Coupure de courant

- Par l'auteur HDS MG8895 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Coupure de courant Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Coupure de courant
Lucie, 40 ans, hétéro, enfin elle croit l’être, 1,70 mètre, 60 kg, cheveux longs de couleur châtain clair, sportive, elle pratique l’athlétisme amateur, directrice marketing dans un grand groupe international. Originaire d’un petit village en Haute Marne. Mariée, 2 enfants de 20 et 18 ans. Un mari charmant et aimant, qui se déplace beaucoup pour son travail.
Lucie adore les ballades en forêt, la natation, la marche nordique, affectionne le théâtre et la musique classique, en particulier la 5 ème symphonie de Gustav MAHLER. Elle s’entraîne deux fois par semaine en club, pour effectuer quelques compétitions locales. Elle s’est essayée sur 10 et 15 km et souhaiterait monter sur semi marathon.
Lucie a une vie sexuelle qu’elle pense normale, à la suite de 2 grossesses difficiles, les relations intimes avec son mari se sont légèrement espacées. Elle se soulage de temps en temps en l’absence de son conjoint, à l’aide de ses doigts, rapidement pour faire passer le feu. Pas d’amant. Comme tous les mardis, après son travail, elle se rend au stade à bord de sa décapotable.
Elle retrouve, les membres de son club, une séance basée sur, « l’interval-training » ou fractionné, très éprouvant. Elle se tire la bourre avec Julie, dernière arrivée au club. 25 ans, célibataire, sans enfant, cheveux très courts et roux, 1m 69, ça ne s’invente pas, 59 kg, petit tatouage représentant un colibri sur son épaule gauche et tendance lesbienne. Il fait bon ce soir, cette chaude soirée du mois de juin aspire à flâner sur la piste. A la fin de l’entraînement, Lucie et Julie échangent, assises sur la piste.
Une certaine complicité s’est créée entre ces deux femmes, elles rient à gorges déployées, autant elles ne se font aucun cadeau sur la piste, qu’en dehors, une amitié est née. Elles parlent de tout, Julie est très ouverte d’esprit et riche culturellement. Elle a besoin de ces moments d’échange après ses longues journées en tant qu’infirmière libérale. La douce voix de Lucie l’apaise.
Une légère brise s’est levée et provoqua un petit frisson sur nos deux athlètes, ce qui les décida de se rendre aux vestiaires pour une bonne douche salutaire. Elles croisèrent leurs équipières et leur entraîneur sortant du stade. Elles se retrouvèrent seules. Lucie et Julie sont habituées à se voir nues, mais ce soir, dans ce silence de cathédrale, leur nudité exhalait une sensualité inhabituelle. Elles se jaugeaient du coin de l’œil, l’acide lactique circulait encore dans leurs fibres musculaires les plus profondes.
Elles décidèrent d’effectuer des étirements ensemble. Elles étaient nues, elles s’observent, évaluent leurs formes, des corps affinés, luisants de sueurs, des petits seins bien fermes. Une musculature bien dessinée. Le galbe des cuisses est bien proportionné au mollet. Des abdominaux apparents. Deux belles silhouettes qui se jaugent et se défient. On se croirait sur la piste. Elles se cambrent pour bien mettre en évidence leur corps respectifs. Elles s’amusent de la situation. Lucie est troublée par le regard insistant de Julie. Quand Julie se penche pour étirer des ischios-jambiers, elle a tourné le dos et laisse apparaître sa pêche bien serrée entre ses deux fesses. Quelle belle croupe, pense Lucie, elle est vraiment bien foutue cette petite. Un bel abricot, sans poil, surmonté d’une étonnante excroissance. Un clitoris protubérant, presque un sexe de nouveau né, troublant et exitant à la fois.


