Vacances à poil 03
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Vacances à poil 03
Vacances à poil 03
C'est sans se presser qu'on avançait vers le restaurant. C'était une grande terrasse avec pour toit un parasol. On n'était pas fier, on n'avait absolument rien sur le dos. La seule chose qu'on portait était notre cage à bite et à l'intérieur il y avait de la pression.
– C'est juste moi ou bien je bande comme un malade ? Demandait François.
' Pareil ' répondions nous tous l'un après l'autre. On se demandait si il ne nous avait pas refourgué un truc trop petit.
Les autres clients nous saluaient, on pouvait voir à leur regards qu'ils remarquaient le dispositif que nous portions mais ils appréciaient. Il semblerait que si bander en public était très mal vu, porter un dispositif de chasteté était considéré comme très convenable.
On approchait du bar.
– Salut ! Nous disait le barman. Moi c'est Tomas, mais vous pouvez m'appeler Tom …
On discutait quelques instants avec lui, il prenait des nouvelles. '' Vous êtes arrivés aujourd'hui '' … '' C'était vous, sur la plage, vous n'êtes pas passés inaperçu '' … '' Le boss vous a donné les cages ''. On s'était vraiment fait remarqué, tout le camping était au courant.
Tom était dans nos âges, il avait un sourire charmeur, des cheveux frisés bruns, un très beau corps, je bandais en le regardant. Mais maintenant je pouvais me laisser aller, rien ne se voyait. Son corps était déjà bronzé et il avait les épaules larges.
Il nous proposait une table au bout de la terrasse avec une très belle vue sur la plage.
– Vous y serez tranquille ! Nous disait-il. On s'y installait.
Peu à peu on finissait par se détendre. On remarquait plusieurs autres hommes qui portaient eux aussi une cage à bite. C'était des jeunes uniquement, comme nous.
Tom arrivait vers nous quelques instants plus tard pour prendre notre commande. Je le regardait, il était vraiment bien foutu, on devinait qu'il devait faire du sport mais quand il s'approchait on remarquait que lui aussi portait une cage à bite.
– Ah toi aussi ? Faisais-je remarquer.
– Ben oui, les filles sont souvent coquine et n'hésitent pas à me taquiner. Je préfère porter ce genre de truc sinon moi aussi je me ferais remarquer.
Il bougeait avec élégance, il ne semblait pas du tout gêné par son dispositif. Il passait entre les tables avec fluidité, il était tout à fait à son aise et je le regardais, il me faisait un peu rêver.
Je regardait autour de nous, il n'y avait que des corps nus, des poitrines quelquefois opulentes, des poitrines de femmes bien sûr mais aussi de torses musclés, plus ou moins recouverts de poils. Je trouvais ces deuxièmes poitrines plus agréables à regarder. On voyait des fesses, des fesses partout et des sexes, partout également.
De grosses queux pendantes, des petites discrètes, des grosses couilles ou quelquefois juste de petites boules bien fermes en apparence. Pour les femmes c'était un entre-cuisse vide, ça faisait bizarre. Quelquefois les corps se frôlaient, c'est sans doute pour ça que les plus jeunes, comme nous, portaient des cages à bite. Pas tous, bien sûr, mais les porteur étaient surtout des jeunes.
Il n'était pas rare de voir des sexes épilés, pour les femmes certaines retiraient tous les poils alors que d'autre se contentaient juste d'une taille moins radicales. Pour les hommes certains qui n'avait pas de système pileux trop développé avaient retiré eux aussi tous les poils pubiens, là il vaut mieux avoir au moins une petite musculature, c'est plus beau. D'autres, et c'étaient pas les plus nombreux effectuaient une taille sur la touffe de poil et retiraient tous les poils sur le sexe et un centimètre tout autour.
Je me disais que c'est ce qui m'irait le mieux.
Il y en avait quelques uns et quelques unes qui n'avaient pas gardé le moindre poil dur leur corps.
