Vacances débridées en Ardèche

- Par l'auteur HDS Castajl1 -
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Récit libertin : Vacances débridées en Ardèche Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Vacances débridées en Ardèche
Cet été en Juillet alors que la canicule avait envahi une partie de la France, nous nous étions organisés pour partir de la région parisienne dans deux véhicules pour deux semaines de vacances en Ardèche.
Quand je dis « nous », je dois détailler un peu notre groupe atypique :
Nous sommes huit mecs de 18 à 28 ans, tous gays sans exception, nous faisons partie d’une association LGBT de la banlieue ouest de Paris qui regroupe diverses activités sportives ou de loisirs, dans notre petit groupe nous sommes adeptes de randonnée pédestre, de VTT, de natation, de canoé et de tennis.
Je me prénomme Corentin, j’ai eu 25 ans le mois dernier, 1,75m, 68 Kg, cheveux courts châtains et mes potes que j’aurai l’occasion de décrire le moment venu sont tous des amis intimes voire plus… Nous passons du bon temps souvent tous ensemble, sans tabous ni complexes, nous assumons tous notre homosexualité et parfois la revendiquons haut et fort.
Nos soirées, vacances ou week-ends ensemble sont sexuellement débridés, rien ne nous arrête, nous sommes de vrais « Bad boys ».
Boris, 28 ans, ardéchois d’origine nous avait trouvé un lieu de villégiature sauvage, assez isolé au bord de la rivière où nous avions planté nos quatre tentes Quechua pour ces deux semaines de vacances de liberté totale.
Arrivés vers 16h, le lieu était un petit paradis, le chemin pour y accéder n’est pas en super état et il nous a fallu une bonne demi-heure pour y accéder à partir de la départementale. Il était situé pas très loin d’un PR balisé, en clair c’est un itinéraire de promenade et de randonnée.
Nous avions beaucoup d’ombre, un grand espace pour nos activités et installer nos tentes, un coin barbecue et un autre feu de camp à deux mètres du bord de l’Ardèche afin de sécuriser le risque d’incendie, nous sommes tous très attachés au respect de la nature et des risques estivaux.
Nos voitures et leurs petites remorques étaient garées à l’ombre, elles n’auraient pas à bouger beaucoup. Nous avions chargé nos canoés dans l’espoir de profiter de la rivière.
A peine arrivés les fringues commencent à voler, chemisettes, débardeurs, polos et T-shirts, nous avions tous envie de peaufiner notre bronzage intégral pour certains ou carrément commencer prendre le soleil pour d’autres.
Boris, Paul, Nathan et moi virons nos shorts et tous vêtus de nos maillots de bain nous voici déjà dans la flotte.
Nathan est le plus jeune d’entre nous, il vient de fêter ses 18 ans en Mai dernier. C’est un beau minet, 1,72m, 62Kg, blondinet et cheveux bouclés, yeux bleu clair, nous le cajolons chacun notre tour et il le sait le coquin et sait en profiter sans aucun complexe.
Paul à 22 ans, étudiant en informatique, c’est un peu l’intello du groupe, et aussi l’un des plus grands 1,83m, 75Kg, cheveux bruns mi-longs, il doit brunir son corps un peu pâle.
Les autres se mirent à monter les tentes et vider les voitures.
Charley, 27 ans, c’est un artiste, il a carrément tout viré, il est à poil, c’est son trip, dès qu’il peut, il vit la queue à l’air, chez lui c’est en permanence et lorsqu’on se réunit c’est le premier à faire tomber le boxer… Il faut dire qu’il est bien pourvu du côté organes génitaux…il ne connaît donc aucun complexe à exhiber son service trois pièces, à la limite il peut même complexer des mecs moins bien pourvus… En ce qui nous concerne, nous ne faisons pas de différence entre nous, que les bites soient petites, moyennes ou longues et que les couilles soient grosses, molles, pendantes… nous aimons le corps des hommes sans restriction… c’est là notre trip !
Donc pour en revenir à Charley, il est beau à regarder, châtain clair, les yeux noisette, 1,77m pour 69 Kg, il est très élégant.
Encore une fois, le fait qu’il soit déjà à poil ne gêne personne d’entre nous… bien au contraire, on sait que la tenue d’Adam sera pratiquée rapidement par toute l’équipe dans quelques heures et pour les deux semaines à venir !
Arnaud qui lui a 24 ans, crâne rasé, bien bronzé, 1,72m, 66 Kg, est notre « Fashion-boy », il aime les fringues et les tenues sexy, jusqu’aux sous-vêtements, là il s’est mis en string lycra jaune et les fesses à demi-couvertes… un délice à voir car tout son contenu est parfaitement emballé et tous les détails de son anatomie sont parfaitement moulés… plaisir des yeux et un vrai bonheur à palper !
Dans l’équipe de montage des tentes on trouve aussi Rémi 19 ans, 1,70m, 68Kg, c’est le timide de l’équipe… enfin pas timide pour tout soyons clair !... Disons que c’est en général le plus discret, cheveux noirs courts, yeux foncés, c’est un amoureux de la nature il bosse chez un paysagiste.
Et enfin, Tristan, 20 ans, 1,78m, 64 Kg, de type scandinave svelte, blond, cheveux longs façon surfer, bien bâti et imberbe… jusqu’au pubis, une vraie peau d’ado, il a beaucoup de succès auprès des nanas et des mecs … mais pour les nanas c’est loupé… ce n’est pas son truc, lorsqu’il était ado il avait tester sans restriction les petites gonzesses en pamoison devant son corps bien sculpté…il n’avait pas à chasser, elles venaient naturellement vers le beau gosse, mais rapidement son attirance confirmée pour les mecs avait mis fin à son hétérosexualité dès lors qu’il avait eu une aventure de trois semaines au Pays basque avec son coach de surf, son ainé de cinq ans, aujourd’hui il est encore étudiant !

