Une petite rencontre en attendant la suite...
Récit érotique écrit par Minpass [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-09-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une petite rencontre en attendant la suite...
Le jeune homme se savonne. La douche est chaude, brulante presque. L’eau coule le long de son torse, puis son ventre plat, arrivant ensuite sur son pubis imberbe. Le jeune homme est repu. Le sport l’a fatigué mais il se sent bien. Il lève les yeux. Sous la douche en face un autre homme se lave. Sans faire attention, le regard du jeune homme se dirige vers le sexe de l’homme. La verge est longue et épaisse, pendante. Il relève le regard, l’homme l’a vu. Il rougis, sentant l’embarras monter. Il fait semblant de rien, continuant de se laver. L’homme sourit. Il est plus âgé, au moins 45 ans. Mais il est également très en forme. Des muscles fermes sculptent la figure de ce corps mûr mais fort. Le jeune homme lui lance un nouveau regard. L’homme s’affaire à se laver le membre. Il prend son temps. Sa main en parcourt la verge, ses frottements ressemblent plus à des caresses. Il regarde à nouveau le jeune homme, le même sourire aux lèvres. Subitement, deux mots viennent à l’esprit du jeune homme – pourquoi pas… Il est surpris quant à cette nouvelle envie, étrangère.
Le jeune homme sort de la douche et se sèche. Tout du long, il sent le regard de l’homme qui le suit. Soudain timide, il cache sa nudité avec sa serviette. Son propre membre est petit comparé à la belle verge de l’homme. Il se dirige vers les casiers. Alors qu’il commence à sortir ses affaires du sien il entend des pas derrière lui – le son de pieds mouillés sur le carrelage. C’est l’homme, il le sait. Personne d’autre n’est dans le vestiaire, il est tard. Il commence à se presser, il n’est pas à l’aise, et l’homme en est indéniablement la cause. L’image de ce membre pendant, puis raide, lui revient.
Alors qu’il sort son sac de sport du casier, sa serviette se défait, lui échappe et tombe au sol. Il est nu de nouveau. Il pose le sac et se retourne. Il ne souhaite pas se pencher devant l’homme. Celui-ci est assit, il l’observe. Il n’a pas sa serviette, il est nu. Le jeune homme le reluque malgré lui. L’homme bande. Mon dieu mais il est raide, se dit le jeune homme. Et une nouvelle fois, pourquoi pas ? Pourquoi ne pas le toucher, le sentir, le goûter, le laisser entrer en moi… Malgré lui, il commence à durcir.
L’homme sourit encore, puis se lève. Il s’approche. Le jeune homme recul. Il sait qu’il a peur mais en réalité ce n’est pas vraiment de l’homme. Il a peur du mystère, de l’inconnu. Il n’a encore jamais touché le corps d’un autre homme. Pourquoi pas ? Il est contre une rangée de casiers à présent, il ne peut plus reculer. L’homme continu son approche et son sexe continu de se dresser, rebelle, face à cette avancée. L’homme se colle à lui. Le jeune homme sent la verge raide et impressionnante se pousser contre son pubis. Pourquoi pas ? Il n’y a aucune raison… L’homme est encore ruisselant et l’eau à présent tiède mouille à nouveau la peau du jeune homme. Il n’ose parler. Il ne pense plus, il ressent. Il sent son propre engin collé contre la cuisse de l’homme. Il en a envi.
Le jeune homme est loin d’être gringalet. Trois séances de cardio et musculation par semaine ont fait de son corps un bel objet. Mais l’homme le dépasse. Ses épaules sont également plus larges. Et bien sur, son pénis est nettement plus large, plus long. Il le regarde à nouveau, collé contre son ventre. Il sent la peau du gland se frotter à lui, laissant une fine trace argentée et collante. Ce n’est pas de l’eau. L’homme prend son menton entre deux doigts, relève son visage. Leurs regards se rencontrent, l’un intense et dominant, l’autre nerveux, à la recherche d’une sortie, un moyen de fuir. Mais en réalité le jeune homme ne peut bouger, et pas seulement parce que l’homme le plaque contre le contreplaqué du casier. Il n’a aucune réelle envie, motivation d’essayer de s’échapper. Il est curieux, il veut savoir la suite. L’homme l’embrasse, posant sa bouche sur la sienne faisant rencontrer leurs lèvres. La sensation est étrange mais agréable. Puis la langue chaude de l’homme se colle à la sienne. Elles s’entremêlent. Le jeune homme sent l’excitation monter du bas du ventre. Son cœur bat à tout allure. Il bande à fond. L’homme glisse une main, puis deux derrière lui, entre le casier et sa peau. Il sert ses fesses entre ses doigts longs. Il se frotte doucement contre son ventre. Sa verge se glisse contre sa peau, laissant derrière elle sa trainée de liquide pré séminal.
