Zone de recherches 04 Ric : Et de trois
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Zone de recherches 04 Ric : Et de trois
Zone de recherches 04
Ric : Et de trois
Je ne restais pas très longtemps avec eux, on n'avait pas besoin d'être six pour attraper des papillons de nuit. Je rentrais au campement et me couchais.
Je ne dormais pas depuis deux heures que j'entendais frapper doucement à la porte. C'était Ric, je ne m'attendait pas à le voir celui-là, bein oui les autres étaient en train d'attraper des papillons de nuit ou des insectes de nuit et c'était justement sa spécialité …
J'ai dit aux autres que je venais chercher quelque chose.
Et tu as besoin de quoi ?
Je voulais re voir, pour, heu te voir … oui c'est ça …
Il avait l'air un peu bizarre, je voyais bien qu'il ne savait pas quoi dire. Je me levais, sortais de ma capsule, j'étais à poil. Ma queue se balançait lourdement et je voyais les yeux de Ric qui suivaient, il louchait dessus.
On n'a pas longtemps, ils vont se demander ou je suis passé. Me disait-il en se penchant vers moi.
Il y a des jours ou, je vous jure, je suis un quiche … Des jours ou je ne comprends pas ce qui se passe autour de moi. Je n'ai vraiment compris ce qu'il me voulait qu'au moment ou ma queue toute molle entrait dans sa bouche, il aspirait comme on fait avec une nouilles. Tant qu'elle était molle ça marchait bien mais ça n'a pas duré.
Quelques instants plus tard, j'avais une grosse dure qui ne rentrait plus. J'essayais pourtant, je retenais sa tête et donnais des coups de bassin. Je ne savais pas si il appréciait et je m'en moquait. Dans ma tête je me disais seulement. '' Ils abusent tout de même, le truc qu'ils portent est sensé les calmer et voilà le résultat. Donnez leur un beau petit gars bien mignon, bien viril et ils craquent tous en un rien de temps.
Mais je n'abusais pas, c'est vrai ça, j'étais bien mignon et bien viril mais voilà, j'étais un petit gars mignon et viril qui avait envie de dormir.
Je lui balançais des coups de bassin de plus en plus fort, j'avais presque du mal à garder les yeux ouverts mais tant que je bandais il ne remarquait rien. Aussi je fermais les yeux et le laissais faire. Je me contentais de bien retenir sa tête et lui bourrais des coups de bite dans la gorge. Et c'est qu'il encaissait bien l'animal.
Il ouvrait bien sa bouche en grand, je m'enfonçais, me retirais complètement. Un moment je lui caressais le visage, il bavait, j'ai failli dire ,'' Il mouillait ! ''. Non,non, il bavait. Remarquez c'est peut être pour ça que ça glissait bien. Ma queue s'enfonçait jusque dans sa gorge, je sentais un truc qui me chatouillait le gland, ça devait être sa glotte, ou je ne sais pas.
J'appuyais sa tête contre mon ventre de toutes mes forces. Là il a réagi, là il a tenté de résister mais j'avais trop envie de dormir pour avoir pitié de lui et ne ne l'ai pas lâché avant que je ne sente une véritable panique de sa part.
Il s'est écarté brusquement, il toussait, il crachait, j'ai cru qu'il allait vomir mais non, il revenait. Il en voulait encore !
Alors là je me suis lâché, je l'ai limé tant que je pouvais. C'était rigolo, il faisait des bruits bizarres. C'était amusant mais ça ne me réveillait pas. Et je baillais plusieurs fois de suite.
Lui il restait concentré, je vous jure, il faisait ça bien. Sa langue me caressait avec force la queue, il insistait sur mon gland quand ma queue ressortait. C'était génial, le plaisir montait, je ne faisais rien pour le retenir. Je ne voulais que retourner me coucher. Le plaisir montait bien et je jutais dans sa bouche avant d'avoir le temps de réagir, ceci dit je n'avais pas l'intention de réagir.
