J'AI DERAILLÉ A PORNIC

- Par l'auteur HDS MG8895 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : J'AI DERAILLÉ A PORNIC Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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J'AI DERAILLÉ A PORNIC
Je venais de faire mon footing habituel, je prenais ma douche lorsqu’elle est entrée dans la salle de bain. Cette démarche était volontaire et préméditée. Que voulait-elle ? Que venait-elle chercher ? Sachant que l’eau ruisselait et que je chantais sous la douche comme beaucoup, je pense, elle ne pouvait ignorer ma présence.

Léa va avoir dix huit ans dans trois jours, c’est la fille de mon ami avec qui je suis parti en vacance à PORNIC, à la suite de mon divorce prononcé, il a 1 an, jour pour jour. Léa m’apprécie beaucoup, elle aime mes bonnes grosses blagues et mes calembours. Elle rie à gorge déployée laissant apparaître sa belle denture. J’adore la voir se lâcher, se libérer d’un stress sous jacent. Lors de nos discussions avec son père, elle se fait discrète et nous écoute sans intervenir. Elle me sourit, me regarde du coin de l’œil. Un regard complice et chargé d’empathie. Je la surprends souvent, à la volée, entrain de me fixer, elle rougit et baisse les yeux.

C’est une fille qui n’a connu que les études, le nez dans les bouquins et la musique qu’elle pratique en jouant de la contrebasse, eh oui, Léa aime en avoir entre les jambes. Oui je sais, ce n’est pas très fin, mais ça me faire sourire. Donc, très peu de temps pour penser à la luxure. Certes, elle a dû jouer avec son petit bouton, de temps en temps, mais pas plus.

Je n’ai jamais imaginé autre chose que l’amitié pure et simple entre nous, c’est la fille de mon ami et de plus, je suis trop vieux pour elle. Quarante années nous séparent, non ce n’est pas possible d’imaginer autre chose que de l’affection ; et pourtant… .

Le comportement de Léa a changé depuis que ma femme m’a quitté, comme ça, sans prévenir, seulement ces quelques paroles : « Mike, je ne t’aime plus…, je te quitte ! ». Voilà, la fin d’une vie commune de 40 années, deux enfants majeurs installés. Le couperet est tombé, l’interrupteur mis sur « off ». Procédure amiable, partage des biens et après la lourdeur administrative et les images de votre vie qui défilent. Les questions que l’on se pose, pourquoi ? Quelqu’un d’autre, changement d’orientation sexuelle, … ? Pourquoi ces questions, c’est comme ça, le jus de l’amour s’est tari. L’usure du temps, la routine, la lassitude, le même corps, les mêmes baisers, les mêmes caresses, plus rien nous retenait, ni nous repoussait. Mais vivre ensemble était devenu impossible et néfaste pour nous deux.

Ce qui me manque le plus, c’est de faire l’amour, baiser. J’ai une libido assez développée et j’ai besoin de caresses, de caresser, j’aime jouir, j’aime voir orgasmer la femme que je possède, avec mon membre ou ma bouche ou encore mes doigts. J’aime me faire posséder par elle. J’adore jouer sexuellement, faire languir, surprendre, certains diraient pervers, vieux cochon, obsédé, … ! Pourquoi ?!
Pourquoi le fait de prendre du plaisir et d’en donner ne serait réservé qu’à une tranche d’âge ? Au contraire, l’expérience, le savoir faire sont des atouts majeurs et Léa ne s’est pas trompée en entrant dans cette salle de bain. Son père était parti en mer relever ses casiers. Il possédait un petit bateau et il s’adonnait à son plus grand plaisir, la pêche en mer. Divorcé lui aussi, nous avions lié d’amitié et nous nous étions soutenus dans les moments les plus difficiles.

