De l'autre côté du mur
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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De l'autre côté du mur
Aujourd’hui, le temps est pourri et je n’ai pas envie de faire de sport. Je serais bien allez courir, mais j’ai déjà nagé une heure hier et franchement, je suis un peu flémard. Je prends un livre, je commence ma lecture mais je suis ailleurs. Je repense à la conversation que j’ai eue avec ma voisine Cécile. Ça fait dix ans que nous sommes voisins et nous habitons une maison mitoyenne. Le mur de sa chambre est séparé de la nôtre par un mur de briques rouges, mal isolé. Lorsque nous faisons l’amour avec mon épouse, nous étouffons, enfin nous essayons, de contenir nos gémissements, mais parfois ils nous échappent. Ils nous ont affirmé de ne rien entendre, j’en doute, ils sont polis et discrets, comme leurs ébats.
Et pourtant, ils sont jeunes, la trentaine. Seul un matin, j’ai entendu un peu le lit grincer mais pas longtemps… ?!
Je reviens à la conversation que j’ai eue avec Cécile. Alors que nous buvions un café, sur nos marches d’escaliers extérieurs, nous parlions à bâton rompus de tout et de rien. Quand Cécile aborda le sujet. Elle me demandait pourquoi, elle entendait des gémissements et des cris, alors que mon épouse était au travail. Elle me pria de l’excuser pour cette indiscrétion, mais ça l’intriguait. Elle osa même me questionner sur une éventuelle maîtresse.
Pour justifier et ne plus jouer de suspense sur ces bruits entendus, je lui expliquai que je m’adonnais aux massages de la prostate, afin d’atteindre des orgasmes successifs et intenses. Pratique, dont elle ignorait l’existence ; elle doutait de la véracité de mes dires. Je l’interrogeai si ces gémissements l’excitaient, j’ai perçu comme une gêne et entraperçu une légère rougeur empourprer ses joues. Son émoi était palpable. Ses yeux brillaient, ses lèvres tremblotaient, trahissant une certaine curiosité. Je lui proposai d’assister à une de mes séances.
Gênée, elle refusa brutalement, me disant que j’étais un grand malade. J’argumentai que cette partie du corps est sous estimée, parce qu’elle est très mal placée. De plus, les bienfaits de ces massages ont une certaine importance à partir d’un certain âge pour éviter les inflammations de la prostate. Depuis la nuit des temps, les hommes ont toujours eu envie d’explorer ces endroits, mais que les religions et autres croyances en ont détourné et interdit cette pratique. Ce n’est que récemment, qu’un médecin a prescrit des séances de massage et par ce biais, on a découvert qe ceux-ci pouvaient procurer des orgasmesJe sentais que ce n’était pas un refus rédhibitoire. Je la rassurai, en lui assurant qu’il n’y aurait aucun contact entre nous, que seule ma nudité serait à sa vue. Je lui proposai un jour ou nos conjoints seraient au travail.
- « On verra dit-elle, je ne te promets rien …», sourire aux lèvres, laissant entrevoir une suite avide et complice.
Quelques semaines passèrent et arrivé à ce jour de mauvais temps, toutes les conditions étaient réunies pour la recevoir et j’étais particulièrement excité ce jour là, je lui proposai de venir boire un café. Surprise, elle accepta néanmoins aussitôt ?! Nous bûmes nos breuvages, elle était excité, de voir enfin ce qui allait se passer, puis, je l’invitai à me suivre à l’endroit où elle entendait mes plaintes.
Cécile a trente et un ans, un beau visage, de gros seins et des jambes assez volumineuses et assez enrobées, ce qui la complexent beaucoup, ce jour là, elle portait un bas de survêtement ample, de couleur noir et un chemisier rouge à carreaux. Elle est très naïve. Je lui proposai de s’assoir dans un fauteuil au pied de mon lit, pour qu’elle puisse être confortablement installée, afin d’observer et constater ma pratique.