Je ne me retenais pas, je me lâchais et je jutais abondamment. La lumière s'était éteinte mais je suppose qu'il a tout avalé. Il se relevait, me donnait un baiser sur le ventre et repartait il avait l'air content. Au moins il n'était pas difficile, normalement c'est moi qui aurait du être content. Mais j'avais vraiment envie de dormir. Les endorphines sans doute.
Je retournais me coucher.
Je ne me réveillais pas avant l'aube. J'étais en forme et je bandais, vous connaissez ça ? L'érection du matin ! A moins bien sûr que vous ne portiez un de ces dispositifs à la con.
Il y avait quelqu'un sur l'autre couchette, comme je passais à proximité il allongeait la main et me saisissait le sexe. Je laissais faire, il n'y avait plus que cela à faire dans ce genre de situation, ça ne faisait pas deux jours que j'étais arrivé mais j'avais compris que c'était pas la peine de résister, le mieux c'était de laisser faire.
En plus, il ne faut pas déconner mais c'est pas moi qui avait la plus mauvaise place. Ils voulaient tous jouer avec ma quéquette et bien j'allais les laisser jouer avec !
Il approchait son visage, je n'hésitais pas une seconde et lui enfonçait rapidement ma queue dans la gorge en appuyant de toutes mes forces sur sa tête.
Mon gland s'écrasait au fond de sa gorge, il agitait les bras dans vide, un instant j'avais l'impression qu'il nageait. J'étais pas trop bien réveillé. En fait il étouffait, quand j'ai compris je l'ai lâché. C'était aucun des trois mecs que j'avais essayé plus tôt.
Je me demandais lequel c'était. J'allumais une petite lampe, c'était Half. Vous sous souvenez de ce personnage télévisé, Half ? En fait c'était ce personnage qui avait inspiré son prénom, il avait presque la même fourrure que cet alien domestique. Remarquez, il était souvent dans la lune aussi.
Mais il suçait bien.
Ils étaient tous en manque, ça les chatouillait tous ou ça les démangeait. Et moi je pourrais en profiter pendant des mois. Finalement je ne trouvais aucune raison de me plaindre.
Retourne toi ! Lui disais-je. Je vais t'enculer.
Il ne résistait pas. Il se levait, me tournait le dos et s'appuyait sur sa couchette. Je refermais les bras autour de lui et l'embrassais dans le cou. Il se laissait faire rapidement je lui lubrifiait le cul et pour bien commencer la journée, je lui enfonçais ma queue dans son cul.
Il n'a pas crié, je m'enfonçais lentement, il avait la bouche ouverte, grande ouverte. Il respirait fort, il inspirait fort, il fermait les yeux.
Je sentais son cul étroit qui résistait, il avait fallu que je force pour l'ouvrir et là il fallait que je force, il était étroit. Pourtant il donnait vraiment l'impression de d'apprécier. Je continuais à m'enfoncer lentement.
Il a juste poussé un cri au moment ou mon ventre s'est écrasé sur ses fesses. Un gémissement à suivi puis une plainte, un longue plainte. Je l'embrassais de nouveau. Il tremblait, il tournais sa tête dans ma direction et nous nous embrassions avec passion.
Je l'entendais gémir dans ma gorge, et je me retirais lentement. Je lubrifiais encore une fois, puis je m'enfonçais de nouveau en lui. J'ai entendu un long gémissement une plainte d'une profonde tristesse. Il s'est tu au moment ou mon ventre s'enfonçait sur ses fesses.
Il s'est penché en avant, il ne résistait plus, je sentais ses muscles se détendre complètement. Il appuyait ses coudes sur la couchette et me laissait faire, il gémissait quand je m'introduisais en lui, il gémissait plus fort par moment et à d'autres moments il semblait pleurer.
