Woué c'est Philippe 01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Woué c'est Philippe 01
Woué c'est Philippe 01
J'arrivais tranquillement dans le bar et je m'installais à une table. On m’interpellait.
– Oh Charly ! T'es pas mort ?
Je relevais la tête, c'était Philippe, un gars que je connaissais depuis bien des années. On avait travaillé ensemble pendant plus de vingt ans et depuis son départ de l'entreprise on ne s'était pas revu, ça faisait pas loin de vingt ans. On se connaissait donc depuis … Attendez je sors ma calculette, vingt plus vingt … Ah oui quand même, ça ne nous rajeunissait pas tout ça. On n'avait pas plus de vingt ans à cette époque ce qui nous fait donc aujourd'hui … Bon ça je préfère ne pas le savoir.
Bein oui je me sens encore jeune moi !
Je lui répondais moi aussi avec un certain plaisir.
– Woué Philippe, c'est à toi qu'il faut poser question, la dernière fois que je t'ai vu tu était malade.
Je m'installais à sa table et il m'offrait un verre. On discutait longuement.
– Alors la retraite ? Lui demandais-je.
– Ouai depuis la semaine dernière et toi ?
– Dans deux mois.
– Tu travailles encore alors ?
– Ah non, ça non, maintenant je suis au chômage, comme tout le monde.
Il rigolait à mon commentaire.
– Alors tu t'es remarié depuis la dernière fois ?
– J'ai eu assez de mal à divorcer. Me répondait-il.
– C'est vrai qu'elle était pénible !
– C'est rien de le dire et toi toujours célibataire, tu n'as jamais trouvé l'homme de ta vie.
– Je suis trop difficile, je recherche l'homme idéal, et tu peux me croire ça ne court pas les rues.
On discutait de tout et de rien, ce qu'on était devenu chacun, de nos projets. On s'échangeait nos téléphones et deux heures plus tard, on se quittait.
J'étais content de l'avoir revu, il était bel homme et avait bien vieilli. Il savait que j'étais gay jamais ça n'avait posé le moindre problème, je ne lui avais jamais dit mais il me plaisait, enfin il aurait pu me plaire. Il était plus grand que moi de plus d'une tête et je m'étais toujours demandé si tout était dans le même rapport de proportion.
J'avais quelquefois remarqué une belle bosse au niveau de son pantalon, mais on sait que ça ne veut pas dire grand chose tant que le monsieur n'est pas en tenue lycra. Ou encore le teste de la douche, c'est un teste simple, il suffit de voir le monsieur sous la douche mais c'est souvent plus facile à dire qu'à faire au quotidien …
On s'est revu, un peu plus d'une semaine plus tard, tiens justement j'étais sous la douche, on frappait à la porte. Je m'y rendais en râlant et je laissais en même temps la marque humide de mes pas dans le couloir. J'avais une serviette autour de la taille, pour faire plus discret quand j'ouvrirais la porte. C'était lui, il pouffait de rire quand j'ouvrais la porte.
– Je te dérange ? Tu faisais le ménage !
– Non je ne faisais pas le ménage, mais entre ou sort, il fait froid.
Il entrait, je l'invitais à se servir une bière dans le frigidaire en retournant à ma douche. Je l'entendais il me demandait quelque chose.
– Tu sais là je suis sous la douche et je n'entends rien …
Il me répondait et je ne comprenait toujours pas ce qu'il racontait et c'est à ce moment que j'entendais clairement juste derrière moi.
– Mais qu'est ce que tu racontes, je ne comprends rien à ce que tu dis.
Là je sursautais et me retournais. Il était dans l'ouverture de la porte, le plus naturellement du monde, il avait une bière dans la main mais il m'a vu de face il n'a pas pu cacher sa surprise.
– C'est quoi ce truc ? Me demandait-il alors que ses yeux ressortaient de sa tête.
Il parlait de mon dispositif de chasteté. J'étais un peu gêné quand même. Puis je me disais que, au point ou on en était.
– Bah, c'est pour m'obliger à rester sage.
