E-lettre intime - histoire érotique

Ma Chérie,Voilà un mois que j’ai quitté la maison, pour atterrir sur cette plateforme pétrolière « offshore ». Ici, le travail est dur, les horaires de travail en décalés le sont tout autant. Le décalage horaire est prégnant. La course à la production est quotidienne. Le profit, toujours le profit. Il faut rentabiliser les matériels et les moyens humains déployés. La fatigue est présente et les hommes ont du mal à récupérer. Nous essuyons actuellement des tempêtes assez sévères, ce qui génère stress et fatigue. Les nuits sont courtes et surtout agitées. Ta présence me manque. Je pense à toi souvent, très souvent.
Je me réveille régulièrement en rêvant que tu es à mes côtés et que tu me parles. Tu me murmures des mots parfois incompréhensibles, ta voix et lointaine et altérée. Tu es belle, comme tu es belle ! Tu me regardes avec tendresse et envie. Ta robe rouge flotte dans le vent, tes cheveux défaits dégagent ton visage radieux et attendrissant. Tu me tends la main et quand je veux la prendre, tu t’éloignes, j’ai les pieds englués, comme soudés au sol. Alors ton image s’efface et je me réveille frustré et fatigué.
Je voudrais tant te prendre dans mes bras, te serrer contre moi, sentir ton parfum, enfouir mon nez dans tes cheveux, m’imprégner de ton odeur corporelle. Comme tu me manques ! J’ai tellement envie de toi ! Comme j’aimerais poser mes mains sur ton corps, toucher cette robe rouge satinée, offerte le mois dernier. Je rêve de glisser mes mains sur et sous elle, elle qui te dessine si bien. Avec elle, tes belles courbes sont mises en valeur, tes formes se devinent et m’excitent. Je ressens la douceur de tes mains qui passent sur ma chemise. Oh, que c’est bon.
Ma puce, je suis redevenu le jeune homme que tu as connu il y a longtemps déjà. J’aimerais tant faire tomber cette robe à tes pieds découvrant enfin, ton corps sublime. Tes beaux seins de taille moyenne, surmontés de petits tétons, au centre de leurs nimbes. Ton corps fin et légèrement halé par nos dernières vacances à « La Barbade », s’élance sur tes jambes effilées. Et tes fesses, bon sang tes fesses, fixées à ton bassin qui ondule et se trémousse. J’adore tes frottements contre ma hanche.
Tu déboutonnes ma chemise, bouton après bouton, je t’embrasse affectueusement, tu m’embrasses aussi, langoureusement, tes petits baisers entrecoupés d’autres plus prononcés et mouillés, fouillant ma bouche pour y chercher ma langue. Ce petit organe mou et tendu, à notre volonté, nous galvanise, hum ! Je sens mon sexe s’éveiller, cette douce chaleur dans mon ventre me charme. Je prends ta petite tête entre mes mais et je te regarde, nous nous regardons, que tu es belle ma princesse. Tes yeux en amande, formés de ces prunelles de couleur marron striées de traits jaunes. Magnifiques. Je te veux ma chérie.
Comme j’aime t’effleurer le dos, sentir les frissons parcourir ton corps et voir tes tétons pointer. J’aime utiliser ma langue dans le creux de ton oreille pour que tu te cambres et plaques ton entre-jambe sur ma cuisse. Je reçois ton souffle chaud sur ma nuque là où, tu y repose ta tête. Je sens ta poitrine sur la mienne. Quel plaisir ! Ta hanche est contre mon sexe durci par ces attouchement, tu te chauffes contre ma cuisse, je perçois la bave de ton sexe sur mon muscle bandé, je le durcis volontairement pour t’exciter d’avantage.

