Introspection délirante
Récit érotique écrit par MG8895 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2021 dans la catégorie A dormir debout
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Introspection délirante
Marc se lève comme chaque matin, ses réveils sont difficiles. Il pose d’abord un pied puis l’autre, il s’assoit sur le bord du lit, passe une main sur sa tige, encore demi molle suite aux nombreuses érections nocturnes. Il est encore fatigué. Il glisse ses doigts dans ses cheveux ébouriffés par une nuit agitée. Il se dirige aux toilettes pour vider sa vessie. Il va boire un bon café serré pour éveiller ses sens, puis retournera aux toilettes, car le café aura réveillé ses intestins.
C’est compliqué en ce moment, il est en pleine réflexion sur sa personne et sur le genre humain en général.
En effet, il se pose des questions sur sa sexualité. Il pense être addicte au sexe, alors il médite souvent et il s’interroge sur ses obsessions. Marc ne comprend pas que les hommes en général soient plus à la recherche de coït que les femmes, à par certaines, bien sûr. Toutes les expériences qu’il a eues, se sont soldées par des échecs.
Ses partenaires successives donnaient satisfaction, dans les premières semaines puis, la fille trouvait toujours un prétexte : indisposée, fatiguée, mal à la tête, problèmes familiaux ou professionnels… . Ou encore l’expression : « tu ne penses qu’à ça », la phrase qui tue l’envie et qui vous pousse vers la masturbation. Oui mais voilà, la branlette, ça va un temps.
Alors que faire l’amour, même baiser, c’est partager, se donner du plaisir. Se faire du bien produire de la dopamine. Se retrouver, se goûter, se chérir, s’attendrir, se sentir, s’enlacer… . Alors pourquoi, la majorité des femmes sont-elles si sélectives dans leurs façons d’agir.
Après les accouchements, c’est comme si le fait d’enfanter était le graal et que le papa, le « grainetier », celui qu’on a aimé avant l’enfant n’existait plus. Plus d’amour physique, un amour différent, simple, complaisant, hygiénique. « C’est vraiment pour te faire plaisir » disaient-elles, non mais je rêve, et toi tu n’as pas de plaisir… ?!
Combien d’orgasmes étouffés ou interrompus par les pleurs du bébé ? Lorsque ce dernier sera ado ou majeur, qu’il convoitera, lui aussi ses premiers ébats, le couple n’excitera peut-être plus ?! Serait-ce que pour procréer que les femmes s’accouplent ? Autant de questions auxquelles Marc cherche les réponses, si réponses il y a ?! … .
« Tu ne penses qu’à ça », je ne pense pas qu’à ça mais, j’y pense très souvent, se dit-il, peut-être trop souvent ?! Ca commence dès le matin, dans le métro, la femme qui est en face de moi, son parfum aiguise mes narines, comme un signal d’alerte. Je regarde ses lèvres et je l’imagine avec mon sexe dans sa bouche. Quelle tête aurait-elle, si elle jouissait ? J’imagine ses lèvres rouges-carmin, coulisser sur ma tige, entrain de la gober, de me manger les couilles, passer sa langue mouillée sur mon gland, oh la la, quelle belle bouche !
Et puis ces seins, comme j’aimerais glisser mes mains sous son tee-shirt, les prendre en pleine main, lui titiller les tétons pour les ériger, oh, comme j’aimerais lui sucer les bouts, ils sont pointus et bien dressé malgré l’absence de sous-tif. Elle a les jambes croisées, je souhaiterais passer ma main sur ses genoux, remonter délicatement jusqu’à sa petite culotte, si il y en a une. Je lui passerais mes doigts sur sa culotte, et sur sa fente. Je sentirais sa mouille et je banderais, quel bonheur.
Je maintiendrais ma pression sur sa fente et son clito s’érigerait, j’insisterais, je la regarderais, les yeux dans les yeux, j’aimerais la voir jouir silencieusement, juste trahie par son regard, ses yeux qui se fermeraient et se révulseraient. Elle me laisserait ses coordonnées pour que je la retrouve plus tard et pour aller plus loin. Eh bien non !!! Que dalle !!!