Il avait une salle tête, il pleurait, il faisait des grimaces mais il ne tentait pas de se dégager, j'avais vraiment l'impression qu'en fait il jouissait. Je connaissais ce plaisir, je l'avais exploré, j'y avais déjà goûté. C'était surtout à l'époque ou j'avais fait mes études, à cette époque je portais un dispositif moi aussi.
Vous savez c'est très fréquent à notre époque. Moi j'ai choisi de ne pas continuer à le porter mais la plupart des gens le garde. Et ceux là, tout comme mes camarades sont souvent très chauds du cul.
Half se tortillait dans tous les sens, il ne me demandait toujours pas de me retirer, il gémissait plus fort, il râlait à ce moment. Moi j’accélérai le mouvement, je frappait ses fesses avec mon ventre à chaque fois que je m'enfonçais, je donnais un coup plus violent et je lui faisais claquer les fesses et je lui arrachais un petit cri.
Je sentais le plaisir monter, je me retenais, je le sentais trembler plus fort, il frissonnait comme s'il avait froid et à ce moment là il gémissait enfin. Je le caressais, je lui tripotais les couilles et je le sentais juter. Il n'éjaculais pas il jutait. Le sperme coulait à flot.
C'est sans doute ça qui m'a stimulé, en quelques secondes j'ai senti le plaisir monter et moi par contre, j'ai éjaculé avec force. À chaque éjaculation je ne pouvais retenir un coup de bassin, un coup de bite bien à fond dans le cul. Je lui arrachait quelques cris, il se crispait, il se contractait et je sentais son cul se refermer avec force sur ma queue. Il était déjà étroit, là il se refermait.
Ma queue ressortait, si j'avais voulu le pénétrer de nouveau, ce n'était plus possible, il s'était refermé. Je lui donnais un baiser et partais prendre ma douche. Il n'y avait personne dehors, je m'étais réveillé plus tôt que je ne le pensais. Le jour se levait à peine et tout le campement dormait encore.
On passait sous la douche tous les deux.
On s'est caressé, on s'est lavé le dos, j'ai essayé de lui rentrer un doigt dans le cul mais comme je vous le disais plus tôt, il était totalement refermé.
On est resté à poil à se balader sur la plage. Le ciel était bleu mais le fond du cratère, là ou nous étions était dans l'ombre il faisait sombre, vraiment très sombre, c'est à peine si le sommet de la falaise qui nous entourait, le rebord du cratère, recevait les premiers rayons de soleil.
Les journées étaient étranges, nous étions entourés par une falaise qui nous maintenait dans la pénombre. Le soleil apparaissait tard dans la matinée et disparaissait tôt dans l'après midi.
Sous ces latitudes, le temps était doux, même la nuit. Dans la journée il pouvait faire chaud. On a discuté, là j'avais approché de très près tout le monde et je commençais à connaître intimement toute l'équipe.
Certains étaient mariés, lui il l'était par exemple, il faisait chambre à part. C'est très fréquent dans ce milieu, comme le mari ne pas faire grand chose, sexuellement je veux dire, le couple préfère cette situation.
C'est sa femme qui dirigeait tout, au niveau sexuel pour le couple en tout cas, il avait un gode ceinture et quand elle le décidait il devait la satisfaire. Pour le reste il ne lui en parlait pas. En théorie pour lui ce devait être une abstinence totale. Aussi même si son cul était étroit, ses désir étaient maintenant impérieux. Aussi quand il se donnait à quelqu'un il voulait se faire prendre, se faire prendre bien à fond et surtout il voulait bien le sentir.
Aucun des autres ne m'avaient fait de telles confessions. Mais chaque cas est un cas particulier.
Après tout moi je suis bien célibataire. Bon à plusieurs reprises j'ai failli me marier mais à chaque fois la femme m'a demandé de bien vouloir porter un dispositif de chasteté. J'ai pas voulu, je ne me pas suis marié.