Je me suis dévêtu totalement, j’étais un peu troublé par sa présence. Mon sexe était au repos. J’ai protégé mon lit avec un drap de bain, j’ai sorti mon masseur prostatique en lui expliquant les fonctionnalités. Ensuite, je me suis injecté une dose de gel lubrifiant dans le rectum, j’ai enduit le masseur de ce même gel, lui précisant, qu’à titre personnel, j’utilisais des gels très épais pour de meilleures sensations.
Je m’insérai le masseur à moitié de sa longueur et je commençai la relaxation. Inspirations profondes par le ventre suivies de celle des poumons et inversement pour les expirations. Je l’informe que la séance peut durer de une heure à une heure trente, voir plus. Nonobstant, je lui précise qu’elle peut partir à tout instant et dès qu’elle en éprouve le besoin, si l’embarras la submerge. Je voyais Cécile, dans son fauteuil, jambes croisées, face à mon trou, assez impatiente et décontractée. J’étais plus déconcerté qu’elle.
Elle n’était pas contrainte, bien au contraire. La vue sur mon sexe et de mon trou ne la déroutait pas, je voyais poindre dans ses yeux, un petit air coquin et malicieux. Elle cachait bien son jeu la coquine.
Au bout de quinze minutes, j’ai ressenti les premières contractions involontaires dans mon ventre, le masseur commençait à se mouvoir doucement. Des picotements apparaissaient sur et autour de ma prostate. Je lui signalai que le plaisir commençait. Elle se redressa légèrement comme attirée par le spectacle, comme si j’allais accoucher. A quoi s’attendait-elle ? Le masseur bougeait de plus en plus et les vagues de plaisirs montaient. Je fermais les yeux, je ne pouvais plus faire autrement. Le plaisir parcourait mon corps au fur et à mesure que je me détendais. Le paradoxe de cette pratique réside dans la difficulté de conjuguer les deux. Se détendre pour recevoir des contractions de luxure. Je me concentrais sur ma respiration par le ventre ; règle d’or de la pratique et surtout de ne pas toucher son sexe.
Soudain, mon anus se mis à trembler et à pomper. Le masseur bougeait de plus en plus vite quand, il s’enfonça profondément dans mon cul, une des deux branches qui le compose le retenait pour qu’il ne parte pas à l’intérieur et l’autre me massait le périnée. Je soufflais de plus en plus fort, mon ventre se contractait, sans que je le veuille, le masseur titillait ma noix, provoquant des ondes de plaisir, il allait et venait, comme si, il me faisait l’amour. J’avais l’impression d’être doigté délicieusement. L’ergonomie du masseur est adaptée pour jouer avec précision et masser au bon endroit.
Après trente minutes, mon premier orgasme se produit, je râle, je pince mes tétons pour accentuer la jouissance. Ca dure vingt à trente secondes puis la tension redescend. J’ouvre les yeux, je tourne légèrement la tête, je vois Cécile, yeux mis clos, tête renversée, chemisier ouvert sur ses seins dénudés, sa main gauche sur l’un d’entre eux et l’autre dans son bas de survêtement, entrain de se palucher l’abricot.
- Mets-toi à l’aise, fous toi à poil et branle toi, lui lançai-je, d’une voix étouffée par l’orgasme qui arrivait. J’étais dans état second, comme semi endormi.
Elle était rouge pivoine, elle arracha son chemiser, se débarrassa de son bas et de sa petite culotte pour entreprendre sa chatte et se branler. Elle se travaillait la vulve, de façon magistrale. Mes orgasmes qui se succédaient, la vue de mon cul pomper, celle de ma bite semi érigée entrain de baver son précum, la rendaient folle.
