Un trajet perturbé lors de notre week-end en amoureux (3/3) - histoire érotique

Sophie, toujours entreprenante, me prend la main et m'entraine avec elle.
- Nous vous laissons les garçons. Nous allons nous reposer. François, tu t'occuperas de tes comparses.

Après être passées aux toilettes, Sophie nous mène à la salle de bains pour une bonne douche avant de m'ouvrir son lit. Nous tombons dans les bras l'une de l'autre et nous nous endormons aussitôt.

C'est Sophie qui se réveille la première et qui entreprend de me sortir de mon sommeil par des caresses. Aussitôt mon corps réagit. Les pointes de mes seins durcissent. De ses doigts agiles et experts, Sophie joue avec un téton, tandis que son autre main s'occupe de mon clitoris bien réveillé, lui aussi. En très peu de temps, Sophie arrive à m'arracher des cris et mes premières jouissances.

Sitôt fait, et satisfaite, Sophie m'embrasse et se lève.
- Je descends préparer le petit déjeuner. Tu peux rester au lit. Je vais revenir avec un plateau. Café noir ?
- Oui, merci. Tu es parfaite ma belle Sophie. Quelle chance d'être tombés sur vous deux.

Je me plais à trainer au lit. Je me repasse notre soirée dans la tête. C'est incroyable quand j'y repense. Toute cette crème, toutes ces jouissances dont je me sens incapable d'en apprécier le nombre. Je me sens si femme, si "hypersexuelle", comme dirait mon amie Olga. Quand je pense qu'il a fallu attendre mes quarante ans pour découvrir tous ces plaisirs. Je ne remercierai jamais assez mon mari, Paul, de m'avoir guidée, de me libérer, pour découvrir tous ces plaisirs inconnus jusque-là.

C'est sur ces réflexions que Sophie revient avec un plateau bien garni. Que demander de plus ? Sophie est rayonnante. Elle a une vitalité et une bienveillance incomparables.

- Les garçons commencent à émerger. J'ai l'impression qu'ils ont un peu continué sans nous. Il y a quelques cadavres de bouteilles qui traînent en bas.

Nous profitons du petit déjeuner pour papoter entre filles et pour parler de nous, de nos couples, de nos expériences. Je lui raconte ma première aventure, "mon premier voyage de femme libre" et comment Paul m'avait fait découvrir son côté candauliste. Sophie se découvre également et me raconte ses diverses expériences qui arrivent à me faire rougir. Moi, qui croyais en avoir beaucoup fait. Il me reste encore du chemin à parcourir.

François interrompt notre tête à tête.
- Les filles, je suis désolé de vous déranger, mais Paolo, notre ami italien, doit repartir et il souhaite vous dire au-revoir.

Tiens, il se prénomme Paolo. J'avoue à Sophie en riant que je ne connaissais pas son prénom jusqu'à présent.

Sophie sors deux robes vestales blanches de son dressing pour nous habiller avant de descendre. Après un petit passage aux toilettes, un petit coup d'eau sur le visage et un brossage de dents, nous descendons, main dans la main.

Paolo est déjà prêt à partir. Un grand sourire illumine son visage en nous voyant. Il nous embrasse Sophie et moi. Nous l'accompagnons jusqu'à la voiture. Les garçons vont le ramener à son camion. Ils passeront au garage au retour.

J'aide Sophie à ranger. Nous bavardons entre filles. Nous rions beaucoup. Cela fait du bien. Nous reprenons un café car nous en avons bien besoin. La nuit a été courte.

Nous montons nous doucher. Nues, nous faisons le lit et rangeons les chambres. Sophie me prête une nouvelle robe. Nous redescendons attendre nos maris. Sophie me demande de parler de notre couple.

Paul est un mari "ouvert". Dès le début de notre vie de couple, il m'a encouragée à être indépendante. C'est un photographe et il rencontrait beaucoup de modèles. J'étais assez jalouse. Il ne choisissait que des belles filles, ce que je pouvais comprendre… Il me photographiait continuellement. Des clichés aussi bien habillés que dénudés. Il a toujours su me rendre belle. Plus tard, il m'a demandé de me dévêtir dans la rue, de faire des photos d'exhibition, qu'il diffusait sur internet à visage caché heureusement !!!!
Nous avons rencontré des couples avec lesquels nous avons eu des relations libertines. Le coquin s'est ensuite arrangé pour organiser des rencontres où je me retrouvais seule avec un homme… Je devais tout lui raconter. Cela l'excitait, et moi également. Nous faisions ensuite l'amour de façon encore plus endiablée.
Les images sont toujours présentes dans nos ébats. Paul a toujours son appareil photo prêt à capter images et films. Quand nous faisons l'amour à trois, Paul est à la fois acteur et spectateur. Si je suis seule avec mon amant, je dois lui ramener des images ou bien activer Facetime pour qu'il puisse me voir donner et prendre du plaisir.