Nerveux, mais prit d’une envie soudaine de toucher l’engin pressé contre sa peau, le jeune homme passe une main entre leur deux corps. Il la pose contre le membre de l’homme qui relâche un peu la pression pour lui faciliter l’accès. Le jeune homme le caresse, d’abord le gland enflé, puis le long de la verge et enfin les boules rasées et lourdes. Sans réfléchir il se met à masturber l’homme. Celui-ci grogne et l’embrasse à nouveau, plus fort cette fois, plein d’envi. Ils se caressent ainsi de longs instants, les doigts de l’homme parcourant la raie du jeune homme, s’attardant sur son scrotum, la main adepte du jeune homme s’occupant du sexe dur.
L’homme s’écarte enfin. Il l’embrasse une dernière fois puis place une main sur l’épaule du jeune homme. Sans attendre celui-ci se met à genoux. Il a envi de la gouter, la sentir chaude dans sa bouche. Le doute est balayé. Une fois sur le sol, il se saisit à nouveau du membre de sa main droite. Il approche sa bouche. Il sent le sexe se tendre entre ses doigts, l’homme n’en peut plus. Le jeune homme pose sa langue délicatement sur le bout du gland. L’homme laisse échapper un gémissement. Il goute au liquide argenté qui s’échappe de cet engin puissant.
Il commence par lécher le gland, à présent lubrifié de liquide pré séminal. Ses léchouilles sont rapides, puis lentes, puis elles parcourent le long de la verge. L’homme grogne encore, place une main derrière la nuque du jeune homme et fait pression légèrement mais fermement. Enfin, il le prend en bouche. La verge pénètre entre ses lèvres qui s’écartent pour l’accueillir. Il a un goût amer, acide mais bon, si bon. L’homme commence de petits vas et viens du bassin, le guidant. Il suit le mouvement, accentuant le tout de caresses de sa langue sur la verge à présent humide et chaude. Hmm c’est tellement bon…
L’homme ne le guide plus. Depuis de longues minutes, malgré une petite douleur à la mâchoire, le jeune homme le suce. Il savoure et délecte cet instant, ce membre puissant qui lui est offert. Il se découvre une fragilité, des envies qu’il n’aurait jamais pensé présentes en lui si cet homme ne s’était pas présenté à lui. Puis l’homme le relève. Il le prend par les épaules et le fait signe de remonter. Un peu à regret, mais également anticipant la suite, le jeune homme obéit. Il va pour embrasser l’homme mais celui-ci lui pose la main sur la bouche et fait non de la tête en souriant. Il le caresse cependant, sa grande main parcourant son dos, ses fesses, à nouveau son scrotum. Il crache dans la paume de son autre main et la fait glisser contre le trou du jeune homme. Il le masse, laissant entrer les bouts de deux doigts. Avec une légère tape sur la fesse il fait tourner le jeune homme. Celui-ci est de nouveau nerveux mais aussi excité. Tellement excité que son membre est loin de se ramollir. L’homme le caresse à nouveau et le jeune homme tourne la tête pour mieux le regarder. Son regard dit tout à l’homme – il le veut même si il a aussi peur. Cette expression ne fait qu’exciter l’homme d’avantage qui pose une main sur le bas de la nuque du jeune homme et l’autre sur sa hanche. Il le cambre d’un mouvement ferme en avant. Le jeune homme sent son cœur battre à toute allure. Jamais il ne s’est retrouvé dans cette situation avant. Il se réjouit cependant d’une habitude, certes presque féminine dans sa nature, qu’il a prit récemment. Depuis peu il se rase quotidiennement le pubis et la raie des fesses. Après chaque rasage il s’applique également de la crème hydratante. C’était ce rituel qu’il effectuait, l’eau coulant toujours sur sa peau, lorsqu’il a remarqué l’homme. Sans le savoir, il s’est donc lubrifié, préparant son trou à l’accueil du membre de cet homme mûr et viril.