Voici donc l’équipe au complet.
Dans mon récit je ne prendrais que quelques situations cocasses car sur les quinze jours nous avons cumulé d’autres activités coquines.
Chacun prend ses marques en admirant ce lieu enchanté et presque privé.
Nous nous ébattons comme des gamins dans la rivière et évidemment ce qui devait arriver… arriva… Boris, Paul, Nathan et moi nous retrouvons rapidement à poil, les maillots de bain balancés sur la rive, les culs et les bites à l’air c’est là notre idéal !
Je n’ai pas résisté à rouler une pelle à Nathan qui n’arrêtait pas de m’allumer en me caressant la raie.
Boris et Paul s’étaient allongés dans l’eau près de la berge et se caressaient mutuellement.
Signe que les vacances étaient bien lancées !

Sur le coup de 19h30 les tables installées, nous sortons les bières, alcool et jus de fruit pour notre premier apéro ardéchois, Charley avait revêtu un tablier de serveur, lui cachant le sexe mais laissait voir avantageusement son petit cul légèrement poilu, il nous servait les olives et les amuse-gueules… Chacun de nous y allant de la main au cul à notre serveur à demi-dénudé… et pour certains c’était même un début de doigtage… Bien sûr, notre serveur aguicheur se laissait faire... Une vraie petite chienne !
Tristan n’avait rien trouvé de mieux que de donner des tomates cerises à manger à Rémi et s’était trempé la queue dans le bol de mayo et lui faisait sucer pour accompagnement.
Évidemment l’idée fut reprise par tout le monde… même sans tomate cerises nous avions tous le gland ou le prépuce couverts de mayonnaise !
Il n’en n’est pas resté, chacun ayant nettoyé avec soin à grands coups de langues la pine de son voisin, en décalottant parfaitement nos glands histoire de peaufiner le nettoyage.

L’apéro dura presque une heure… On comprend pourquoi… Ce genre d’apéro s’est d’ailleurs reproduit plusieurs fois les jours suivants où la mayo était remplacée par du miel !
Nous discutons sur les prévisions du lendemain, et l’on passe à table, chacun des convives avait choisi sa tenue, Charley, Paul et moi étions à poil, Rémi et Tristan étaient en jock-strap puis Boris, Nathan et Arnaud avait mis leur maillot de bain tailles très basses, ils étaient très excitants tous les trois dans leur « Moule-bite » qui avait bien du mal à cacher leurs organes mâles… pour être clair leurs tenues n’avaient qu’un but… allumer le reste du groupe et ils savaient que ça marchait à 200% !

