« La bourgeoise au super marché »

- Par l'auteur HDS MG8895 -
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : « La bourgeoise au super marché » Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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« La bourgeoise au super marché »
Ce matin là, je n’étais pas très décidé à faire mes courses au super marché mais, la nécessité de remplir le frigidaire s’imposait. Au volant de ma petite Twingo, dans mon jogging « Adidas », je suis donc parti à la grande surface locale. Le parking était presque vide et mon humeur s’en trouvait revigorée. Je vais pouvoir me débarrasser de cette tâche rapidement.
C’est en arpentant les différents rayons que j’ai remarqué la présence d’une belle femme assez grande, portant des vêtements de marques, montée sur de hauts talons. Elle portait avec élégance un grand manteau de cuir blanc ou dépassait un pantalon de cuir noir. Elle se trouvait, soit devant ou soit derrière moi. Nos regards ne se sont jamais croisés. Arrivé aux caisses, elle était encore derrière moi, comme si elle me suivait. C’était assez intrigant et déstabilisant.
Arrivé à mon véhicule, je remarquai une grosse cylindrée stationnée à côté de ma petite voiture, quel contraste. Alors que je remplissais mes sacs isothermes de victuailles, une voix ferme et très distinguée m’arracha de ma besogne.
- Bonjour cher Monsieur, je suis contrite de vous déranger mais, auriez-vous, s’il vous plaît, la gentillesse de déposer mes courses dans le coffre de ma voiture, sauf bien sûr, si cela vous dérange ?! Après les vôtres, il va de soi.
- Bonjour Madame, cela ne me dérange nullement et je le ferai avec grand plaisir !
J’avoue que de parler à cette femme me troublait et le fait qu’elle se soit adressée à moi ne me déplaisait pas du tout. J’ai un petit faible pour ce type de femme très guindée. Je les imagine toujours nues et aux toilettes. Ca démystifie. Je range donc ses courses et je m’adresse à elle en la regardant droit dans les yeux :- Désirez-vous que je vous aide pour les décharger à votre domicile ?
- Oh, rétorquât-elle, je ne voudrais point abuser de la situation, ni de vous d’ailleurs, il est vrai que je suis seule à la maison et mes domestiques sont en congés annuels. Serait-ce abuser de votre personne ?
- Si, je vous le propose, c’est que je suis disponible et j’adore rendre service.
In fine, nous partîmes, elle me précédait pour assurer le cheminement vers son domicile. Nous avons roulé quelques kilomètres, pour arriver devant un grand portail électrique qu’elle ouvrit, nous entrâmes dans la propriété, style moderne et ornée de cyprès. Je déchargeai les courses de Madame sans difficulté. L’intérieur de la bâtisse était meublé chic mais pas extravagant, sobre mais classe. Un feu de cheminé crépitait. Une douce et bonne chaleur régnait dans cette pièce, rangée et soigné, malgré l’absence des domestiques.
- Je suis désolé de vous solliciter de nouveau, mais j’ai une légère fuite au lavabo, pourriez vous jeter un œil, ça m’ennuie de commander un plombier pour si peu. Mon époux est dans l’international et il ne rendre que dans un mois.
Je me suis affairé simplement à resserrer la bonde du lavabo et la fuite était réparée.
- Je vous dois combien, je tiens à vous rétribuer, cher Monsieur !
- Je ne veux rien, je ne fais pas cela pour de l’argent mais, par bonté, encore ne fois j’aime rendre service.
- Au moins, puis-je vous offrir quelque chose à boire, il est presque midi et un petit apéritif vous siérait-il ?
- Parfait !!!!
Un « Dom Perignon » a été servi à bonne température. Nous vidâmes la bouteille tout en nous racontant nos vies, nos passions et nos petits problèmes. J’apprenais que Madame n’avait pas d’enfant, car Monsieur était devenu impuissant à la suite d’une opération délicate pour les hommes, près de la vessie. (La prostate).