Il pouffait de rire mais c'était aussi pour cacher son malaise. Voyant que moi j'étais à l'aise, je cachais bien mon jeux, il ne bougeait pas et s'enfilait une gorgée de bière.
– Mais c'est …– Bein oui …– Et avec tu ne peux pas …– Bein non …
Il me regardait avec insistance, il ne pouvait pas tourner son regard.
– Tu en veux un aussi ? Lui demandais-je.
– Non mais tu rigoles. Il pouffait de rire de nouveau.
Au point ou j'en étais je continuais à me savonner.
– Ça fait pas mal ? Me demandait-il.
– Oh non !
– Mais pourquoi tu …– Pour découvrir de nouvelles sensations.
– Et ça marche ?
– Oh que oui …
Il restait là, apparemment perplexe. Mais je remarquais que ça ne le laissais pas indifférent. Il bandait, une bosse apparaissait dans son pantalon.
– C'est pas un truc de PD ça ?
– Non, pas uniquement ! Mais il faut être un peu fêlé et tu me connais.
C'en était trop pour lui sans doute, il repartait dans le salon ou je le retrouvais un peu plus tard. Il était assis sur le fauteuil et semblait pensif. Je m'étais habillé, il ne faut pas exagérer non plus. On a repris une autre bière.
– Alors tu fais quoi de ta retraite ? Lui demandais-je.
– Rien, je sais pas. Il avait l'air perdu dans ses pensées en me répondant.
– On pourrait faire un tour.
– Oui sans doute.
– On pourrait aller se baigner à la plage ? Je ne vous l'avais pas dit mais on était en décembre.
– Oui c'est une idée.
Bon de toutes évidences il était un peu retourné.
– Non mais ton truc …– Il est invisible même sous le maillot bain.
– Maillot de bain ?
– A la plage.
– Tu veux aller à la plage ?
– Non c'est toi !
– Moi ? Il me regardait visiblement sans comprendre.
Je rigolais de bon cœur et reprenais.
– J'ai l'impression que tu as du mal à suive ce qu'on te raconte là. C'est l'âge ?
– Ouai, c'est ton truc là …– Tu en veux un pareil ?
– Non , c'est pas ça . Me répondait-il avant de pouffer rire.
Il marquait une courte pause puis reprenait.
– Ça fait pas mal ?
– Bah toujours pas !
– Je trouve ça excitant.
– C'est la première fois que je t'excite ?
Là il pouffait de rire.
– T'es con ! … Il reste de la bière ?
Je me levais et allais en chercher deux dans le réfrigérateur.
– C'est totalement invisible ton truc !
– Et même sous un maillot de bain, c'est très discret. Lui répondais-je.
– C'est quand même un truc de fou, mais ça marche comment ?
Je lui expliquais rapidement le mode de fonctionnement. Je le remarquais bien maintenant, il bandait et n'était pas tout à fait à son aise.
– Bon je te montre !
Je baissais mon pantalon, et lui montrait. Il regardait avec un regard étrange.
– Bon maintenant tu me montres ?
– Mais j'ai rien moi ! Me répondait-il.
– Tu bandes là, c'est moi qui te fait bander, tu fais voir dis ?
Il faisait un large sourire narquois puis se relevais.
– Bon de toutes façons tu ne pourras pas profiter de mon cul alors. Il ouvrait son pantalon et le baissait. Là je ne vous cacherai pas qu'il m'a surpris.
Il en avait une belle, il bandait bien. J'étais resté assis sur le fauteuil et j'avais sa grosse bite à l'horizontale devant moi.
– Alors tu en penses quoi.
– Faut voire …
Il me regardait avec une allure fier.
– On peut toucher ? Lui demandais-je en approchant.
Je l'entendais rigoler à cette question. J'approchais alors mon visage et prenait sa queue dans ma bouche. Je l'ai senti se contracter sous l'effet de la surprise puis il s'est détendu. Là il ne rigolait plus.
Je l'ai sucé pendant un long moment, il gémissait de plaisir. Sa queue pourtant de belle taille rentrait complètement jusqu'au fond de ma gorge. Et quand son ventre s'écrasait contre mon visage. Je prenais ses mains et le posais sur ma tête. Il comprenait le message et me retenait rapidement avec force. Puis il prenait les initiatives. Il me tirait vers lui, il me donnait des coups de bassin.