Elle voulait jouir aussi. Elle mettait enfin des images sur les sons qu’elle percevait à travers notre mur mitoyen. Elle se doigtait fortement, elle s’enfonçait deux doigts, le majeur et l’annulaire, dans son vagin bien humide, des clapotis de mouille résonnaient, elle coulait abondamment. Elle se tordait d’envie. Elle soufflait, grimaçait de plaisir. Son visage grimaçait, elle souffrait de plaisir. Elle se cramponnait à l’accoudoir du fauteuil et se triturait le sexe vigoureusement. Elle n’hésitait pas à se masser l’anus, se mordant la lèvre inférieur.
Cette scène m’excitait au plus haut point, j’orgasmais, je bandais très fortement, j’avais tellement envie de la baiser. Elle expulsait, de façon saccadé, des petits « han » de bûcheron, pendant que je criais des « arhhhhhhhh », « ouuuuufffff » « Ooooooh ouiiiiiiiiiiiii », « ooooooorrrhhhhhhpuuuuutainnnnnn », le masseur compressait ma prostate, faisant sortir le liquide pré-séminal, c’était divin comme sensation. Mes muscles se bandaient, mes jambes vibrait, mon bassin se soulevait, ma tête dodelinait. Des images fusaient dans ma tête : je suçais, je léchais, je broutais virtuellement le sexe de Cécile et son cul. J’avais envie que l’on me prenne, qu’on me sodomise, qu’on me suce la queue. J’aurais aimé, dans ces moments de délires et d’extase, sucer une ou des bites, des couilles, des culs de mecs imaginaires, ce qui décuplait ma jouissance et mes orgasmes. C’est fou ce que petit objet peut provoquer comme sensations et de fantasmes.
Je ne rêve plus, Cécile s’est approché de ma couchette, elle était entrain de me sucer les tétons tout en me masturbant. Mais une masturbation particulière. En effet, elle prenait son majeur et me massait le frein du prépuce, comme un clitoris. Elle prenait le précum pour le lubrifier et elle dessinait des cercles autour de mon gland. J’étais subjugué par cette pratique nouvelle pour moi, je m’en resservirai. Mon érection ramollissait mais mes contractions devenaient plus fréquentes et plus vives.
Puis, elle s’est mise en position tête-bêche, elle m’offrait sa chatte et son cul dilatés, par l’écartement de se membres inférieurs. Elle me défonçait la bite et les couilles avec sa bouche. Comme un animal affamé. Mes mains lui écartaient ses grosses fesses, amplifiant la dilatation de sa rosace et de sa fente, suintante. Je lui broutais le minou et le petit trou. Ma langue taquinait ses orifices Dans un état d’hypnose, je me délectais de sa sève qui coulait de son entre sur ma bouche, elle se branlait intensément en se frottant l’entre cuisse sur mon visage. Son dos s’arc boutait pour mieux épouser ma face. J’avais le visage enfoui dans son intimité, ses grosses cuisses me frottaient les oreilles, j’étais parfois en apnée. Mon nez dans son cul et ma bouche dans son fruit mur.
Elle feulait, Elle grognait, hystérique et démoniaque, ma queue entre ses lèvres, ses mains me massaient les boules à la limite de la douleur. Je perdais pieds, je ne savais plus où j’étais ; je ne pouvais plus me retenir, je l’ai prévenue que j’allais éjaculer, elle activa sa fellation et je lâchai ma semence, d’un jet continue ; elle pompait comme une folle et recrachait ma semence, qui coulait le long de ma tige, elle aspirait comme une ventouse, elle jouissait aussi, elle suffoquait, emplie de spasmes et de soubresauts nerveux, grâce à ma langue et à mes doigts dans ses ouvertures.
Anéantis, fourbus mais repus. Nos bouches souillées de nos secrétions respectives, nous convulsions ensemble. Nos spasmes communiaient et finirent par se calmer. Nous revenions à nous. Comme sortis d’un rêve.
- Désolé de t’avoir entraînée dans cet acte, lui dis-je, alors convaincue par cette expérience ?
- On le serait à moins, je pense ! dit-elle, plus aucun doute !!!