Cette femme après quelques coupes de champagne était devenue soudainement plus cool et moins collet monté. Elle riait beaucoup, un peu nerveusement. Son parfum chatouillait mes narines et provoquait une sensation de bien être.
La cinquantaine passée mais une femme qui s’entretenait très bien, grâce au sport : natation, équitation, tennis, ski l’hiver, ski nautique l’été et le yoga en détente. Des mains qui n’ont jamais connu les moindres travaux, ni l’eau de vaisselle. Des doigts légèrement déformés par l’âge mais, très manucurés. Des cheveux noirs ébène, mi longs, retenus par un serre tête, un petit diamant à chaque oreille, des yeux marrons biens dessinés et relevés par de beaux sourcils émincés. Un nez aquilin, de belles lèvres charnues sans maquillage. Une poitrine assez généreuse, de longues jambes fines et musclées.
Elle me rendait dingue, mon cœur battait très fort, j’avais du mal à cacher mes envies, l’alcool Elle quitta aidant, elle est venue s’assoir à côté de moi, m’a pris le visage d’autorité entre ses mains et m’a regardé profondément. Au bout de trente secondes qui m’ont paru très longues elle déclara ceci :- Ce n’est pas un hasard si vous êtes ici, je vous ai choisi pour votre allure sportive et votre dextérité à faire vos courses, ce qui démontre que vous êtes habiles et organisé. J’ai eu le temps de vous observer et je peux vous l’avouer maintenant, vous m’avez émue. Cela fait deux mois que je n’ai pas eu de contact charnels et j’aime la vie, je suis femme oisive et je veux profiter de tous les instants.
A ses dires, j’avais une boule dans le ventre, serais-je à la hauteur de ses attentes qui me paraissent assez latentes et patentes ? Je n’ai pas eu le temps de réfléchir, elle ajouta très autoritaire et sans compromis : - C’est moi qui mène les ébats !!
Elle plaqua sa mains sur mon torse et arracha les boutons de ma chemise, elle me prit un tétons entre ses doigts, qu’elle roula brutalement, la douleur engendrée par ses pincements, provoquèrent un début d’érection. C’est la première fois que j’étais dominé. Elle fit de même sur l’autre téton, la même douleur mais dosée qui a eu le même effet sur mon sexe.
Le petit supplice dura quelque secondes pour qu’elle porte sa main sur mon entrecuisse, elle appuya fortement sur mes testicules et ma verge légèrement gonflée. Un sentiment de plaisir et de douleur contenus permettaient de stagner dans la montée du plaisir.
Elle me massait fortement les bijoux de famille et fourrait sa langue dans ma bouche. Sa langue tournoyait autour de la mienne, fouillait mon palais, ses lèvres, tel un poisson lèche vitre, suçait ma langue et mes lèvres, je suffoquais de par la brutalité de son audace. Elle passa sa main sous mon caleçon, pour me masturber violemment, elle tirait très fort sur mon fourreau pour décalotter ma tige et faire saillir mon gland, le prépuce tendu à son maximum, j’avais le sentiment que le frein allait se déchirer.
Elle me branlait à toute vitesse, j’ai voulu la toucher…,- je te l’interdis !!!! C’est moi qui dirige, je ne le répèterai pas.
Je m’exécutai sans contredire, le mélange de douce douleur et de plaisir commençait vraiment à m’exciter fortement.
- Allez bande, je veux une belle queux et bien dure surtout.
Elle quitta ma bouche et se rendit à nouveau sur mes tétons pour les mordiller, les téter, les lécher. Ses coups de langue provoquaient des picotements dans mon bas ventre. Maintenant j’étais dur, alors, elle baissât mon pantalon et mon boxer, descendit son cuir noir sur ses hauts talons, sans culotte, ni string, elle s’est mise à me chevaucher ardemment. Elle s’assit d’un seul mouvement, s’empalant sur ma bite, elle se relevait avec vigueur et rapidité, elle voulait jouir vite et bien.
Après 10 mn desuperposition, elle se retira pour se mettre en levrette :- Sodomise moi fort et vite, je veux ton membre en moi, le plus profondément possible, tu arrêteras quand je le déciderai, surtout tu ne me touche pas !