Sophie me propose de faire un trio avec elle et son mari avant de repartir. Elle me demande si Paul et moi serions d'accord. Je me sens assez excitée à cette idée, mais j'attends le retour de Paul pour lui donner mon aval.

C'est à cet instant que nous entendons François et Paul revenir. Sophie et moi nous nous levons pour aller au-devant d'eux. Nous les rejoignons en riant.

La voiture devrait être prête dans l'après-midi. Le garagiste nous préviendra.

Sophie présente son idée à Paul et à son mari. Les hommes sont enchantés. Paul sera présent pour voir sa femme aimée par leurs nouveaux amis.

Les hommes montent se doucher. Sophie me prend la main et demande à son mari de l'attendre car les femmes allaient s'occuper de lui dans la douche….

Paul nous prévient qu'il va utiliser l'autre salle de bain et qu'il nous rejoindra.

Sophie et moi encadrons François qui nous caresse les fesses en montant. Je suis sûre que Paul reste derrière pour nous mater…

Arrivés dans la chambre, nous enlevons nos vêtements et accompagnons François dans la douche qui est heureusement spacieuse. François ouvre l'eau qui jaillit sur nos têtes. Je suis déjà très excitée. La queue de François est dressée. Sophie et moi prenons du savon liquide dans nos mains et nous caressons François. Nous faisons mousser le gel. François est recouvert de mousse.

Sophie et moi sommes toutes les deux excitées. Sophie en profite pour m'embrasser les seins, et moi, je fais une fixation sur le pieu de François que je branle à pleines mains. Je le décalotte délicatement, et une fois bien rincé, je m'agenouille pour le prendre en bouche. Sophie me rejoint. Nos deux langues s'enroulent autour de son sexe tout gonflé. Nos bouches se rejoignent. Nos langues s'emmêlent. François est tendu. Je caresse ses fesses. Je gobe son gland avec difficulté car son excitation est extrême. Ma main s'égare dans son sillon et je glisse un doigt dans son anus. Je sens François se cambrer et sa queue gonfler encore davantage. Cela semble lui plaire… Sophie a attrapé mon clitoris qu'elle martyrise. Lui aussi est gonflé. Les caresses appuyées de mon amante me font rapidement jouir. J'ai dû lâcher le gland de François pour reprendre ma respiration, et, Sophie a aussitôt repris la place. Elle aussi, a glissé un doigt dans l'anus de son mari. Nous voilà toutes les deux à pénétrer son cul pour le plus grand plaisir du coquin. Sentant que François ne va pas tarder à éjaculer, nous décidons, à son grand désespoir, de nous retirer pour le garder en forme pour la suite.

Tandis que nous sortons tous les trois de la douche, nous découvrons Paul, confortablement installé dans un fauteuil. Celui-ci nous observait en se caressant, un grand sourire aux lèvres.

Sophie retire la couette de son grand lit pour que nous puissions nous y retrouver, tous les trois, sans entrave.

Sophie prend la main de François et l'allonge au milieu du lit, bien placé pour que Paul ne rate rien. Elle me demande de venir s'asseoir sur le pieu de son mari. Elle guide le membre de celui-ci dans mon sexe détrempé. Elle reste derrière moi et accompagne mes ondulations en caressant mes seins. François est ravi. Je sens son sexe durcir dans mon fourreau. Sophie m'embrasse dans le cou et m'encourage.
- Vas-y ma belle, prends ton temps, laisse monter ton plaisir. Ne t'occupe que de toi. François est là pour nous.
Sophie se dégage pour venir face à moi. Elle s'assoit sur le visage de son mari content de pouvoir s'occuper du sexe de son épouse avec sa bouche, sa langue, son nez. Je suis aux premières loges. Cette vision érotique m'électrise. Sophie, semble planer de plaisir. Elle se penche légèrement pour se coller contre moi. Nos bouches, nos langues relient nos plaisirs qui se décuplent. Nos sens sont exacerbés. Notre communion est fantastique. Les tétons durcis de Sophie frottent les miens… C'en est trop, je sens mon plaisir monter. Une vague arrive et me submerge. Je crie, je pleure, je perds pied. Je suis tétanisée. Sophie me rattrape : j'allais m'effondrer. Quelle jouissance !!! Sophie m'embrasse, lèche les larmes que je n'avais pu retenir. Je la sens se raidir. A son tour, elle se cambre. Elle se mord les lèvres. Elle s'accroche à moi. Ses ongles me lacèrent. Elle lâche un cri soudain et puissant. Une jouissance rare et explosive. Le visage de François est inondé par les jets de sa femme fontaine et qu'il tente de boire à la volée.
Cette fois, c'est moi qui retiens Sophie, épuisée par ses crispations post-libératoires. Je la serre fort, l'embrasse et lui sourit.
Je regarde Paul, toujours excité par notre exhibition et, tout particulièrement, par ma jouissance. Nous nous sourions. Il me fait un clin d'œil en tournant légèrement la tête sur le côté. Je vois que le coquin a placé son appareil photo sur l'étagère et qu'il est en train de tout filmer…