Ça mettait en appétit tout ça et pas seulement pour ce qui est de manger. Je bandais à mort, c'était presque douloureux. Je regardais discrètement et de loin, rien ne devait se voir. De prêt on voyait que la cage était bien pleine, la queue poussait pour sortir et formait de sortes de bulles qui ressortaient par les ouvertures.
Tom par exemple m'amusait, il arrivait pour nous servir et sa queue, enfin sa queue et ses couilles se balançaient très librement entre ses jambes. Il repartait, une cliente s'approchait de lui pour lui demander quelque chose, elle prenait bien la peine de le toucher avec son corps, elle ne se contentait pas de le frôler. Il se retournait et soudainement ses couilles s'étaient comme contractées, et l'ensemble bite-couilles se balançait moins, bien moins.
Il gardait le sourire, madame appréciait son effet d'un rapide coup d’œil, une dernière caresse avec son sein léger et elle repartait rejoindre ses copines à sa table. Elle était jeune et très belle, ses copines aussi étaient jeunes. Elles rigolaient en voyant le pauvre Tom.
Après le repas, on pouvait prendre un petit digestif. On était quatre, on en a pris quatre … chacun.
Tom était d'humeur joyeuse ce soir là, et les doses y étaient pour quelque chose. Je ne me sentais plus guilleret comme au début du repas, là, j'étais saoul.
On allumait la musique, le camping avait un DJ pour animer les soirées, et c'était parti. Tout le monde venait remuer son cul sur la piste de danse, il a fallu que je m'en mêle. Moi aussi j'avais envie de remuer mon cul et puis il y avait Tom au bar. Et puis il est vraiment sympa Tom. Et puis c'est lui qui me servait. Et puis, je vous le dit mais vous ne le répétez pas à son patron, il n'a pas utilisé de doseur pour mes verres …
Il était très tard quand j'ouvrais un œil. J'étais allongé sur un lit, il y avait Tom allongé sur moi.
Il me couvrait de baisers. J'ai alors refermé mes bras sur lui et je lui ai rendu ses baisers. Rapidement on roulait l'un sur l'autre. On était dans sa chambre. Ses baisers descendaient sur mes épaules puis sur ma poitrine. Je me tortillais pour lui rendre ses câlins.
Ses mains glissaient sur mon corps et descendaient sur mes reins. Il me soulevait alors et m'embrassait sur le ventre. Je sentais ma queue qui rapidement hurlait et protestait. Ça devenait violent, les protestations de ma queue devenaient violentes.
Tom le devinait et les baisers devenaient aussi chauds, sur le bas de mon ventre. Il me caressait les couilles qui pendaient lourdement.
– Je vois que tu as choisi de mettre le cadenas. Tu en as gardé les clés ou pas ? Me demandait-il.
– Les clés, le cadenas, de quoi tu parles ?
– Je vois, c'est toi le boute-en-train !
Je ne comprenais rien à ce qu'il me racontait. Il se relevait, me caressait avec douceur en insistant sur mes couilles. Ma queue était sous pression et mes couilles avaient remonté, elles étaient elles aussi sous pression.
Il attrapait fermement sa cage d'une main et l'anneau de fixation de l'autre main. Il forçait, comme s'il voulait tordre le dispositif, et la cage se débloquait. D'un geste très rapide il retirait la cage et dans le même mouvement retirait l'anneau.
– Vas y suce moi maintenant ! Me disait-il.
J'admirais sa queue pendant quelques instants. Elle prenait du volume rapidement. Confinée dans sa cage depuis je ne sais combien de temps, elle était minuscule au début et grossissait jusqu'à prendre plus de vingt centimètres de long.
Je me penchais sur lui, et bien décidé, je la prenais dans ma bouche. Je glissais mes bras sous ses cuisses et le retournais sur le dos. Il se laissait faire et repliait ses jambes dans mon dos.