Aussi, si les filles ne veulent pas de ma quéquette, il reste les hommes, dans ce monde qui avec la PK à sa tête étaient tous plus frustrés, tous plus frustrés les uns que les autres.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Ric : Et de trois
Je ne restais pas très longtemps avec eux, on n'avait pas besoin d'être six pour attraper des papillons de nuit. Je rentrais au campement et me couchais.
Je ne dormais pas depuis deux heures que j'entendais frapper doucement à la porte. C'était Ric, je ne m'attendait pas à le voir celui-là, bein oui les autres étaient en train d'attraper des papillons de nuit ou des insectes de nuit et c'était justement sa spécialité …
J'ai dit aux autres que je venais chercher quelque chose.
Et tu as besoin de quoi ?
Je voulais re voir, pour, heu te voir … oui c'est ça …
Il avait l'air un peu bizarre, je voyais bien qu'il ne savait pas quoi dire. Je me levais, sortais de ma capsule, j'étais à poil. Ma queue se balançait lourdement et je voyais les yeux de Ric qui suivaient, il louchait dessus.
On n'a pas longtemps, ils vont se demander ou je suis passé. Me disait-il en se penchant vers moi.
Il y a des jours ou, je vous jure, je suis un quiche … Des jours ou je ne comprends pas ce qui se passe autour de moi. Je n'ai vraiment compris ce qu'il me voulait qu'au moment ou ma queue toute molle entrait dans sa bouche, il aspirait comme on fait avec une nouilles. Tant qu'elle était molle ça marchait bien mais ça n'a pas duré.
Quelques instants plus tard, j'avais une grosse dure qui ne rentrait plus. J'essayais pourtant, je retenais sa tête et donnais des coups de bassin. Je ne savais pas si il appréciait et je m'en moquait. Dans ma tête je me disais seulement. '' Ils abusent tout de même, le truc qu'ils portent est sensé les calmer et voilà le résultat. Donnez leur un beau petit gars bien mignon, bien viril et ils craquent tous en un rien de temps.
Mais je n'abusais pas, c'est vrai ça, j'étais bien mignon et bien viril mais voilà, j'étais un petit gars mignon et viril qui avait envie de dormir.
Je lui balançais des coups de bassin de plus en plus fort, j'avais presque du mal à garder les yeux ouverts mais tant que je bandais il ne remarquait rien. Aussi je fermais les yeux et le laissais faire. Je me contentais de bien retenir sa tête et lui bourrais des coups de bite dans la gorge. Et c'est qu'il encaissait bien l'animal.
Il ouvrait bien sa bouche en grand, je m'enfonçais, me retirais complètement. Un moment je lui caressais le visage, il bavait, j'ai failli dire ,'' Il mouillait ! ''. Non,non, il bavait. Remarquez c'est peut être pour ça que ça glissait bien. Ma queue s'enfonçait jusque dans sa gorge, je sentais un truc qui me chatouillait le gland, ça devait être sa glotte, ou je ne sais pas.
J'appuyais sa tête contre mon ventre de toutes mes forces. Là il a réagi, là il a tenté de résister mais j'avais trop envie de dormir pour avoir pitié de lui et ne ne l'ai pas lâché avant que je ne sente une véritable panique de sa part.
Il s'est écarté brusquement, il toussait, il crachait, j'ai cru qu'il allait vomir mais non, il revenait. Il en voulait encore !
Alors là je me suis lâché, je l'ai limé tant que je pouvais. C'était rigolo, il faisait des bruits bizarres. C'était amusant mais ça ne me réveillait pas. Et je baillais plusieurs fois de suite.
Lui il restait concentré, je vous jure, il faisait ça bien. Sa langue me caressait avec force la queue, il insistait sur mon gland quand ma queue ressortait. C'était génial, le plaisir montait, je ne faisais rien pour le retenir. Je ne voulais que retourner me coucher. Le plaisir montait bien et je jutais dans sa bouche avant d'avoir le temps de réagir, ceci dit je n'avais pas l'intention de réagir.