Elle était là devant moi, elle me regardait bras et jambes croisés. J’étais nu comme un ver, mon sexe pendait misérablement, je n’ai pas cherché à le dissimuler.
-« Que veux-tu ma belle, lui lançai-je ?
- Rien, Je voyais son visage s’empourprer et son regard se dirigé vers mon entre jambe. Elle était en soutien gorge et petite culotte blanche en coton.
- Comment tu me trouves ?
- Très sexy et désirable, mais tu es la fille de mon ami et tu sais que ce n’est pas possible entre nous.
- Je veux que tu sois mon premier coup- Et pourquoi moi ?
- Et pourquoi pas, je te connais, tu seras doux, prévenant et surtout, tu ne t’attacheras pas.
J’étais déstabilisé par sa répartie, je ne m’y attendais pas. Je ne savais plus quoi ajouter, j’étais tiraillé par l’envie et le refus de céder à ses avances. Son père était en mer, nous étions seuls, nous avions du temps devant nous. Le fait de me faire brancher par une petite jeune me rendait fébrile. Le mâle en moi prenait le dessus, mon subconscient voulait passer outre à la morale. C’est bien connu, l’homme est guidé par ce qui est en dessous de la ceinture. Comment cette histoire allait se terminer, quels événements vont en découler ?

La dopamine que j’avais accumulée au cours de mon footing me grisait et me rendait vulnérable. Je voyais ce beau corps longiligne, ses longs cheveux châtains clairs défaits et reposant sur ses épaules, ses yeux noisette et en amande qui m’imploraient. Cette bouche légèrement entrouverte et sa petite langue rose, humidifiant délicatement et maladroitement sa lèvre supérieure. Son sourire délicat et provocateur à la fois. Ses petits seins naissants enveloppés dans les balconnets transparents de son sous-tiffe, la galvanisaient et la vue de sa petite culotte qui dessinait sa fente, m’irradiait le ventre.

Je n’en pouvais plus, elle l’a compris, c’est elle qui a pris les devants. Elle s’est approchée de moi, j’ai senti aussitôt le souffle de ses paroles me susurrant à l’oreille : -« Fais moi l’amour ou baise moi, je te laisse le choix… !
A ses mots, mon sang se figea, ma gorge se serra, mes jambes se dérobaient. Elle était contre moi, la chaleur de son corps chauffait le mien, nos épidermes fleuretaient, son parfum léger, sa tête sur mon épaule, ses mains me caressaient le dos, soudain elle se lova, me serra dans ses bras, si fort, que je ne pouvais plus m’échapper. Mon pubis vibrait, à mon tour je me suis plaqué à elle, sa respiration s’était accélérée, ses seins s’écrasaient contre ma poitrine, je ne pouvais plus reculer, j’avais atteint le point de non retour. Je la voulais, je voulais être en elle, je voulais l’entendre gémir, souffler, geindre, crier sa jouissance, je voulais me déverser en elle. Des images folles de coït se percutaient dans ma tête. Je voyais mon sexe bien humide entrer et sortir de sa fente. Je voulais la transpercer, la piquer, la buriner, la pilonner, tel un goupillon rince-bouteilles.

Nos bouches se trouvèrent, nos langues se cognaient, je lui fouillais la bouche, nos salives se mêlaient, elle embrassait très bien. Elle était suave, concupiscente. Elle me suçait les lèvres, la langue, lorsque je la lui proposais, bien tendue, exubérante, charnue, pointue. Elle me tendait la sienne, je la suçais à mon tour. Mes mains s’étaient glissées sous le sous-vêtement maintenant ses seins, énervant la pointe de leurs tétons. Elle aimait visiblement, ils pointaient très dur. Mon sexe commençait à grossir. Je maîtrisais mon excitation. Ma bouche et ma langue partirent à la rencontre de ses seins craintifs et faisant saillie.
Elle échappait des petits, « hummmm », de plaisir de sa petite bouche, elle se retenait. Elle avait cessé de me caresser le dos, je la guidé. Je lui pris les mains et les dirigeai vers mes fesses nues. Ses mains étaient douces et moites, elle transpirait légèrement, le stress sans doute. Elle ne savait pas trop quoi faire, elle agitait ses doigts, sans vigueur.
- Caresse moi, délicatement, ne crains rien, touche toutes les parties qui te conviennent, effleure, pétri, palpe là, où tu aimerais être touchée et câlinée. Laisse toi aller, ne te retiens pas, abandonne toi, agis à l’instinct, lui soufflai-je à l’oreille.

