VIVE LE SPORT

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : VIVE LE SPORT Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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VIVE LE SPORT
VIVE LE SPORT


On peut le voir, on peut le lire un peu partout depuis quelques mois, de plus en plus de sportifs utilisent un dispositif de chasteté pour augmenter leurs performances sportives.

C'est pas vraiment du dopage et c'est donc autorisé. En fait le but est de provoquer une frustration qui donnera plus d'énergie à dépenser.

Vous l'avez tous vu pour certains sport, la course par exemple. Qui ne s'est pas demandé ce que portaient les sportifs sous leurs tenues moulante. Avant on voyait leurs couilles et leurs bites mais maintenant on aperçoit une sorte de forme étrange, un peu comme un grillage ou quelque chose comme ça et des petite trucs qui dépassent …

Et bien vous avez remarqué le truc. Ne vous posez plus la question comme nombre d'entre nous se la posent encore. Comme je me la posait moi-même, bêtement, et pourtant je suis malin. C'est une cage à bite !

En natation c'est souvent très visible, l'autre jour je regardait le deux mille mètres nage mains libre en relais … Les nageurs avant de plonger montraient une jolie bosse au niveau de leur maillot de bain et sur les dix huit équipes participantes une seule n'exhibait pas des formes anguleuses.

Oui vous l'avez vu aussi, c'est celle qui est arrivé en dernier !

Mais bon, là, c'était uniquement des professionnels. Mais voyez-vous, l'autre jour j'étais allé à la piscine et il y avait un groupe qui était venu s'entraîner. Pas des pros mais, un club quoi, enfin c'étaient des bons quand même.

Tranquilles, ils se changeaient et tous, oui je dis bien tous portaient un de ces trucs. Ça se voyait bien au moment ou ils se sont mis à poil, là on ne voyait que cela.

Je me suis fait tout petit.

Mais une fois en tenue, ça se voyait toujours bien, très bien même. Là je vous jure, je ne savais plus ou me mettre, surtout que pour moi aussi, ça se voyait bien.

Enfin moi je bandais, c'est pas la même chose !

Je ne suis finalement sorti des vestiaire que plus tard, le temps de me calmer. Je les regardais de loin, je les observais sans comprendre. Ils avaient l'air totalement détendus. C'est vrai que eux ne pouvaient pas avoir le petit déboire que j'avais eu. Ils ne risquaient pas de bander, ça c'est sûr.

Un peut plus tard, je décidais repartir de la piscine. Et encore, il y avait un autre groupe dans les vestiaires qui se changeaient. La encore, tous portaient un de ces trucs.

– Ça fait longtemps que tu le portes ? Demandait un des gars à son collègue.
– Six semaines bientôt !
– Tu sais, tes performances commence à le montrer.
– Je le sens bien. Mais je ne sens pas que ça.
– Pas facile tous les jours ?
– Non, il y a des jours ou c'est pas facile.

Dans mon coin je n'en revenais pas, ils portaient ce genre de truc sur de longues périodes alors. Là encore je me faisais tout petit, je ne me contrôlais plus, je bandais. Et je les voyais qui se déplaçaient de la douche à leurs armoires, ils étaient décontractés, leurs bites en cage m'allumaient la cervelle.

C'était tellement beau à voir, ils avaient des muscles un peu partout et cet objet, cet objet de torture peut être. Je ne sais pas si on peut l'appeler comme cela, ils ne semblaient pas en souffrir.

Les discussions continuaient.

– Tu en as changé tu m'avais dit ?
– Oui le premier n'était pas très confortable.
– C'était pas juste un problème de réglage ?
– Je sais pas, j'ai changé de dispositif et celui-ci me va très bien.

Ils étaient là, détendus, à poil. Moi j'étais dans mon coin, personne ne me remarquait. Et je vous jure que je faisais tout pour ne pas être remarqué. Vu que je bandais et de toutes évidence j'étais le seul à pouvoir le faire dans la salle, douches comprises.

– Et ta copine, elle le prend comment ?
– Elle adore !
– Non c'est pas vrai !
– Si je te jure, elle adore. Mais attention je dois tout de même penser à elle. Je suis obligé de lui faire des petits plaisirs …

Tout le monde se retournait vers celui qui venait de parler.

– Avec la langue ! Sinon elle me quitte, elle m'a dit.

Tout le monde éclatait de rire.

– Et … Raconte … Reprenait un autre gars
– Elle m'a dit que mon corps était à elle. Elle aime se glisser contre moi, elle me caresse, je lui en fait autant. Les baisers, nous commençons toujours de la même manière, nous nous échangeons des baisers de plus en plus chaud.
– Wouah ! C'est parce qu'on est épilé. Moi c'est pareil avec les filles, elles adorent me caresser.
– J'aime bien quand, allongé sur le dos elle me caresse avec tout son corps. Elle glisse sur moi et elle adore se masturber sur ma cuisse.
– Les filles, elles abusent !
– Elle savent que si nous on ne peut pas retirer notre dispositif de chasteté, elles ont le droit de s'amuser avec nous. Rajoutait un autre gars.

J'avais la tête en feu, ils étaient là nus, tranquilles, ils discutaient de leurs amours alors que justement le sexe leur était interdit.

– En fait ça stimule ! Rajoutait un des gars.
– Et si on ne jouit pas on garde toute cette énergie pour nous, on peut la libérer dans l'effort.
– Pour moi le plus frustrant c'est quand elle me demande de lui faire plaisir avec la langue.