Nous avions investi il y a quelque temps dans 4 douches solaires de camping de 40 L chacune, ce qui nous permettait de garder une très bonne hygiène durant nos séjours isolés et sauvages, il nous suffisait de trouver les branches d’arbres qui nous permettaient d’installer le réservoir à hauteur, quant à l’eau nous la prendrions dans l’Ardèche. L’heure de la douche est toujours un moment que nous apprécions… Voir le corps de notre ou nos pote(s) nu(s) sous une pluie d’eau claire c’est divin et propice aux photos entre nous !.. Nous avons tous une belle collection de clichés dans nos smartphones !
Nathan et Arnaud avaient assuré l’installation des quatre réservoirs dès notre arrivée… la « salle d’eau » était presque opérationnelle.
Nos tentes Quechua étaient des deux places, ce qui nous permettait de dormir par couple chaque nuit, les couples changeant régulièrement évidemment, c’était là encore, l’un de nos modes de fonctionnement… Logique si l’on voulait baiser avec tout le monde !... Bien sûr certains soirs étaient consacrés à une bonne partouze où là, l’orgie nocturne était assurée.

La première nuit fut chaude dans tous les sens du terme, 25°C au thermomètre et tous les huit nous étions bien excités, le fait de nous retrouver tous ensemble, loin de tout… Et prêts à tout !
Ce fut d’abord un bain de minuit qui dura près de deux heures, à poil à la lueur des étoiles… C’était divin et jouissif !
Les galoches se roulaient, les palpations de cul et de queues, les pipes goulues et gourmandes et pour certains… la sodomie en prime !
Ce fut mon cas avec Boris, en effet il me doigtait depuis un bon quart d’heure dans l’eau, puis c’est moi qui me suis agenouillé pour le sucer, il bandait très fort le salaud, je lui prenais les couilles en bouche, il adore ça ce petit pédé, je repris la fellation de son membre, l’eau nous coulait entre les cuisses, puis après dix minutes de pompage gourmand je lui dis :
- Prends-moi Boris, je la veux en moi maintenant, prends-moi je t’en prie !
Boris ne s’est pas fait prier deux fois, il me retourna, je me mis en levrette dans l’eau qui m’arrivais à mi-cuisses, la tête au ras de l’eau et le cul en l’air… Un tableau estival en semi-nocturne très apprécié et commenté par toute cette bande de pédés qui nous entourait.
- « Vas-y mets lui profond… », « C’est sa première queue de la semaine… », « Bourre-lui la chatte… », « Elle mouille plus que la rivière cette chienne de Corentin… », « On en veut pour notre argent… », « Ramone-lui les entrailles… », « Éclate-lui l’anus… ».
Face à ce public déjà conquis et ces remarques verbales qui n’étaient pas faites dans la dentelle… Boris m’emmancha son pieu dans mon trou dilaté par l’excitation de me faire prendre face à mes potes en transe… Humm comme c’était bon de se faire prendre à quatre pattes dans l’eau encore tiède… Ses vas et vient me ramonent bien, il baise comme un dieu notre Boris, il joue souvent l’actif de service… Nous aimons tous nous faire enculer par lui, il est à la fois doux et viril… mon cul est aux anges…
Soudain je vois notre cadet Nathan s’approcher face à moi, la bite bien raide… Et il vient me la mettre en bouche pour ne rien perdre de l’action en cours, je lui pompe la queue avec gourmandise, il n’a pas une grosse queue mais elle est belle et son prépuce est attirant, ses burnes rasées de près battent sur mon menton… J’adore ! Une queue en bouche et l’autre dans le fion, on ne peut demander mieux en ce début de vacances… et l’eau tiède de la rivière qui me caressait la peau.
Boris, qui n’avait pas mis de capote, continuait de me ramoner, il me signala par un gémissement de mâle en rut qu’il allait larguer son jus, il se retira et m’arrosa avantageusement le dos et la raie…
Tout le monde applaudit au vu des jets successifs qu’il rejetait de son gland bien décalotté.
Quant à Nathan il ne tarda pas à m’éjaculer en pleine bouche, je sentais les saccades de sperme se projeter au fond de ma glotte, je l’ai sucé jusqu’à la dernière goutte et avalé son nectar un peu sucré, c’est mon péché mignon… J’adore avaler le sperme, je suis le seul de l’équipe à ne jamais recracher ce nectar, je suis fier de pouvoir dire que j’ai consommé sans modération le jus de tous mes potes… la gourmandise ça ne se contrôle pas !!!
Pour finaliser cette prise en sandwich, tous les trois nous sommes roulés des pelles bien fournies en trio… Nous étions bons pour reprendre un bain complet dans la rivière.