L’homme se positionne, plaçant sa queue raide et grosse entre les cuisses du jeune homme. La sensation balaye une partie de sa nervosité. Cette barre dure et chaude contre sa peau, entre ses fesses et tapant légèrement contre ses boules, le rassure. L’homme reste là quelques instants. Leurs peaux chaudes se frottent, se caresses. Le gland de l’homme glisse contre son entre jambe moite et lubrifié de sa crème. Enfin le jeune homme sent le gland se caler contre son trou. Il frémit d’anticipation. L’homme sourit, attend un instant, savourant ce moment de domination, puis se met à pousser. Le gland peine d’abord à entrer, une douleur se fait ressentir et le jeune homme fait un mouvement pour s’échapper malgré lui. L’homme le retient cependant. Il continue de pousser doucement. Enfin le gland entre en entier. La douleur s’efface petit à petit tandis que l’homme continue de pousser, faisant entrer la verge. Le jeune homme ne peut s’empêcher de laisser échapper un gémissement de plaisir et de soulagement. L’homme s’arrête alors que sa verge est trois quarts enfoncée. Il ne bouge plus, laissant le jeune homme se dilater autour de son membre. La douleur est absente à présent, remplacée par l’envie, une excitation puissante. L’homme ne bouge toujours pas. Le jeune homme, frustré à présent, remue son bassin. Le membre raide en lui se frotte à sa paroi. La sensation est sublime. Il continue. L’homme laisse échapper un petit grognement puis, se saisissant à présent des deux hanches du jeune homme, se met à pousser à nouveau. Il enfonce sa verge jusqu’à la garde, d’un mouvement ferme. C’est pour lui une manière d’affirmer son autorité, de démontrer qui dirige les ébats. Le jeune homme gémit à nouveau et reste immobile, il a comprit.
A présent l’homme commence les vas et viens. Les premiers sont petits et lents. Le jeune homme sent le gland de l’homme qui se faufile en lui. Puis les mouvements s’accélèrent. Un plaisir intense lui remonte le bassin, emplissant son ventre, faisant frémir sa petite verge raide. Il gémit sans relâche à présent. L’homme le lime puissamment, chaque coup fort et ferme. Parfois une petite douleur refait surface mais elle est rapidement noyée par le plaisir intense. Le jeune homme est en extase. Il jouit, son jus tombant, inutile et ignoré sur le carrelage. L’homme ralenti progressivement jusqu’à s’arrêter totalement. Ils restent ainsi, les deux corps toujours imbriqués. Le jeune homme est essoufflé, au ciel. L’homme sourit, lui n’a pas encore jouit. Il se retire du jeune homme. Le gland glisse hors de lui et il laisse échapper un dernier soupir. L’homme le retourne à présent. Il l’embrasse, sa langue se poussant contre la sienne. A nouveau il le pousse à genoux. D’abord le jeune homme ne comprend pas. Il hésite à le sucer mais l’homme se saisit de sa verge et, une main posée derrière la nuque du jeune homme, se met à se masturber. Ses mouvements sont rapides et forts. Il ne tarde pas à jouir. Le mouvement ralenti et le jeune homme voit, puis sent la semence chaude et épaisse s’étaler sur son visage. Il ouvre la bouche. Une trainée s’y engouffre. Il savoure. L’homme jouit longuement. Sa semence vient en quatre puissants à-coups. Il marque son territoire, sa domination, et le jeune homme en est pleinement conscient.
Le jeune homme sort de la douche et se sèche. Tout du long, il sent le regard de l’homme qui le suit. Soudain timide, il cache sa nudité avec sa serviette. Son propre membre est petit comparé à la belle verge de l’homme. Il se dirige vers les casiers. Alors qu’il commence à sortir ses affaires du sien il entend des pas derrière lui – le son de pieds mouillés sur le carrelage. C’est l’homme, il le sait. Personne d’autre n’est dans le vestiaire, il est tard. Il commence à se presser, il n’est pas à l’aise, et l’homme en est indéniablement la cause. L’image de ce membre pendant, puis raide, lui revient.
Alors qu’il sort son sac de sport du casier, sa serviette se défait, lui échappe et tombe au sol. Il est nu de nouveau. Il pose le sac et se retourne. Il ne souhaite pas se pencher devant l’homme. Celui-ci est assit, il l’observe. Il n’a pas sa serviette, il est nu. Le jeune homme le reluque malgré lui. L’homme bande. Mon dieu mais il est raide, se dit le jeune homme. Et une nouvelle fois, pourquoi pas ? Pourquoi ne pas le toucher, le sentir, le goûter, le laisser entrer en moi… Malgré lui, il commence à durcir.
L’homme sourit encore, puis se lève. Il s’approche. Le jeune homme recul. Il sait qu’il a peur mais en réalité ce n’est pas vraiment de l’homme. Il a peur du mystère, de l’inconnu. Il n’a encore jamais touché le corps d’un autre homme. Pourquoi pas ? Il est contre une rangée de casiers à présent, il ne peut plus reculer. L’homme continu son approche et son sexe continu de se dresser, rebelle, face à cette avancée. L’homme se colle à lui. Le jeune homme sent la verge raide et impressionnante se pousser contre son pubis. Pourquoi pas ? Il n’y a aucune raison… L’homme est encore ruisselant et l’eau à présent tiède mouille à nouveau la peau du jeune homme. Il n’ose parler. Il ne pense plus, il ressent. Il sent son propre engin collé contre la cuisse de l’homme. Il en a envi.