- J’ai appris beaucoup et je repars riche d’une belle expérience, ne sois pas désolé, je n’ai agi sous aucune contrainte. Je le proposerai à mon homme mais pas ce soir, je suis morte de fatigue.
Nous nous sommes jamais revus, sauf pour boire notre café sur les marches d’escaliers de nos maisons et n’avons en aucun cas réitéré cette aventure.
Lorsqu’elle est de l’autre côté du mur, elle sait maintenant…
Réalité, fiction, fantasme, peut-être un mixe des trois ?!
A vous de voir.
Et pourtant, ils sont jeunes, la trentaine. Seul un matin, j’ai entendu un peu le lit grincer mais pas longtemps… ?!
Je reviens à la conversation que j’ai eue avec Cécile. Alors que nous buvions un café, sur nos marches d’escaliers extérieurs, nous parlions à bâton rompus de tout et de rien. Quand Cécile aborda le sujet. Elle me demandait pourquoi, elle entendait des gémissements et des cris, alors que mon épouse était au travail. Elle me pria de l’excuser pour cette indiscrétion, mais ça l’intriguait. Elle osa même me questionner sur une éventuelle maîtresse.
Pour justifier et ne plus jouer de suspense sur ces bruits entendus, je lui expliquai que je m’adonnais aux massages de la prostate, afin d’atteindre des orgasmes successifs et intenses. Pratique, dont elle ignorait l’existence ; elle doutait de la véracité de mes dires. Je l’interrogeai si ces gémissements l’excitaient, j’ai perçu comme une gêne et entraperçu une légère rougeur empourprer ses joues. Son émoi était palpable. Ses yeux brillaient, ses lèvres tremblotaient, trahissant une certaine curiosité. Je lui proposai d’assister à une de mes séances.
Gênée, elle refusa brutalement, me disant que j’étais un grand malade. J’argumentai que cette partie du corps est sous estimée, parce qu’elle est très mal placée. De plus, les bienfaits de ces massages ont une certaine importance à partir d’un certain âge pour éviter les inflammations de la prostate. Depuis la nuit des temps, les hommes ont toujours eu envie d’explorer ces endroits, mais que les religions et autres croyances en ont détourné et interdit cette pratique. Ce n’est que récemment, qu’un médecin a prescrit des séances de massage et par ce biais, on a découvert qe ceux-ci pouvaient procurer des orgasmesJe sentais que ce n’était pas un refus rédhibitoire. Je la rassurai, en lui assurant qu’il n’y aurait aucun contact entre nous, que seule ma nudité serait à sa vue. Je lui proposai un jour ou nos conjoints seraient au travail.
- « On verra dit-elle, je ne te promets rien …», sourire aux lèvres, laissant entrevoir une suite avide et complice.
Quelques semaines passèrent et arrivé à ce jour de mauvais temps, toutes les conditions étaient réunies pour la recevoir et j’étais particulièrement excité ce jour là, je lui proposai de venir boire un café. Surprise, elle accepta néanmoins aussitôt ?! Nous bûmes nos breuvages, elle était excité, de voir enfin ce qui allait se passer, puis, je l’invitai à me suivre à l’endroit où elle entendait mes plaintes.
Cécile a trente et un ans, un beau visage, de gros seins et des jambes assez volumineuses et assez enrobées, ce qui la complexent beaucoup, ce jour là, elle portait un bas de survêtement ample, de couleur noir et un chemisier rouge à carreaux. Elle est très naïve. Je lui proposai de s’assoir dans un fauteuil au pied de mon lit, pour qu’elle puisse être confortablement installée, afin d’observer et constater ma pratique.
Je me suis dévêtu totalement, j’étais un peu troublé par sa présence. Mon sexe était au repos. J’ai protégé mon lit avec un drap de bain, j’ai sorti mon masseur prostatique en lui expliquant les fonctionnalités. Ensuite, je me suis injecté une dose de gel lubrifiant dans le rectum, j’ai enduit le masseur de ce même gel, lui précisant, qu’à titre personnel, j’utilisais des gels très épais pour de meilleures sensations.
