VITE FAIT 02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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VITE FAIT 02
VITE FAIT 02
J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez …
Avec Pétard ( C'est à cause de sa coupe de cheveux qu'on l'appelle comme ça ). On s'est revu depuis cette rencontre dans la forêt. J'étais passé un voir, chez lui. Il était avec un ami, à boire une bière, il m'en proposait une.
Il nous présentait, Joss et moi. Joss était un beau gaillard, bien carré, bien trapu, bien poilu, taille moyenne, un peu plus petit que moi. En passant derrière moi, Pétard me prenait dans ses bras et me glissant une main dans le pantalon …
– Tu verrais la surprise qu'il cache le lascar.
Je tournais la tête vers Pétard et l'embrassais. Sa mains s'enfonçait dans mon pantalon, il me tripotait les couilles sans aucun ménagement. Il aime bien, même si ça fait un peu mal. Surtout que c'est pas à lui que ça fait mal.
– Je peux voir ? Demandait Joss.
Pétard glissait alors la main entre ma cage et mes couilles, les séparant bien, Joss attrapait mes couilles au travers de mon pantalon et les malaxais avec force. Je râlais, c'est vrai que lui aussi me faisait mal l'animal ;
– Bah il a deux grosses couilles … C'est tout ! Rajoutait Joss.
– Pas que, pas que … continuait Pétard.
Pétard ouvrait mon pantalon et le faisait tomber sur mes chevilles. Joss affichait un large sourire. '' J'adore ! '' disait-il. Puis il continuait à me tripoter les couilles avec encore plus de force.
– Je peux l'essayer ?
– Vas y je te le prête ! Lui répondait Pétard.
– Hééééé … ! Protestais-je .
Pétard m'embrassait et me disait seulement : ''Laisse le faire, tu vas aimer !'' . En deux gestes Joss était torse nue, un geste de plus et il était à poil. Il bandait, il en avait une grosse, trapu de la bite et même tout simplement costaud de la bite, une bite large et longue.
Je me penchais vers Joss qui était retombé sur le canapé. Pétard me tenait la tête pour m'encourager. J'ouvrais la bouche bien large, ça valait mieux car sa queue était large. Elle rentrais, difficilement mais elle rentrait. Je ne résistais pas, j'avais bien un peu protesté mais c'était pour la forme, pour le principe.
Je passait ma langue sur son gland, puis les lèvres. Joss gémissait de plaisir.
– Oui vas-y ! Prends la dans ta bouche.
Sa queue s'enfonçait. En fait moi je ne faisait rien sinon avec ma langue, j'ouvrais bien la bouche, il fallait que ça passe. Je caressais sa queue avec ma langue, lui ne faisait rien il se laissait faire. Je relevais la tête, sa queue ressortait, je continuais à la sucer avec ma langue. Pétard appuyait sur ma tête et la queue de Joss entrait de nouveau, toujours un peu plus, toujours un peu plus profond.
Je sentais la queue de Joss s'écraser contre ma glotte et je me disais que ça ne passerait pas, j'ai cru vomir. Mais Pétard à relevé ma tête juste avant, il m'a laissé le temps de récupérer puis de nouveau il appuyait un peu plus fort encore. Ça a passé, j'ai senti sa queue m'écraser la glotte et s'enfoncer encore un peu plus loin. C'était à la fois bon et effrayant. Dans cette position je ne pouvais plus respirer mais Pétard me relevait la tête toujours à temps.
J'avais renoncer à contrôler la situation. Je les laissais faire, je me contentais seulement sur le contrôle de ma respiration et sur le plaisir que je lui donnais. Une queue pareil qui appuie au fond de la gorge c'est pas vraiment agréable mais je suis passif et j'aime bien donner une bonne impression, surtout au premier contact. Je ne tentais pas de résister, sauf si ça allait trop loin, mais là Pétard le devinait et me donnait un peu d'air …
Joss jusque là n'avait rien fait il était resté là à me regarder, il affichait un large sourire que je pouvais voir quand Pétard me relevait la tête. Mais là il commençait à s'énerver et me balançait des coups de bassin dans la bouche. Il me baisait par la bouche, sans ménagement. À chaque fois sa queue me pénétrait, je la sentais qui forçait le passage, c'était un gros morceau à avaler.
Il était bien à fond quand il a crié, il a juté à ce moment et j'ai senti ma gorge se remplir de sa sève. Je ne savais même plus si c'était agréable ou pas, j'étais sonné.