Mes paroles ont fait leur effet, elle parcourait mon corps avec délicatesse et volupté. Peut-être mal assurée, mais pleine de bonne volonté. L’excitation lui donnait l’ardeur nécessaire et je ressentais plus de pression dans ses caresses. Je l’encourageais, je lui susurrais :- Oui comme ça, … oui là…, j’aime ce que tu me fais, oh oui, doucement…, tu te débrouilles très bien !!!
- Tu trouves ?!
- Oui, continue, tu vas te déconcentrer… .
Elle y mettait du cœur et de l’application, elle gagnait en assurance. Je l’invitai à me sucer les tétons, de sa langue souple timidement, elle s’affairait à les triturer. Je manifestais ma satisfaction, par des expirations prononcées, elle levait les yeux pour observer mes réactions. J’avais pris sa main dans la mienne et je l’ai dirigée vers ma tige à demi molle. Je la guidai dans la cadence, la pression et l’amplitude à donner pour me masturber, elle comprenait très vite.
- Ne néglige pas mes couilles lui demandai-je… !
De son autre main, et me malaxait les bourses, tout en me tétant les seins et en me branlant. Pour une première fois, Léa assurait.

Maintenant je bandais, je me délectais de ses caresses et de ses préliminaires, il fallait monter le niveau. Je l’ai assise sur le lavabo. Après lui avoir déposé un baiser bien mouillé sur les lèvres et lui avoir effleuré le bout de ses tétons, je lui écartai les jambes. Sa fente luisante apparu, son clitoris proéminant faisait saillie, gonflé de sang et prêt à exploser. Délicatement, je lui bécotai les grandes lèvres, elle frissonnait, ses mains agrippaient mes cheveux, à la limite de la douleur. C’était la première fois que l’on déposait une bouche chaude et humide à cet endroit vierge et intime. Elle raffole de cette pratique-Oooh ouuuui, échappa t-elle…, hummmm, ooooohhhhnnnnnn…Je levai les yeux, les siens étaient fermés, sa bouche séchait, elle se mouillait les lèvres asséchées aussi par ses essoufflements. Ma langue se jouait de sa fente béante qui convulsait, elle coulait fortement. Lorsque je titillai son bouton, elle resserra ses cuisses sur mes oreilles, je n’entendais plus rien, je comprenais qu’elle jouissait déjà. J’arrêtai aussitôt et je lui demandai si, elle voulait me goûter avec sa bouche. Elle descendit du lavabo, se mis à genoux, pris mon sexe en main et le guida vers sa bouche. Elle butinait plus qu’elle ne suçait, je lui pardonnais son amateurisme.
- Pense très fort à un esquimau au parfum que tu préfères et fais comme si tu le dégustais.

Elle englouti mon gland, à l’instar d’une glace fondante, dont elle ne voulait rien perdre et pour éviter de se souiller les doigts. Sa langue dansait sur le frein et autour du gland. Elle pompait comme si elle voulait siphonner un réservoir.
- Glisse ton doigt entre mes fesses, joue et masse moi l’anus, les hommes aiment beaucoup ça, surtout moi, tu peux y mettre une phalange ou deux, c’est divin pour moi, … .
Elle s’exécutait, sans broncher ni hésitation. Elle suçait, pompait, me massait la rosace, jouait avec mes boules. Il fallait qu’elle arrête, j’allais venir.

Je l’ai prise par la main, je l’ai invité à s’allonger sur le grand tapis de bain.

- Tu veux continuer ?
- Je n’en peux plus, j’ai trop envie, viens, prends moi, elle me suppliait !