Comme je l’ai dit, nos tentes Quechua étaient des deux places et c’est donc par roulement que nous changions ou de tente ou de partenaire, ainsi la monotonie ne pouvait pas s’instaurer entre nous.... des tantes dans les tentes !!!
Certaines nuits les gémissements ou les cris de plaisir qui s’échappaient d’une tente venaient en complément du clapotis de l’eau de la rivière sur les galets et les cricris des grillons.

Un après-midi nous avions décidé de faire le jeu des anneaux… On doit lancer des anneaux en mousse en direction de la queue tendue d’un de nos potes. Évidemment il est nécessaire que le pote en question bande suffisamment longtemps… mais nous avions trouvé le truc pour assurer une bandaison soutenue, ce jour là, c’est Charley qui présentait sa queue bien bandée mais pour assurer qu’elle durerait assez longtemps tendue le temps de la partie, Paul était derrière lui, et si la pine de Charley montrait des signes de faiblesse, Paul venait soit lui brouter le cul ou le doigter afin de remettre 100 balles dans le business et ainsi la queue de Charley rebandait de plus belle !... La partie pouvait se poursuivre sans soucis.
Nous avons donc tous lancé les anneaux de mousse afin qu’ils s’empalent sur le sexe bien bandé de Charley. Le plus doué de tous fut Rémi qui a réussi 100% des lancés.
Sa récompense fut de faire une fellation d’environ un quart d’heure à Charley... Qui a fini par cracher sa purée dans la bouche de son pompeur, j’ai fait des photos superbes en noir et blanc de cette pipe endiablée.

Le mardi matin nous avions décidé de partir sur le PR pour une rando-nue d’environ quatre heures sur ce circuit balisé qui longe en grande partie l’Ardèche. A neuf heures du matin, les huit randonneurs équipés des chaussures de marche et sacs à dos remplis de victuailles et de crème solaire étaient sur le pied de guerre, la règle était claire, tous à poil et nous laissions tous nos vêtements au camp de base, le seul textile possible… Le couvre-chef (Bob, casquette, chapeau).

Randonner à poil est super agréable, d’abord on apprécie lorsqu’on est derrière le groupe de voir ces petits culs se dandiner sous les sacs à dos et de face le spectacle des queues et des couilles qui ballotent au rythme des déclivités et des imperfections du sol… Hummm un régal.

Le soleil commençait à donner et nos corps prenaient les rayons comme une offrande du ciel, nous allions prendre des couleurs ! Nous faisions des haltes au bord de la rivière pour s’enduire de crème, boire un coup, pisser ou grignoter et parfois c’était une halte pour se baigner dans l’eau tiède. Un bonheur total. Après deux heures de marche, nous croisons un jeune couple de randonneurs… habillés qui s’est trouvé surpris par nos quequettes à l’air, ils nous ont regardés bizarrement puis se sont mis à rire en nous souhaitant une bonne balade.

A l’heure du repas, nous nous sommes arrêtés dans un coin ombragé et aménagé naturellement de troncs d’arbre coupés, nous nous sommes restaurés puis allongés pour un temps de repos mérité. Moins d’un quart d’heure après notre mini sieste, nous entendons du bruit à proximité sans repérer son origine… puis nous voyons deux mecs d’une trentaine d’années s’approcher lentement vers nous, tous deux en shorts très courts, l’un des deux étant même exagérément moulant, tee-shirt et sacs à dos.
Ils semblaient surpris et plutôt satisfaits de découvrir ce camp de nudiste improvisé que nous représentions, en effet ces deux mecs découvraient huit jeunes mâles à poil allongés dans ce sous-bois…. Après discussion ils nous disent leurs surprises et surtout leur plaisir de nous voir ainsi, ils nous révèlent être homos tous les deux, adeptes de naturisme comme nous et pratiquent parfois la rando-nue dans le sud de la France lorsqu’ils rejoignent leurs amis.