Elle s’étonne de sa réflexion, dès lors, Julie décide d’aller sous la douche. Lucie lui emboîte le pas. Lorsque, soudainement, la lumière du vestiaire s’éteint. Seuls les pictogrammes des issues de secours tamisaient légèrement la pièce, suffisamment pour se deviner à l’instar des ombres chinoises.
- Que se passe t-il ? s’écrie Lucie- Je ne sais pas ! rétorque Julie qui s’était immobilisée. Elle devinait la silhouette de Lucie et s’en rapprocha. Elle sentait sa chaleur qui se dégageait de son corps. Elle vint délicatement se coller au dos de Lucie.
Lucie ne bronche pas, elle sent dans son dos, les tétons et le pubis hérissé de poils contre ses fesses. Que c’est étrange ! Elle est émue et figée par la situation. Devrait-elle partir, repousser énergiquement sa partenaire, la gifler ? Rien de tout cela, elle se laissait faire, médusée. Des mains soyeuses parcouraient ses bras. Un souffle chaud glissait sur sa nuque, deux lèvres brûlante, humides et molles s’aventuraient dans son coup. Elle frissonnait, les caresses de Julie étaient légères et lentes, charnelles, comme ralenties.
Lucie commençait à respirer de plus en plus fort et appréciait ces attouchements sensuels. Julie s’appliquait, experte dans le sexe au féminin, elle prenait son temps pour faire monter le désir. Elle savait qu’à ce stade, tout était possible. Soit elle se faisait repousser, soit Lucie succomberait à ses attentions. Julie insistait de sa bouche pulpeuse, légèrement entrouverte, elle donnait de petits coups de langues sur tous les points de pulsions. Cette peau salée par la sueur délivrée lors de l’entraînement grisait Julie. Elle adorait les exhalaisons de sueur fraîche et pas encore maturée ; mélange de musc, ressemblant à celle d’un sexe, ça l’excitait.
Lucie succombait, elle avait mis ses mains sur les cuisses musclée de Julie, elle n’osait pas bouger, par peur d’exprimer trop vivement son envie mais, la contraction de ses doigts démontrait son consentement. Elle se prêtait à ce jeu de séduction. Julie posa une de ses mains sur le sein gauche de Lucie, pendant que l’autre virevoltait sur son ventre. De son pouce gauche, de Lucie, elle effleurait son téton maintenant érigé, ce qui lui fit lâcher un petit hoquet de surprise et de plaisir. Lucie renversa sa tête en arrière pour faire pendre ses cheveux et ainsi, dégager son beau et long cou. Julie ne se fit pas prier, elle s’activa pris sa main libre du sein et fit pivoter la tête de Lucie, pour y déposer un tendre et doux baiser.
Maintenant, les deux femmes sont bouche contre bouche, seins contre seins, pubis contre pubis. Leur souffle court et chaud communie et se concurrence. Elles s’enlacent, se décoiffent, se lissent le visage pour en découvrir chaque contour. Elles s’embrassent à pleine bouche y mêlant lèvres, langues et salive. Elles se goûtent avec douceur et tendresse. La délicatesse de leurs gestes aiguise leur sagacité. Julie a passé sa jambe entre celles de Lucie, elle plaque sa hanche sur le pubis de Lucie qui échappe un petit « oh » de bien être. Julie remonte son genou le long de la cuisse de Lucie, sa cuisse est duveteuse, elle fait ainsi plusieurs allers et retours et finit par coller son muscle de cuisse bien contracté, mettant ainsi le relief de ses quadriceps sur la vulve de Lucie, déjà ouverte et bien lubrifiée.

Elle glisse lentement sa cuisse, très lentement, arrachant des petits gémissements étouffés à Lucie. Cette dernière a placé ses mains sur les fesses contractées de Julie, des fesses bien fermes grâce au sport. Leurs seins érigés se frôlent et se flattent délicieusement. Maintenant c’est Lucie qui cherche le cou de Julie, elle explore de ses mains la courte chevelure de sa partenaire de jeu. Elle enveloppe le visage de Julie de ses deux mains, elle part à la recherche de sa poitrine. Julie masturbe Lucie à l’aide sa cuisse. Lucie s’agrippe aux épaules de Julie, le dos contre le mur de la douche.
Elle commença à miauler, lorsqu’un doigt aborda le bord de ses grandes lèvres. Julie a quitté la bouche de Lucie pour aller jouer avec les tétons de Lucie, son doigt s’est immiscé entre les grandes lèvres, parti à la recherche de son bourgeon, gorgé de sang.
Elle n’a aucune difficulté pour le triturer, le presser, le faire rouler de ses doigts habiles. Lucie a cette chaleur qui l’envahit, ces ondes de plaisir qui se répandent et se succèdent. Elle voudrait tellement qu’un membre virile la pénètre et l’emplisse. Ce sont deux doigts qui la fourragent à la place, deux doigts alertes et placés là où la luxure atteint des sommets. Ils lui fouillent l’intérieur de la chatte, tels les doigts dans un pot de confiture.
Elle se laisse palper les parois du vagin et le clitoris interne. Un doigt s’est recroquevillé et lui polit le petit endroit très recherché en haut et à quelques centimètres de l’entrée du vagin. Lucie, a enserré Julie, crispant ses bras sur son buste, elle crie son plaisir, elle finit par jouir de ces phalanges tournoyant dans son intimité. Elle convulse par saccade, presque en silence, jouissance étouffée, aphone.