Combien d’hommes frustrés sur cette planète qui pensent la même chose que moi ? Alors ils regardent des films pornos, des vidéos sur les sites dédiés. Ils croient que c’est facile, car toutes ces femmes qui jouissent et hurlent leur plaisir, c’est qu’elles doivent adorer ça. Toute cette orgie de sexe, les plans cul, et autres mœurs. Alors ils se branlent, achètent des artifices, Pensent qu’ils ont de trop petites bites. Achètent des pilules en espérant la faire grandir. Pourquoi les femmes ne sont pas comme nous les hommes, se dit à voix haute Marc, le cul dans son fauteuil et les pieds sur la table basse du salon, son café fumant dans sa tasse.
L’homme est un prédateur, un reproducteur, un mâle. Baiser, c’est vital pour Marc. Il se dit, on mange bien trois fois par jour pour avoir de l’énergie. Pourquoi, on ne baiserait pas sur ce rythme ?!
Alors Marc, a envie de se branler, il pense à la voisine, à sa collègue de bureau, sa supérieure hiérarchique, la caissière de la superette… . Il prend sa queue en pleine main déjà bien raide. Il sort le gland de son fourreau, il tire fort et tend le frein à son maximum. Il se caresse les tétons, les tord, les pince, ça augmente son désir. Il ferme les yeux, bascule sa tête en arrière. Il serre sa bite et commence sa branlette. Il aime ramener son prépuce sur son gland et se re- décalotter. La sensation que la peau du prépuce provoque sur son casque, lui fait penser à une bouche chaude qui le pompe.
Alors, il accélère la cadence, son cul commence à pomper dans le vide, son sphincter tremble et tétanise. Le précum sort, ce qui adoucit la friction. Il serre et desserre sa main sur sa bite. Son poignet est agile et souple. Son autre main pelote ses couilles et masse son périnée. Il se fait des films, les images défilent dans sa tête. Il s’imagine entrain de pratiquer un cunnilingus sur sa voisine, il imagine sa bouche pulpeuse avec son rouge à lèvre corail sur son membre virile. Il se voit derrière elle et il lui lèche le cul, oh oui son bon gros cul, bien dilaté, rosace aux quatre vents, bien tendu. Il y fourre sa langue, son nez, ses doigts pleins de mouille. Il s’étouffe entre ses fesses, il veut l’entendre orgasmer, geindre, râler, crier, gémir, miauler, feuler, hululer. Il serait le roi de la baise, vainqueur de ce challenge et d’avoir atteint son objectif de faire jouir sa belle et d’avoir craché son pus reproducteur.
Il sent sa prostate prête à exploser. Il fait durer le plaisir, il se masse l’anus, son chibre est à l’acmé. Il se met un doigt dans le cul et là, il lâche la purée. Il gicle, il s’astique rapidement, comme si, il voulait sortir tout son jus, s’essorer les couilles, il grimace, ses yeux se plissent, sa bouche en forme de « O », il souffle comme lors d’un sprint final. Son cul se rétracte et pompe pour faire sortir sa semence. Il est pris de spasmes violents qui le secouent et le font hoqueter. Son corps entier s’est crispé. La décharge lui a cisaillé le dos, précédée par un grand frisson et terminé par cette mini décharge électrique dans le dos.
Marc revient à lui, sa semence sur les mains et entre les doigts. Apaisé, calmé. Il ne pense plus à baiser. Encore un gosse lavabo, pense t-il. C’est si simple de faire passer ses caprices. Oui mais quand même, ça ne vaut pas un bon coït. D’accord ça calme, mais Marc aurait tant aimé baiser cette femme dans le train.
Marc fait partie des hommes frustrés, il est tenté par l’homosexualité, il aimerait savoir si avec un mec, ce serait différent. Pourquoi avoir autant de besoins, de désirs de sexe ? Devrais-je consulter, voir un addictologue ? A l’instar des joueurs, alcooliques et toxicos… .
Pourquoi tous ces mouvements féministes, Marc ne peut plus insister un regard ou émettre un sifflement sur une belle femme, pour la complimenter ; de peur d’être poursuivi pour harcèlement. Il se dit que ce doit être comme cela, il y a des filles faciles mais Marc n’est pas partageur, il les veut que pour lui, il ne veut pas passer derrière les autres. Il pourrait mais il « n’aime pas ça ».
Marc voudrait être Mel GIBSON dans le film : « ce que veulent les femmes ». Il aimerait entendre ce qu’elles pensent, ourdir leurs pensés : Oh il est pas mal ce mec, j’aimerais bien voir sa queue, qu’il me prenne sur le bureau, qu’il m’enfonce son dard le plus profondément possible. Ce mec, il est tout petit, celui-là trop gros. Mais qu’est ce qu’il a, à me regarder comme ça ce débile, qu’est ce qu’il me veut ? Et puis ses mains, non mais, tu as vu ses mains, des doigts tout boudinés. Il n’arriverait même pas à me faire jouir ce con. Il se prend pour qui ? … .