Il avait une belle bite et là encore il ne ressemblait pas à mes trois camarades. Aucune bite ne ressemble à une autre, en apparence mais pas quand elle est dans la bouche.
Je la suçais goulûment, j'écrasais mon nez contre son ventre. Je ne gardais pas la position longtemps, je relevais la tête mais je n'oubliais pas de bien lui caresser le gland avec ma langue. Je le masturbais quelques instant puis recommençais.
C'est en gémissant qu'il me prenait la tête entre les mains. Il gémissait encore quand il appuyait mon visage contre son ventre. Je déglutissais et je l'entendais gémir encore plus.
Au bout d'un long moment je relevais la tête, j'attrapais ma cage je tentais de la débloquer et je ne comprenais pas. Ça résistait.
– Mais qu'est ce que tu fais ? Me demandait Tom.
– Bein je retire ma cage.
Il me regardait bizarrement.
– Mais tu as bien vu qu'elle est verrouillée ?
– Enfin, ce modèle n'as pas de verrou !
Je continuais à forcer mais rien ne venait. C'était toujours bien fermé.
– Tu as vu l'espèce de petite pince là, et là sur la pince il y a une petite serrure. C'est une pièce qu'on peut rajouter pour refermer la cage.
Je regardais le dispositif sans y croire. Le sien était posé là, sur la table de nuit. Cette petite pièce en était en effet absente. Et ma cage ne s'ouvrait pas, désespérément pas.
J'étais sur lui, mes genoux de chaque côté de ses cuisses. Il se redressait rapidement et je me retrouvais sur le dos, les cuisses écartées et lui les jambes allongées entre les miennes.
– Tu sais, c'est pas grave, moi je suis actif. Homme, femme je m'en fou un peu mais je suis actif. Et toi avec ça, tu fera un excellent passif.
Il me relevait les jambes, me repliais en deux. J'étais encore sous le choc. Et je ne comprenais pas encore très bien la situation. Tom en profitait, rapidement il se lubrifiait la queue, la positionnait contre mon cul et poussait.
Il posait une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier. J'ai alors senti une douleur terrible. Je n'étais pas en position de force, et je ne parvenais ni à me dégager ni à l'empêcher de continuer. La douleur augmentait, c'était insupportable, et il continuait à s'enfoncer.
Je renonçais à luter au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses. Je manquais d'air, je râlais, il retirait sa main.
– Tu ne cris pas !
Je faisais non de la tête et je respirais fort en serrant les dents. Il poussait violemment et ressortait. Là je ne sais pas comment j'ai fait pour me retenir de hurler. Il revenait de nouveau et commençait à me limer le cul. Je tenais le coup, je ne comprend pas comment j'ai fait, mais j'ai tenu.
Il me limait de plus en plus fort.
– Tu es étroit dis donc, j'adore.
Évidemment que j'étais étroit, c'était la première fois et lui, il était large, et lui il se lâchait, et lui me donnait des coups de bassin dans les fesses, et lui il me défonçait le cul comme un fou …
Et moi, j'ai aimé ça !
Je ne sais pas ce qui c'est passé, la douleur était intense, j'avais surtout envie de me dégager mais c'est qu'il me tenait bien Tom. Il me limait le cul avec force, à chaque mouvement je retenais un cri de douleur et brusquement j'ai joui.
J'ai pas bien compris, ça me faisait toujours mal mais je jouissais. Je jutais bien sûr mais c'est une plaisir intense qui m'inondait, je tremblais, tout mon corps tremblait je contractais mon cul, en fait je ne contrôlais plus rien, et je repoussait sa queue à chaque fois qu'elle entrait et c'est là qu'il à joui lui aussi.
