonnement et envie….
Nos amants nous relevâmes pour nous embrasser. Quand je me retournais pour regarder l'autre pièce, il me sembla que les coquins nous regardaient… Voyant mon étonnement, Tonio m'expliqua qu'il avait enlevé le masque de la vitre et que maintenant nous pouvions nous voir des deux côtés.
Oubliant tous les protagonistes, je me concentrais sur mon serveur. Surprenant les coquins, je me mis à quatre pattes pour l'inviter à me baiser bien à fond. Vue les dimensions de sa queue, j'allais prendre cher et j'aimais ça !!!!
Il obtempéra aussitôt avec un large sourire qui me fit craquer. Sa queue avait repris de la vigueur, mais pas totalement. Il entra sans difficulté dans ma chatte trempée par les précédents assauts.
Je pris l'initiative. Je me cambrais pour bien enfoncer son pal au plus profond de ma matrice, et je commençais à onduler des hanches pour enclencher la montée de mon plaisir. Que sa queue était bonne ! Je commençais à la sentir grossir dans mon étui qui s'élargissait au fur et à mesure de mes déhanchements. Alors, je me sentis prête à m'offrir à mon amant et je m'arrêtais, tête baissée, cul relevé, dans la position de soumise. Il comprit aussitôt en entama des va et vient timides, puis, de plus en plus puissants. J'étais folle de plaisir ; endiablée. Il n'y avait que nous deux au monde de la jouissance. Ses coups de boutoir m'endiablaient. Il me donnait la chair de poule. Je secouais la tête dans tous les sens. Mes seins, libres ballotaient à tout va. Je criais tout et n'importe quoi, en français et en espagnol. Mon amant n'avait pas besoin de comprendre, même si je sentais bien que mes cris le stimulaient. Ses mains s'agrippaient à mes hanches à me faire mal. Il claquait mes fesses qui me brulaient. Un total mélange de douleur et de plaisir et une vague plus forte m'emporta. Un tsunami de plaisir me submergea et après un cri indicible je m'écroulais vaincue.
Mon amant, toujours en moi, me caressait le dos et mes fesses endolories. Peu à peu je revins à moi. J'étais épuisée, brisée et perdue. Je mis un temps à reprendre mes esprits.
Alors que je relevais la tête, je vis les autres qui me fixaient médusés. Les femmes me regardaient avec envie.
Mon amant, insatiable, se remit à bouger lentement. Il entrait et sortait de mon vagin détrempé. Je m'étais sentie éjaculer au moment de ma jouissance. Son pouce trempé de ma cyprine assouplissait mon anus jusqu'au moment où il me sentit prête à l'accueillir.
Je voulais bien tenter le coup, mais je ne savais pas si j'en étais capable. Excité, un sodomite est encore plus gros. Et alors là !!!!
Son gland franchit facilement ma rondelle. Il s'amusa alors à entrer et sortir, pour bien me préparer, puis il s'enfonça, progressivement. Je me redressais, empalée par sa grosse queue dont je ne voyais pas la fin. Il s'enfonça totalement. J'étais clouée. Je pouvais sentir ses couilles contre mes fesses et cela m'excita. Ses doigts me stimulaient le clitoris. Je perdais pied. Il le sentit bien et commença à me pilonner, bien décidé à lâcher sa crème au plus profond de mes entrailles.
Il me rendait folle. Ses coups de butoir me perforaient le cul. Un mélange de douleur et de plaisir me submergea et je me déchaînais à nouveau, l'encourageant. Ce fut trop pour mon amant qui poussa un cri primal en lâchant ses jets de sperme au fond de mon cul.
Nous nous écroulâmes tous les deux, épuisés par la jouissance.
Il nous fallut quelques minutes pour reprendre nos esprits. Alors que mon amant sortait de mes fesses, je me retournais pour l'embrasser et pour remercier cette queue qui m'avait donnée autant de plaisir. Je la pris en bouche pour en profiter une dernière fois. Lécher les ultimes gouttes de crème mélangées à ma cyprine et à mes sécrétions annales, puis je m'allongeais épuisée. Paul me couvrit de mon châle et me laissa récupérer. A son regard, je compris qu'il était fier de moi. Je m'assoupis heureuse et comblée.
Un petit mot pour remercier mes lecteurs HDS qui ont su alimenter et pimenter mon histoire avec leurs idées bienvenues.
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