Je m’insérai le masseur à moitié de sa longueur et je commençai la relaxation. Inspirations profondes par le ventre suivies de celle des poumons et inversement pour les expirations. Je l’informe que la séance peut durer de une heure à une heure trente, voir plus. Nonobstant, je lui précise qu’elle peut partir à tout instant et dès qu’elle en éprouve le besoin, si l’embarras la submerge. Je voyais Cécile, dans son fauteuil, jambes croisées, face à mon trou, assez impatiente et décontractée. J’étais plus déconcerté qu’elle.
Elle n’était pas contrainte, bien au contraire. La vue sur mon sexe et de mon trou ne la déroutait pas, je voyais poindre dans ses yeux, un petit air coquin et malicieux. Elle cachait bien son jeu la coquine.
Au bout de quinze minutes, j’ai ressenti les premières contractions involontaires dans mon ventre, le masseur commençait à se mouvoir doucement. Des picotements apparaissaient sur et autour de ma prostate. Je lui signalai que le plaisir commençait. Elle se redressa légèrement comme attirée par le spectacle, comme si j’allais accoucher. A quoi s’attendait-elle ? Le masseur bougeait de plus en plus et les vagues de plaisirs montaient. Je fermais les yeux, je ne pouvais plus faire autrement. Le plaisir parcourait mon corps au fur et à mesure que je me détendais. Le paradoxe de cette pratique réside dans la difficulté de conjuguer les deux. Se détendre pour recevoir des contractions de luxure. Je me concentrais sur ma respiration par le ventre ; règle d’or de la pratique et surtout de ne pas toucher son sexe.
Soudain, mon anus se mis à trembler et à pomper. Le masseur bougeait de plus en plus vite quand, il s’enfonça profondément dans mon cul, une des deux branches qui le compose le retenait pour qu’il ne parte pas à l’intérieur et l’autre me massait le périnée. Je soufflais de plus en plus fort, mon ventre se contractait, sans que je le veuille, le masseur titillait ma noix, provoquant des ondes de plaisir, il allait et venait, comme si, il me faisait l’amour. J’avais l’impression d’être doigté délicieusement. L’ergonomie du masseur est adaptée pour jouer avec précision et masser au bon endroit.
Après trente minutes, mon premier orgasme se produit, je râle, je pince mes tétons pour accentuer la jouissance. Ca dure vingt à trente secondes puis la tension redescend. J’ouvre les yeux, je tourne légèrement la tête, je vois Cécile, yeux mis clos, tête renversée, chemisier ouvert sur ses seins dénudés, sa main gauche sur l’un d’entre eux et l’autre dans son bas de survêtement, entrain de se palucher l’abricot.
- Mets-toi à l’aise, fous toi à poil et branle toi, lui lançai-je, d’une voix étouffée par l’orgasme qui arrivait. J’étais dans état second, comme semi endormi.
Elle était rouge pivoine, elle arracha son chemiser, se débarrassa de son bas et de sa petite culotte pour entreprendre sa chatte et se branler. Elle se travaillait la vulve, de façon magistrale. Mes orgasmes qui se succédaient, la vue de mon cul pomper, celle de ma bite semi érigée entrain de baver son précum, la rendaient folle.
Elle voulait jouir aussi. Elle mettait enfin des images sur les sons qu’elle percevait à travers notre mur mitoyen. Elle se doigtait fortement, elle s’enfonçait deux doigts, le majeur et l’annulaire, dans son vagin bien humide, des clapotis de mouille résonnaient, elle coulait abondamment. Elle se tordait d’envie. Elle soufflait, grimaçait de plaisir. Son visage grimaçait, elle souffrait de plaisir. Elle se cramponnait à l’accoudoir du fauteuil et se triturait le sexe vigoureusement. Elle n’hésitait pas à se masser l’anus, se mordant la lèvre inférieur.