C'était la première fois que je me faisais défoncer le cul et j'aimais, je savais que malgré la douleur je recommencerais. Surtout que, paraît-il avec le temps ça ne fait plus mal du tout …
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N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'est sans se presser qu'on avançait vers le restaurant. C'était une grande terrasse avec pour toit un parasol. On n'était pas fier, on n'avait absolument rien sur le dos. La seule chose qu'on portait était notre cage à bite et à l'intérieur il y avait de la pression.
– C'est juste moi ou bien je bande comme un malade ? Demandait François.
' Pareil ' répondions nous tous l'un après l'autre. On se demandait si il ne nous avait pas refourgué un truc trop petit.
Les autres clients nous saluaient, on pouvait voir à leur regards qu'ils remarquaient le dispositif que nous portions mais ils appréciaient. Il semblerait que si bander en public était très mal vu, porter un dispositif de chasteté était considéré comme très convenable.
On approchait du bar.
– Salut ! Nous disait le barman. Moi c'est Tomas, mais vous pouvez m'appeler Tom …
On discutait quelques instants avec lui, il prenait des nouvelles. '' Vous êtes arrivés aujourd'hui '' … '' C'était vous, sur la plage, vous n'êtes pas passés inaperçu '' … '' Le boss vous a donné les cages ''. On s'était vraiment fait remarqué, tout le camping était au courant.
Tom était dans nos âges, il avait un sourire charmeur, des cheveux frisés bruns, un très beau corps, je bandais en le regardant. Mais maintenant je pouvais me laisser aller, rien ne se voyait. Son corps était déjà bronzé et il avait les épaules larges.
Il nous proposait une table au bout de la terrasse avec une très belle vue sur la plage.
– Vous y serez tranquille ! Nous disait-il. On s'y installait.
Peu à peu on finissait par se détendre. On remarquait plusieurs autres hommes qui portaient eux aussi une cage à bite. C'était des jeunes uniquement, comme nous.
Tom arrivait vers nous quelques instants plus tard pour prendre notre commande. Je le regardait, il était vraiment bien foutu, on devinait qu'il devait faire du sport mais quand il s'approchait on remarquait que lui aussi portait une cage à bite.
– Ah toi aussi ? Faisais-je remarquer.
– Ben oui, les filles sont souvent coquine et n'hésitent pas à me taquiner. Je préfère porter ce genre de truc sinon moi aussi je me ferais remarquer.
Il bougeait avec élégance, il ne semblait pas du tout gêné par son dispositif. Il passait entre les tables avec fluidité, il était tout à fait à son aise et je le regardais, il me faisait un peu rêver.
Je regardait autour de nous, il n'y avait que des corps nus, des poitrines quelquefois opulentes, des poitrines de femmes bien sûr mais aussi de torses musclés, plus ou moins recouverts de poils. Je trouvais ces deuxièmes poitrines plus agréables à regarder. On voyait des fesses, des fesses partout et des sexes, partout également.
De grosses queux pendantes, des petites discrètes, des grosses couilles ou quelquefois juste de petites boules bien fermes en apparence. Pour les femmes c'était un entre-cuisse vide, ça faisait bizarre. Quelquefois les corps se frôlaient, c'est sans doute pour ça que les plus jeunes, comme nous, portaient des cages à bite. Pas tous, bien sûr, mais les porteur étaient surtout des jeunes.
Il n'était pas rare de voir des sexes épilés, pour les femmes certaines retiraient tous les poils alors que d'autre se contentaient juste d'une taille moins radicales. Pour les hommes certains qui n'avait pas de système pileux trop développé avaient retiré eux aussi tous les poils pubiens, là il vaut mieux avoir au moins une petite musculature, c'est plus beau. D'autres, et c'étaient pas les plus nombreux effectuaient une taille sur la touffe de poil et retiraient tous les poils sur le sexe et un centimètre tout autour.
Je me disais que c'est ce qui m'irait le mieux.
Il y en avait quelques uns et quelques unes qui n'avaient pas gardé le moindre poil dur leur corps.
