Zone de recherches 05 Tous intenables
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Zone de recherches 05 Tous intenables
Zone de recherches 05
Tous intenables
Comme nous étions déjà levés, nous avons préparé le petit déjeuner. Half avait récupéré et ne cachait pas qu'il se sentait bien. Vous savez ça remet les idées en place le traitement que je lui avait administré.
C'est David qui se réveillait en premier, aussitôt il me proposait de rapporter de l'eau. L'eau du lac semblait pure mais il y avait des dépôts minéraux et plus l'eau était pure, plus les filtres sont efficaces. On prenait les bidons vides et c'est presque avec une totale innocence que je le suivais. J'étais toujours nu et David était resté nu lui aussi en voyant ça.
On arrivait dans une petite marre d'eau alimentée par une chute d'eau, c'était mieux que la douche, on s'amusait, on se trempait puis alors que je me douchais, j'étais juste sous la chute d'eau et … oh surprise, lui aussi il en voulait à ma quéquette.
J'avais la tête relevé, les yeux fermés, et je recevais l'eau sur la figure. Je sentais ses mains qui se promenaient sur ma bite. Aussitôt je me mettais au garde à vous. Ma queue se redressait avec fierté. Il me la caressait avec la plus grande douceur. Puis quand je baissais les yeux je voyais ma queue disparaître dans sa bouche.
Je posait ma main sur l'arrière de sa tête et je le tirais vers moi. Il était surpris et résistait, je forçais, il finissait pas céder. Et avalait ma queue sur toute sa longueur.
Ils veulent tous jouer avec ma queue, bien ! Je vais leur en donner moi de ma queue. Ils vont la bouffer, ils vont aussi la sentir dans le cul. Et ils ne vont pas venir se plaindre. Le premier qui se plaint je l'encule moi !
Ça ne faisait pas deux jours que j'étais arrivé et je ne savais même plus combien de fois j'avais baisé ou combien de fois on m'avait sucé.
Le dernier en date était là à genoux devant moi, il avait ma queue bien garée dans la gorge, je lui retenait la tête bien appuyé contre mon ventre, je sentais son nez contre moi et … il était tout rouge, il était en train d'étouffer.
Je le relâchais.
Il était temps, il reculait la tête et reprenait son souffle. Il me regardais mais je n'arrivais pas à savoir ce qu'il pensait. Il n'avait pas l'air d'apprécier.
Il attendait quelques minutes puis sans prévenir il y retournait, de nouveau il avalait ma queue, mon gland s'écrasait de nouveau dans sa gorge. Et bien si finalement il avait bien aimé.
Avec les deux mains je le retenais et je lui balançait des coups de bassin et de bite dans la gorge. Il avait du mal à encaisser mais il y arrivait. C'était le manque provoqué par la cage ou bien naturellement il aimait. En fait je m'en moquais, ce qui comptait à ce moment c'est que j'en profitais, et en plus ça risquait de durer encore quelques mois.
Je continuais à lui buriner la gueule, il encaissait, je ne lui épargnait rien. Avec les deux mains j'écrasais sa tête sur mon ventre de toutes mes forces en même que je lui donnais des coups de bassin.
Au bout d'un moment il tentait de me retenir. Je me calmais et faisais une pause.
Il collait son visage contre le haut de ma cuisse, je lui caressais les cheveux, le visage avec douceur, ça changeait un peu. Je sentais sa langue qui me caressait avec une extrême douceur à la base de mon sexe. Ça me chatouillait et réveillait mes envies.
– Retourne toi je vais t'enculer. Lui lançais sur un ton autoritaire mais courtois.
Enfin autant qu'on peut être courtois quand on dit à un mec ' Je vais t'enculer '.
Il n'avait pas l'air traumatisé que je parle comme ça. Il se retournais, se penchais sur un rocher et écartait légèrement les jambes.
– Tu n'as pas peur de te la prendre ?
– Non vas y défonce moi le cul.