Le jeune homme est loin d’être gringalet. Trois séances de cardio et musculation par semaine ont fait de son corps un bel objet. Mais l’homme le dépasse. Ses épaules sont également plus larges. Et bien sur, son pénis est nettement plus large, plus long. Il le regarde à nouveau, collé contre son ventre. Il sent la peau du gland se frotter à lui, laissant une fine trace argentée et collante. Ce n’est pas de l’eau. L’homme prend son menton entre deux doigts, relève son visage. Leurs regards se rencontrent, l’un intense et dominant, l’autre nerveux, à la recherche d’une sortie, un moyen de fuir. Mais en réalité le jeune homme ne peut bouger, et pas seulement parce que l’homme le plaque contre le contreplaqué du casier. Il n’a aucune réelle envie, motivation d’essayer de s’échapper. Il est curieux, il veut savoir la suite. L’homme l’embrasse, posant sa bouche sur la sienne faisant rencontrer leurs lèvres. La sensation est étrange mais agréable. Puis la langue chaude de l’homme se colle à la sienne. Elles s’entremêlent. Le jeune homme sent l’excitation monter du bas du ventre. Son cœur bat à tout allure. Il bande à fond. L’homme glisse une main, puis deux derrière lui, entre le casier et sa peau. Il sert ses fesses entre ses doigts longs. Il se frotte doucement contre son ventre. Sa verge se glisse contre sa peau, laissant derrière elle sa trainée de liquide pré séminal.
Nerveux, mais prit d’une envie soudaine de toucher l’engin pressé contre sa peau, le jeune homme passe une main entre leur deux corps. Il la pose contre le membre de l’homme qui relâche un peu la pression pour lui faciliter l’accès. Le jeune homme le caresse, d’abord le gland enflé, puis le long de la verge et enfin les boules rasées et lourdes. Sans réfléchir il se met à masturber l’homme. Celui-ci grogne et l’embrasse à nouveau, plus fort cette fois, plein d’envi. Ils se caressent ainsi de longs instants, les doigts de l’homme parcourant la raie du jeune homme, s’attardant sur son scrotum, la main adepte du jeune homme s’occupant du sexe dur.
L’homme s’écarte enfin. Il l’embrasse une dernière fois puis place une main sur l’épaule du jeune homme. Sans attendre celui-ci se met à genoux. Il a envi de la gouter, la sentir chaude dans sa bouche. Le doute est balayé. Une fois sur le sol, il se saisit à nouveau du membre de sa main droite. Il approche sa bouche. Il sent le sexe se tendre entre ses doigts, l’homme n’en peut plus. Le jeune homme pose sa langue délicatement sur le bout du gland. L’homme laisse échapper un gémissement. Il goute au liquide argenté qui s’échappe de cet engin puissant.
Il commence par lécher le gland, à présent lubrifié de liquide pré séminal. Ses léchouilles sont rapides, puis lentes, puis elles parcourent le long de la verge. L’homme grogne encore, place une main derrière la nuque du jeune homme et fait pression légèrement mais fermement. Enfin, il le prend en bouche. La verge pénètre entre ses lèvres qui s’écartent pour l’accueillir. Il a un goût amer, acide mais bon, si bon. L’homme commence de petits vas et viens du bassin, le guidant. Il suit le mouvement, accentuant le tout de caresses de sa langue sur la verge à présent humide et chaude. Hmm c’est tellement bon…
L’homme ne le guide plus. Depuis de longues minutes, malgré une petite douleur à la mâchoire, le jeune homme le suce. Il savoure et délecte cet instant, ce membre puissant qui lui est offert. Il se découvre une fragilité, des envies qu’il n’aurait jamais pensé présentes en lui si cet homme ne s’était pas présenté à lui. Puis l’homme le relève. Il le prend par les épaules et le fait signe de remonter. Un peu à regret, mais également anticipant la suite, le jeune homme obéit. Il va pour embrasser l’homme mais celui-ci lui pose la main sur la bouche et fait non de la tête en souriant. Il le caresse cependant, sa grande main parcourant son dos, ses fesses, à nouveau son scrotum. Il crache dans la paume de son autre main et la fait glisser contre le trou du jeune homme. Il le masse, laissant entrer les bouts de deux doigts. Avec une légère tape sur la fesse il fait tourner le jeune homme. Celui-ci est de nouveau nerveux mais aussi excité. Tellement excité que son membre est loin de se ramollir. L’homme le caresse à nouveau et le jeune homme tourne la tête pour mieux le regarder. Son regard dit tout à l’homme – il le veut même si il a aussi peur. Cette expression ne fait qu’exciter l’homme d’avantage qui pose une main sur le bas de la nuque du jeune homme et l’autre sur sa hanche. Il le cambre d’un mouvement ferme en avant. Le jeune homme sent son cœur battre à toute allure. Jamais il ne s’est retrouvé dans cette situation avant. Il se réjouit cependant d’une habitude, certes presque féminine dans sa nature, qu’il a prit récemment. Depuis peu il se rase quotidiennement le pubis et la raie des fesses. Après chaque rasage il s’applique également de la crème hydratante. C’était ce rituel qu’il effectuait, l’eau coulant toujours sur sa peau, lorsqu’il a remarqué l’homme. Sans le savoir, il s’est donc lubrifié, préparant son trou à l’accueil du membre de cet homme mûr et viril.