Rapidement et sans se faire prier, ils font tomber leurs sacs à dos, quittent leurs tee-shirts humide, font tomber leurs shorts, les voilà presque nus l’un en jock noir et blanc et l’autre en mini slip rouge, les sous-vêtements ne mettent pas longtemps à tomber eux aussi. Nous étions maintenant dix mecs à poil… eux étaient bien foutus et bronzés intégral, inutile de vous dire que nous n’avons pas tardé à nous caresser, nous embrasser et nous branler mutuellement, ce petit jeu à bien duré une demi-heure, puis rapidement ils se sont agenouillés l’un à côté de l’autre, nous avons formé un cercle pour les entourer, nos queues à hauteur de leurs bouches et rapidement ils se sont mis à nous sucer l’un après l’autre, tout en se caressant la queue ils engouffraient nos membres raides, ils nous palpaient les couilles de façon experte, parfois leurs doigts s’égaraient dans nos anus, nous étions franchement en transe tous, se délectant à vivre ce cérémonial improvisé, chacun de nous embrassait son voisin, nos deux compagnons qui se prénommaient Eric et Sébsastien se roulaient pelle sur pelle en alternant avec les pipes qu’ils nous prodiguaient, il était évident qu’ils étaient experts dans le domaine, soudain quatre randonneurs passent près de nous, nous ne les avions pas entendus arriver tellement nous étions comme absorbés par nos fellations divines, ils ont ralenti pour profiter du spectacle insolite qu’on leur offrait, l’un des randonneurs a même osé une photo avec son i-phone, puis ils ont poursuivi leur route en nous souhaitant un bon après-midi, s’éloignant ils se sont retournés plusieurs fois pour prolonger leur curiosité.

Nos dix queues étaient super tendues, aucun d’entre nous n’avait cependant éjaculé, peut-être limite pour certains dont les glands brillaient de liquide pré séminal, mais cette situation devenue intenable a rapidement évolué, nos deux visiteurs se sont mis en levrette réclamant une pénétration immédiate, leurs rosettes étant toutes deux bien ouvertes… Sébastien avait sorti une grosse boite de capotes à disposition de qui voulait en enfiler une. Charley et Arnaud ne se sont pas fait prier et se sont mis en devoir de pénétrer ces deux chiennes en chaleur après avoir enfiler un préservatif, mais évidemment ces deux baises en appelaient d’autres, ainsi Tristan, Rémi et moi nous sommes mis en position de bonnes salopes soumises, écartant nos cuisses et nos queues raides pour recevoir les membres bandés de Boris, Paul et Nathan qui bavaient déjà de nous enculer, entre nous les capotes ne sont jamais utilisées, c’est un véritable baisodrôme forestier qui venait de se mettre en place, les gémissements de cinq salopes soumises en train de se faire mettre par cinq actifs en transe, les cris devaient s’entendre assez loin, la chaleur ambiante mélangée à la chaleur des culs et des verges en furie participaient à une émulation entre nous, encore plus excités de baiser ensemble, de gémir mutuellement… les coups de boutoir dans ces culs tendus et ses couilles venant taper les fesses de ces chiennes chauffées à blanc, nous entendons chacun des enculeurs râler presque en même temps au moment où ils larguaient leur purée pour certains en se retirant du corps de leur partenaire en giclant par saccades dans la raie du cul honoré ou sur le sol tapissé de feuilles mortes et d’autres en inondant les entrailles de leur salope de leur sperme chaud et abondant et pour Charley et Arnaud après avoir virés leur capotes.

Quelle bonne et belle baise nous avons vécu avec nos invités inattendus, ils nous ont remerciés par des embrassades chaudes et fournies, cette rencontre insolite et improbable fut un véritable défouloir sexuel qu’ils n’oublieront pas !
Nous nous sommes tous retrouvés à nous baigner dans la rivière pour reprendre nos esprits, laver nos corps mêlés de sueur et de sperme et nous rouler quelques bonnes pelles bien baveuses en guise de remerciements et reconnaissance.