C'était clair et comme j'étais bien décidé, je lubrifiais à l'ancienne, avec la salive. Oui je sais il y a mieux mais ce jour là voyez-vous je n'avais rien dans les poches.
Je lui appliquais le plus de salive possible et je glissais un doigt. Il avait l'air d'apprécier, un autre doigt suivait. Là encore il encaissait sans broncher, je crachais généreusement sur ma queue et au moment que je jugeais bon, quand je le sentais prêt je prenais position et doucement je poussais ma queue contre son cul.
Je n'étais pas aussi sûr que du lubrifiant aussi j'y allais doucement. J'aime bien pousser un bon coup et hop, mais ce sera pour la prochaine fois. Il résistait, il était étroit, enfin un peu, c'est vrai que moi j'étais large. Mais en forçant ça passait.
Ma queue glissait lentement, je la voyais disparaître, quand ça résistait je me retirais et revenais en forçant un peu plus. Il couinait, je ne parvenait pas à savoir si c'était du pur plaisir ou un peu de douleur. C'est vrai qu'à ce moment les deux se mélangent un peu. Il y avait du plaisir et c'est qui comptait, pour moi il y avait beaucoup de plaisir.
Il était étroit et je sentait son anus se refermer autour de ma queue, il la serrait fort. Ça n'en était que meilleur, alors je forçais. Il râlait, oups, là ça ne devait pas être que du plaisir. Mais pour moi tout allait bien alors je continuais.
Il gémissait et tentais de glisser une main entre moi et ses fesse, je lui saisissait la mains et la lui bloquais. Il gémissait et faisait des bruits étranges mais il ne me criait toujours pas de tout arrêté.
Je continuais en donnant à son cul ce que j'avais donné à sa bouche, de violents coup de bassin. Je sentais ma queue qui allait s'écraser contre je ne sais pas quoi.
Il tentait de glisser son autre main pour me retenir, je la lui agrippais également et c'est en tirant sur ses bras que je lui limais le cul. Je le tirais vers moi et j'avançais mon bassin avec force. Il était totalement penché en avant sans aucun appui, il ne pouvait que subir.
Il gémissait, par moment j'avais l'impression qu'il pleurait, il devait déguster, il se tortillait comme il pouvait et quand ma queue s'enfonçait bien à fond dans ses entrailles je ressentais comme un massage des plus agréable. En quelques instants je sentais le plaisir monter et brusquement comme une explosion au moment ou j'éjaculais dans son cul.
Je ne sais pas ce qu'il a ressenti lui, je ne sais pas s'il a ressenti quelque chose, mais j'avais pris mon pied. Je me retirais, je le lâchais, il s'effondrait la tête dans l'eau. Il ne se relevais pas mais nageais sur quelques mètres.
Quand il s'est retourné, il avait une salle tête, on voyait qu'il avait dégusté. Mais bon il l'avait cherché. Je suis comme ça moi, il ne faut pas trop me chercher sinon.
Et bien il en réclamait encore. Oh pas tout de suite mais un autre jour.
J'étais énervé, oh pas en colère mais énervé. Ils en veulent tous à ma quéquette, ' je vais leur en donner de ma quéquette moi ' . Surtout que quelques instant plus tard je rebandais bien ferme. Quand on arrivait au campement je bandais de nouveau, et j'étais à poil.
Ric se réveillait. Je me dirigeais vers lui.
Retourne toi je vais t'enculer. Tu es le seul qui n'y a pas encore eu droit.
Il me regardait d'un air surpris mais il s'exécutait. Et devant tous les autre, ils s'étaient tous pris ma queue dans le cul aussi on en n'était plus à ce genre de détail, de me voir baiser un d'entre eux. Ils était surpris mais à voir la tête qu'ils faisaient il étaient agréablement surpris, en tout cas pas choqués.