Sophie et moi, nous nous dégageons de François, toujours aussi dur.
Tandis qu'il se redresse, Sophie s'allonge sur le dos et me demande de venir sur elle, en soixante-neuf.
Aussitôt, François vient se placer derrière moi et me pénètre d'un coup. Tout excité par nos jouissances, j'ai l'impression qu'il me perfore. Il me remplit totalement. Après quelques allers-retours, je le sens sortir de mon fourreau quelques instants avant de revenir, bien profond. Puis, il sort à nouveau. Curieuse, je regarde et je vois la queue de François s'enfoncer dans la bouche de sa femme. Il alterne, et du coup, ce constat m'excite encore davantage et je me mets à mordiller le clito de Sophie, et d'alterner, moi aussi, coups de dents et coups de langue. Notre trio a, de nouveau, retrouvé sa communion sensuelle. Nous planons à l'unisson. Sophie n'oublie pas de s'occuper de mon bouton toujours aussi sensible. C'est le paradis. Oui il existe, et il est bien sur terre !!!!

Après de multiples allers-retours, il semblerait que François ait décidé de visiter mon cul. C'est Sophie qui m'a préparé son introduction avec ses doigts. Et là encore, François me pénètre sans égards pour mes petites fesses. Un "Ahhhhh" sort de ma bouche, tellement je suis surprise par sa pénétration.
Une fois en place, François laisse mon anus se détendre. Je m'aperçois que Sophie l'encourage en lui léchant ses bourses. Après un répit d'une quinzaine de secondes, je commence à onduler mon bassin autour de son pieu. C'est le signal pour François qui entreprend de me limer délicatement avant de ressortir. En me retournant, je découvre Sophie avalant goulûment le gland de son époux, avant que celui-ci revienne dans mon cul.

Après quelques allers-retours, j'ai senti François qui accélérait la cadence. Il agrippait ses mains à mes hanches et me défonçait tel un bûcheron. Entre ses coups de butoir et les caresses buccales de Sophie, je perdais pied. Je secouais la tête dans tous les sens en criant.
- Encore !! Encore !!! Oui !!! Non !!!! Oui……
Un coup de langue plus soutenu de Sophie eut raison de moi. Je me tétanisais. Et par la même occasion, je coinçais la queue de François qui, avec un grand cri, lâcha prise d'un coup, également, pour envoyer toute sa crème dans mon cul.

Nous étions éreintés. Nous nous roulâmes sur le côté.

Un petit coup d'œil vers Paul qui bandait toujours dans son fauteuil…

Je lui souris, me levais pour me placer derrière lui, l'enlacer et l'embrasser dans le cou.
Sophie et François ne rejoignirent et se placèrent, à genoux, devant Paul. Sophie prit la verge de mon mari dans sa bouche. Le gland était rouge-violet d'excitation. Je ne sais pas comment il avait pu se contenir…

Paul, occupé à m'embrasser ne fit pas attention, ou bien ne voulait pas le voir, mais la bouche de François remplaça celle de Sophie. C'est lui qui recueillit les jets de sperme de mon chéri. Il s'appliqua à bien tout avaler sous nos regards bienveillants.
Sophie termina de nettoyer le sexe de Paul, puis embrassa son mari avec ferveur. Paul et moi étions aux anges.

Épuisés, heureux, épanouis, nous primes une bonne douche avant de redescendre pour un repas réparateur.

Nous parlâmes tous les quatre de nos expériences personnelles et professionnelles. Nos nouveaux amis étaient charmants. Nous bûmes un café avant que François et Sophie nous accompagnent au garage pour récupérer notre voiture. Nous échangeâmes nos 06 et nous promettons de nous revoir très vite.

Nous récupérâmes notre voiture et sur la route de l'hôtel, nous roulâmes tranquillement, avec dans la tête, pleins de merveilleux souvenirs. Nous nous fîmes la réflexion que nous allions profiter du temps qui nous restait pour se reposer et se détendre. Une autre façon de se faire du bien.