Ma main descend maintenant sur ta cuisse fine et musclée, tu la remontes pour que je la parcoure, je palpe ainsi ton mollet bien dessiné, je remonte doucement le long de cette jambe, parvient à l’intérieur de ta cuisse, à proximité de ton sexe, je feins de m’y engager, car je veux te voir languir et faire monter encore plus fort ce désir qui nous tiraille. Ma main est sur ta croupe, je continue ma prospection, je flatte tes fesses fermes et dodue, j’harangue ta raie avec mon majeur, je l’explore, je flirte avec ton anus mais ne m’y arrête pas, je poursuis mon cheminement pour y découvrir ta vulve humide et chaude. Oh, je bande, comme je bande fort.
Je titille tes grandes lèvres, je recherche les petites, oh, je tombe sur ton clitoris bien gonflé. Je m’amuse un peu avec lui, pas trop, je ne veux pas que tu jouisses maintenant. Je pousse une première phalange et je vais rechercher ton point sensible. Ça coulisse vraiment, tu mouilles super bien ma douce. Ma bite bave aussi, le précum lubrifie mon gland, mes testicules sont tendues, mon anus vibre, bon sang que c’est bon !!! De mes deux doigts, je visite ta fente, je les fais coulisser sur tes parois, le long de ton clitoris interne. Tu raffoles de cette pratique, ta mouille se fait plus conséquente, mes doigts s’activent dans ta plaie. Tu te plaques plus fort contre moi, tes baisers se font ardents et plus nerveux. Ta langue fouille ma bouche, tu me la lèches. Tu veux que je vienne en toi, entre deux baisers, tu échappes de doux gémissements. Tu t’agrippe à mes épaules, pour que je te branle plus profondément et intensément. Une de tes mains enserre mon poignet pour me donner la cadence à laquelle tu souhaite être préparée.
Je veux que tu me suces, prends moi en bouche, délecte toi de mon membre suintant et virile. Décalotte ce gland et retrousse-le au point de rupture. Il fait saillie dans petite main moite. Tes lèvres et ta langue s’amuse avec mon organe bleui et gorgé de sang. Tu me masturbes lentement, ta salive se mêle à mon liquide pré-séminal. Tu t’acharnes et énerves le frein de mon gland. Oh la la, oui comme ça, lentement, profondément, goulument, Oh oui, branle moi, suce moi, aspire moi bien, que ta bouche est douce et habile. Ne néglige pas mes testicules, caresse moi aussi l’anus, comme tu sais si bien le faire et provoquer mon excitation à l’extrême de la jouissance. Je voudrais venir en toi, je souhaiterais me blottir pour te couvrir, m’acceptes-tu ?
Tes bras m’attirent enfin, tu me veux en toi, tu ouvres tes jambes et tu laisses apparaître ton sexe béant et frénétique. Tu prends ma bite, pour la diriger vers ton entre. Tu me murmures : « vas-y doucement, que cela dure longtemps », ta main quitte ma queue, pour que je puisse m’enfoncer en toi. Tu t’arc boutes, tu rejette ta tête en arrière, bouche entre ouverte, pour laisser fuiter tes râles collés à mes coups de reins dosés et refrénés. Nos corps se superposent, nos mains s’entrelacent, nous hennissons ensemble, décuplant notre frénésie. Nos pubis s’entrechoquent, tu soulèves ton bassin pour te prêter d’avantage et ainsi que je puisse te pénétrer plus profondément.
Des ondes de chaleur envahissent ton corps, tes doigts se crispent sur mon dos. Ton visage se déforme causé par la luxure. Je t’aime ma chérie, je suis fou de toi, je veux entendre tes cris de volupté, ouir tes gémissements sous mes coups de queue, je veux entrer en toi encore plus loin, je ne veux faire qu’un avec ton corps tout entier. Je m’acharne sur tes seins, pointes tendues, je joue de ma langue sur et autours de tes tétons érigés, je les tète, les mordilles, les lèche, les suce.


Nous allons jouir bientôt, ton jus coule sur mes couilles, tu veux me faire éjaculer, alors tu sais comment faire. Tu glisses un tes doigts dans ma raie et tu me lisses l’anus, sans y pénétrer, de ton pouce tu me masses le périnée. Ma réaction est foudroyante, je râle, oh oui, comme ça, là, tu es dessus, je t’encourage en activant mes va et vient. J’ai glissé ma main entre nos pubis et je te branle vigoureusement le clitoris tout en activant mon dard dans ta vulve bien huilée. Je me branle avec ta chatte.
Une décharge me parcoure la nuque, se répand le long de mes vertèbres et me cisaille les reins. Je jouis, j’éructe, mon sperme se répand par longues saccades et en toi, tes contractions vulvaires me pompent le sexe. Mon cul contracte le sphincter. Un cri déchire la pièce, tu viens aussi de jouir, tu as planté tes ongles sur ma peau, tu hoquètes, ensuite des spasmes secouent ton buste, tes jambes tremblent, tu te mords les lèvres, tes yeux révulsés disparaissent derrière tes paupières.
Enfin, nos corps s’écroulent, ton étreinte se desserre, tu reprends tes esprits et moi aussi. Je t’aime tant mon Amour. Nous nous embrassons délicatement, nous nous sourions, nous nous caressons mutuellement. Nous nous enlaçons, Nous sommes biens ainsi, nous voudrions que le temps s’arrête… Ma Chérie, mon Amour, j’arrête mon courriel que tu liras en te réveillant demain, eu égard au décalage horaire. Je vais poser mon pc et m’endormir très profondément, en pensant être à tes côtés. Au plaisir de te lire. Je t’aime, mais ça te le sais déjà.
Ton bien aimé.