Une belle-fille quik sait ce qu'elle veut. - histoire érotique

Justine, dix-huit-ans, fantasme tellement sur son beau-père Jacques, qu'elle s'absente souvent, soit dans sa chambre ou dans la salle de bain, pour se masturber. Un jour qu'il lit son journal au salon, elle sort de la salle de bain, et entre dans la pièce, avec autour du corps une serviette éponge nouée au-dessus des seins, la robe improvisée, lui arrive à mi-cuisses. Jacques, baisse le journal et ajuste ses lunettes. Il se pince les lèvres, ravale sa salive bruyamment en contemplant les longues jambes fortement dénudées.

Justine tend son piège, elle regarde son beau-père avec un sourire provocateur, et se place face à lui. Elle pose un pied sur la petite table basse et fait mine de se tripoter les orteils. La position est telle que Jacques voit le fruit défendu. Il ne quitte pas des yeux la fente finement garnie de poils soyeux. Justine l'épie du coin de l'œil en souriant intérieurement. Elle écarte vicieusement plus sa jambe, Jacques défaille.


Une érection naissance commence à pointer. Une bosse de plus en plus grosse déforme son pantalon, il tente de cacher son émotion en posant son journal dessus. Mais le geste maladroit fait sourire Justine, qui dit ironiquement en riant :

-Alors beau-père, on a un problème d'érection, j'espère que ce n'est pas à cause de moi !


Immédiatement, Jacques rougit et dit avec quelques trémolos dans la voix :

-Un peu quand même, tu es presque nue, je ne suis pas de bois !

Justine, en faisant un jeu avec sa jambe, l'ouvre, la referme en regardant son beau-père, qui est de plus en plus gêné. Elle retire son pied de la table et en passant devant Jacques, elle fait tomber sa serviette, et se retrouve nue devant lui. Elle fait la femme outrée en disant :

-Oh beau-père qu'est-ce que tu fais, ce n'est pas sage de ta part de faire tomber ma serviette !

Jacques reste sans voix un bon moment en regardant ce corps quasi parfait de sa belle-fille. Mais, il réagit en répliquant :

-Mais je suis pour rien, tu divagues, mais qu'est-ce que tu cherches enfin !

Justine regarde Jacques, elle regarde la grosse bosse qui déforme son pantalon et répond :

-Moi rien, c'est toi qui as un problème, tu bandes, elle l'enlace et le serre contre elle en disant :

-Je te fais de l'effet hein avoue vieux cochon !

Jacques ne comprend plus rien, automatiquement, il pose ses mains sur les hanches de Justine, en disant un peu affolé :

-Mais, mais tu es folle Justine, monte dans ta chambre, si ta maman nous surprend, tu te rends-compte dans quel pétrin nous serons !

Elle passe sa main entre les deux ventres et empoigne au travers du pantalon, la verge tendue, elle la presse fortement puis l'agite comme elle peut :

-Tu vois que tu as envie de moi, rejoins-moi dans ma chambre !


Jacques sursaute et répond :

-Mais tu es folle Justine te divagues, tu me fais marcher, cesse ce jeu stupide, ce n'est pas drôle tu sais !

Justine s'écarte de son beau-père et réplique :

-Ose dire que tu n'as pas envie de moi :

Elle lui prend la main et la pose sur sa fente légèrement humide. Elle fait quelques mouvements de base en haut. Jacques sent le jus couler sur ses doigts, il serre les dents, sa queue devient encore plus volumineuse. Justine l'écarte en souriant, ramasse sa serviette, et disparait dans sa chambre. Jacques est estomaqué par le comportement de sa belle-fille. Il secoue la tête négativement en faisant une moue affreuse. Enfin l'heure du diner arrive. Justine descend de sa chambre en peignoir, elle prend place à côté de son beau-père. Myriame la maitresse de maison sert l'entrée, et s'assoit à son tour. Tout en mangeant, les trois discutent de tout et de rien.


Discrètement, Justine ouvre les pans de son peignoir et écarte doucement les jambes. Jacques donne de temps en temps un coup d'œil sur la jeune vulve découverte. Sa queue se met à enfler, Justine, sans se faire remarquer, glisse sa main sur la cuisse de son beau-père et la remonte, jusqu'au gonflement qui déforme le pantalon. Elle lui caresse la bosse qui devient monstrueuse. Jacques croit devenir fou, il serre les cuisses et les dents en même temps. Avec une adresse insoupçonnée, Justine agite discrètement le manche au travers du pantalon. Au bout de quelques minutes, Jacques se cabre en poussant un petit gémissement, le coquin vient de remplir son slip de sperme.

Myriame le regarde en sursautant :

Il répond !

-Je me suis mordu la langue, ce n'est pas grave ma chérie !

Justine retire sa main satisfaite de son exploit. Son beau-père la fusille du regard. Le bougre baigne comme on dit dans son jus. Jacques se lève et va à la toilette essuyer le liquide visqueux qui lui souille le slip. À son retour, il croise le regard vicieux de Justine qu'il lui fait un clin d'œil