Eric et Sébastien ont renfilé leurs vêtements, pris leurs sacs à dos et ont continués leur chemin, nous nous sommes promis de reprendre contact dans les prochains mois en imaginant qu’une nouvelle rencontre chaude pourrait se profiler en région parisienne… Sait-on jamais ?

Heureux de notre sortie rando-nue nous rentrions la queue détendue au camp de base pour la fin de journée.

Pour compléter ce récit sympathique de nos souvenirs débridés dans l’Ardèche, un soir de la deuxième semaine où il faisait chaud encore à 22h j’avais émis l’idée de tirer au sort pour que l’un d’entre nous soit notre « Jouet » pour la fin de soirée, l’idée fut agréée par tous car nous aimions nous soumettre au groupe sans état d’âme.

Après un tirage au chapeau, c’est Arnaud notre « Fashion-boy » qui fut l’heureux élu, il sera le « Jouet » de tous nos délires ou désirs sans rechigner !

Nous avions fait un petit feu de camp et étions installés sur nos troncs d’arbres, nous avions décidés d’un commun accord que nous serions tous vêtus d’un unique tee-shirt et le cul à l’air… On ne discute jamais le règlement !!!
Seul Arnaud, l’heureux élu, devrait revêtir un sous-vêtement de son choix et un tee-shirt large sachant que les vêtements qui lui étaient attribués avaient déjà bien vécus voire usés, nous prévoyons tous d’en apporter à chacune de nos sorties pour nos jeux qui parfois dégénèrent au détriment de nos vêtements ou sous-vêtements.

Arnaud arrive en boxer noir bien moulé comme il aime et un vieux tee-shirt blanc élimé à l’effigie d’un mouvement LGBT, il se place au centre de notre cercle près du feu de camp, je commence en expliquant que chacun d’entre nous va utiliser la paire de ciseaux que j’ai apporté en découpant une amorce dans son tee-shirt et une dans son boxer, ce qui fera 14 prédécoupes au total dans ces vêtements. Après que chacun ai assuré une lacération bien placée et sans le blesser, nous nous mettons debout et l’entourons en le poussant de l’un à l’autre comme une balle et à chaque fois chacun y va de continuer de déchirer ses vêtements à partir des entailles pratiquées, il ne tarde pas à se retrouver en lambeaux le cul presque à l’air, le tee-shirt qui ne tient plus que par le tour de cou et son sexe pratiquement totalement dégagé et à demi bandé… ce spectacle est hyper excitant chacun n’hésitant pas à se palucher pour satisfaire l’excitation collective que notre « Play boy » dégagait, à moitié à poil et en lambeaux.
Nous avions préparé des petits papiers avec chacun de nos prénoms et un autre paquet de petits papiers exigeant une action coquine.