Par contre celui-là, ouhaou, ses pectoraux, ses muscles sous sa chemise, hum, sa bosse dans son pantalon, il doit être bien membré, pourvu qu’il sache s’en servir. Je le sucerais bien, jusqu’il me supplie d’arrêter. Je le vois bien sa bouche sur ma chatte, il me boufferait la vulve avec sa langue. Oh, comme j’aimerais qu’il me prenne le cul. Oh oui la chatte et après le cul. Je ressens déjà ses coups de reins et ses couilles contre mon bouton. Et puis son doigt dans mon cul, oh la vache, que c’est bon.
Oh merde, il est parti, sans me regarder, fait chier !! Tous les mêmes !
Une femme androïde voilà ce qu’il me faut, une femme robot, qui dit oui à tout et tout le temps. Il l’appellerait Molly, comme les chevilles.
Il s’y voit déjà : - Molly, vient me caresser, non doucement, suce moi les tétons, oh oui comme ça, mets moi un doigt dans l’anus, maintenant pompe moi la tige et avale surtout, je te viderai après. Ecarte bien les jambes que je vois ta vulve et ton cul. Oh puis non, je vais de baiser et t’enculer après, resserre bien les fesses sinon, je ne sentirai rien. Crie mais pas trop fort, gémis, oui gémis. Va te laver et tiens toi prête pour ce midi, si j’ai le temps.
En fin de compte, Marc veut un jouet et non un ou une partenaire. Aucune discussion, pas de restaurant, ni de fleurs. Pas d’état d’âme, ni saute d’humeur. Pas d’argent, pas de maladie, pas de dialogue ou de préliminaire, non que du cul, un sac à foutre quoi, il est décidé, dès que ce sera sur le marché, il investira.
Voilà où en est arrivé Marc, le pauvre. Mais je crois qu’il y a beaucoup de Marc sur cette planète. Au regard de toutes ces affaires sexuelles mises au grand jour. Il y a vraiment de gros et grands tarés.
Je terminerai par cette phrase qui résume ma pensée d’auteur.
"Il n'y a qu'un bonheur dans la vie, c'est d'aimer et d'être aimé." "Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler." "C'est à partir de toi que j'ai dit oui au monde." "Aimer, c'est vivre ; aimer, c'est voir ; aimer, c'est être."
A tous les Marc !!
C’est compliqué en ce moment, il est en pleine réflexion sur sa personne et sur le genre humain en général.
En effet, il se pose des questions sur sa sexualité. Il pense être addicte au sexe, alors il médite souvent et il s’interroge sur ses obsessions. Marc ne comprend pas que les hommes en général soient plus à la recherche de coït que les femmes, à par certaines, bien sûr. Toutes les expériences qu’il a eues, se sont soldées par des échecs.
Ses partenaires successives donnaient satisfaction, dans les premières semaines puis, la fille trouvait toujours un prétexte : indisposée, fatiguée, mal à la tête, problèmes familiaux ou professionnels… . Ou encore l’expression : « tu ne penses qu’à ça », la phrase qui tue l’envie et qui vous pousse vers la masturbation. Oui mais voilà, la branlette, ça va un temps.
Alors que faire l’amour, même baiser, c’est partager, se donner du plaisir. Se faire du bien produire de la dopamine. Se retrouver, se goûter, se chérir, s’attendrir, se sentir, s’enlacer… . Alors pourquoi, la majorité des femmes sont-elles si sélectives dans leurs façons d’agir.
Après les accouchements, c’est comme si le fait d’enfanter était le graal et que le papa, le « grainetier », celui qu’on a aimé avant l’enfant n’existait plus. Plus d’amour physique, un amour différent, simple, complaisant, hygiénique. « C’est vraiment pour te faire plaisir » disaient-elles, non mais je rêve, et toi tu n’as pas de plaisir… ?!
Combien d’orgasmes étouffés ou interrompus par les pleurs du bébé ? Lorsque ce dernier sera ado ou majeur, qu’il convoitera, lui aussi ses premiers ébats, le couple n’excitera peut-être plus ?! Serait-ce que pour procréer que les femmes s’accouplent ? Autant de questions auxquelles Marc cherche les réponses, si réponses il y a ?! … .