Je faisais une pose, je me retirais, il me retenait puis finissait par me lâcher.
– Alors ! Lui demandais-je.
– Alors, tu fais ça bien. Aucune fille ne m'avais jamais fait ça aussi bien.
– Et il y en a eu beaucoup ?
– Ma femme, une fois …
Je pouffais de rire, il rigolait aussi mais il ne débandait pas. Je reprenais.
De nouveau je prenais sa queue dans ma bouche, il finissait par s'asseoir les cuisses bien écartées. Je lui léchais les couilles tout en le masturbant avec douceur, je prenais bien mon temps, je faisais attention à ne pas le faire jouir, même si on n'est jamais à l'abri d'une surprise.
Je l'ai senti se contracter quand je lui gobais les couilles. J'en faisais rouler une dans ma bouche, elle ressortait et c'est l'autre qui rentrai puis j'en revenais à sa queue.
Moi qui aime bien sucer les belles grosses queues j'étais servi. Elle était également ferme, un peu plus large que la mienne qui est pourtant trapue, et nettement plus longue également, mais j'ai une longueur moyenne …
Je relevais la tête.
– Depuis qu'on se connaît, tu y avait déjà pensé ?
– Depuis que je sais que tu es gay oui plusieurs fois. Surtout depuis le soir ou tu m'avais emmené dans ce bar. Avec des Drag Queen.
Je le regardais, lui faisais un sourire et reprenais de nouveau sa queue dans ma bouche.
– Mais à l'époque, en fait, je me voyais surtout t'enculer.
– Ça aussi ta femme ne le faisait pas bien ?
– Ça elle n'a jamais voulu.
– Ah les filles tu sais …
Il rigolait à ma réponse, il me caressait les cheveux, appuyait sur ma tête. Il y allait avec douceur et c'était pas désagréable. Au bout d'un moment, je me relevais.
– Allez, a poil bonhomme, si tu veux m'enculer …
La surprise se lisait dans ses yeux mais il semblait partant …
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
J'arrivais tranquillement dans le bar et je m'installais à une table. On m’interpellait.
– Oh Charly ! T'es pas mort ?
Je relevais la tête, c'était Philippe, un gars que je connaissais depuis bien des années. On avait travaillé ensemble pendant plus de vingt ans et depuis son départ de l'entreprise on ne s'était pas revu, ça faisait pas loin de vingt ans. On se connaissait donc depuis … Attendez je sors ma calculette, vingt plus vingt … Ah oui quand même, ça ne nous rajeunissait pas tout ça. On n'avait pas plus de vingt ans à cette époque ce qui nous fait donc aujourd'hui … Bon ça je préfère ne pas le savoir.
Bein oui je me sens encore jeune moi !
Je lui répondais moi aussi avec un certain plaisir.
– Woué Philippe, c'est à toi qu'il faut poser question, la dernière fois que je t'ai vu tu était malade.
Je m'installais à sa table et il m'offrait un verre. On discutait longuement.
– Alors la retraite ? Lui demandais-je.
– Ouai depuis la semaine dernière et toi ?
– Dans deux mois.
– Tu travailles encore alors ?
– Ah non, ça non, maintenant je suis au chômage, comme tout le monde.
Il rigolait à mon commentaire.
– Alors tu t'es remarié depuis la dernière fois ?
– J'ai eu assez de mal à divorcer. Me répondait-il.
– C'est vrai qu'elle était pénible !
– C'est rien de le dire et toi toujours célibataire, tu n'as jamais trouvé l'homme de ta vie.
– Je suis trop difficile, je recherche l'homme idéal, et tu peux me croire ça ne court pas les rues.
On discutait de tout et de rien, ce qu'on était devenu chacun, de nos projets. On s'échangeait nos téléphones et deux heures plus tard, on se quittait.
J'étais content de l'avoir revu, il était bel homme et avait bien vieilli. Il savait que j'étais gay jamais ça n'avait posé le moindre problème, je ne lui avais jamais dit mais il me plaisait, enfin il aurait pu me plaire. Il était plus grand que moi de plus d'une tête et je m'étais toujours demandé si tout était dans le même rapport de proportion.