Je lui écartai les jambes, après avoir enfilé un préservatif, proposé par Léa, eh oui ! J’approchai mon sexe à l’entrée de son orifice, grand ouvert. Je la regardais dans les yeux, tout en m’immiscent en elle. Elle a essayé de soutenir mon regard, mais très vite, ses yeux se sont retournés, elle a fermé les paupières, Je poussais doucement le gland vers l’intérieur, mon anus vibrait, je bandais très dur. Elle était bien huilée, aucune difficulté pour aller plus loin. Je progressais en elle très, très lentement, ses yeux se révulsaient, elle fronçait, elle ressentait sûrement une petite douleur, elle retenait ses cris, elle souffrait, la brûlure de ma queue l’excitait et l’agaçait concomitamment. Je la masturbais pour atténuer cet inconfort.

Son visage se détendit, les rides de son front disparurent et des feulements firent place. Ses mains m’incitaient à accélérer le rythme et à aller en profondeur dans son paradis. Je la branlait toujours, ma queue entrait et ressortait souillée de sang et de cyprine. Elle gémissait de plus en plus fort, je la fourrageais délicieusement aussi, de plus en plus profondément et plus rapidement. Ma prostate se préparait à libérer sa semence. Elle mouillait abondamment, je glissais en elle sans difficulté.

J’alternais les coups rapides et les petits coups ou, j’incérais seulement que le gland. Je l’affinais, essayant d’atteindre son point « G ». J’étais super doux, je m’appliquais à lui astiquer les parois de son vagin. Je lui demandai de se mettre en levrette. J’étais derrière elle maintenant, je fis glisser mon gland, de la commissure de ses fesses, bien rondes et blanches, doucement le long de sa raie. Je passai plusieurs fois sur son orifice anal, à chaque passage, elle s’avançait, pour me montrer qu’elle ne voulait pas me sentir à cet endroit. Je n’insistai pas, je me contentai de m’introduire en elle, par son sexe, j’étais au fond d’elle, elle criait maintenant.

Je râlais également, mes mains au niveau de ses hanches, je la remplissais, pendant qu’elle se masturbait mécaniquement. Elle orgasmait encore. Mon pubis claquait contre son cul, les vibrations engendrées par mes coups de reins la grisaient. Je voyais son anus vierge de toute pénétration, se dilater sous mes yeux. Je me retirai et je lui prodiguai un anulingus, gracieux et doux.

Délicatement, de la pointe de ma langue, je lui titillais les replis anaux. J’écartais ses fesses, pour que son trou se détende, je crachai mon excès de salive sur la cavité et je positionnai mon pouce, elle ne dit rien. Je commençai à la masser, de plus en plus fort, insistant et soudain mon pouce disparut à l’intérieur, lui arrachant un : aaaarrrrrhhhhhh guttural, je laissai mon pouce à l’intérieur de son cul et je repris mes assauts, j’avais immobilisé mon pouce dans son cul et de ma queue je pénétrais son antre. Elle lâchait prise, orgasmait, convulsait, elle s’arcboutait pour bien me ressentir en elle.

Ce spectacle, ses cris, ce beau corps ondulant et se tortillant de luxure me firent orgasmer. J’ai ressenti cette décharge d’adrénaline qui partait du milieu du dos, transperçant mon système digestif pour terminer près de ma vessie jouxtant ma prostate. Ma semence se rependit dans le réservoir du préservatif, mes yeux renversés, mon visage déformé par l’orgasme puissant que je venais de vivre. Elle n’avait pas fini d’orgasmer, cette fois là, je me retirai et je la doigté, jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter. Elle dégoulinait de jus. Ses jambes tremblaient, elle s’était couchée sur le ventre, essoufflée, vidée et ivre d’ épuisement à la suite de ses orgasmes successifs.
Voilà, Léa pleurait, non pas de tristesse mais de bonheur. Je m’assurai de ce dernier, elle me le confirma.

Ce fût notre secret, les années passèrent, Léa fit la connaissance d’un jeune homme Théo, Léa était armée maintenant, pour affronter et initier ce jeune garçon. La seule chose qui m’importait, c’est qu’elle prenne son pied et le fasse prendre à ses partenaires.
Son père n’en su rien, notre amitié resta intacte mais plus distante, nous avons refait nos vies et nous nous rencontrons, de temps en temps, en couples ordinaires, pour quelques diners amicaux. Léa n’est jamais là, c’est très bien ainsi.

A votre excitation.

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