« Tu ne penses qu’à ça », je ne pense pas qu’à ça mais, j’y pense très souvent, se dit-il, peut-être trop souvent ?! Ca commence dès le matin, dans le métro, la femme qui est en face de moi, son parfum aiguise mes narines, comme un signal d’alerte. Je regarde ses lèvres et je l’imagine avec mon sexe dans sa bouche. Quelle tête aurait-elle, si elle jouissait ? J’imagine ses lèvres rouges-carmin, coulisser sur ma tige, entrain de la gober, de me manger les couilles, passer sa langue mouillée sur mon gland, oh la la, quelle belle bouche !
Et puis ces seins, comme j’aimerais glisser mes mains sous son tee-shirt, les prendre en pleine main, lui titiller les tétons pour les ériger, oh, comme j’aimerais lui sucer les bouts, ils sont pointus et bien dressé malgré l’absence de sous-tif. Elle a les jambes croisées, je souhaiterais passer ma main sur ses genoux, remonter délicatement jusqu’à sa petite culotte, si il y en a une. Je lui passerais mes doigts sur sa culotte, et sur sa fente. Je sentirais sa mouille et je banderais, quel bonheur.
Je maintiendrais ma pression sur sa fente et son clito s’érigerait, j’insisterais, je la regarderais, les yeux dans les yeux, j’aimerais la voir jouir silencieusement, juste trahie par son regard, ses yeux qui se fermeraient et se révulseraient. Elle me laisserait ses coordonnées pour que je la retrouve plus tard et pour aller plus loin. Eh bien non !!! Que dalle !!!
Combien d’hommes frustrés sur cette planète qui pensent la même chose que moi ? Alors ils regardent des films pornos, des vidéos sur les sites dédiés. Ils croient que c’est facile, car toutes ces femmes qui jouissent et hurlent leur plaisir, c’est qu’elles doivent adorer ça. Toute cette orgie de sexe, les plans cul, et autres mœurs. Alors ils se branlent, achètent des artifices, Pensent qu’ils ont de trop petites bites. Achètent des pilules en espérant la faire grandir. Pourquoi les femmes ne sont pas comme nous les hommes, se dit à voix haute Marc, le cul dans son fauteuil et les pieds sur la table basse du salon, son café fumant dans sa tasse.
L’homme est un prédateur, un reproducteur, un mâle. Baiser, c’est vital pour Marc. Il se dit, on mange bien trois fois par jour pour avoir de l’énergie. Pourquoi, on ne baiserait pas sur ce rythme ?!
Alors Marc, a envie de se branler, il pense à la voisine, à sa collègue de bureau, sa supérieure hiérarchique, la caissière de la superette… . Il prend sa queue en pleine main déjà bien raide. Il sort le gland de son fourreau, il tire fort et tend le frein à son maximum. Il se caresse les tétons, les tord, les pince, ça augmente son désir. Il ferme les yeux, bascule sa tête en arrière. Il serre sa bite et commence sa branlette. Il aime ramener son prépuce sur son gland et se re- décalotter. La sensation que la peau du prépuce provoque sur son casque, lui fait penser à une bouche chaude qui le pompe.
Alors, il accélère la cadence, son cul commence à pomper dans le vide, son sphincter tremble et tétanise. Le précum sort, ce qui adoucit la friction. Il serre et desserre sa main sur sa bite. Son poignet est agile et souple. Son autre main pelote ses couilles et masse son périnée. Il se fait des films, les images défilent dans sa tête. Il s’imagine entrain de pratiquer un cunnilingus sur sa voisine, il imagine sa bouche pulpeuse avec son rouge à lèvre corail sur son membre virile. Il se voit derrière elle et il lui lèche le cul, oh oui son bon gros cul, bien dilaté, rosace aux quatre vents, bien tendu. Il y fourre sa langue, son nez, ses doigts pleins de mouille. Il s’étouffe entre ses fesses, il veut l’entendre orgasmer, geindre, râler, crier, gémir, miauler, feuler, hululer. Il serait le roi de la baise, vainqueur de ce challenge et d’avoir atteint son objectif de faire jouir sa belle et d’avoir craché son pus reproducteur.