J'avais quelquefois remarqué une belle bosse au niveau de son pantalon, mais on sait que ça ne veut pas dire grand chose tant que le monsieur n'est pas en tenue lycra. Ou encore le teste de la douche, c'est un teste simple, il suffit de voir le monsieur sous la douche mais c'est souvent plus facile à dire qu'à faire au quotidien …
On s'est revu, un peu plus d'une semaine plus tard, tiens justement j'étais sous la douche, on frappait à la porte. Je m'y rendais en râlant et je laissais en même temps la marque humide de mes pas dans le couloir. J'avais une serviette autour de la taille, pour faire plus discret quand j'ouvrirais la porte. C'était lui, il pouffait de rire quand j'ouvrais la porte.
– Je te dérange ? Tu faisais le ménage !
– Non je ne faisais pas le ménage, mais entre ou sort, il fait froid.
Il entrait, je l'invitais à se servir une bière dans le frigidaire en retournant à ma douche. Je l'entendais il me demandait quelque chose.
– Tu sais là je suis sous la douche et je n'entends rien …
Il me répondait et je ne comprenait toujours pas ce qu'il racontait et c'est à ce moment que j'entendais clairement juste derrière moi.
– Mais qu'est ce que tu racontes, je ne comprends rien à ce que tu dis.
Là je sursautais et me retournais. Il était dans l'ouverture de la porte, le plus naturellement du monde, il avait une bière dans la main mais il m'a vu de face il n'a pas pu cacher sa surprise.
– C'est quoi ce truc ? Me demandait-il alors que ses yeux ressortaient de sa tête.
Il parlait de mon dispositif de chasteté. J'étais un peu gêné quand même. Puis je me disais que, au point ou on en était.
– Bah, c'est pour m'obliger à rester sage.
Il pouffait de rire mais c'était aussi pour cacher son malaise. Voyant que moi j'étais à l'aise, je cachais bien mon jeux, il ne bougeait pas et s'enfilait une gorgée de bière.
– Mais c'est …– Bein oui …– Et avec tu ne peux pas …– Bein non …
Il me regardait avec insistance, il ne pouvait pas tourner son regard.
– Tu en veux un aussi ? Lui demandais-je.
– Non mais tu rigoles. Il pouffait de rire de nouveau.
Au point ou j'en étais je continuais à me savonner.
– Ça fait pas mal ? Me demandait-il.
– Oh non !
– Mais pourquoi tu …– Pour découvrir de nouvelles sensations.
– Et ça marche ?
– Oh que oui …
Il restait là, apparemment perplexe. Mais je remarquais que ça ne le laissais pas indifférent. Il bandait, une bosse apparaissait dans son pantalon.
– C'est pas un truc de PD ça ?
– Non, pas uniquement ! Mais il faut être un peu fêlé et tu me connais.
C'en était trop pour lui sans doute, il repartait dans le salon ou je le retrouvais un peu plus tard. Il était assis sur le fauteuil et semblait pensif. Je m'étais habillé, il ne faut pas exagérer non plus. On a repris une autre bière.
– Alors tu fais quoi de ta retraite ? Lui demandais-je.
– Rien, je sais pas. Il avait l'air perdu dans ses pensées en me répondant.
– On pourrait faire un tour.
– Oui sans doute.
– On pourrait aller se baigner à la plage ? Je ne vous l'avais pas dit mais on était en décembre.
– Oui c'est une idée.
Bon de toutes évidences il était un peu retourné.
– Non mais ton truc …– Il est invisible même sous le maillot bain.
– Maillot de bain ?
– A la plage.
– Tu veux aller à la plage ?
– Non c'est toi !
– Moi ? Il me regardait visiblement sans comprendre.
Je rigolais de bon cœur et reprenais.
– J'ai l'impression que tu as du mal à suive ce qu'on te raconte là. C'est l'âge ?
– Ouai, c'est ton truc là …– Tu en veux un pareil ?
– Non , c'est pas ça . Me répondait-il avant de pouffer rire.