Arnaud tire le premier prénom qui désigne Paul et tire ensuite une action : « X doit te lécher le cul »… Paul sans discuter s’agenouille derrière Arnaud, écarte les lambeaux de tissus et commence à lui lécher la raie, ce petit salaud tendant son cul de salope et écartait les fesses avec ses mains afin que Paul cible bien son trou, cette séance de lèche a duré un bon quart d’heure et le cul d’Arnaud brillant de mouille et de bave. Je vous passe les commentaires qui fusaient du genre « Lèche-le bien profond », « Nettoie-lui la raie », « Mets-lui ta langue bien profond »… Paul avait assuré avec brio cette dégustation anale.
Arnaud tira un nouveau prénom c’est sur le cadet de l’équipe, Nathan que le sort est tombé, il tira ensuite une action : « Roule une pelle baveuse et longue à ton partenaire », Arnaud entrepris de mettre toute son énergie buccale pour rouler une pelle mémorable à Nathan, ce dernier bandait comme un taureau durant toute cette séance d’embrassade fougueuse et baveuse, nous avons dû les arrêter dans leur élan, un filet de mouille pendait au bout de la queue raide de notre cadet… le résultat de l’embrassade avait agit sur la queue de notre petit jeune !
Arnaud repris un papier pour désigner Boris cette fois-ci, il tira une action : « Tu dois lécher les pieds et les couilles de ton partenaire les mains dans le dos », Boris se tenait près du feu de camp debout, il vira les lambeaux du boxer saccagé d’Arnaud et ce dernier vêtu de son tee-shirt dézingué se mit à lui lécher les orteils, les chevilles le dessous des pieds que Boris lui relevait, puis la langue d’Arnaud longea la jambe droite poilue de Boris pour arriver à son entrejambes, Boris qui était arrivé la queue pendante était maintenant en pleine ascension pour bander à son maximum, ses couilles se trouvant du coup bien dégagées pour la dégustation par notre boy-jouet, Arnaud y mettait beaucoup d’enthousiasme, les mains dans le dos il engouffrait la paire de couilles lisses et rasées de près de Boris, le « sucé » était aux anges d’autant que la langue d’Arnaud s’égarait vers son anus, c’était au-delà des testicules bien pleins, mais le spectacle ne devait pas être interrompu, après une longue période de suce des boules, Arnaud termina son numéro par un nettoyage parfait des deux pieds nus de Boris. Il eut droit aux applaudissements de tous.
Dans la foulée, il tira le prénom suivant, ce fut à mon tour d’assurer le duo coquin, il tira l’action… : « Tu dois faire avec ton partenaire un 69 sans que l’un ou l’autre n’éjacule »,
nous étions déjà tous un peu excités par les précédents exercices, la gestion de l’éjaculation commençait à devenir « challenging ». Je tire définitivement les bribes restantes du tee-shirt de mon pote pour le retrouver totalement nu, je vire le miens aussi afin d’être libres tous les deux de nos mouvements, tels des lutteurs près à se battre à poil sous les sifflets de cette bande de dégénérés qui se paluchaient sans vergogne depuis le début des festivités,
Nous nous mettons en position sur l’herbe rase à au moins cinq mètres du feu de camp car il nous chauffait bien les fesses…et pas que, Arnaud engouffra mes 17 cm dans sa bouche chaude et moi ses 16,5 d’un diamètre conséquent me remplissait la bouche jusqu’à la glotte, et nous commençons à nous pomper mutuellement sous les encouragements nourris de nos voyeurs qui bandaient tous comme des taureaux, des vrais pédés en mal de cul !
Arnaud me pompait avec vigueur, j’avais peur de lui larguer ma purée en pleine gorge, je lui ai fait signe de calmer son ardeur s’il ne voulait pas qu’on perde le challenge de conserver nos spermes respectifs dans nos bourses survoltées, je lui assurait des gorges profondes, son gland turgescent venait heurter ma glotte en saccade, sa queue veinée glissait merveilleusement dans la bouche, ses couilles venaient battre en rythme sur mon visage… c’était divin, de son côté Arnaud semblait prendre son pied avec ma queue en bouche, il en bavait de bonheur, à peine un quart d’heure s’était écoulé que nous nous retirions mutuellement avant de perdre notre deal, la purée n’était pas partie mais il n’aurait pas fallu cinq minutes de prolongation pour nous remplir nos bouches de jute abondante.

Chacun de nos voyeurs nous congratula de notre performance et surtout du spectacle bandant que nous venions de leur offrir gratuitement.

Après s’être remis de ce cunnilingus d’homme à homme, Arnaud tira un nouveau prénom… Charley allait être le prochain candidat à affronter notre « Fashion-boy », il tira une action… : « Ton partenaire doit te pisser dessus et tu devras avaler une partie de son urine », je sais qu’Arnaud n’est pas un grand amateur des séances « Uro » alors que Charley ne rechigne pas, c’est donc naturellement que notre « pisseur » qui avait comme chacun d’entre nous bu plusieurs canettes de bière se mit à uriner sans tarder sur le torse d’Arnaud qui était à ses genoux, puis le jet chaud vint caresser le visage et le crâne rasé d’Arnaud, Charley lui ordonna d’ouvrir la bouche et continua de déverser son urine chaude dans la bouche du récipiendaire, la bouche pleine se mit à déborder et Charley exigea qu’il avale la pisse, ce qu’Arnaud fit malgré sa réticence, tous se mirent à applaudir, le pari était relevé !
La séance terminée, Arnaud s’est un peu vengé en exigeant de Charley qu’il se fasse pisser dessus à son tour dans la bouche, Charley, qui est plutôt adepte de cette pratique, ne s’est pas fait prier… Il avala sa dose sans sourciller.
Tous les deux se sont essuyés le corps avec leur tee-shirt.