Ça mettait en appétit tout ça et pas seulement pour ce qui est de manger. Je bandais à mort, c'était presque douloureux. Je regardais discrètement et de loin, rien ne devait se voir. De prêt on voyait que la cage était bien pleine, la queue poussait pour sortir et formait de sortes de bulles qui ressortaient par les ouvertures.
Tom par exemple m'amusait, il arrivait pour nous servir et sa queue, enfin sa queue et ses couilles se balançaient très librement entre ses jambes. Il repartait, une cliente s'approchait de lui pour lui demander quelque chose, elle prenait bien la peine de le toucher avec son corps, elle ne se contentait pas de le frôler. Il se retournait et soudainement ses couilles s'étaient comme contractées, et l'ensemble bite-couilles se balançait moins, bien moins.
Il gardait le sourire, madame appréciait son effet d'un rapide coup d’œil, une dernière caresse avec son sein léger et elle repartait rejoindre ses copines à sa table. Elle était jeune et très belle, ses copines aussi étaient jeunes. Elles rigolaient en voyant le pauvre Tom.
Après le repas, on pouvait prendre un petit digestif. On était quatre, on en a pris quatre … chacun.
Tom était d'humeur joyeuse ce soir là, et les doses y étaient pour quelque chose. Je ne me sentais plus guilleret comme au début du repas, là, j'étais saoul.
On allumait la musique, le camping avait un DJ pour animer les soirées, et c'était parti. Tout le monde venait remuer son cul sur la piste de danse, il a fallu que je m'en mêle. Moi aussi j'avais envie de remuer mon cul et puis il y avait Tom au bar. Et puis il est vraiment sympa Tom. Et puis c'est lui qui me servait. Et puis, je vous le dit mais vous ne le répétez pas à son patron, il n'a pas utilisé de doseur pour mes verres …
Il était très tard quand j'ouvrais un œil. J'étais allongé sur un lit, il y avait Tom allongé sur moi.
Il me couvrait de baisers. J'ai alors refermé mes bras sur lui et je lui ai rendu ses baisers. Rapidement on roulait l'un sur l'autre. On était dans sa chambre. Ses baisers descendaient sur mes épaules puis sur ma poitrine. Je me tortillais pour lui rendre ses câlins.
Ses mains glissaient sur mon corps et descendaient sur mes reins. Il me soulevait alors et m'embrassait sur le ventre. Je sentais ma queue qui rapidement hurlait et protestait. Ça devenait violent, les protestations de ma queue devenaient violentes.
Tom le devinait et les baisers devenaient aussi chauds, sur le bas de mon ventre. Il me caressait les couilles qui pendaient lourdement.
– Je vois que tu as choisi de mettre le cadenas. Tu en as gardé les clés ou pas ? Me demandait-il.
– Les clés, le cadenas, de quoi tu parles ?
– Je vois, c'est toi le boute-en-train !
Je ne comprenais rien à ce qu'il me racontait. Il se relevait, me caressait avec douceur en insistant sur mes couilles. Ma queue était sous pression et mes couilles avaient remonté, elles étaient elles aussi sous pression.
Il attrapait fermement sa cage d'une main et l'anneau de fixation de l'autre main. Il forçait, comme s'il voulait tordre le dispositif, et la cage se débloquait. D'un geste très rapide il retirait la cage et dans le même mouvement retirait l'anneau.
– Vas y suce moi maintenant ! Me disait-il.
J'admirais sa queue pendant quelques instants. Elle prenait du volume rapidement. Confinée dans sa cage depuis je ne sais combien de temps, elle était minuscule au début et grossissait jusqu'à prendre plus de vingt centimètres de long.
Je me penchais sur lui, et bien décidé, je la prenais dans ma bouche. Je glissais mes bras sous ses cuisses et le retournais sur le dos. Il se laissait faire et repliait ses jambes dans mon dos.