L’homme se positionne, plaçant sa queue raide et grosse entre les cuisses du jeune homme. La sensation balaye une partie de sa nervosité. Cette barre dure et chaude contre sa peau, entre ses fesses et tapant légèrement contre ses boules, le rassure. L’homme reste là quelques instants. Leurs peaux chaudes se frottent, se caresses. Le gland de l’homme glisse contre son entre jambe moite et lubrifié de sa crème. Enfin le jeune homme sent le gland se caler contre son trou. Il frémit d’anticipation. L’homme sourit, attend un instant, savourant ce moment de domination, puis se met à pousser. Le gland peine d’abord à entrer, une douleur se fait ressentir et le jeune homme fait un mouvement pour s’échapper malgré lui. L’homme le retient cependant. Il continue de pousser doucement. Enfin le gland entre en entier. La douleur s’efface petit à petit tandis que l’homme continue de pousser, faisant entrer la verge. Le jeune homme ne peut s’empêcher de laisser échapper un gémissement de plaisir et de soulagement. L’homme s’arrête alors que sa verge est trois quarts enfoncée. Il ne bouge plus, laissant le jeune homme se dilater autour de son membre. La douleur est absente à présent, remplacée par l’envie, une excitation puissante. L’homme ne bouge toujours pas. Le jeune homme, frustré à présent, remue son bassin. Le membre raide en lui se frotte à sa paroi. La sensation est sublime. Il continue. L’homme laisse échapper un petit grognement puis, se saisissant à présent des deux hanches du jeune homme, se met à pousser à nouveau. Il enfonce sa verge jusqu’à la garde, d’un mouvement ferme. C’est pour lui une manière d’affirmer son autorité, de démontrer qui dirige les ébats. Le jeune homme gémit à nouveau et reste immobile, il a comprit.
A présent l’homme commence les vas et viens. Les premiers sont petits et lents. Le jeune homme sent le gland de l’homme qui se faufile en lui. Puis les mouvements s’accélèrent. Un plaisir intense lui remonte le bassin, emplissant son ventre, faisant frémir sa petite verge raide. Il gémit sans relâche à présent. L’homme le lime puissamment, chaque coup fort et ferme. Parfois une petite douleur refait surface mais elle est rapidement noyée par le plaisir intense. Le jeune homme est en extase. Il jouit, son jus tombant, inutile et ignoré sur le carrelage. L’homme ralenti progressivement jusqu’à s’arrêter totalement. Ils restent ainsi, les deux corps toujours imbriqués. Le jeune homme est essoufflé, au ciel. L’homme sourit, lui n’a pas encore jouit. Il se retire du jeune homme. Le gland glisse hors de lui et il laisse échapper un dernier soupir. L’homme le retourne à présent. Il l’embrasse, sa langue se poussant contre la sienne. A nouveau il le pousse à genoux. D’abord le jeune homme ne comprend pas. Il hésite à le sucer mais l’homme se saisit de sa verge et, une main posée derrière la nuque du jeune homme, se met à se masturber. Ses mouvements sont rapides et forts. Il ne tarde pas à jouir. Le mouvement ralenti et le jeune homme voit, puis sent la semence chaude et épaisse s’étaler sur son visage. Il ouvre la bouche. Une trainée s’y engouffre. Il savoure. L’homme jouit longuement. Sa semence vient en quatre puissants à-coups. Il marque son territoire, sa domination, et le jeune homme en est pleinement conscient.
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