Cette scène m’excitait au plus haut point, j’orgasmais, je bandais très fortement, j’avais tellement envie de la baiser. Elle expulsait, de façon saccadé, des petits « han » de bûcheron, pendant que je criais des « arhhhhhhhh », « ouuuuufffff » « Ooooooh ouiiiiiiiiiiiii », « ooooooorrrhhhhhhpuuuuutainnnnnn », le masseur compressait ma prostate, faisant sortir le liquide pré-séminal, c’était divin comme sensation. Mes muscles se bandaient, mes jambes vibrait, mon bassin se soulevait, ma tête dodelinait. Des images fusaient dans ma tête : je suçais, je léchais, je broutais virtuellement le sexe de Cécile et son cul. J’avais envie que l’on me prenne, qu’on me sodomise, qu’on me suce la queue. J’aurais aimé, dans ces moments de délires et d’extase, sucer une ou des bites, des couilles, des culs de mecs imaginaires, ce qui décuplait ma jouissance et mes orgasmes. C’est fou ce que petit objet peut provoquer comme sensations et de fantasmes.
Je ne rêve plus, Cécile s’est approché de ma couchette, elle était entrain de me sucer les tétons tout en me masturbant. Mais une masturbation particulière. En effet, elle prenait son majeur et me massait le frein du prépuce, comme un clitoris. Elle prenait le précum pour le lubrifier et elle dessinait des cercles autour de mon gland. J’étais subjugué par cette pratique nouvelle pour moi, je m’en resservirai. Mon érection ramollissait mais mes contractions devenaient plus fréquentes et plus vives.
Puis, elle s’est mise en position tête-bêche, elle m’offrait sa chatte et son cul dilatés, par l’écartement de se membres inférieurs. Elle me défonçait la bite et les couilles avec sa bouche. Comme un animal affamé. Mes mains lui écartaient ses grosses fesses, amplifiant la dilatation de sa rosace et de sa fente, suintante. Je lui broutais le minou et le petit trou. Ma langue taquinait ses orifices Dans un état d’hypnose, je me délectais de sa sève qui coulait de son entre sur ma bouche, elle se branlait intensément en se frottant l’entre cuisse sur mon visage. Son dos s’arc boutait pour mieux épouser ma face. J’avais le visage enfoui dans son intimité, ses grosses cuisses me frottaient les oreilles, j’étais parfois en apnée. Mon nez dans son cul et ma bouche dans son fruit mur.
Elle feulait, Elle grognait, hystérique et démoniaque, ma queue entre ses lèvres, ses mains me massaient les boules à la limite de la douleur. Je perdais pieds, je ne savais plus où j’étais ; je ne pouvais plus me retenir, je l’ai prévenue que j’allais éjaculer, elle activa sa fellation et je lâchai ma semence, d’un jet continue ; elle pompait comme une folle et recrachait ma semence, qui coulait le long de ma tige, elle aspirait comme une ventouse, elle jouissait aussi, elle suffoquait, emplie de spasmes et de soubresauts nerveux, grâce à ma langue et à mes doigts dans ses ouvertures.
Anéantis, fourbus mais repus. Nos bouches souillées de nos secrétions respectives, nous convulsions ensemble. Nos spasmes communiaient et finirent par se calmer. Nous revenions à nous. Comme sortis d’un rêve.
- Désolé de t’avoir entraînée dans cet acte, lui dis-je, alors convaincue par cette expérience ?
- On le serait à moins, je pense ! dit-elle, plus aucun doute !!!
- J’ai appris beaucoup et je repars riche d’une belle expérience, ne sois pas désolé, je n’ai agi sous aucune contrainte. Je le proposerai à mon homme mais pas ce soir, je suis morte de fatigue.
Nous nous sommes jamais revus, sauf pour boire notre café sur les marches d’escaliers de nos maisons et n’avons en aucun cas réitéré cette aventure.
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