Il marquait une courte pause puis reprenait.
– Ça fait pas mal ?
– Bah toujours pas !
– Je trouve ça excitant.
– C'est la première fois que je t'excite ?
Là il pouffait de rire.
– T'es con ! … Il reste de la bière ?
Je me levais et allais en chercher deux dans le réfrigérateur.
– C'est totalement invisible ton truc !
– Et même sous un maillot de bain, c'est très discret. Lui répondais-je.
– C'est quand même un truc de fou, mais ça marche comment ?
Je lui expliquais rapidement le mode de fonctionnement. Je le remarquais bien maintenant, il bandait et n'était pas tout à fait à son aise.
– Bon je te montre !
Je baissais mon pantalon, et lui montrait. Il regardait avec un regard étrange.
– Bon maintenant tu me montres ?
– Mais j'ai rien moi ! Me répondait-il.
– Tu bandes là, c'est moi qui te fait bander, tu fais voir dis ?
Il faisait un large sourire narquois puis se relevais.
– Bon de toutes façons tu ne pourras pas profiter de mon cul alors. Il ouvrait son pantalon et le baissait. Là je ne vous cacherai pas qu'il m'a surpris.
Il en avait une belle, il bandait bien. J'étais resté assis sur le fauteuil et j'avais sa grosse bite à l'horizontale devant moi.
– Alors tu en penses quoi.
– Faut voire …
Il me regardait avec une allure fier.
– On peut toucher ? Lui demandais-je en approchant.
Je l'entendais rigoler à cette question. J'approchais alors mon visage et prenait sa queue dans ma bouche. Je l'ai senti se contracter sous l'effet de la surprise puis il s'est détendu. Là il ne rigolait plus.
Je l'ai sucé pendant un long moment, il gémissait de plaisir. Sa queue pourtant de belle taille rentrait complètement jusqu'au fond de ma gorge. Et quand son ventre s'écrasait contre mon visage. Je prenais ses mains et le posais sur ma tête. Il comprenait le message et me retenait rapidement avec force. Puis il prenait les initiatives. Il me tirait vers lui, il me donnait des coups de bassin.
Je faisais une pose, je me retirais, il me retenait puis finissait par me lâcher.
– Alors ! Lui demandais-je.
– Alors, tu fais ça bien. Aucune fille ne m'avais jamais fait ça aussi bien.
– Et il y en a eu beaucoup ?
– Ma femme, une fois …
Je pouffais de rire, il rigolait aussi mais il ne débandait pas. Je reprenais.
De nouveau je prenais sa queue dans ma bouche, il finissait par s'asseoir les cuisses bien écartées. Je lui léchais les couilles tout en le masturbant avec douceur, je prenais bien mon temps, je faisais attention à ne pas le faire jouir, même si on n'est jamais à l'abri d'une surprise.
Je l'ai senti se contracter quand je lui gobais les couilles. J'en faisais rouler une dans ma bouche, elle ressortait et c'est l'autre qui rentrai puis j'en revenais à sa queue.
Moi qui aime bien sucer les belles grosses queues j'étais servi. Elle était également ferme, un peu plus large que la mienne qui est pourtant trapue, et nettement plus longue également, mais j'ai une longueur moyenne …
Je relevais la tête.
– Depuis qu'on se connaît, tu y avait déjà pensé ?
– Depuis que je sais que tu es gay oui plusieurs fois. Surtout depuis le soir ou tu m'avais emmené dans ce bar. Avec des Drag Queen.
Je le regardais, lui faisais un sourire et reprenais de nouveau sa queue dans ma bouche.
– Mais à l'époque, en fait, je me voyais surtout t'enculer.
– Ça aussi ta femme ne le faisait pas bien ?
– Ça elle n'a jamais voulu.
– Ah les filles tu sais …
Il rigolait à ma réponse, il me caressait les cheveux, appuyait sur ma tête. Il y allait avec douceur et c'était pas désagréable. Au bout d'un moment, je me relevais.
– Allez, a poil bonhomme, si tu veux m'enculer …
La surprise se lisait dans ses yeux mais il semblait partant …
A suivre
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