L’avant dernier tirage permit à Arnaud de se retrouver avec Rémi le plus discret d’entre nous, il tira l’action qui devait être mise en œuvre : « Tu dois sodomiser ton partenaire en position de levrette »
Tout le monde applaudi à la lecture de cette demande… Enfin une sodo !

Malgré sa timidité apparente Rémi se délectait à l’idée de chevaucher son pote Arnaud, et le fait de le pénétrer devant nous tous semblait bien l’exciter, le temps qu’Arnaud se mette en position de bonne chienne en chaleur, Rémi se branlait pour confirmer la raideur de son membre déjà bien bandé, Arnaud tendait son cul de salope en écartant exagérément les cuisses laissant apparaître son trou habitué au viol, Rémi se mis en position, s’étala un peu de gèle sur le gland et enduisit l’anus bien ouvert de son pote avec le doigt… tous excités par le spectacle imminent criaient leurs excitations : « Vas-y Rémi enfile-lui ton mandrin !», « Encule cette salope, il est chaud !», « Une vraie pute ce Arnaud ! », « Sois pas timide, impose ton dard ! », « Bande de pédés, chauffez-nous à donf !... », une ambiance digne des arènes grecques, Rémi sous ces incitations de voyeurs surchauffés introduisis sans protection, le cul de son pote sans problème, Arnaud nous assura une intro théâtrale en gémissant de plus en plus fort, et en se tortillant dans tous les sens, Rémi était déchainé, on voyait son membre assurer des vas et vient endiablés, sa queue parfois sortait et re-rentrait dans la chatte de sa petite lope de service, au bout de vingt bonnes minutes de limage incessant, Rémi annonça en gémissant « Attention je vais tout larguer ! » et là Arnaud entra en transe en recevant les jets successifs de sperme dans ses entrailles, Rémi sorti sa queue bien raide et continua d’éjaculer sur les fesses de son partenaire, les fesses et la raie d’Arnaud dégoulinaient de jute qu’il entreprit de lécher et d’avaler jusqu’à nettoyer parfaitement le cul de cette petite salope fraichement baisée jusqu’au fond de ses entrailles.
Évidemment les applaudissements des voyeurs que nous étions retentirent dans la nuit après cette sodomisation bien réussie qui avait encouragé nos branles respectives.
Le dernier à passer était Tristan notre beau blond bouclé, et là, il n’y avait plus d’action à tirer au sort, Arnaud avait à ce moment-là le privilège de choisir l’action lui même à réaliser avec son pote Tristan…
Il choisit de l’embrasser goulument en le caressant sur tout le corps, ils se branlèrent mutuellement et leurs membres ne tardèrent pas à se mettre à la verticale, ils se sucèrent par intermittence et Arnaud nous invita tous, en guise de clôture de ce jeu pervers qu’il avait apprécié, à terminer en nous demandant de nous caresser, nous branler, nous sucer, nous enculer sans réserve à la lueur des étoiles, des flammes et à la chaleur du feu de camp, nous avons continué nos ébats jusqu’à quatre heures du matin, la bière coulant à flots, nos corps se sont mêlés, embrassés, entrelacés, chevauchés, léchés dans la plus belle harmonie…tous ces corps de jeunes hommes nus aux couleurs dorées par les flammes étaient d’une beauté excitante et presque irréelle, quelle nuit d’extase mystique nous venions de connaître !

Nous partions nous coucher, épuisés mais enthousiasmés par nos ébats homosexuels, quel pied !

Le lendemain c’était le départ, nous avions tous la tête dans le c… mais les quinze jours étaient passés… mais quelles vacances sauvages, sexuellement débridées, sans tabous ni anicroches que nous nous promettions de revivre ensemble ici ou ailleurs, il nous restait de nombreux clichés volés çà et là pour nous rappeler ce séjour estival très gai…

Pardon, très gay !!!

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
quelles vacances de rêve...très bien raconté.

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quelles vacances de rêve ...et très bien raconté.



Texte coquin : Vacances débridées en Ardèche
Histoire sexe : Une rose rouge
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