Brutalement, la lumière est revient, les deux femmes sont tête contre tête, haletantes, bouches ouvertes, yeux mis clos. Julie cherche le regard de Lucie, elle lui relève le visage délicatement, Lucie, honteuse, a beaucoup de mal à soutenir ce regard. Julie insiste et l’harcèle pour faire céder sa partenaire. Elle finit par se soumettre. Julie lui sourit, Lucie lui rend son sourire.
- On prend notre douche ? avance Lucie, encore chancelante et bouleversée.
- Je crois que nous l’avons mérité, souffla Julie, en déposant une petite bise rapide sur la joue de Lucie.

Elles prenaient leur douche, côte à côte, Lucie était toute excitée, comme dopée par l’orgasme qu’elle venait d’atteindre. Un orgasme plus long, plus intense et plus diffus que ceux qu’elle atteignait parfois avec son époux. Cette chaleur soutenue dans le creux du ventre, ces spasmes qui vous tétanisent et vous rend dépendant et asservie, ce feu d’artifice qui explose au plus profond de vous, c’est la première fois qu’elle ressentait ce type de plaisir.

Julie profite de la douche pour se calmer mais, elle est tiraillée entre l’envie de recevoir du plaisir et/ou de se rhabiller rapidement, pour ne pas contraindre Lucie à un autre acte.

Elle a pris du plaisir à en donner à Lucie mais, elle n’est pas rassasiée. Son sexe a faim, il convulse, pleure, il s’ouvre et se referme rapidement, Il pompe avidement, appelant un doigt, un objet, quelque chose de dur qui vous laboure les entrailles et vous procure des sensations uniques et singulières. Quelque chose qui vous calme et vous soulage, qui éteint ce brasier aux flammes incandescentes et qui vous déchire délicieusement.

Elle voudrait tant que Lucie lui suce les seins, qu’elle se penche sur ses orifices, pour y sentir sa bouche chaude et ses lèvres humides mâchouiller sa vulve.
Pour s’offrir à sa langue afin quelle se fourvoie entre ses grandes lèvres et les petites, pour qu’elle ressente la pointe de sa langue jouer avec son gros bouton proéminant. Elle aimerait aussi qu’elle joue avec sa rosace, ce petit trou très innervé et sensible, zone érogène par excellence.

Elle veut sentir, par défaut les doigts de Lucie dans sa chatte. Elle veut entendre ces clapotis caractéristiques aux doigtées de son intimité, gorgée de jus. Elle veut prendre la bouche et les seins de Lucie, sentir ses seins contre les siens, sentir son ventre contre le sien, percevoir et entendre les râles partagés, enfouir ses doigts dans les longs cheveux de Lucie, alors que sa la tête est entre ses cuisses.

Elle veut jouir, oui jouir, lâcher prise, que son cul se dilate sous l’influence de ses orgasmes. Elle veut, elle aussi et maintenant, goûter le fruit de Lucie, enfouir sa langue dans son antre et se jouer de ses deux trous. Elle veut sentir cette odeur particulière du sexe en chaleur, chargée de particules de luxure et de musc. Elle veut voir le visage de Lucie se tordre et grimacer de jouissance.

Soudain, la voix douce de Lucie fait sortir Julie de sa torpeur :- Julie, … euh comment dire… j’ai envie de faire l’amour avec toi.
La suite vous la connaissez, inutile d’en rajouter.
A votre plaisir de lecture et à celui de vous lire, dans vos commentaires.

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