Je ne me retenais pas, je me lâchais et je jutais abondamment. La lumière s'était éteinte mais je suppose qu'il a tout avalé. Il se relevait, me donnait un baiser sur le ventre et repartait il avait l'air content. Au moins il n'était pas difficile, normalement c'est moi qui aurait du être content. Mais j'avais vraiment envie de dormir. Les endorphines sans doute.
Je retournais me coucher.
Je ne me réveillais pas avant l'aube. J'étais en forme et je bandais, vous connaissez ça ? L'érection du matin ! A moins bien sûr que vous ne portiez un de ces dispositifs à la con.
Il y avait quelqu'un sur l'autre couchette, comme je passais à proximité il allongeait la main et me saisissait le sexe. Je laissais faire, il n'y avait plus que cela à faire dans ce genre de situation, ça ne faisait pas deux jours que j'étais arrivé mais j'avais compris que c'était pas la peine de résister, le mieux c'était de laisser faire.
En plus, il ne faut pas déconner mais c'est pas moi qui avait la plus mauvaise place. Ils voulaient tous jouer avec ma quéquette et bien j'allais les laisser jouer avec !
Il approchait son visage, je n'hésitais pas une seconde et lui enfonçait rapidement ma queue dans la gorge en appuyant de toutes mes forces sur sa tête.
Mon gland s'écrasait au fond de sa gorge, il agitait les bras dans vide, un instant j'avais l'impression qu'il nageait. J'étais pas trop bien réveillé. En fait il étouffait, quand j'ai compris je l'ai lâché. C'était aucun des trois mecs que j'avais essayé plus tôt.
Je me demandais lequel c'était. J'allumais une petite lampe, c'était Half. Vous sous souvenez de ce personnage télévisé, Half ? En fait c'était ce personnage qui avait inspiré son prénom, il avait presque la même fourrure que cet alien domestique. Remarquez, il était souvent dans la lune aussi.
Mais il suçait bien.
Ils étaient tous en manque, ça les chatouillait tous ou ça les démangeait. Et moi je pourrais en profiter pendant des mois. Finalement je ne trouvais aucune raison de me plaindre.
Retourne toi ! Lui disais-je. Je vais t'enculer.
Il ne résistait pas. Il se levait, me tournait le dos et s'appuyait sur sa couchette. Je refermais les bras autour de lui et l'embrassais dans le cou. Il se laissait faire rapidement je lui lubrifiait le cul et pour bien commencer la journée, je lui enfonçais ma queue dans son cul.
Il n'a pas crié, je m'enfonçais lentement, il avait la bouche ouverte, grande ouverte. Il respirait fort, il inspirait fort, il fermait les yeux.
Je sentais son cul étroit qui résistait, il avait fallu que je force pour l'ouvrir et là il fallait que je force, il était étroit. Pourtant il donnait vraiment l'impression de d'apprécier. Je continuais à m'enfoncer lentement.
Il a juste poussé un cri au moment ou mon ventre s'est écrasé sur ses fesses. Un gémissement à suivi puis une plainte, un longue plainte. Je l'embrassais de nouveau. Il tremblait, il tournais sa tête dans ma direction et nous nous embrassions avec passion.
Je l'entendais gémir dans ma gorge, et je me retirais lentement. Je lubrifiais encore une fois, puis je m'enfonçais de nouveau en lui. J'ai entendu un long gémissement une plainte d'une profonde tristesse. Il s'est tu au moment ou mon ventre s'enfonçait sur ses fesses.
Il s'est penché en avant, il ne résistait plus, je sentais ses muscles se détendre complètement. Il appuyait ses coudes sur la couchette et me laissait faire, il gémissait quand je m'introduisais en lui, il gémissait plus fort par moment et à d'autres moments il semblait pleurer.
Il avait une salle tête, il pleurait, il faisait des grimaces mais il ne tentait pas de se dégager, j'avais vraiment l'impression qu'en fait il jouissait. Je connaissais ce plaisir, je l'avais exploré, j'y avais déjà goûté. C'était surtout à l'époque ou j'avais fait mes études, à cette époque je portais un dispositif moi aussi.