Sans crier gare, je l’ai enculée, sans préliminaire, c’était sec et étroit, je poussais et retirais mon pieux, mon éjaculation rapide m’a permis de soulager ma douleur. Mon sperme a servi de lubrifiant. Je pouvais aller et venir à ma guise, lorsqu’elle cria : - Défonce moi, déglingue moi le cul, oh oui, déchire moi bien, doigte moi la chatte aussi !!!!
Je transpirais, elle hurlait, je la pilonnais, elle vociférait, je la doigtais sans ménagement, mes doigts dégoulinaient de cyprine.
- Vas-y, baise moi, fais moi mal !
Je n’aimais pas cette façon de baiser, je n’aime la brutalité, ce n’est pas mon truc, pour certains oui mais pas pour moi. Je continuais à la sodomiser tout en la doigtant. Je ne savais pas comment faire pour la satisfaire. Elle en voulait toujours plus et plus fort. L’idée m’est venue de lui prendre les cheveux et de lui tirer la tête en arrière.
- Un « oh ouiiiiii » guttural retentit aussitôt, comme ça ouiiii.
Je lui claquais les fesses, les traces de mes doigts rougissaient malgré sa peau métissée. Mes mains chauffaient par la force que je mettais pour la fesser. Je commençais à aimer cette pratique qui, m’était totalement étrangère jusqu’à ce jour.
Elle m’avait pourtant interdit de la toucher mais les pseudo brutalités malgré tout contrôlées la rendaient folle de jouissance. Elle prenait son pied dans la douleur. Je lui pinçais le bout des seins, Elle grognait, elle agonisait de volupté, comme possédée. Je sorti mon sexe de son postérieur, elle s’est retourné pour m’invectiver mais, j’ai planté mon membre dans bouche béante. Elle ne pouvait plus parler, j’étais au fond de sa gorge, tenant toujours sa tête par les cheveux, je lui bourrais mon pilon jusqu’à la garde, je lui mettais des petite claques sur les joues. Elle était dans un état second, comme subjuguée, son corps convulsait.
Elle qui devait diriger les débats s’est soumise à ma volonté, lui montrant que je n’étais pas son valet, elle qui dirige tout dans cette maison, je ne voulais pas me laisser dominer par cette bonne bourgeoise. Je finis par lui donner mon jus, elle a recraché de rage mais, ses mains ont pris mon chibre pour se le remettre en bouche en me suçant comme une folle. J’avais mal, aucun plaisir. Une de ses mains s’est dirigée vers sa vulve rougie par les coups de butoirs reçu lors de notre coït, elle alla puiser un mélange de mouille et de cyprine pour huiler ses doigts, sans préparation, elle m’a doigté le fion, avec vigueur rabotant mon point « P », mes jambes tremblaient.
Ma queux dévorée par sa bouche charnue, ses doigts englués qui culbutaient mon fondement, mes doigts dans sa chatte et son cul à l’instar d’une boule de bowling, la bourge qui gueulait de rage et de plaisir, elle jouissait successivement, des orgasmes monstrueux, elle giclait de la chatte, femme fontaine peut être ? ! C’est maintenant que j’ai joui pour la première fois dans la douleur.
Epuisé, je me suis allongé devant la cheminée, le feu s’était éteint mais des braises scintillaient encore, comme au sein de nos deux corps meurtris mais saturés d’orgasme et de fatigue.
- Cher Monsieur, vous êtes très habile, vous me plaisez beaucoup, nous avons une pièce spéciale au sein de cette maison, mon mari serait ravi de nous observer, lors de son retour. Puis-je vous contacter pour déposer mes couses, je m’arrangerai pour donner congé à mes domestiques.
- Madame, je viens de connaître le plaisir dans la douleur, je pense qu’une deuxième expérience, sous votre contrôle devrait me plaire, ainsi qu’à votre mari.
Mais ceci sera une autre histoire… .
Fiction, réalité, fantasme ? A vous de deviner !

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