Là plus personne ne disait plus rien. Ils devaient tous connaître cette situation.

– Tu commences par des baisers, juste les lèvres. C'est à peine si tu touches ta copine. Puis tu tournes tout autour, le ventre, les cuisses. Tu te rapproches de sa vulve, comme si tu cherchais ton chemin en lui donnant des baisers, par touches, par petits baisers. Puis tu finis par un petit bout de langue qui dépasse, qui la caresse.
– Il faut être très patient !
– Tu ne comptes pas à ce moment, tu ne comptes plus. C'est elle qui va éprouver du plaisir, c'est uniquement pour elle. Toi tu n'es qu'un instrument pour son plaisir.
– La mienne aime bien se masturber sur ma cuisse ! Elle s'allonge sur moi, et là, j'ai droit à tout. Rajoutait-il. Elle est nus, je suis presque nu. Il y a toujours ce petit truc que je ne peux pas retirer.

Les autres autour rigolaient en l'écoutant.

– Je ferme les yeux et là je sens son corps, sa poitrine qui s'écrase sur moi. Son corps est tellement doux, tellement chaud qu'on pourrait presque se brûler.
– Et toi tu ne fais rien ?
– Si, moi, je referme mes bras autour d'elle et je la caresse. Mais c'est surtout elle qui réagit. Elle aime bien prendre le contrôle, elle me chevauche une jambe. Elle se penche sur moi et me caresse le corps avec ses baisers.

Tous ses copains se retournaient vers lui. Il continuait.

– C'est le moment le plus terrible. Là dans ma cage ça travaille. Mon cœur bat vite et elle se frotte contre ma cuisse. Souvent elle aime me taquiner les couilles. Elle s'amuse avec ma cage, avec mes couilles. Moi je bande mais vous connaissez tous ça, on ne peut rien voir.
– Par contre on déguste ! Rajoutait un de ses camarades.
– Oui c'est frustrant, mais c'est là une source d'énergie incroyable. C'est à ça que je pensais pendant la dernière compétition. Et j'ai gagné, j'en voulais, j'avais la haine.

Ils se regardaient, tous ou presque sortaient, on voyait toujours parfaitement les formes de la cage sous leur maillot de bain. Seuls restaient les deux qui discutaient depuis un moment.

– Ensuite, continuait le gars, elle se frotte comme une chienne contre ma cuisse. Il m'arrive de trembler tellement j'ai envie de la prendre, mais je sais que c'est mieux si je reste sage. Et puis c'est pas comme si on avait le choix.
– C'est le coach qui garde tes clés ?
– Bein oui comme pour nous tous. Quand j'ouvre les yeux je peux la voir sa poitrine se balance sous mon nez. Ma queue proteste comme une folle dans sa cage. Par moment ça devient presque douloureux. J'ai l'impression que mon cœur va exploser.
– C'est chaud !
– Je n'ose même pas lui toucher les seins, j'ai peur que ça ne devienne encore pire.
– Frustrant !
– Tu peux pas imaginer. Et en plus elle n'a aucune pitié pour moi. Elle sait qu'elle a le droit et elle ne s'en prive pas.
– Toutes les même !
– Surtout certaines !
– Là tu abuses !
– Elle tente de me rendre fou de désir et c'est moi qui abuse. Non mais là j'y crois pas.

L'autre garçon rigolait. Je pouvais voir sa cage se relever, il enfilait son maillot de bain. Seules restaient visibles les formes de la cage. Mais elles restaient bien visibles par contre.

Le premier reprenait, là je le voyais de profil. Lui aussi avait la cage qui se relevait, il devait y avoir de la tension là dedans. Moi je bandais toujours, j'avais dans les yeux la scène qu'il racontait et je voyais moi aussi une fille se masturber contre ma cuisse. J'essayais de me faire le plus petit possible. Ils étaient tellement occupés qu'ils ne m'avaient pas, toujours pas remarqué.

– Elle ne se fatigue pas facilement la petite. Continuait le mec. Je la sentais vibrer de plaisir, il gémissait, elle criait même par moment. Je sentais le plaisir monter en elle jusqu'au moment ou elle s'effondrait sur moi. Elle était en sueur, elle m'avait utilisé comme un sex-toy, moi je ne me sentais pas forcément bien. Mais elle s'en moquait, elle était contente. Elle s'est allongé tout contre moi. Dans ma cage c'était la folie, la pression était intense. '' Tu devrait aller faire un petit footing ! '' Me disait-elle. Dix petit kilomètres. Je suis sorti, j'ai couru pendant plus de quinze kilomètres, au retour, j'ai pris une douche, je me suis glissé contre le corps chaud de ma copine, surtout sans la réveiller et là je me suis endormi.
– Et voilà, tu avais de l'énergie à dépenser, et après seulement quelques semaines, on le voit au niveau de ta musculature.

Le gars qui était toujours à poil finissait par enfiler son maillot de bain et ils se dirigeaient vers la sortie des vestiaires.

– Au fait ! Lançait une des deux gars. Toi là bas au fond dans ton coin, tu devrais penser toi aussi à porter un de ces dispositifs. Ça te ferait le plus grand bien, tu m'as l'air bien énervé.

Ça m'était destiné, c'est vrai que je bandais toujours, pourtant je vous jure que j'ai fait tout ce que je pouvais pour ne pas me faire remarquer …


Fin de l'Épisode



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