VITE FAIT 04
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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VITE FAIT 04
VITE FAIT 04
J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez …
Pétard appuyait sur ma tête, il m'obligeait à avaler sa queue, il était très en forme, il ne cachait pas qu'il aimait bien finalement voir ma queue en cage. À chaque fois que je le voyais, je portais le dispositif. En fait je l'avais sur moi en permanence …
Il m'en avait souvent parlé au début mais par la suite c'était devenu normal pour lui. Et je pense que ça l’excitait, de voir ma queue confinée comme un saucisson, par certains côté ça faisait penser à un saucisson.
Joss ne me tripotait plus les couilles, j'appréciais bien, ça me reposait un peu. Mais ma queue continuait à protester de toutes ses forces. C'est vrai que souvent quand elle proteste comme cela elle fait penser à un saucisson.
Je relevais et appuyait ma tête et la queue de Pétard entrait et ressortait de a bouche. Je la caressait avec ma langue, je la suçais du mieux que je savais faire, et je sais faire. Les gémissements de Pétard le confirmaient.
Sans prévenir il me maintenait la tête contre lui et me balançait un violent coup de bassin. Sa queue s'écrasait contre ma glotte, et même encore un peu plus profond. Par réflexe je relevais la tête mais il m'en empêchait avec les deux mains, il y mettait de la force.
De nouveau mon visage s'écrasait contre son ventre. Sa queue s'écrasait contre le fond de ma gorge, ma glotte était dépassée, sa bite rentrait tellement profondément, qu'on pouvait la sentir en appuyant doucement sur mon cou. C'était terrible, mais je commençais à aimer ça. Au début la gorge profonde ça fait tout drôle, on a envie de vomir.
Avec Pétard je commençais à en avoir l'habitude. Sa queue était de belle taille mais je m'y étais habitué. Plus gros, comme la queue de Joss, là oui c'est sûr, j'avais eu du mal mais je me disais que j'y travaillerai, s'il m'y autorise j'y travaillerai.
J'étais concentré sur mon ouvrage, faire plaisir à Pétard lui donner du plaisir. Depuis que je l'avais rencontré, à chaque fois qu'on se voyais il me baisait, me laissait le sucer ou me partageait avec ses copains. En sa présence il décidai. Quand j'étais seul, c'est moi qui décidait.
Il me retenait la tête et me balançait des coups de bassin, des coups de bite de plus en plus rapides et de plus en plus violents. Je faisais des bruits bizarres qui semblaient amuser Pétard autant que son copain Joss. Qui se rappelait à mon bon souvenir en me donnant une claque sur la fesse de temps en temps.
A chaque coup de bassin je voulais relever la tête, à chaque fois Pétard appuyait plus fort sur ma tête, il prévenait ainsi toute évasion. Je pouvais toujours me dégager si je l'avais vraiment voulu, mais de plus en plus j'aimais me prendre la queue de Pétard dans la gorge.
Ce que j'aime par dessus tout c'est de me prendre la queue de Pétard dans le cul. Il le sait l'animal et comme il est sympa, après il me fait plaisir, surtout si je l'ai comblé.
Quelques instants plus tard, il ne me retenait plus la tête quand il me balançait un coup de bite, il appuyait sur ma tête de toutes ses forces. Ça me faisait tout drôle, la sensation était terrible, pas agréable mais vraiment terrible, j'adore ...
C'est le réflexe qui me faisait me rétracter quand je prenais le coup, mais entre deux coups, même violents, c'est moi qui en rajoutais, c'est moi qui y retournait et s'il tentait de se retirer je me cramponnais à lui.
Ça l'amusait toujours de me voir faire, ça l'amusait tellement que par moment, comme ce jour là, il appuyait de toutes ses forces et me balançait des coup de bassin avant de me retenir avec une main sur mon front puis l'autre sur sa queue pour m'empêcher d'y retourner. Pris par surprise je me laissais avoir à chaque fois.
Je relevais la tête et le regardais dans les yeux. Il rigolait, j'étais en larme mais ce n'était pas par tristesse. C'était l'effort !
J'étais essoufflé, je voulais y retourner. Il m'en empêchait !
– On fait une pause ! Tiens prends une bière.
Ça faisait des mois que j'avais la queue sous clé, seul, c'est une manière de vivre mais avec un compagnon régulier, c'est tout autre chose. Chaque fois que je touche sa queue, la mienne se révolte et la frustration devient agréablement affolante .