Il avait une belle bite et là encore il ne ressemblait pas à mes trois camarades. Aucune bite ne ressemble à une autre, en apparence mais pas quand elle est dans la bouche.
Je la suçais goulûment, j'écrasais mon nez contre son ventre. Je ne gardais pas la position longtemps, je relevais la tête mais je n'oubliais pas de bien lui caresser le gland avec ma langue. Je le masturbais quelques instant puis recommençais.
C'est en gémissant qu'il me prenait la tête entre les mains. Il gémissait encore quand il appuyait mon visage contre son ventre. Je déglutissais et je l'entendais gémir encore plus.
Au bout d'un long moment je relevais la tête, j'attrapais ma cage je tentais de la débloquer et je ne comprenais pas. Ça résistait.
– Mais qu'est ce que tu fais ? Me demandait Tom.
– Bein je retire ma cage.
Il me regardait bizarrement.
– Mais tu as bien vu qu'elle est verrouillée ?
– Enfin, ce modèle n'as pas de verrou !
Je continuais à forcer mais rien ne venait. C'était toujours bien fermé.
– Tu as vu l'espèce de petite pince là, et là sur la pince il y a une petite serrure. C'est une pièce qu'on peut rajouter pour refermer la cage.
Je regardais le dispositif sans y croire. Le sien était posé là, sur la table de nuit. Cette petite pièce en était en effet absente. Et ma cage ne s'ouvrait pas, désespérément pas.
J'étais sur lui, mes genoux de chaque côté de ses cuisses. Il se redressait rapidement et je me retrouvais sur le dos, les cuisses écartées et lui les jambes allongées entre les miennes.
– Tu sais, c'est pas grave, moi je suis actif. Homme, femme je m'en fou un peu mais je suis actif. Et toi avec ça, tu fera un excellent passif.
Il me relevait les jambes, me repliais en deux. J'étais encore sous le choc. Et je ne comprenais pas encore très bien la situation. Tom en profitait, rapidement il se lubrifiait la queue, la positionnait contre mon cul et poussait.
Il posait une main sur ma bouche pour m'empêcher de crier. J'ai alors senti une douleur terrible. Je n'étais pas en position de force, et je ne parvenais ni à me dégager ni à l'empêcher de continuer. La douleur augmentait, c'était insupportable, et il continuait à s'enfoncer.
Je renonçais à luter au moment ou son ventre s'écrasait contre mes fesses. Je manquais d'air, je râlais, il retirait sa main.
– Tu ne cris pas !
Je faisais non de la tête et je respirais fort en serrant les dents. Il poussait violemment et ressortait. Là je ne sais pas comment j'ai fait pour me retenir de hurler. Il revenait de nouveau et commençait à me limer le cul. Je tenais le coup, je ne comprend pas comment j'ai fait, mais j'ai tenu.
Il me limait de plus en plus fort.
– Tu es étroit dis donc, j'adore.
Évidemment que j'étais étroit, c'était la première fois et lui, il était large, et lui il se lâchait, et lui me donnait des coups de bassin dans les fesses, et lui il me défonçait le cul comme un fou …
Et moi, j'ai aimé ça !
Je ne sais pas ce qui c'est passé, la douleur était intense, j'avais surtout envie de me dégager mais c'est qu'il me tenait bien Tom. Il me limait le cul avec force, à chaque mouvement je retenais un cri de douleur et brusquement j'ai joui.
J'ai pas bien compris, ça me faisait toujours mal mais je jouissais. Je jutais bien sûr mais c'est une plaisir intense qui m'inondait, je tremblais, tout mon corps tremblait je contractais mon cul, en fait je ne contrôlais plus rien, et je repoussait sa queue à chaque fois qu'elle entrait et c'est là qu'il à joui lui aussi.
C'était la première fois que je me faisais défoncer le cul et j'aimais, je savais que malgré la douleur je recommencerais. Surtout que, paraît-il avec le temps ça ne fait plus mal du tout …
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