Je lubrifiais généreusement le cul de Ric, il tremblait de me vois aussi décidé. Je lui glissait un puis deux et enfin trois doigts dans le cul. Je lui dilatais bien la rondelle. Il avait l'air confortable le petit Ric.
Bon il n'était pas petit, il faisait ma taille mais c'est affectueux.
Il me semblait à point et devant tout le reste de l'équipe je lui enfonçais ma bite dans le cul. Je bandais ferme et j'y allais de bon cœur. Il a hurlé, un cri terrifiant qui était suivi d'un autre cri, là il hurlait ' encore, oui, vas y défonce moi le cul !'.
Au moins, lui il savait ce qu'il voulait. Sans attendre je poussait bien à fond. Je l'ai senti se crisper. Mais il ne se défendait pas, il ne tentait même pas. Mais il gémissait fort.
Il ne me fallait que quelques secondes avant que je ne commence à prendre ma vitesse de croisière. Je ne restait en lui que quelques instants, je me retirait et revenais à la charge. Il gémissait de … douleur ou plaisir … ça c'est sûr.
Je le limais avec force et rapidité, j'enfonçais ma queue dans son cul, je terminais avec un coup de bassin bien décidé puis je poussais, j'appuyais contre son cul de tout mon poids. Je le sentais trembler, puis je me retirais avec lenteur et je revenais avec violence .
Je recommençais avec plus ou moins de rapidité, plus ou moins de violence, je variais le plaisir. Par moment je me retirais, je ne ressortais pas totalement ma queue et marquais une pause, je ne bougeais plus et sans prévenir je le pénétrais avec une extrême violence, bien à fond je donnais encore un dernier coup. Il gueulait mais il supportait, il encaissait.
Coup après coup il encaissait. Ses camarades nous regardaient incrédules, ils étaient peut être envieux, peut être effrayés.
Je dois reconnaître que là j'étais énervé …
Je me défoulais sur le cul de leur camarade. Et il dégustait le pauvre. Je venais de jouir et j'avais éjaculé quelques instants plus tôt, ça ne venait pas. Je sentais le plaisir monter en moi, je sentais l'orgasme qui venait mais il n'arrivait pas. Je n'arrivais pas à éjaculer, j'insistais, ma victime finissait pas présenter des signes de fatigue, mais je bandais toujours et j'avais bien l'intention de limer un cul tant que je banderais.
Et je ne débandais pas.
Les minutes passaient et Ric tentait maintenant de se dégager, je le retenais, je le serrais fort contre moi, je le caressais et mes mains descendaient sur son sexe, je sentais sa cage, elle était bien pleine. Il bandait lui aussi mais ça ne se voyait pas vraiment. Je lui tripotais les couilles et c'est à ce moment qu'il a juté, je l'ai senti il éjaculait dans mes mains.
C'était ce qu'il me fallait pour déclencher mon éjaculation, je n'ai pas eu le temps de réagir j'ai éjaculé à mon tour, je lui ai balancé des coups de bite dans le cul, je ne me contrôlais plus mais c'était bon, vraiment bon.
On ne bougeait plus, j'avais l'impression que les autres ne respiraient même plus. Ils nous regardaient comme tétanisé. Je me retirais lentement mon ami Ric tombait sur les genoux. Il gémissait.
– Bien j'ai comme l'impression que vous en voulez tous à ma queue ! Alors il va falloir s'organiser.
Je regrettais cette provocation qui n'avait rien de professionnel dans notre cas mais eux non ! Ils m'ont pris au mot, je les entendais discuter.
– Tous les deux jours.
– Non moi je dis tous les trois jours c'est plus prudent …
– Pourquoi plus plus prudent, il devrais pouvoir assurer tous les deux jours.
– C'est pas une machine non plus.
Un d'entre eux se souvenant que j'étais là se retournait vers moi et me demandait …
– Tu peux remettre ça combien de fois par jour à ton avis ?