Il sent sa prostate prête à exploser. Il fait durer le plaisir, il se masse l’anus, son chibre est à l’acmé. Il se met un doigt dans le cul et là, il lâche la purée. Il gicle, il s’astique rapidement, comme si, il voulait sortir tout son jus, s’essorer les couilles, il grimace, ses yeux se plissent, sa bouche en forme de « O », il souffle comme lors d’un sprint final. Son cul se rétracte et pompe pour faire sortir sa semence. Il est pris de spasmes violents qui le secouent et le font hoqueter. Son corps entier s’est crispé. La décharge lui a cisaillé le dos, précédée par un grand frisson et terminé par cette mini décharge électrique dans le dos.
Marc revient à lui, sa semence sur les mains et entre les doigts. Apaisé, calmé. Il ne pense plus à baiser. Encore un gosse lavabo, pense t-il. C’est si simple de faire passer ses caprices. Oui mais quand même, ça ne vaut pas un bon coït. D’accord ça calme, mais Marc aurait tant aimé baiser cette femme dans le train.
Marc fait partie des hommes frustrés, il est tenté par l’homosexualité, il aimerait savoir si avec un mec, ce serait différent. Pourquoi avoir autant de besoins, de désirs de sexe ? Devrais-je consulter, voir un addictologue ? A l’instar des joueurs, alcooliques et toxicos… .
Pourquoi tous ces mouvements féministes, Marc ne peut plus insister un regard ou émettre un sifflement sur une belle femme, pour la complimenter ; de peur d’être poursuivi pour harcèlement. Il se dit que ce doit être comme cela, il y a des filles faciles mais Marc n’est pas partageur, il les veut que pour lui, il ne veut pas passer derrière les autres. Il pourrait mais il « n’aime pas ça ».
Marc voudrait être Mel GIBSON dans le film : « ce que veulent les femmes ». Il aimerait entendre ce qu’elles pensent, ourdir leurs pensés : Oh il est pas mal ce mec, j’aimerais bien voir sa queue, qu’il me prenne sur le bureau, qu’il m’enfonce son dard le plus profondément possible. Ce mec, il est tout petit, celui-là trop gros. Mais qu’est ce qu’il a, à me regarder comme ça ce débile, qu’est ce qu’il me veut ? Et puis ses mains, non mais, tu as vu ses mains, des doigts tout boudinés. Il n’arriverait même pas à me faire jouir ce con. Il se prend pour qui ? … .
Par contre celui-là, ouhaou, ses pectoraux, ses muscles sous sa chemise, hum, sa bosse dans son pantalon, il doit être bien membré, pourvu qu’il sache s’en servir. Je le sucerais bien, jusqu’il me supplie d’arrêter. Je le vois bien sa bouche sur ma chatte, il me boufferait la vulve avec sa langue. Oh, comme j’aimerais qu’il me prenne le cul. Oh oui la chatte et après le cul. Je ressens déjà ses coups de reins et ses couilles contre mon bouton. Et puis son doigt dans mon cul, oh la vache, que c’est bon.
Oh merde, il est parti, sans me regarder, fait chier !! Tous les mêmes !
Une femme androïde voilà ce qu’il me faut, une femme robot, qui dit oui à tout et tout le temps. Il l’appellerait Molly, comme les chevilles.
Il s’y voit déjà : - Molly, vient me caresser, non doucement, suce moi les tétons, oh oui comme ça, mets moi un doigt dans l’anus, maintenant pompe moi la tige et avale surtout, je te viderai après. Ecarte bien les jambes que je vois ta vulve et ton cul. Oh puis non, je vais de baiser et t’enculer après, resserre bien les fesses sinon, je ne sentirai rien. Crie mais pas trop fort, gémis, oui gémis. Va te laver et tiens toi prête pour ce midi, si j’ai le temps.
En fin de compte, Marc veut un jouet et non un ou une partenaire. Aucune discussion, pas de restaurant, ni de fleurs. Pas d’état d’âme, ni saute d’humeur. Pas d’argent, pas de maladie, pas de dialogue ou de préliminaire, non que du cul, un sac à foutre quoi, il est décidé, dès que ce sera sur le marché, il investira.
Voilà où en est arrivé Marc, le pauvre. Mais je crois qu’il y a beaucoup de Marc sur cette planète. Au regard de toutes ces affaires sexuelles mises au grand jour. Il y a vraiment de gros et grands tarés.
Je terminerai par cette phrase qui résume ma pensée d’auteur.
"Il n'y a qu'un bonheur dans la vie, c'est d'aimer et d'être aimé." "Aimer, c'est savoir dire je t'aime sans parler." "C'est à partir de toi que j'ai dit oui au monde." "Aimer, c'est vivre ; aimer, c'est voir ; aimer, c'est être."
A tous les Marc !!
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