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
J'ai eu l'idée d'une nouvelle série de textes courts, différents de ce je fais d'habitude. N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez …
Pétard appuyait sur ma tête, il m'obligeait à avaler sa queue, il était très en forme, il ne cachait pas qu'il aimait bien finalement voir ma queue en cage. À chaque fois que je le voyais, je portais le dispositif. En fait je l'avais sur moi en permanence …
Il m'en avait souvent parlé au début mais par la suite c'était devenu normal pour lui. Et je pense que ça l’excitait, de voir ma queue confinée comme un saucisson, par certains côté ça faisait penser à un saucisson.
Joss ne me tripotait plus les couilles, j'appréciais bien, ça me reposait un peu. Mais ma queue continuait à protester de toutes ses forces. C'est vrai que souvent quand elle proteste comme cela elle fait penser à un saucisson.
Je relevais et appuyait ma tête et la queue de Pétard entrait et ressortait de a bouche. Je la caressait avec ma langue, je la suçais du mieux que je savais faire, et je sais faire. Les gémissements de Pétard le confirmaient.
Sans prévenir il me maintenait la tête contre lui et me balançait un violent coup de bassin. Sa queue s'écrasait contre ma glotte, et même encore un peu plus profond. Par réflexe je relevais la tête mais il m'en empêchait avec les deux mains, il y mettait de la force.
De nouveau mon visage s'écrasait contre son ventre. Sa queue s'écrasait contre le fond de ma gorge, ma glotte était dépassée, sa bite rentrait tellement profondément, qu'on pouvait la sentir en appuyant doucement sur mon cou. C'était terrible, mais je commençais à aimer ça. Au début la gorge profonde ça fait tout drôle, on a envie de vomir.
Avec Pétard je commençais à en avoir l'habitude. Sa queue était de belle taille mais je m'y étais habitué. Plus gros, comme la queue de Joss, là oui c'est sûr, j'avais eu du mal mais je me disais que j'y travaillerai, s'il m'y autorise j'y travaillerai.
J'étais concentré sur mon ouvrage, faire plaisir à Pétard lui donner du plaisir. Depuis que je l'avais rencontré, à chaque fois qu'on se voyais il me baisait, me laissait le sucer ou me partageait avec ses copains. En sa présence il décidai. Quand j'étais seul, c'est moi qui décidait.
Il me retenait la tête et me balançait des coups de bassin, des coups de bite de plus en plus rapides et de plus en plus violents. Je faisais des bruits bizarres qui semblaient amuser Pétard autant que son copain Joss. Qui se rappelait à mon bon souvenir en me donnant une claque sur la fesse de temps en temps.
A chaque coup de bassin je voulais relever la tête, à chaque fois Pétard appuyait plus fort sur ma tête, il prévenait ainsi toute évasion. Je pouvais toujours me dégager si je l'avais vraiment voulu, mais de plus en plus j'aimais me prendre la queue de Pétard dans la gorge.
Ce que j'aime par dessus tout c'est de me prendre la queue de Pétard dans le cul. Il le sait l'animal et comme il est sympa, après il me fait plaisir, surtout si je l'ai comblé.
Quelques instants plus tard, il ne me retenait plus la tête quand il me balançait un coup de bite, il appuyait sur ma tête de toutes ses forces. Ça me faisait tout drôle, la sensation était terrible, pas agréable mais vraiment terrible, j'adore ...
C'est le réflexe qui me faisait me rétracter quand je prenais le coup, mais entre deux coups, même violents, c'est moi qui en rajoutais, c'est moi qui y retournait et s'il tentait de se retirer je me cramponnais à lui.
Ça l'amusait toujours de me voir faire, ça l'amusait tellement que par moment, comme ce jour là, il appuyait de toutes ses forces et me balançait des coup de bassin avant de me retenir avec une main sur mon front puis l'autre sur sa queue pour m'empêcher d'y retourner. Pris par surprise je me laissais avoir à chaque fois.
Je relevais la tête et le regardais dans les yeux. Il rigolait, j'étais en larme mais ce n'était pas par tristesse. C'était l'effort !
J'étais essoufflé, je voulais y retourner. Il m'en empêchait !
– On fait une pause ! Tiens prends une bière.
Ça faisait des mois que j'avais la queue sous clé, seul, c'est une manière de vivre mais avec un compagnon régulier, c'est tout autre chose. Chaque fois que je touche sa queue, la mienne se révolte et la frustration devient agréablement affolante .
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