Je ne m'attendais pas à cette question. Je n'arrivais pas à y croire. Et dire qu'il était prévu qu'on passe plusieurs mois ensemble, isolé du monde …
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Tous intenables
Comme nous étions déjà levés, nous avons préparé le petit déjeuner. Half avait récupéré et ne cachait pas qu'il se sentait bien. Vous savez ça remet les idées en place le traitement que je lui avait administré.
C'est David qui se réveillait en premier, aussitôt il me proposait de rapporter de l'eau. L'eau du lac semblait pure mais il y avait des dépôts minéraux et plus l'eau était pure, plus les filtres sont efficaces. On prenait les bidons vides et c'est presque avec une totale innocence que je le suivais. J'étais toujours nu et David était resté nu lui aussi en voyant ça.
On arrivait dans une petite marre d'eau alimentée par une chute d'eau, c'était mieux que la douche, on s'amusait, on se trempait puis alors que je me douchais, j'étais juste sous la chute d'eau et … oh surprise, lui aussi il en voulait à ma quéquette.
J'avais la tête relevé, les yeux fermés, et je recevais l'eau sur la figure. Je sentais ses mains qui se promenaient sur ma bite. Aussitôt je me mettais au garde à vous. Ma queue se redressait avec fierté. Il me la caressait avec la plus grande douceur. Puis quand je baissais les yeux je voyais ma queue disparaître dans sa bouche.
Je posait ma main sur l'arrière de sa tête et je le tirais vers moi. Il était surpris et résistait, je forçais, il finissait pas céder. Et avalait ma queue sur toute sa longueur.
Ils veulent tous jouer avec ma queue, bien ! Je vais leur en donner moi de ma queue. Ils vont la bouffer, ils vont aussi la sentir dans le cul. Et ils ne vont pas venir se plaindre. Le premier qui se plaint je l'encule moi !
Ça ne faisait pas deux jours que j'étais arrivé et je ne savais même plus combien de fois j'avais baisé ou combien de fois on m'avait sucé.
Le dernier en date était là à genoux devant moi, il avait ma queue bien garée dans la gorge, je lui retenait la tête bien appuyé contre mon ventre, je sentais son nez contre moi et … il était tout rouge, il était en train d'étouffer.
Je le relâchais.
Il était temps, il reculait la tête et reprenait son souffle. Il me regardais mais je n'arrivais pas à savoir ce qu'il pensait. Il n'avait pas l'air d'apprécier.
Il attendait quelques minutes puis sans prévenir il y retournait, de nouveau il avalait ma queue, mon gland s'écrasait de nouveau dans sa gorge. Et bien si finalement il avait bien aimé.
Avec les deux mains je le retenais et je lui balançait des coups de bassin et de bite dans la gorge. Il avait du mal à encaisser mais il y arrivait. C'était le manque provoqué par la cage ou bien naturellement il aimait. En fait je m'en moquais, ce qui comptait à ce moment c'est que j'en profitais, et en plus ça risquait de durer encore quelques mois.
Je continuais à lui buriner la gueule, il encaissait, je ne lui épargnait rien. Avec les deux mains j'écrasais sa tête sur mon ventre de toutes mes forces en même que je lui donnais des coups de bassin.
Au bout d'un moment il tentait de me retenir. Je me calmais et faisais une pause.
Il collait son visage contre le haut de ma cuisse, je lui caressais les cheveux, le visage avec douceur, ça changeait un peu. Je sentais sa langue qui me caressait avec une extrême douceur à la base de mon sexe. Ça me chatouillait et réveillait mes envies.
– Retourne toi je vais t'enculer. Lui lançais sur un ton autoritaire mais courtois.
Enfin autant qu'on peut être courtois quand on dit à un mec ' Je vais t'enculer '.
Il n'avait pas l'air traumatisé que je parle comme ça. Il se retournais, se penchais sur un rocher et écartait légèrement les jambes.
– Tu n'as pas peur de te la prendre ?
– Non vas y défonce moi le cul.