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez …
Avec Pétard ( C'est à cause de sa coupe de cheveux qu'on l'appelle comme ça ). On s'est revu depuis cette rencontre dans la forêt. J'étais passé un voir, chez lui. Il était avec un ami, à boire une bière, il m'en proposait une.
Il nous présentait, Joss et moi. Joss était un beau gaillard, bien carré, bien trapu, bien poilu, taille moyenne, un peu plus petit que moi. En passant derrière moi, Pétard me prenait dans ses bras et me glissant une main dans le pantalon …
– Tu verrais la surprise qu'il cache le lascar.
Je tournais la tête vers Pétard et l'embrassais. Sa mains s'enfonçait dans mon pantalon, il me tripotait les couilles sans aucun ménagement. Il aime bien, même si ça fait un peu mal. Surtout que c'est pas à lui que ça fait mal.
– Je peux voir ? Demandait Joss.
Pétard glissait alors la main entre ma cage et mes couilles, les séparant bien, Joss attrapait mes couilles au travers de mon pantalon et les malaxais avec force. Je râlais, c'est vrai que lui aussi me faisait mal l'animal ;
– Bah il a deux grosses couilles … C'est tout ! Rajoutait Joss.
– Pas que, pas que … continuait Pétard.
Pétard ouvrait mon pantalon et le faisait tomber sur mes chevilles. Joss affichait un large sourire. '' J'adore ! '' disait-il. Puis il continuait à me tripoter les couilles avec encore plus de force.
– Je peux l'essayer ?
– Vas y je te le prête ! Lui répondait Pétard.
– Hééééé … ! Protestais-je .
Pétard m'embrassait et me disait seulement : ''Laisse le faire, tu vas aimer !'' . En deux gestes Joss était torse nue, un geste de plus et il était à poil. Il bandait, il en avait une grosse, trapu de la bite et même tout simplement costaud de la bite, une bite large et longue.
Je me penchais vers Joss qui était retombé sur le canapé. Pétard me tenait la tête pour m'encourager. J'ouvrais la bouche bien large, ça valait mieux car sa queue était large. Elle rentrais, difficilement mais elle rentrait. Je ne résistais pas, j'avais bien un peu protesté mais c'était pour la forme, pour le principe.
Je passait ma langue sur son gland, puis les lèvres. Joss gémissait de plaisir.
– Oui vas-y ! Prends la dans ta bouche.
Sa queue s'enfonçait. En fait moi je ne faisait rien sinon avec ma langue, j'ouvrais bien la bouche, il fallait que ça passe. Je caressais sa queue avec ma langue, lui ne faisait rien il se laissait faire. Je relevais la tête, sa queue ressortait, je continuais à la sucer avec ma langue. Pétard appuyait sur ma tête et la queue de Joss entrait de nouveau, toujours un peu plus, toujours un peu plus profond.
Je sentais la queue de Joss s'écraser contre ma glotte et je me disais que ça ne passerait pas, j'ai cru vomir. Mais Pétard à relevé ma tête juste avant, il m'a laissé le temps de récupérer puis de nouveau il appuyait un peu plus fort encore. Ça a passé, j'ai senti sa queue m'écraser la glotte et s'enfoncer encore un peu plus loin. C'était à la fois bon et effrayant. Dans cette position je ne pouvais plus respirer mais Pétard me relevait la tête toujours à temps.
J'avais renoncer à contrôler la situation. Je les laissais faire, je me contentais seulement sur le contrôle de ma respiration et sur le plaisir que je lui donnais. Une queue pareil qui appuie au fond de la gorge c'est pas vraiment agréable mais je suis passif et j'aime bien donner une bonne impression, surtout au premier contact. Je ne tentais pas de résister, sauf si ça allait trop loin, mais là Pétard le devinait et me donnait un peu d'air …
Joss jusque là n'avait rien fait il était resté là à me regarder, il affichait un large sourire que je pouvais voir quand Pétard me relevait la tête. Mais là il commençait à s'énerver et me balançait des coups de bassin dans la bouche. Il me baisait par la bouche, sans ménagement. À chaque fois sa queue me pénétrait, je la sentais qui forçait le passage, c'était un gros morceau à avaler.
Il était bien à fond quand il a crié, il a juté à ce moment et j'ai senti ma gorge se remplir de sa sève. Je ne savais même plus si c'était agréable ou pas, j'étais sonné.
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