Vous savez c'est très fréquent à notre époque. Moi j'ai choisi de ne pas continuer à le porter mais la plupart des gens le garde. Et ceux là, tout comme mes camarades sont souvent très chauds du cul.
Half se tortillait dans tous les sens, il ne me demandait toujours pas de me retirer, il gémissait plus fort, il râlait à ce moment. Moi j’accélérai le mouvement, je frappait ses fesses avec mon ventre à chaque fois que je m'enfonçais, je donnais un coup plus violent et je lui faisais claquer les fesses et je lui arrachais un petit cri.
Je sentais le plaisir monter, je me retenais, je le sentais trembler plus fort, il frissonnait comme s'il avait froid et à ce moment là il gémissait enfin. Je le caressais, je lui tripotais les couilles et je le sentais juter. Il n'éjaculais pas il jutait. Le sperme coulait à flot.
C'est sans doute ça qui m'a stimulé, en quelques secondes j'ai senti le plaisir monter et moi par contre, j'ai éjaculé avec force. À chaque éjaculation je ne pouvais retenir un coup de bassin, un coup de bite bien à fond dans le cul. Je lui arrachait quelques cris, il se crispait, il se contractait et je sentais son cul se refermer avec force sur ma queue. Il était déjà étroit, là il se refermait.
Ma queue ressortait, si j'avais voulu le pénétrer de nouveau, ce n'était plus possible, il s'était refermé. Je lui donnais un baiser et partais prendre ma douche. Il n'y avait personne dehors, je m'étais réveillé plus tôt que je ne le pensais. Le jour se levait à peine et tout le campement dormait encore.
On passait sous la douche tous les deux.
On s'est caressé, on s'est lavé le dos, j'ai essayé de lui rentrer un doigt dans le cul mais comme je vous le disais plus tôt, il était totalement refermé.
On est resté à poil à se balader sur la plage. Le ciel était bleu mais le fond du cratère, là ou nous étions était dans l'ombre il faisait sombre, vraiment très sombre, c'est à peine si le sommet de la falaise qui nous entourait, le rebord du cratère, recevait les premiers rayons de soleil.
Les journées étaient étranges, nous étions entourés par une falaise qui nous maintenait dans la pénombre. Le soleil apparaissait tard dans la matinée et disparaissait tôt dans l'après midi.
Sous ces latitudes, le temps était doux, même la nuit. Dans la journée il pouvait faire chaud. On a discuté, là j'avais approché de très près tout le monde et je commençais à connaître intimement toute l'équipe.
Certains étaient mariés, lui il l'était par exemple, il faisait chambre à part. C'est très fréquent dans ce milieu, comme le mari ne pas faire grand chose, sexuellement je veux dire, le couple préfère cette situation.
C'est sa femme qui dirigeait tout, au niveau sexuel pour le couple en tout cas, il avait un gode ceinture et quand elle le décidait il devait la satisfaire. Pour le reste il ne lui en parlait pas. En théorie pour lui ce devait être une abstinence totale. Aussi même si son cul était étroit, ses désir étaient maintenant impérieux. Aussi quand il se donnait à quelqu'un il voulait se faire prendre, se faire prendre bien à fond et surtout il voulait bien le sentir.
Aucun des autres ne m'avaient fait de telles confessions. Mais chaque cas est un cas particulier.
Après tout moi je suis bien célibataire. Bon à plusieurs reprises j'ai failli me marier mais à chaque fois la femme m'a demandé de bien vouloir porter un dispositif de chasteté. J'ai pas voulu, je ne me pas suis marié.
Aussi, si les filles ne veulent pas de ma quéquette, il reste les hommes, dans ce monde qui avec la PK à sa tête étaient tous plus frustrés, tous plus frustrés les uns que les autres.
A suivre
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