C'était clair et comme j'étais bien décidé, je lubrifiais à l'ancienne, avec la salive. Oui je sais il y a mieux mais ce jour là voyez-vous je n'avais rien dans les poches.
Je lui appliquais le plus de salive possible et je glissais un doigt. Il avait l'air d'apprécier, un autre doigt suivait. Là encore il encaissait sans broncher, je crachais généreusement sur ma queue et au moment que je jugeais bon, quand je le sentais prêt je prenais position et doucement je poussais ma queue contre son cul.
Je n'étais pas aussi sûr que du lubrifiant aussi j'y allais doucement. J'aime bien pousser un bon coup et hop, mais ce sera pour la prochaine fois. Il résistait, il était étroit, enfin un peu, c'est vrai que moi j'étais large. Mais en forçant ça passait.
Ma queue glissait lentement, je la voyais disparaître, quand ça résistait je me retirais et revenais en forçant un peu plus. Il couinait, je ne parvenait pas à savoir si c'était du pur plaisir ou un peu de douleur. C'est vrai qu'à ce moment les deux se mélangent un peu. Il y avait du plaisir et c'est qui comptait, pour moi il y avait beaucoup de plaisir.
Il était étroit et je sentait son anus se refermer autour de ma queue, il la serrait fort. Ça n'en était que meilleur, alors je forçais. Il râlait, oups, là ça ne devait pas être que du plaisir. Mais pour moi tout allait bien alors je continuais.
Il gémissait et tentais de glisser une main entre moi et ses fesse, je lui saisissait la mains et la lui bloquais. Il gémissait et faisait des bruits étranges mais il ne me criait toujours pas de tout arrêté.
Je continuais en donnant à son cul ce que j'avais donné à sa bouche, de violents coup de bassin. Je sentais ma queue qui allait s'écraser contre je ne sais pas quoi.
Il tentait de glisser son autre main pour me retenir, je la lui agrippais également et c'est en tirant sur ses bras que je lui limais le cul. Je le tirais vers moi et j'avançais mon bassin avec force. Il était totalement penché en avant sans aucun appui, il ne pouvait que subir.
Il gémissait, par moment j'avais l'impression qu'il pleurait, il devait déguster, il se tortillait comme il pouvait et quand ma queue s'enfonçait bien à fond dans ses entrailles je ressentais comme un massage des plus agréable. En quelques instants je sentais le plaisir monter et brusquement comme une explosion au moment ou j'éjaculais dans son cul.
Je ne sais pas ce qu'il a ressenti lui, je ne sais pas s'il a ressenti quelque chose, mais j'avais pris mon pied. Je me retirais, je le lâchais, il s'effondrait la tête dans l'eau. Il ne se relevais pas mais nageais sur quelques mètres.
Quand il s'est retourné, il avait une salle tête, on voyait qu'il avait dégusté. Mais bon il l'avait cherché. Je suis comme ça moi, il ne faut pas trop me chercher sinon.
Et bien il en réclamait encore. Oh pas tout de suite mais un autre jour.
J'étais énervé, oh pas en colère mais énervé. Ils en veulent tous à ma quéquette, ' je vais leur en donner de ma quéquette moi ' . Surtout que quelques instant plus tard je rebandais bien ferme. Quand on arrivait au campement je bandais de nouveau, et j'étais à poil.
Ric se réveillait. Je me dirigeais vers lui.
Retourne toi je vais t'enculer. Tu es le seul qui n'y a pas encore eu droit.
Il me regardait d'un air surpris mais il s'exécutait. Et devant tous les autre, ils s'étaient tous pris ma queue dans le cul aussi on en n'était plus à ce genre de détail, de me voir baiser un d'entre eux. Ils était surpris mais à voir la tête qu'ils faisaient il étaient agréablement surpris, en tout cas pas choqués.
Je lubrifiais généreusement le cul de Ric, il tremblait de me vois aussi décidé. Je lui glissait un puis deux et enfin trois doigts dans le cul. Je lui dilatais bien la rondelle. Il avait l'air confortable le petit Ric.
Bon il n'était pas petit, il faisait ma taille mais c'est affectueux.
Il me semblait à point et devant tout le reste de l'équipe je lui enfonçais ma bite dans le cul. Je bandais ferme et j'y allais de bon cœur. Il a hurlé, un cri terrifiant qui était suivi d'un autre cri, là il hurlait ' encore, oui, vas y défonce moi le cul !'.
Au moins, lui il savait ce qu'il voulait. Sans attendre je poussait bien à fond. Je l'ai senti se crisper. Mais il ne se défendait pas, il ne tentait même pas. Mais il gémissait fort.
Il ne me fallait que quelques secondes avant que je ne commence à prendre ma vitesse de croisière. Je ne restait en lui que quelques instants, je me retirait et revenais à la charge. Il gémissait de … douleur ou plaisir … ça c'est sûr.
Je le limais avec force et rapidité, j'enfonçais ma queue dans son cul, je terminais avec un coup de bassin bien décidé puis je poussais, j'appuyais contre son cul de tout mon poids. Je le sentais trembler, puis je me retirais avec lenteur et je revenais avec violence .
Je recommençais avec plus ou moins de rapidité, plus ou moins de violence, je variais le plaisir. Par moment je me retirais, je ne ressortais pas totalement ma queue et marquais une pause, je ne bougeais plus et sans prévenir je le pénétrais avec une extrême violence, bien à fond je donnais encore un dernier coup. Il gueulait mais il supportait, il encaissait.
Coup après coup il encaissait. Ses camarades nous regardaient incrédules, ils étaient peut être envieux, peut être effrayés.
Je dois reconnaître que là j'étais énervé …
Je me défoulais sur le cul de leur camarade. Et il dégustait le pauvre. Je venais de jouir et j'avais éjaculé quelques instants plus tôt, ça ne venait pas. Je sentais le plaisir monter en moi, je sentais l'orgasme qui venait mais il n'arrivait pas. Je n'arrivais pas à éjaculer, j'insistais, ma victime finissait pas présenter des signes de fatigue, mais je bandais toujours et j'avais bien l'intention de limer un cul tant que je banderais.
Et je ne débandais pas.
Les minutes passaient et Ric tentait maintenant de se dégager, je le retenais, je le serrais fort contre moi, je le caressais et mes mains descendaient sur son sexe, je sentais sa cage, elle était bien pleine. Il bandait lui aussi mais ça ne se voyait pas vraiment. Je lui tripotais les couilles et c'est à ce moment qu'il a juté, je l'ai senti il éjaculait dans mes mains.
C'était ce qu'il me fallait pour déclencher mon éjaculation, je n'ai pas eu le temps de réagir j'ai éjaculé à mon tour, je lui ai balancé des coups de bite dans le cul, je ne me contrôlais plus mais c'était bon, vraiment bon.
On ne bougeait plus, j'avais l'impression que les autres ne respiraient même plus. Ils nous regardaient comme tétanisé. Je me retirais lentement mon ami Ric tombait sur les genoux. Il gémissait.
– Bien j'ai comme l'impression que vous en voulez tous à ma queue ! Alors il va falloir s'organiser.
Je regrettais cette provocation qui n'avait rien de professionnel dans notre cas mais eux non ! Ils m'ont pris au mot, je les entendais discuter.
– Tous les deux jours.
– Non moi je dis tous les trois jours c'est plus prudent …
– Pourquoi plus plus prudent, il devrais pouvoir assurer tous les deux jours.
– C'est pas une machine non plus.
Un d'entre eux se souvenant que j'étais là se retournait vers moi et me demandait …
– Tu peux remettre ça combien de fois par jour à ton avis ?
Je ne m'attendais pas à cette question. Je n'arrivais pas à y croire. Et dire qu'il était prévu qu'on passe plusieurs mois ensemble, isolé du monde …
Fin
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